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Le sauvetage d'une maman

Chapitre 5

Alexis :

Inceste
Après le repas, que j’ai regardé Maminka nous préparer en la mangeant des yeux pour me mettre en appétit, ce qui a eu l’air de beaucoup lui plaire, je propose que nous allions faire une sieste ensemble. Elle accepte sans hésiter tout en rosissant légèrement, et si en s’allongeant sur son lit elle ne retire pas ses mules à talons plein, c’est parce qu’elle a compris que nous ne sommes pas venus dans sa chambre pour dormir. En tout cas pas tout de suite. 
 Elle s’est mise sur le dos, les cuisses décollées l’une de l’autre, et une fois que j’ai pris place tout près d’elle allongé sur le côté, je passe mon bras droit sous ses épaules et j’entreprends de l’embrasser. Même si sa bouche est encore pleine des saveurs des aliments que nous avons mâchés, atténuées par celle du café bu ensuite, il est évident qu’elle s’est brossée les dents quand elle est allée ce matin dans la salle de bain. Elle s’est également lavée les cheveux, de plus, son léger parfum floral est de retour ce qui me fait aussi plaisir, et tout ça signifie que dans sa tête certaines choses ont commencé à rentrer dans l’ordre.
 Pourtant ce n’est pas le plus important, car nous sommes en train d’échanger notre tout premier baiser d’amour, et malgré ce qui s’est passé avant il scelle pour moi le début de notre relation incestueuse, que nous assumons tous les deux. Il est possible que des doutes viennent par la suite, mais pour l’instant nos langues sont en train de tourner l’une autour de l’autre, s’enroulant parfois, et ce mélange de salive me procure un plaisir immense qui de toute évidence est partagé.
χ χ

 Comme un adolescent a la découverte du corps féminin, ma main gauche qui contrairement à l’autre est libre de ses mouvements, commence à caresser doucement les seins de Maminka qui paraissent gros en considération de son petit gabarit. Chose qui m’a énormément plu même si cela reste un détail, lorsqu’elle s’est couchée ils ne se sont pas avachis comme on aurait pu s’y attendre avec une femme mûre, mais ils sont bien remplis puisqu’ils forment deux collines de chair très douces et moelleuses au toucher.
 Les toucher je ne m’en prive d’ailleurs pas, avant de m’intéresser à ses tétons qui en comparaison sont durs comme s’ils étaient en caoutchouc. Pendant ce temps une main d’abord timide a caressé mon sexe encore flasque, puis le sentant prendre du volume sous ses attentions elle s’est enhardie à en faire le tour, pour le masturber avec une lenteur que je devine calculée. Lorsque je prends un de ses piercings entre mes doigts, Màma pousse un gémissement étouffé par le bâillon que lui fait ma bouche, et quand je recule ma tête pour lui demander :
 ― Je t’ai fait mal ?!
 Elle me répond après en avoir profité pour reprendre son souffle :
 ― Au contraire. Ils sont là pour augmenter mon plaisir.
 Puis elle ajoute en rougissant :
 ― Mais tu peux aussi y mettre de la rudesse si tu en as envie, car j’y suis habituée et j’aime ça autant que la douceur. 
 La faire souffrir n’était pas dans mes intentions, même un tout petit peu, mais si c’est ce dont elle a besoin je m’applique à pétrir ses gros nichons sans délicatesse et à triturer ses bijoux intimes en les faisant tourner, tout en essayant de me persuader que les geignements qu’elle émet ne sont pas provoqués par de la douleur. 
χ χ

 Lorsque ma main se pose peu de temps après sur sa vulve, en signe d’acceptation Maminka écarte les jambes tout en les pliant à l’équerre pour s’ouvrir encore plus, et ainsi me faciliter les choses. Mais quand mon index s’enfonce entre ses grandes lèvres joufflues une surprise m’attend, puisque je sens quelque chose de dur qui ne peut pas être son clitoris. Je ne tarde pas à identifier le métal d’un autre piercing, qui coiffe son petit bourgeon de chair comme s’il était un diadème. Ce bijou intime est tellement bien caché que je n’avais jamais soupçonné son existence avant aujourd’hui, alors qu’il est probablement aussi ancien que ceux de ses tétons.
 Je joue quelques instants avec, mais ayant également constaté que son intimité est humide à souhaits, et que par conséquent le vagin de Maminka peut accueillir plus qu’un doigt, ce qui n’a pas été démenti puisque ma pénétration a été approuvée par un gémissement plus fort que les autres, je me dis qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.
 Je n’ai pas besoin de réfléchir pour savoir que la position la plus appropriée pour faire l’amour une première fois est le missionnaire, en tout cas lorsqu’on est entre amants et pas des partenaires de boules, alors je retire mon bras de sous les épaules de Màma, et je l’enjambe pour venir me placer entre ses cuisses qu’elle a écartées encore plus.
 À ce moment-là nos regards se rivent l’un à l’autre, ce qui nous oblige à cause de notre différence de taille elle à lever la tête et moi à la baisser, mais cela n’a rien d’inconfortable puisque ça ne nécessite aucun effort de notre part. Et même si ça avait été le cas je crois que je l’aurais supporté, puisque dans les yeux verts irisés de Maminka je vois un mélange de plaisir et de joie, ce qui me comble de bonheur.   Sa main qui ne l’a pas lâché guide mon membre jusqu’à l’entrée de sa grotte d’amour, et lorsqu’il est libéré il s’enfonce en elle alors que je suis surpris par la facilité avec laquelle il pénètre. Car je me retrouve parfaitement gaîné dans ce fourreau soyeux et il n’y a eu aucune résistance, comme s’il avait été créé pour être à ma mesure et n’attendait que moi pour le remplir. 
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 Quand nos poils pubiens se sont mêlés les uns aux autres une première fois, après que Maminka a mis ses mollets à l’horizontale en décollant du lit ses pieds toujours chaussés, dans le but de m’accepter un peu plus, je me soulève lentement jusqu’à ce que seul mon gland reste en elle, puis je replonge en gardant la même allure. Alors que je fais quatre ou cinq allers et retours, j’ai la surprise de sentir que si elle m’accompagne dans mes mouvements ce n’est pas en faisant simplement aller son bassin d’avant en arrière, mais il ondule littéralement. Je réalise à nouveau que j’ai la chance de faire l’amour avec une amante experte, qui dépasse de loin celles que j’ai connues avant elle.  Les geignements de plaisir que je lui procure même s’ils sont bien présents restent discrets, ce qui me plaît énormément, mais ils semblent ne pas lui suffire puisque Màma me dit :
 ― Tu peux y aller franchement sans avoir peur de me faire mal, car je te rappelle que j’aime la rudesse tout autant que la tendresse.
 En guise de réponse je lui souris tandis qu’elle s’empourpre, car tout comme moi elle a pris conscience que malgré son caractère timoré elle vient à nouveau d’être directive. Ce qui me fait plaisir, étant donné qu’elle prenne confiance en elle est le but recherché après qu’elle ait arrêté de déprimer. En ce qui concerne ce dernier point je considère que c’est déjà acquis, et pour le premier nous sommes de toute évidence sur la bonne voie. 
 Pour la contenter autant physiquement que mentalement j’accélère peu à peu la cadence, tandis que ses ondulations réagissent en conséquence, et je constate que si ses petits geignements deviennent plus fréquents puisqu’ils ponctuent mes vas et viens, ils n’augmentent que très légèrement en intensité. Je n’en suis pas inquiets pour autant mais au contraire encore plus heureux, car je préfère de loin un plaisir manifesté sobrement mais bien réel, qu’une simulation exprimée avec exagération. 
 Pourtant tout change lorsqu’elle atteint la jouissance, puisque j’ai droit cette fois à un gémissement clair et puissant, tandis qu’elle noue ses jambes autour de ma taille pour que je reste au fond d’elle, et ses spasmes orgasmiques provoquent mon éjaculation. Elle attire alors le haut de mon corps vers elle en liant cette fois ses bras autour de mes épaules, et je me laisse aller pour la recouvrir presque entièrement. 
χ χ

 Notre union charnelle réussie au-delà de mes espérances, nous nous allongeons cette fois côte à côté pour faire une véritable sieste, puis lorsque nous nous levons nous passons le reste de l’après-midi en nous occupant avec des activités ludiques. Une baignade dans la piscine pendant laquelle nous chahutons comme des gamins en nous éclaboussant, faisant partie de ce programme improvisé. 
 Le soir nous nous endormons dans le même plumard comme un couple, mais avant Maminka me demande de la prendre dessus en levrette, face au miroir que Machin avait fait installer sur le mur en face du pied de lit. Ce qui pour moi est encore une expérience très stimulante, non seulement lorsque je vois ses gros seins s’agiter sous son buste en regardant nos reflets, mais aussi parce que je peux apprécier la montée du plaisir sur son superbe visage. 
χ χ

 Le lendemain-matin je me réveille pour me rendre compte que Maminka est en train de lécher mon sexe, alors que nous n’avons même pas pris la peine de nous laver avant de nous mettre au lit. Ce détail ne semble pas la déranger le moins du monde, et une fois que mon membre est en pleine érection, elle m’annonce sur le ton de la conversation :
 ― J’ai très envie de me faire enculer, mon Cœur. 
 Je ne dois pas avoir un air très enthousiaste, la raison n’étant pas qu’elle m’a tiré d’un sommeil réparateur mais plutôt parce que j’ai déjà pratiqué la sodomie avec deux de mes ex. Avec l’une d’entre elles ça c’est très bien passé, seulement avec l’autre pour ne pas m’étendre sur le sujet je dirai tout simplement que c’était crade. Fine mouche Màma a parfaitement interprété mes doutes, puisqu’elle ajoute :
 ― Je viens d’aller me faire un lavement, parce que Machin non plus n’aimait pas ce qu’il appelait des copeaux. 
 Rassuré je lui fais un sourire, et après lui avoir mis une claque sur les fesses qui lui fait pousser un petit cri qui ne peut avoir été provoqué que par la surprise, car ma calotte n’était pas très appuyée, je ne comprends pas pourquoi elle est devenue également écarlate. N’en tenant pas compte, je lui demande :
 ― Je suppose que tu dois avoir de la lube quelque part ?
 Elle me répond encore rouge :
 ― Non. Je t’ai dit hier que j’aime bien quand c’est un peu rude. Comme je ne me suis pas faite ramoner le conduit depuis des années, il faudra peut-être que tu forces un peu pour entrer. Mais tu ne devras pas t’inquiéter si je couine, et au contraire y aller plus franchement pour que mon plaisir vienne plus vite. 
 ― Là ça va aller parce qu’on est seuls. Mais comment on fera quand Emma sera là ?  ― Déjà elle est adulte, alors je pense qu’elle comprendra si elle m’entend que tu n’es pas en train de me découper en morceau. Et si c’est toi que ça dérange, Machin m’avait acheté un bâillon-boule qu’il me mettait quand vous étiez petits, pour ne pas vous réveiller. 
 Je ne suis plus à une révélation près c’est pourquoi je lui fais un sourire qui se veut complice, et je suis très amusé lorsque je constate qu’en revenant de la salle de bain, elle a en enfilé a ses petits pieds une paire de ce qui doit être ce qu’elle appelle Mes fuck-me shoes. Elles n’ont pourtant rien d’extraordinaire puisqu’il s’agit d’une paire d’escarpins noirs, mis à part que leurs talons aiguille doivent mesurer au moins douze centimètres de long. Et de tout évidence ils ne lui ont pas laissé de mauvais souvenirs, vu qu’elle n’a pas l’air d’avoir envie de s’en débarrasser. 
 Mon amusement redouble lorsque Maminka va se mettre à quatre pattes face au miroir, car je me dis que malgré son caractère timoré elle arrive parfaitement à obtenir ce qu’elle veut quand elle est motivée. Mais il est vrai que je suis son fils et qu’un bon garçon doit toujours obéir à sa Màma, c’est la raison pour laquelle le bout de ma queue décalottée me précédant, je vais sans attendre prendre position à genoux derrière elle. 
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 Comme j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte hier-soir lorsque je l’ai prise par le vagin, l’anus de Maminka est rose-foncé et par conséquent d’une teinte proche de ses tétons. Cet œillet fripé je l’avais trouvé très attirant sans oser le toucher, mais à présent je le caresse quelques instants puis j’y enfonce mon index pour en tester l’élasticité, tout en observant la réaction de Màma dans le reflet du miroir. Elle n’a pas bronché, et au contraire me rappelle à l’ordre en me demandant sur un ton ironique :
 ― C’est quoi que tu n’as pas compris dans Y aller franchement, mon Cœur ?
 Je lui souris en me disant que si j’espérais en la sortant de sa déprime retrouver la Eliana d’avant, je me suis complètement trompé car j’ai affaire à une toute nouvelle femme, qui bien qu’étant d’un caractère timoré sait parfaitement faire savoir ce dont elle a envie, en tout cas lorsqu’elle se retrouve dans l’intimité. 
 Et si elle avance plus vite que moi dans le chemin que nous avons d’un commun accord décidé d’emprunter, cela ne me dérange absolument pas mais au contraire me fait plaisir, puisque je m’attendais à être obligé de la tirer pendant qu’elle serait en permanence à la traîne. Par conséquent tout va beaucoup mieux que nous l’avions espéré mes sœurs et moi, et c’est le cœur léger que je pose mon gland contre la rondelle maternelle. 
 Lorsque nous sommes en contact j’avance mes genoux pour qu’ils se retrouvent à l’aplomb du beau cul de Maminka, ce qui m’oblige à me pencher en peu en arrière, puis je l’attrape par la taille dans le but de la maintenir, non pas que j’aie peur qu’elle se dérobe mais pour éviter tout faux mouvement. Ensuite sans hésiter je pousse lentement tout en me redressant, pour ne m’arrêter que quand le haut de mon corps et mes cuisses se retrouvent à la verticale, et que mes hanches viennent s’appuyer contre ses fesses charnues. 
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 Pendant que je m’introduisais en elle en écartelant son œillet qui s’est déplissé pour devenir une bague de chair, Màma a poussé un gémissement qui a duré le temps de la pénétration. Mais lorsque je détourne mon attention de nos bassins à présent collés l’un à l’autre pour la regarder dans le reflet du miroir, tout en me souriant elle me fait un clin d’œil qui vaut toutes les acceptations du monde. 
 C’est la raison pour laquelle je recommence à faire coulisser mon membre mais cette fois sans interruption, m’arrêtant avant que mon gland ne ressorte pour repartir en avant, sans me soucier des petits geignements qui ponctuent mes allers et retours. D’autant plus qu’elle s’est mise elle aussi à bouger pour m’accompagner dans mes mouvements, et ainsi augmenter la rapidité de notre accouplement.
 Au début je sens de la résistance, ce qui je dois bien l’avouer augmente mon plaisir puisque ma queue est comprimée, même si cela implique que Maminka souffre en éprouvant l’effet inverse. Je ne m’en inquiète pas convaincu qu’elle ne m’a pas menti lorsqu’elle m’a affirmé qu’elle aime ça, mais j’attends tout de même que mon piston puisse coulisser progressivement plus librement, avant d’augmenter la cadence en conséquence. Ce qui contrairement à ce qu’elle m’a dit à plusieurs reprises n’a pas l’air de contrarier ma partenaire incestueuse, puisqu’elle s’efforce de garder la même allure que moi.
 Comme hier lorsque je l’ai prise par le vagin, c’est pour moi un régal supplémentaire de voir ses gros seins s’agiter librement sous son buste à l’horizontale, et encore plus lorsqu’ils viennent s’écraser contre ses bras une fois que notre chevauchée est devenue débridée. Mais ce qui me plaît par dessus tout, c’est d’observer grâce au miroir l’évolution de ses émotions sur son visage magnifique, même si cela a commencé par de la douleur puisqu’elle grimaçait un peu quand je l’ai distendue, puis qu’elle a eu l’air concentrée en fronçant légèrement les sourcils, pour finir par se laisser aller pleinement au plaisir qu’elle est à présent en train de ressentir.
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 Mais malheureusement, les bonnes choses tout comme les mauvaises ont toujours une fin. Notre jouissance est peu à peu montée en puissance, pour finir par exploser comme un feu d’artifice. Cela ce traduit pour Maminka au moment où elle atteint l’orgasme, par un gémissement clair à l’accent slave dont les échos ont dû se propager dans toute la maison, et pour moi par des grognements beaucoup plus discrets, tandis que je décharge par saccades mon sperme dans son fondement.
 Notre course effrénée étant à présent terminée nous restons immobiles, toujours emboîtés l’un dans l’autre, en profitant pour reprendre nos souffles et nos esprits tout en fixant nos reflets dans le miroir. Je ne sais pas ce qu’elle en pense mais je nous trouve très beaux, puis étonnés lorsqu’un bruit venant probablement de la cuisine se fait entendre. Il s’agit très certainement d’Emma qui devait revenir ce matin, et au bout d’une dizaines de secondes, Maminka me demande légèrement inquiète tandis que je l’aide à se redresser, après avoir posé mes mains juste en dessous de ses seins : 
 ― Tu crois qu’elle nous a entendus ?
 Je lui réponds amusé :
 ― Qu’est-ce que ça change ? Puisque de toute façon, elle sait que je suis ici et pourquoi je suis venu.
 Nous éclatons soudainement de rire avant de nous écrouler sur le lit, tandis que j’ai pris ma Màma dans mes bras. 
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