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Sauve ton petit-ami !

Chapitre 3

le petit-déjeuner

Trash
Résumé des épisodes précédents :
Jean et Mina tombent follement amoureux l’un de l’autre. Mina rejoint Jean dans sa chambre pour une petite gâterie, mais les choses se complique à l’heure du repas. Jean vit dans une collocation d’étudiant, il y a Magda une rousse méchante, Ikanbé un grand noir poussant de la fonte, et Kevin un obèse de la classe de Mina. Lors du repas Mina comprend que Jean qui se fait appeler « Jeannette » par les autres étudiants leur sert de larbin. Et qu’Ikanbé est prêt à faire preuve de violence s’il n’obéit pas. Mina n’écoutant que son amour se sacrifie pour atténuer les souffrances de Jean, derrière une porte close, en secret de Jean, elle promet au grand noir qu’elle remplira les tâches de Jean et servira sexuellement Ikanbé.
Après le repas, Mina s’occupe de vaisselle et repassage puis lorsqu’elle veut rejoindre Jean, elle se rend compte que la porte est fermée. C’est Ikanbé qui conserve la clef, elle se rend à sa chambre et se rend compte qu’il verse dans le chantage et le recel d’objets volés. Elle passe vite à la casserole, Ikanbé lui prenant sa virginité avant de jouir en elle. Elle retourne avec la clef dans la chambre de Jean, parvient à lui cacher ce qui vient de se passer avant de sombrer dans le sommeil sous les coups de langue de Jean. Au réveil elle se dépêche d’aller servir le petit-déjeuner, d’abord à Magda. Celle-ci trouve le repassage mal fait et veut lui infliger une punition, mais Mina n’a aucune intention de se laisser faire par cette garce !

« Je n’ai pas de punition à recevoir ! Je ne t’ai rien promis, alors j’ai pas à être punie. Je t’ai repassé ton chemisier et c’est tout.
— Oh, t’es moins docile que Jeannette on dirait. Lui, il devait me lécher le minou dès que je me plaignais… Au départ il s’y prenait très mal, mais à force il a fini par développer une bonne technique. »
Ça explique qu’il m’ait paru si doué la nuit dernière. En tout cas, cette bonne femme commence à me sortir par les oreilles, je repasse pour elle, effectue toutes ses corvées, et comme si ça ne suffisait pas, mon petit-ami était contraint de lui lécher la chatte ! Ma rage devait se peindre sur mon visage, car elle ajouta :
« Oulala ! T’as l’air en colère, t’aimes pas que Jeannette soit ma petite lécheuse de chatte attitrée ?
— C’est fini tout ça.
— Ah oui tu crois ça ? »
Elle sort de son lit, j’avais oublié comme sa grande taille et son physique puissant la rende dangereuse. Elle pourrait me maitriser facilement, et je me demande si je n’ai pas fait une grosse connerie en me rebellant. Elle s’approche de moi, et je reste paralysée, tremblante, je parviens tout juste à la regarder dans les yeux. Je sais que si je baisse le regard, elle en profitera comme un animal sauvage pour me sauter dessus. Elle est maintenant à deux pas de moi, elle tend la main vers mon visage. Je m’attends à une baffe, mais à la place je sens une caresse.
« Mais tu pleures ma petite choutte… » je réalise qu’elle a raison, elle m’a mis une telle pression que j’ai versé quelques larmes.
« Mais faut pas pleurer, on est tous des amis ici, » son ton de voix est devenu doux et ses caresses sur ma joue continues, j’ignore a quoi est dû son changement d’attitude, mais j’aimerais me blottir dans ses bras.
« Je vois que je t’ai fait de la peine. Tu peux partir… je crois que tu dois encore t’occuper de Kevin et d’Ikanbé. »

Je m’exécute sans tarder, si j’aime ses caresses, j’ai peur qu’elle ne rechange d’avis de manière tout aussi imprévisible et décide finalement de me punir. Je frappe donc à la porte de Kevin, car je préfère retarder ma rencontre avec Ikanbé le plus tard possible craignant ce qui pourrait me faire subir. Au troisième "toc" une voix répond : « entre ».
J’entre. Dans les mains j’ai un plateau-repas avec un café au lait et des toasts beurrés. Kevin est encore allongé dans son lit comme une baleine échouée. Quand je m’approche, il repousse les couvertures et je remarque qu’il a une érection sous son pyjama. Il voit mon regard qui est descendu
vers son bas-ventre et demande avec un sourire grivois : « T’as faim ? Tu veux un peu de protéine ce matin ? »
Je l’ignore, en l’observant dans son pyjama, je vois tout son gras qui déborde, ses cuisses qui forment d’énormes jambonneaux, son double menton qui pend comme un goitre... c’est répugnant. Je pose le plateau-repas sur le lit. Il lève la main, pas vers le plateau, mais vers moi, pour me caresser les cuisses. Heureusement il est faible et lent, je n’ai aucune difficulté à écarter sa main. Il fait la tronche, comme un enfant qui aurait été privé d’un bonbon, mais je m’en fiche.
Soudain presque rageux, il enlève son pantalon de pyjama, me laissant voir son zgeg. Il semble minuscule au milieu de ses cuisses énormes et de son ventre proéminent. Je souris, puis je ris, je n’arrive pas à m’en empêcher devant son physique informe.
« Salope, ça te fait rire !? »
Encore une fois je ne réponds pas, préférant ignorer ce gros porc. Et lui ayant apporté le petit-dej, il ne me reste plus rien à faire ici. Je repars vers la porte, quand il lance :
« Attends... Ikanbé c’est un fou, si tu n’as pas d’allié ici tu n’as aucune chance de sortir de son emprise, tu vas devenir son esclave, comme Jeannette.
— Ah ouais ? et en quoi ça te concerne ?
— Je peux t’aider... Ikanbé m’aime bien... je connais du monde dans l’administration de la fac, je peux l’aider à passer son année même s’il ne fout rien. Alors il est cool avec moi.
— Et alors ?
— Eh bien, si je lui dis d’être sympa avec toi, alors il se refrénera. Autrement c’est une bête sauvage qui va te dévorer ! Je ne sais pas ce qu’il t’a fait subir depuis hier, mais c’est juste le début. Alors si tu ne veux pas souffrir, faut que tu sois gentille avec moi.
— Comment ça ?
— En ce moment, j’ai mes couilles qui sont pleines, prêtes à juter. Et j’ai pas envie de me branler alors qu’il y a une belle fille comme toi dans ma chambre. Je ne te demande pas grand-chose, j’ai juste besoin de ta bouche pour me vider… ça à rien de compliqué... »
Je réagis sans tarder, car :
A1) Il me dégoute, ce type est un immonde porc avec des bourrelets de gras qui lui pendent du bide, je lui réponds : « Gros lard, jamais je ne toucherais ton micropénis, je préférerais me trancher les veines que de te sucer. Tu crois avoir du pouvoir, mais t’es qu’une merde sur patte, et tu le resteras toute ta vie. »
A2) Mieux vaut me montrer prudente : « Désolée, mais j’ai déjà un copain… »
A3) il a raison, il me faut absolument un allié. Je me rapproche du lit où il s’est étendu et monte dessus pour me mettre à quatre pattes entre ses jambes. Je place ma bouche sur son sexe et commence à sucer. Jamais je n’ai rien fait d’aussi répugnant de ma vie. Mais je pense à Jean, c’est pour lui que je suce la bite de cet obèse, pour nous sortir de cet enfer. La petite queue se met à gonfler encore plus, je devine qu’aucune fille ne lui a encore touché la queue. Mes coups de langue sont amplement suffisants pour qu’il décharge au bout d’une minute de fellation. Je sens son sperme jaillir, quelques gouttes passent dans ma gorge avant que je n’aie le temps de retirer sa bite de ma bouche. Le reste du sperme, un amas compact et massif gicle sur mon visage.

Je quitte la chambre, il me reste encore le pire à venir : Ikanbé. Pour me donner du courage, je retourne voir Jean. J’espère qu’il m’encourage et me réconforte, mais quand j’ouvre la porte, je vois qu’il dort. je vois ça et je pense :
B1) Ça ne surprend pas, pour une fois qu’il a la matinée de libre et l’occasion de récupérer un peu, qu’il en profite il l’a amplement mérité après toutes les souffrances qu’il a endurées. Je repars en refermant doucement la porte pour ne pas le réveiller.
B2) Le salaud ! Pendant que je dois endurer toutes ces humiliations, il pionce comme un bienheureux… Je repars furieuse en claquant violemment la porte derrière moi.

Avant d’entrer dans la chambre d’Ikanbé, je passe par la salle de bain. Je baisse mon bas de pyjama et avec un ciseau, je commence à couper les poils. Je coupe sans m’arrêter jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un fin duvet. Mais ce n’est pas suffisant ; Ikanbé avait exigé que je sois rasé complètement.
Ma haine envers lui ne cesse de grandir alors que j’applique de la crème de rasage sur ma chatte. J’ai l’impression de devoir me transformer en actrice porno, en une pute qui à chaque tournage doit s’humilier davantage jusqu’à n’avoir plus aucune dignité. Mais je n’ai pas le choix, je suis obligé d’obéir si je ne veux pas que mon chéri redevienne son souffre-douleur. Avec le rasoir de Jean, je rase les poils en faisant attention de ne pas me blesser. Chaque coup de rasoir j’ai l’impression d’étouffer, je veux
crier de rage, mais à la place je serre les dents. Je finis par retirer la mousse et constate avec effroi le résultat : ma chatte est entièrement rasée. Je grince des dents sachant que cela plaira à ce salaud, qu’il pourra me fourrer comme il en envie, voir sa grosse queue noire s’enfoncer sans encombre dans ma fente blanche et fraiche...
Je me calme un peu, je ne dois pas laisser mes émotions prendre le dessus. Je prends le dernier plateau de petit-déjeuner et frappe à la porte d’Ikanbé.
« Entre »
J’ouvre la porte et pénètre dans la pièce, il est déjà levé, torse nu avec seulement un boxer rouge en bas. Il est au téléphone en train de parler : « Ouais ouais, tu peux passer quand ? »
Il me regarde et fait un signe que je ne comprends pas.
Il me fait alors un autre signe, celui d’approcher. J’obéis, et me place devant lui avec le plateau attendant de savoir où il veut que je le pose. Mais il ne dit rien à la place, il sort un couteau ! Je lâche le plateau, faisant tout tomber par terre. Je ne porte
aucune attention au fracas autour de moi ; mes yeux sont fixés sur le canif. Avec un geste vif il m’attaque, je crois qu’il veut me planter, mais non, je ne sens rien. Au bout de quelques secondes, je baisse les yeux et remarque qu’il a déchiré mon chemisier de bas en haut laissant apparaitre mes seins, puis toujours avec sa lame il déchire ma jupe. Alors que celle-ci tombe par terre, il écarte le téléphone de son oreille pour me dire :
« Quand je fais ça, » et il me remontre le signe qu’il avait effectué quand j’étais entrée dans la pièce : un mouvement de la main vers le bas.  « Ça veut dire que tu te déshabilles. Maintenant, nettoie le bordel que tu as mis. »
Je baise les yeux, et en effet la tasse de café s’est renversée et les toasts sont face beurrée contre le sol. J’ai même écrasé l’un d’eux sans m’en apercevoir. Je repars apeurée dans la cuisine pour récupérer une balayette, une éponge et un seau. De retour dans la chambre je l’entends dire au téléphone.
« C’est pas assez. S’il veut le tout, il faudra qu’il double la somme… »
Je m’accroupis pour nettoyer. Mais je le vois écarter son téléphone de sa joue :
« Garde les jambes bien droites, salope. »
J’obéis à sa demande et me retrouve la tête près du sol et le cul bien en l’air. Je commence par éponger le sol en évitant de regarder Ikanbé, il m’effraie et rien que de l’entendre parler m’inquiète. Il fait les cent pas, s’arrête quelques secondes puis recommence ses va-et-vient. Il discute toujours, il semble marchander. Je devine qu’il cherche à revendre le matériel volé qu’il conserve dans la pièce. Puis sans que j’y attende, je suis fourrée !
Il s’est placé derrière moi sans arrêter un seul instant sa discussion et a enfoncé sa bite dans ma chatte sans même me prévenir ! Et il se met à me baiser toujours en téléphonant comme si j’étais juste un trou posé là à sa disposition. Je suis tellement surprise que j’en reste la bouche ouverte. Je lâche l’éponge et me tourne vers lui : « Mais… C’est… Arrête ! »
En réponse il donne un grand coup sur les fesses : « Tu fermes ta grande gueule quand je téléphone, pétasse. Maintenant continue à nettoyer, stupide conne. »
Je suis abasourdie par ces insultes. Déjà il me baise tout en téléphonant, et au lieu de présenter des excuses, il m’insulte… Je reçois une nouvelle fessée, il est mécontent que je n’exécute pas immédiatement ses ordres. Ne sachant comment m’opposer à lui, je récupère l’éponge et continue mon travail de bonniche. Je me sens atrocement humiliée. Une de ses mains est plaquée contre mon épaule lui servant de point d’appui pour me baiser. Je ne pense pas qu’il y mette toutes ces forces, car il est concentré sur sa conversation, et pourtant à chaque coup de reins je sens sa puissance. Sa queue immense m’entre dedans et traverse ma fente… je la sens presque m’entrer dans le ventre. Dans ces conditions il m’est presque impossible de "travailler." À chaque coup je me redresse un peu comme s’il m’enfilait une matraque dans la chatte.
Il doit remarquer mes difficultés, car je l’entends dire : « Mina, si tout n’est pas propre par terre quand je t’aurais gicler mon sperme, t’auras le droit à une longue sodomie sans lubrifiant. »
Mon visage devient livide, j’imagine son sexe énorme entrer sèchement dans mon cul… je ne crois pas que je pourrais m’en remettre. Je m’applique alors à nettoyer aussi vite et efficacement que possible. Je vois tomber un peu d’eau par terre, et je réalise que je pleure.
Jamais je n’aurais pensé qu’un jour je puisse me trouver aussi humiliée, je pense alors à Jean, pour me redonner du courage. Je suis gênée de penser à lui alors que son bourreau me baise, que sa queue noire entre en moi à un rythme effréné, mais Jean est ma bouée de sauvetage. Je sais que c’est mal de me faire niquer à deux pas de sa chambre pendant qu’il dort, mais je fais ça pour lui, pour lui épargner des souffrances. Cela me remonte un peu le moral et ma concentration se reporte sur le ménage, j’ai pu éponger le café, il ne me reste plus qu’à enlever les toasts.
Mais la cadence de fornication accélère et je me rends compte qu’un autre facteur perturbe ma corvée… Ses coups de boutoir finissent par me faire de l’effet, je sens ma chatte devenir de plus en chaude et humide. Je dois me concenter pour ne pas crier, je ne veux pas donner à Ikanbé la satisfaction de savoir que sa bite me donne un plaisir pervers, et surtout je ne veux pas que Jean m’entende pousser des cris de plaisir en provenance de la chambre de son ennemi. Je serre les dents, et parviens à retirer les deux toasts du sol pour les mettre dans le seau.
Il reste encore un peu de beurre par terre. Je ressors l’éponge quand soudain je sens un geyser de sperme se déverser en moi, en quelques secondes ma chatte se retrouve inondée de foutre. Je pousse un cri, de surprise, et peut-être aussi un peu de plaisir. Même si je n’ai pas pu atteindre l’orgasme, je suis même en contraire en pleine excitation, je voudrais qu’il me fourre encore, qu’il me finisse. Mais j’ai encore assez de dignité pour ne rien quémander, je passe vite l’éponge sur le carrelage pour finir le nettoyage et me retourne vers lui ; il me regarde en souriant :
« On dirait que tu n’as pas fini à temps.
— Mais si !... enfin quasiment… il ne restait plus rien ou presque, c’est la vérité.
— La vérité c’est que t’as lambiné, et que t’as pas assez bien nettoyé.
— Ikanbé, je t’en supplie pas mon cul… Elle… ta queue… est trop grosse… » dis-je en faisant en signe vers son sexe gonflé.
— Hum, tu sais flatter un homme toi, une vraie petite salope. Je vais épargner ton cul pour cette fois, mais.... je te propose un truc… »
Il ouvre un tiroir et en sort deux gros anneaux, un collier de chien et un bijou.
« Je te laisse le choix, ces deux gros anneaux qui pendront à tes tétons, le collier de chien pour ma jolie chienne, ou le bijou pour décorer ta chatte.
— C’est dégoutant ! Je ne veux rien de ça !
— Alors dans ce cas, prépare-toi à te faire sodomiser à sec dans la journée. »
Je déglutis et réponds :
C1) Les anneaux. Le collier est trop honteux à porter et accrocher le bijou me fait peur. Au final c’est le choix le moins dangereux.
C2) Le collier. Ce sera facile à retirer.
C3) Le bijou. C’est ce qui sera le moins visible après tout.
C4) Aucune de ces décorations, je survivrai à la sodomie… enfin j’espère.

— Très bien, je vais prendre plaisir à m’en occuper. Mais en attendant, tu es à poil. Tu ne peux pas retourner voir Jean comme ça… Quoique ce serait amusant, non ? Et j’aimerais bien voir sa tête quand il verra mon sperme te dégouliner d’entre les jambes. À ce propos, quand je te fourre, tu as l’interdiction de te laver la chatte. Je veux que tu gardes mon foutre en toi, compris.
— Mais…
— Compris ?! son ton devenait menaçant.
— Oui…
— Bien. » Il me poussa par les épaules pour me faire sortir et me mener vers la chambre de Jean. Je freinais des deux pieds, ne voulant pas que Jean se rende compte que je l’avais trompé avec son bourreau. Heureusement dans le couloir Magda et Kevin discutaient. Quand Magda me vit toute nue, sa bouche s’éclaira d’un immense sourire. Et quand Kevin tourna la tête vers moi ses yeux s’écarquillèrent et il se mit immédiatement à baver.
C’est Magda qui prit la parole : « Ikanbé, la pauvre amie de Jeannette est à poil.
— Évidemment ! Quoi d’étonnant pour une salope comme elle.
— Mais il faut quelque chose pour la couvrir. J’avais quelques idées à ce sujet et j’en parlais avec Kevin, mais on n’arrivait pas à se mettre d’accord. Tu voudras peut-être nous donner ton avis, j’ai apporté les tenues dans la cuisine…
— Ok, je suis curieux de voir ça. »
Je soufflais de soulagement, je n’aurais à faire subir un nouveau tourment à Jean. En arrivant dans la cuisine, trois petits tas de vêtements étaient posés sur la table. Magda en fit l’article :
« D’abord, il y a ce petit ensemble très girly, un tee-shirt slim avec une illustration d’un biberon, de petites soquettes blanches et une jupette d’écolière. Ensuite je propose ces habits de grande fille un peu dévergondée, un haut léopard, une jupe en cuir noir et des talons hauts rouges. Et enfin j’ai ces affaires récupérées dans une poubelle, un pull moulant à poids violet et orange, des tongs à moitié détruites et un pantalon jean déchiré de partout. »
Ikanbé réfléchit : « Je n’arrive pas à me décider, les trois choix sont audacieux, je crois que le mieux est de laisser Mina s’habiller selon son gout. »
je n’ai pas le choix, je ne peux pas rester à poil alors je prends :
D1) L’habit de petite écolière.
D2) L’habit de pute.
D3) L’habit de clocharde.

Alors que j’avance la main vers mon choix, Magda reprend la parole :
« Avant ça, je dois vous prévenir que la petite Mina cache sous son air de petite fille bien sage un tempérament rebelle… Figure-vous que cette petite cochonne a mal repassé mon chemisier et quand j’ai voulu lui administrer une punition totalement justifiée, elle a refusé.
— C’est vrai ça, Mina ? demanda Ikanbé.
— Euh… oui… mais elle a dit que c’était ok, qu’on était amie.
— Et justement tu refuses qu’une amie te donne une punition méritée, tu crois quoi ? Que t’as tous les droits ici ? Qu’on doit se plier en quatre pour toi ? T’es vraiment idiote ou tu le fais exprès ?
— Mais…
— Rha, tais-toi ! Bon, Magda, je suppose que tu as trouvé quelque chose pour laver l’affront qu’elle t’a fait ?
— Exact… » elle sort un feutre noir et s’approche de moi. Elle pose la pointe et se met à écrire :
E1) Sur mes fesses : "je suis une vilaine fille punissez-moi !"
E2) Juste au-dessus de ma chatte avec une flèche montrant ma fente : "insérer votre queue ici" et sur mon front avec des flèches partant des joues vers ma bouche "suceuse"
E3) Entre mes seins : "pute en location". Puis au-dessus de ma chatte : "n’oubliez pas de mettre un pourboire" suivi de symboles "€€€€"

Après ça elle reprend la parole :
« Et maintenant, tu vas aller dans le logement du troisième à gauche et tu vas leur demander s’ils ont du lait, on en manque. »
Ikanbé se met à rire, et je ne peux m’empêcher de demander :
« Qu’est-ce qu’il a ce logement ?
— Oh c’est tout simple,
F1) il n’y a que des noirs et des arabes dedans, et ils invitent souvent leurs amis. »
F2) c’est que des filles... des lesbiennes. »
F3) il n’y a rien de particulier, si ce n’est qu’il est rempli des gros puceaux. »

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Merci d’avoir lu ce texte, et si vous souhaitez lire la suite n’oubliez pas de commenter avec vos choix de réponses (par exemple : A1, B2, C3, D2, E1, F2)
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Les réponses choisies par le public lors de l’épisode précédent étaient :
Pour le surnom du petit ami de Mina, 47 % étaient en faveur de "Jeannette" contre 33 % pour "Larbinette" et 20 % "Lavette".
Pour le quatrième coloc, à 40 % le choix s’est porté sur Kevin le gras du bide contre 33 % pour Tifanny la provocatrice, 20 % pour Mathieu le bôgosse et 7 % pour Magalie la black.
Sur la façon dont Mina a passé le diner, grâce à 60 % du vote, elle s’est frottée au genou d’Ikanbé jusqu’à en mouiller sa culotte contre 40 % qui souhaitait qu’elle lui prodigue une branlette discrète.
Sur son habitation, avec 47 % des votes ce sera chez ses parents en ville contre 26 % qui étaient pour une location et 26 % pour une coloc universitaire.
Sur l’activité illégale d’Ikanbé, à 40 % il s’agit de recel d’objets volés avec à égalité le chantage grâce à des photos de femmes nues ou en coït. Pas de pratique vaudou par contre avec seulement 20 % de vote.
Sur la façon dont Mina doit se raser la chatte, à 47 % c’est complètement ; contre 33 % qui souhaitaient l’initial d’Ikanbé et 20 % la forme d’un cœur.
Sur la virginité de Mina : avec 67 % Ikanbé lui a brisé son hymen
Si elle a droit à un creampie, avec 73 % elle accepte contre un lave-vaisselle
Si elle est raciste, à 67 % pas du tout, contre 20 % qui souhaitaient qu’elle le soit, mais mente à Ikanbé et 13 % qui voulaient que le soit et dise la vérité à Ikanbé.
Si elle avoue à Jean qu’Ikanbé l’a baisé ; avec 73 % de vote : elle ment.
Si elle accepte la punition de Magda, à 47 % elle refuse. Contre 26 % qui souhaitaient qu’elle lui lèche la chatte pour se faire pardonner et 26 % qui désiraient qu’elle reçoive quelque coups de cravache sur les fesses.
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