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Sauve ton petit-ami !

Chapitre 1

Le bon et la brute

Trash
Préambule : Bonjour, ce texte est un peu particulier puisqu’il vous sera régulièrement proposé des choix tout au long du récit qui auront un impact majeur sur la suite de l’histoire. Pour cela, il vous suffit de laisser un commentaire tel que : "A1 ; B2 ; +I1+I2-I3 ; J1." Et je prendrais en compte vos votes.Vous n’êtes pas obligé de répondre à toutes les questions, mais l’histoire s’adaptera en fonction de la majorité qui se dégagera des choix.Vous pouvez aussi simplement laisser un commentaire classique. Bonne lecture !
Chapitre I
Je ne croyais pas aux coups de foudre, je ne croyais même pas à l’amour. Je pensais que c’était une simple excuse pour des sentiments beaucoup plus lubriques, un verni moral pour une réalité bien plus cru. Mais en une fraction de seconde, toutes les conceptions que je me faisais de la vie et de l’amour avaient changé. Cette fraction de seconde, c’est le moment où je le vis.
Il était la perfection. Une grâce féminine, mais enrobée de virilité ; un port altier sans pour autant sembler cassant. Un visage noble, des yeux bleus profonds qui vous percent l’âme. Une taille presque identique à la mienne, comme s’il était mon âme sœur.
Il fallait que je l’aborde, que je fasse sa connaissance. Prenant mon courage à deux mains, je m’approche. J’ai la bouche sèche, le cœur qui bat à mille à l’heure. Et s’il me rejette ? S’il ne voit en moi qu’une enquiquineuse ? Ce serait atroce. Mes jambes tremblent sous la tension. Les derniers mètres qui me séparent de lui, je dois faire preuve d’une volonté de fer pour ne pas m’enfuir de peur qu’il me rembarre au premier mot. J’arrive à ses côtés et demande : « T’es en première année ? Je crois pas encore t’avoir vu.— Euh oui. Je suis en licence de lettre, t’es dans ma classe ? »
Je ne pensais pas ça possible, mais sa voix aussi était irrésistible, douce, avec un soupçon de gentillesse. J’en perds mes moyens et j’en oublie même ma filière. Mais il me laisse le temps de me reprendre et je réponds :
« Non, je suis en histoire de l’art. Je ne connais pas grand monde à la fac, ça te dirait de déjeuner ensemble ? »
Il me regarde, cette fois plus attentivement, et il voit :
A1): Une petite brune aux yeux verts, habillée d’une longue jupe et d’un large t-shirt au sigle d’un groupe de métal. Ma poitrine est peu visible, mais j’ai des seins bien fermes et une finesse toute sensuelle.
A2) : Une grande blonde avec une jupe lui tombant sur les genoux, et de grands yeux bleus. Un sourire charmeur, et un chemisier dont il est difficile de ne pas remarquer les deux grosses bosses qu’enferme le soutien-gorge.

A3) : Une belle black aux yeux noirs et à la chevelure majestueuse et frisée. Un corps d’athlète, de grandes jambes galbées et des fesses fermes dans un jean moulant. Des seins en forme de mangue devinable sous son top tombant au-dessus de mon nombril.
A4): Une beurette avec un voile sur la tête et de grands et amples vêtements. Dessous on peut voir mes seins comme des oranges chaudes et sucrées. Mon corps gracile et souple, capable de bien des contorsions.

Il écarquille les yeux, comme s’il contemplait une des sept merveilles du monde. Il balbutie quelques mots :
« O-o-ouui bien sûr. Un déjeuner, ç-ç-ça me ferait très plaisir. »
Je trouve sa gêne craquante. Moi non plus je ne suis pas très à l’aise, c’est la première fois que j’invite un garçon. Mais mon inquiétude se révèle vite infondée. Le déjeuner se passe merveilleusement bien, on discute avec joie et entrain. On partage nos idées, et on s’aperçoit que l’on a quantité de choses en commun. Il est aussi plein d’intelligence, charmant, attentionné et ne manque jamais de répartie. Nos échanges sont vifs et animés. Pour tout dire, c’est l’homme de ma vie, j’en suis sûre. Il partage même mon goût pour :
B1) : L’informatique, que ce soit jeux vidéos ou hi Tech, c’est un vrai geek comme moi.
B2) : La religion, il est profondément dévot et partage mon point de vue sur l’importance de la spiritualité.
B3) : La politique, nous parlons de militantisme, de syndicalisme et nous sommes d’accord sur l’importance de s’engager dans la vie publique.
B4) : La culture et l’art, nous dévorons les mêmes auteurs et sommes excitées à l’idée de nous rendre aux nouvelles expositions des musées environnants.

Arrivé au dessert, je ne peux déjà plus me passer de lui :« On se revoit après les cours ?— Bien sûr, je finis à 17 h ».
On se quitte avec regret, et pendant le reste de la journée, j’ai du mal à penser à autre chose qu’à notre prochaine rencontre. N’ai-je pas été victime d’un coup de folie ? Peut-il vraiment être aussi parfait qu’il en a l’air ? Quand arrive l’heure du rendez-vous, je me rends immédiatement à l’entrée de la fac. Je suis morte de trouille, il n’est pas là ! m’a-t-il posé un lapin ? Est-ce que je l’ai fait chier pendant le déjeuner, mais qu’il n’a pas osé me l’avouer ? J’ai une brusque montée d’angoisse, la tête qui tourne, des crampes d’estomac... Quand soudain on pose une main sur mon épaule : c’est lui ! Je souffle de soulagement, il m’aime bien, il est venu ! Notre rendez-vous se passe comme dans un rêve. On se balade le long des quais, on discute de nos plans d’avenir, puis il commence à se faire tard. Il faut rentrer. Quand il m’invite timidement à venir chez lui, j’accepte sans hésiter. Après une petite marche en amoureux, on arrive devant un complexe locatif, il loge en résidence universitaire dans une chambre de dix mètres carrés. Les parties communes (sanitaires et cuisine) sont partagées avec trois autres étudiants. On monte au deuxième étage de la résidence Marie Curie, et je le suis dans sa chambre. Je trouve la pièce :
C1) spartiate, avec seulement un lit, un bureau, un vieil ordinateur portable. Et quelques affaires mal rangées.
C2) les murs sont couverts de posters, sur le bureau trône un ordinateur flambant neuf. Dans l’armoire ouverte, je peux voir quantité de vêtements de marque.

On bavarde encore un peu. Puis finalement, je lui avoue : « Je t’aime, je crois que je suis folle de toi.— Moi aussi je t’aime, je n’ai jamais rencontré de fille aussi belle et aussi intelligente que toi. »
Je plaque ma bouche contre la sienne ; nos langues se touchent puis se mêlent. C’est merveilleux, électrique, je pourrais rester des heures ainsi à mélanger nos salives, nous caresser, nous dorloter. Mais j’en veux plus. Ma main descend plus bas, je lui retire sa ceinture, et passe ma main dans son pantalon, je palpe une boule dure dans son slip. Je le lui arrache, sa queue se dresse fasse à moi :
D1) : Elle est monstrueuse, d’une taille d’anaconda. Il est doté comme un cheval, de quoi me remplir et me faire jouir comme une bête.
D2) : Elle a la taille idéale, ni trop grande, ni trop petite. L’idée d’avoir cette bite en moi m’excite plus que je ne l’ai jamais été.
D3) : Elle est d’une taille minime, je la trouve tellement choute... une petite queue rien que pour moi, j’imagine déjà comment je peux jouer avec tout mon saoul.

Je ne résiste pas plus longtemps. Je veux lui offrir une expérience inoubliable, je me mets à genoux et prends sa bite dans ma bouche. Il me laisse faire, se délectant de ma langue, lui léchant le manche de long en large, je titille son gland avec attention, ma salive et ma succion le font planer. Il frémit. Il est proche du point de non-retour, quand tout d’un coup, il s’exclame : « Il est déjà 19 h 30 ! Je dois m’occuper de la cuisine. »
J’ai dû mal à croire qu’en plein milieu d’une fellation dans laquelle je mets toute mon énergie, il pense à préparer le repas. Cependant :
E1) : Je me dépêche, le suçant comme une goinfre jusqu’à ce qu’il jouisse sa semence dans ma bouche.
E2) : Je m’arrête et lui dis fâchée : « Si t’as plus important à faire, je ne te retiens pas. »
E3) : Puisqu’il ne semble pas jouir pleinement de votre bouche, je le finis rapidement à la main, le laissant gicler son sperme sur le sol.

Il me regarde un peu gêné et explique : « Je suis désolée, mais il y a des règles strictes dans cette résidence, et si je ne fais pas la cuisine à temps et bien...— Et bien ?— Euh... C’est mieux si je la fais à l’heure. »
Je le suis dans la cuisine, passant devant deux des chambres. L’une à la porte fermée, mais j’entends de la musique forte, du rap, franchir la cloison. Dans l’autre, il y a une étudiante concentrée sur ses cours, c’est :
F1) : Une asiatique à l’air revêche et aux cheveux coupés court. Elle est courte sur patte, bien en chair avec des seins comme des obus.
F2) : Une gothique avec un maquillage épais, l’air sombre et colérique.
F3) : Une grande rousse, au physique puissant et dominateur.

J’entre dans la cuisine et je demande : « C’est toi qui fais le repas pour tout le monde ?— Euh... Oui, c’est qu’on s’est réparti les rôles au début de l’année.— Faire la cuisine, ça prend du temps. Ce serait bien si tu pouvais échanger avec une autre tâche.— Euh oui... ce serait bien, sans doute... »
Je le vois sortir des casseroles et des poêles des étagères. Pendant ce temps, mon regard est attiré par une petite ardoise accrochée au mur par un clou. Dessus est souligné en titre :"Répartition des tâches domestiques :— Faire la cuisine => Jean— Faire les courses => Jean— Faire la vaisselle => Jean— Sortir les poubelles => Jean— Nettoyage des parties communes => Jean— Récurer les chiottes => Jean— Apporter le linge au lavomatique => Jean— S’occuper du repassage => Jean"
Je reste devant cherchant à comprendre le sens de cette organisation...« Vous changez de rôle toutes les semaines, c’est ça ?— Euh non, pas tout à fait.— Alors quand ? Tu ne peux quand même pas t’occuper de tout ça pendant un mois !— C’est plus heu... une répartition à l’année... »
Je reste coite en le fixant. Il rougit, n’osant pas me regarder dans les yeux. À la place, il s’occupe de plonger les pâtes dans l’eau.
« Il est hors de question que ça continue comme ça. » Je passe un chiffon sur l’ardoise pour effacer tous les endroits où est inscrit son nom. « Quel est le nom des autres résidents ? Que je fasse une répartition équitable.— Je crois pas que ce soit une bonne idée.— Si, je ne vais pas les laisser t’exploiter ainsi sans réagir !— Il faut que je te dise, un des types c’est...— Moi. »
Celui qui vient de parler c’est :
G1) : Ikanbé, un grand black au crâne chauve et au regard noir intense. Il n’a pas un gramme de graisse sur lui, que du muscle. Il porte un court t-shirt qui laisse voir ses tablettes de chocolat.
G2) : Mathias, un blanc à l’aspect féroce. Il a des cicatrices au visage, sans doute dû à des coups de couteau. Son visage est carré et il porte des tatouages de dragon aux bras.
G3) : Silvio, il fume un joint et porte des bracelets en or à ses poignées. Il a un sourire démoniaque, et est habillé en blanc comme un mac.

« Et la charmante jeune fille c’est qui ? demande-t-il. »
Je reste silencieuse, me laissant le temps d’analyser la situation. Entre temps arrive l’étudiante que j’avais vue réviser dans sa chambre. Elle regarde la table et s’exclame outrée : « J’y crois pas, la table n’est même pas mise.— Je m’en occupe tout de suite ! » s’affole Jean en sortant les assiettes.
Pendant ce temps, le type menaçant s’impatiente :« Tu réponds pas ? Je te fais tellement d’effet que t’es devenue muette ? »Je suis en colère, mais je prends sur moi pour ne pas crier d’indignation. Je me contente de déclarer pour mettre les choses au point : « Je suis la petite amie de Jean. »
Celui-ci fait tomber une assiette en entendant ça.
« Et je ne sais pas que ce qui vous a pris, mais il est hors de question que vous continuez à l’exploiter comme vous le faites. Ce n’est pas parce qu’il est généreux qu’il faut en abuser !— Ah oui... » dit le type en se marrant. Il s’approche de Jean et lui demande : « On dirait que ta nana en pince pour toi. T’es d’accord avec elle ? Tu veux plus faire tes corvées ?— Euh oui, je ferais j-j-juste ma part.— Mais on dirait qu’elle t’a fait pousser une paire de couilles, larbin. On va voir à quel point t’es devenu un gros macho. »Sans attendre, il lui tord le bras. Jean crie de douleur, puis il commence à se faire pousser en direction de la cuisinière et son visage s’approche d’une plaque brûlante.
« Je me demande si elle te trouvera toujours attirant une fois ta face carbonisée. C’est une expérience sociale intéressante. »
Je veux bondir sur le salaud, mais je suis retenu par la fille qui me tient la manche. Le visage de Jean se rapproche de plus en plus de la plaque. C’est insupportable, atroce !
« Arrêtez ça !— S’il ne fait plus ses tâches, alors il doit être puni, c’est ce qu’on a convenu en début d’année.— Arrêtez, il va les faire ! »
Je pleure, je ne veux pas qu’on lui fasse mal. Tout plutôt que ça !
« De toute façon, j’aimais pas trop sa gueule. Qui sait... peut-être qu’il sera plus beau une fois brûlé. Il n’y a qu’une seule façon de savoir. »
Le visage de Jean n’est maintenant plus qu’à quelques centimètres de la plaque rouge.
« Nooon ! Je vous en supplie, arrêtez !— Ah oui, tu me supplies ? Et tu entends quoi par ça ? »
H1) : Il va faire ses corvées, et va s’excuser.
H2) : je vais faire ses taches à sa place.
H3) : J’ai de l’argent, je peux payer pour que vous le laissiez tranquille.

« C’est envisageable, » répond-il
Il relâche Jean qui court se passer de l’eau sur le visage.
Le type ayant lâché sa prise, il se tourne vers moi et ordonne : « Viens avec moi, j’ai quelque chose à te dire. »
Bien sûr, je le talonne de près. Je suis morte de trouille à l’idée qu’il puisse de nouveau s’en prendre à Jean. Il m’emmène dans le couloir, fermant derrière lui la porte de la cuisine. Il dit alors : « T’as de la chance, tu me plais. Alors je peux peut-être faire un effort et arrêter de filer des baffes à ton copain et le traiter comme de la merde. Mais il me faut une compensation en échange. D’abord, je pourrais me servir de toi.— Hein ? Je ne suis pas un plat.— Je parle de me servir de toi comme esclave sexuelle. Que ce soit en résidence universitaire, dehors, où à la fac.— Connard ! Comment oses-tu demander ça ! Tu crois que je suis une pute ?— Non, bien sûr que non. Sinon ce serait pas drôle. Mais sache qu’à chaque refus que tu fais, Jean va en souffrir. Et je me montrerais encore plus brutal avec vous deux... »
J’accepte d’être son esclave sexuelle (I) : en Résidence (+1)/dehors (+2)/à la Fac (+3)
Je refuse d’être son esclave sexuelle (I) : en Résidence (-1)/dehors (-2)/à la Fac (-3)

« Salaud !— Et ce n’est pas tout... Je n’aime pas l’idée qu’une merde comme lui couche avec une fille canon comme toi. Alors tu n’auras aucune relation sexuelle avec Jean. Du moins, tant que je ne l’aurai pas autorisé.
J1) : J’accepte
J2) : Je refuse

— Enfoiré !— J’aime ça quand tu m’insultes, j’ai très envie de voir ta jolie bouche de malpolie en train de me polir la bite. Tu devras aussi te comporter comme je te l’ordonne, si je te dis de te taire tu te tais. Si je te dis de venir me lécher les pompes, tu demandes si tu dois commencer par les semelles ou par le talon.
K1) : J’accepte.
K2) : Je refuse.

— Très bien ordure, maintenant moi aussi, j’ai une demande à faire en retour... (intérieurement, j’espère qu’il acceptera, malgré les refus que j’ai pu faire) :
L1) : « Jean ne doit jamais connaître notre deal. » Il pourrait refuser de me revoir sachant que je le trompe, et même s’il continuait à m’aimer, ce serait une tache indélébile dans ma relation avec lui.
L2) : « Jean sera déchargé de toutes les tâches qu’il faisait jusqu’à présent. » Si je dois me sacrifier pour lui, il ne faut pas que ce soit en vain.
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