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Le sauvetage d'une maman

Chapitre 6

Eliana & Alexis :

Inceste
Eliana :
 Nous sommes au début du mois de décembre, et cela fait maintenant sept mois que Machin m’a quittée. Au départ cela a été pour moi un véritable cauchemar, car pendant plusieurs semaines et malgré le soutien de mes trois enfants, ma vie était devenue vide de sens. Habituée depuis que j’étais devenue adulte à obéir à mon mari, je me suis retrouvée complètement perdue. Jusqu’à ce que j’aperçoive un phare dans la nuit, qui au lieu de m’éblouir m’a éclairée.  Il suffisait pour me sauver que je m’affranchisse d’un tabou, qui était celui de l’inceste. Ce qui ne m’a pas été bien difficile puisque si je ne savais pas quoi faire pour m’en sortir, et que j’étais même convaincue de ne pas en avoir envie, mes trois enfants ont pris à ma place une décision nous engageant de manière définitive, et mon fils s’est dévoué pour la mettre en pratique.  Après avoir franchi ce cap, Alexis mon seul fils a déménagé pour revenir vivre à la maison et a fait de moi son amante régulière, me dirigeant lorsque j’en avais besoin comme j’y avais été habituée, mais me poussant également le plus souvent possible à prendre des initiatives. Tout en comblant avec sa queue de vingt centimètres le manque qu’il y avait en moi, puisque ma sexualité était devenue pratiquement inexistante depuis des années, et il s’est tellement engagé qu’il allé jusqu’à répondre à tous mes besoins et mes envies. 
 C’est ainsi, que même s’il a été surpris lorsque je lui ai avoué que j’aimais recevoir des fessées avant de me faire sodomiser avec rudesse, il n’a pas hésité longtemps avant de se mettre à me corriger. Au départ avec maladresse, mais en suivant mes indications il n’a pas tardé à devenir aussi adroit et même encore plus que Machin, et tout aussi inventif lorsqu’il s’est agi de trouver un prétexte pour me punir. 
 Quant à moi j’ai commencé à assumer ma perversité puisque je ne cache plus mes fesses sous un kimono lorsqu’elles sont rouges, et seules mes petites-filles ont droit à un mensonge pieux de ma part, puisqu’elles sont convaincues que j’ai attrapé une allergie. Mais mes filles tout comme mon gendre savent à présent que je suis une femme dépravée avec une tendance masochiste, et ils l’acceptent par amour pour moi. Kevin le mari de Pauline étant allé jusqu’à se laisser raser entièrement le sexe par sa femme, comme je l’avais fait avant avec Alexis, pour qu’il puisse profiter encore plus pleinement des caresses que je lui fais avec ma langue. 
χ χ

 Alexis :
 Sept mois alors que j’ai l’impression que ça fait beaucoup plus longtemps, probablement parce que notre accord est parfait, puisque le couple incestueux que nous formons avec Maminka est pour moi une source de bonheur permanent. J’ai déménagé pour revenir vivre avec elle, mettant mon appartement en location, ce qui me permet de rembourser le crédit que j’ai contracté pour l’acheter plus facilement. Seuls nos proches sont au courants de la véritable nature de notre relation, ce qui se résume à mes deux sœurs et mon beau-frère.
 Nous avons tout de même eu des débuts hésitants quand il s’est agi d’accorder nos violons. Par exemple il n’a pas été pour moi évident de me laisser raser pour commencer les bourses et la raie des fesses, puis également le pubis pour une question plus esthétique que pratique. Je me sentais plus nu que nu, et j’avais l’impression que j’allais m’enrhumer à chaque courant d’air même si nous étions à la fin du printemps. Mais découvrir la caresse d’un langue sur mon anus alors qu’une main me masturbait lentement, a largement compensé ce petit désagrément auquel je me suis d’ailleurs rapidement habitué.
 Dans le même ordre d’idées, mettre des fessées ma mère avant de la sodomiser comme une brute n’a pas non plus été facile. Car dans ma tête la punir revenait à inverser la logique d’une relation parent/enfant, mais comme j’ai compris qu’elle en avait besoin pour que sa sexualité soit comblée, j’ai fait des efforts. Je m’y suis également accoutumé, et j’ai même fini par aimer ça. 
 Mais je ne suis pas le seul à avoir fait des concessions. Lorsque j’ai décidé que nous devions nous rendre sur un plage naturiste, de manière à ce que Maminka se rende compte que son corps est encore désirable, car convaincue que nous ne sommes pas objectifs, elle ne nous croyait pas lorsque nous le lui répétions mes sœurs et moi ainsi que Kevin, c’est elle qui a dû prendre sur elle. Car bien qu’elle ait été exposée et même bien plus aux yeux d’autres hommes par Machin, elle était très réticente à l’idée de se montrer nue devant des étrangers.  Pour lui laisser la notion de choix nous sommes la première fois allés sur une plage mixte, c’est à dire sur laquelle on peut sans prendre le risque de recevoir la moindre critique, garder ou enlever son maillot de bain. Nous y avons été en famille de manière à lui faciliter un peu les choses, et si nous nous sommes tous mis immédiatement nus sauf elle, elle n’a pas résisté plus d’une heure avant de craquer et de faire comme nous. 

 Au début elle gardait les cuisses bien serrées et rougissait à chaque fois que quelqu’un la regardait, même si dans ce genre d’endroits c’est rarement avec insistance. Puis elle a fini par accepter le fait de ne porter aucun vêtement en public, et n’a émis aucune objection lorsque je l’ai prise par la main pour que nous allions nous baigner.  Cet essai transformé nous sommes allés la fois d’après sur une plage sur laquelle les vêtements sont interdits, elle s’est mise nue en même temps que nous, et au bout de quatre ou cinq sorties de ce genre, elle a fini par être à l’aise en étant à poil au milieu de gens qu’elle ne connaissait pas. Je la soupçonne même d’y avoir pris goût, et d’attendre l’été prochain avec impatience pour pouvoir recommencer à le faire.  
χ χ

 Eliana :
 Une fois notre forfait avoué et accepté par nos proches, tout n’a pas été simple pour autant. Par exemple lorsque Alexis s’est mis en tête de me faire faire du naturisme, il a fallu qu’il fasse preuve de persuasion pour que je parvienne à en accepter l’idée. Arrivés sur la plage, quand j’ai réussi à enlever mon maillot de bain pour faire comme les autres membres de la famille, j’avais l’impression que tous les étrangers qui nous entouraient ne regardaient que moi, et j’en avais terriblement honte. Non seulement parce que j’étais convaincue d’être devenue moche au fil du temps, surtout après trois grossesses, mais en plus certains de ces voyeurs avaient gardé des vêtements sur eux.
 La fois d’après lorsque nous nous sommes retrouvés sur un plage où tout le monde était nu, j’ai trouvé ça un peu plus normal et cela m’a aidée à prendre confiance en moi. Surtout lorsque je me suis mise à observer les gens discrètement, à l’abri derrière les verres fumés de mes lunettes de soleil, et que je me suis rendue compte que parmi eux il y en avait des jeunes, des vieux, des moches et des beaux, et que tout le monde avait l’air d’être indifférent à la présence des autres, à partir du moment où ils ne faisaient pas partie de leurs proches.  Enfin quand je dis tout le monde, il y en a qui ne se privaient pas de mater mes filles sans en avoir l’air. Puis je me suis rendue compte que certains d’entre eux me regardaient moi aussi avec la même dissimulation, et lorsque j’en ai vu un se mettre précipitamment sur le ventre, j’ai compris que c’était pour cacher un début d’érection. J’ai au départ été mortifiée, puis j’ai fini par admettre que j’étais encore capable de faire bander d’autres hommes que mon fils, qui lui m’aime d’un amour inconditionnel même si pendant vingt années notre relation est restée platonique. 
 Ce constat m’a rendu heureuse, m’a aidée à prendre un peu plus confiance en moi, et à certains moment je me suis surprise à aguicher ces inconnus, même si c’était de manière subtile puisque je me suis contentée d’écarter les cuisses dans la limite du raisonnable, mais aussi d’exposer brièvement mon anus, en écartant les fesses lorsque je me retournais sur ma serviette. Ce qui m’amusait lorsque je voyais un type se mettre rapidement sur le ventre pour cacher son érection, et avait le double effet d’arriver à me persuader que j’étais encore désirable.
 Heureusement personne dans la famille ne s’est rendu compte de mon petit jeu un rien pervers, et ils sont juste heureux qu’être nue au milieu d’étrangers soit devenu pour moi quelque chose de naturel. 
χ χ

 Alexis :
 Bien entendu, lorsqu’on pratique l’inceste avec sa mère sans se cacher du reste de sa famille, cela déverrouille des portes que l’on peut ouvrir par la suite, ou pas. Moi je me serais bien gardé de le faire, mais ma sœur Pauline dont je suis très proche puisque nous avons très peu de secrets l’un pour l’autre, m’a au cours de l’été fait une confidence. Elle fantasmait depuis longtemps au sujet de la sodomie mais son mari refusait d’en entendre parler, et étant donné qu’elle était au courant que je la pratique avec Maminka, elle avait envie de tenter cette expérience avec moi. 
 Cette idée me dérangeait à un seul niveau, qui n’était bien évidemment pas celui de l’inceste puisque je le pratiquais déjà avec notre mère, mais parce que ça revenait pour elle à tromper Kevin que je trouve très sympa pour un beauf. Et lorsque pour la même raison j’en ai parlé à notre Màma elle n’y a vu aucune objection, mais m’a au contraire convaincu de faire de ma sœur une femme comblée. Tout d’abord en m’affirmant d’une manière catégorique que ce qu’on ignore ne peut pas nous faire de mal, puis en me disant que comme je l’avais aidée elle à l’aide de ce qu’elle a appelé une thérapie sexuelle, je me devais si je l’aimais vraiment et même si c’était dans une moindre mesure, faire la même chose avec Pauline. 
 Avec une telle logique je ne pouvais que faire taire mes doutes, et nous sommes passés à l’acte alors qu’Emma devenue indirectement notre complice, gardait les filles de notre aînée chez cette dernière. C’est Maminka qui a administré à ma sœur son tout premier lavement, dans le but de lui expliquer de quelle façon elle devait procéder pour avoir une hygiène irréprochable, puis je l’ai sodomisée sur le lit que je partageais désormais avec notre Màma, à quatre pattes et en face du miroir alors que nous étions seuls. 
 Elle a adoré jouir de cette manière mais il faut dire qu’elle était dès le départ très motivée, et comme j’avais mis du lubrifiant pour qu’elle ne ressente aucune douleur et en garde un excellent souvenir, elle a voulu recommencer quelques jours plus tard mais à sec. Même si j’ai pris le temps de la préparer avant en léchant son œillet fripé, ce qu’elle a adoré et ne m’a pas dérangé étant donné qu’elle avait reçu un autre lavement, et qu’ensuite je l’ai doigtée dans le but de l’élargir un peu, lorsque j’ai enfoncé ma queue dans son anus elle a couiné comme un goret.  Je me suis aussitôt retiré décidé à aller chercher du lubrifiant, mais elle m’a regardé d’une air sévère et elle m’a dit :
 ― C’est pas pire qu’un accouchement, alors tu continue ou je te fais la gueule jusqu’à la fin du monde. 
 J’ai alors eu l’idée de lui mettre le bâillon-boule que nous utilisions parfois par jeu avec Maminka, ne serait-ce que pour éviter d’entendre de nouvelles menaces, puis j’y suis allé franchement mais sans brutalité excessive, pour la punir de m’avoir parlé sur ce ton tout en profitant que ses couinements étaient étouffés. Bien évidement la magie a opéré, puisque après avoir souffert elle a ressenti du plaisir pour finir par avoir un orgasme, et quand je lui en ai à nouveau donné l’autorisation, elle m’a dit :
 ― Waouh, c’était super puissant, et j’ai hâte de recommencer. Surtout après que tu m’auras mis une fessée.
 Malheureusement pour elle j’ai refusé catégoriquement, et elle ne m’en a pas voulu étant donné qu’après que nous ayons fait l’amour ensemble, notre complicité s’en ai trouvée renforcée. De plus, ma dérobade liée à son envie de continuer à se faire prendre de cette manière l’a motivée pour convaincre son mari, et peu de temps après lorsque je suis allée chez eux, elle m’a fièrement et discrètement montré un bâillon-boule identique à celui que nous avions utilisé. Le plus drôle dans cette histoire, c’est que Kevin à rougi lorsque Louise m’a annoncé très sérieusement, du haut de ses 3 ans :   ― Ma Maminka a moi elle a choppé la même nallergie que Babča, alors des fois son popotin il est tout rouge.
 (Ndla: Babča en tchèque signifie Mamie)
χ χ

 Eliana :
 Je n’ai vu aucune objection à faire lorsque Alexis m’a annoncé que Pauline avait envie qu’il la sodomise. Et je l’ai même encouragé alors qu’il manquait de motivation, en lui donnant comme argument que son sacrifice serait du même ordre que celui qu’il avait fait pour moi. Ce qui m’a surprise par contre, c’est que ma fille aînée a ensuite pris goût à la fessée, et surtout qu’elle soit arrivée à convaincre son mari de lui en donner. Mais il faut dire que par amour pour elle il a parfaitement accepté notre nouvelle manière de vivre, et je suis persuadée qu’il finira par ne plus avoir honte de la nouvelle allergie de sa femme.  Mais le plus surprenant, a été lorsque Emma probablement motivée par l’exemple de sa sœur, a décidé de se faire déflorer par son frère. Ce qui m’a étonné ce n’est pas qu’elle ait été encore vierge à son âge, même si les mœurs ont beaucoup évolué depuis ma jeunesse, mais parce qu’étant très discrète au niveau de sa sexualité, j’étais la seule à avoir compris que ma plus jeune fille aimait les femmes et uniquement elles.  Ses arguments étaient encore plus bizarres, puisqu’elle nous a affirmé qu’avoir affaire à un donneur de sperme anonyme la dérangerait, si elle voulait un jour avoir un enfant. Car elle entendait voir le géniteur en chair et en os, autrement dit pouvoir le choisir sur pied. Et pour ce qui était de savoir si elle serait capable d’accepter un sexe masculin dans son vagin, une personne en qui elle avait toute confiance était la plus indiquée pour faire un tir à blanc. Par conséquent, une fois la barrière de l’inceste éliminée son frère était le candidat idéal.  Alexis ne s’est pas fait prier, et contrairement à ce qui s’est passé avec Pauline j’ai participé. Au départ il était juste question que je m’allonge sur le lit, et que ma fille vienne coller son dos contre mes nichons pour que je puisse la prendre dans mes bras comme si je la berçais, de manière à ce qu’elle se sente en parfaite sécurité car elle appréhendait tout de même un petit peu. Mais lorsque son frère lui a proposé de lui faire un cunnilingus dans le but de la mettre dans les meilleures conditions possible, elle a répliqué :
 ― Je préfère que Maminka me le fasse.  Il y a eu un moment de flottement car je n’avais encore jamais fait l’amour avec une femme, et n’avais par conséquent aucune expérience de la chose. Mais Alexis aimant me faire jouir de cette manière, contrairement à Machin qui ne s’est jamais abaissé à poser sa langue sur mon sexe, je me suis dit que chatouiller ma fille aux endroits où j’aime l’être ne serait pas trop compliqué. Je ne me suis pas trop mal débrouillée puisque je l’ai menée au bord de l’orgasme en la léchant, tout en prenant parfois le sexe de son frère dans ma bouche pour qu’il soit lui aussi en forme. Ensuite je me suis couchée sur notre lit, elle est venue sur moi et il l’a prise dans la position du missionnaire. 
 Perforer son hymen n’a été qu’une formalité, elle a très peu saigné, et à notre grande surprise elle a joui deux fois. La première peu de temps après qu’Alexis soit entré en elle car je l’avais rendue chaude comme la braise, et la deuxième pratiquement en même temps qu’il a éjaculé dans son conduit, qui n’avait encore jamais servi. Ce qui ne l’a pas traumatisée, bien au contraire, puisqu’elle nous a annoncé très sérieusement après que tout a été consommé :
 ― Finalement, je crois bien que je suis bi.  Ce qui nous a tous les trois beaucoup amusés. 
χ χ

 Alexis :
 Contrairement aux doutes que j’avais eu par rapport au fait que Pauline est mariée, je n’ai pas hésité une seule seconde lorsqu’il s’est agi de faire l’amour avec Emma, même si j’ai été étonné par sa demande, puisque qu’elle aime les femmes était un secret de polichinelle. Le genre : Je te le dis mais surtout tu le répètes à personne, si bien qu’au bout du compte tout le monde est au courant. Mais bon, à partir du moment où j’avais eu des rapports sexuels avec Maminka puis avec mon autre sœur, il m’a semblé tout à fait normal que le dernier membre de ma proche famille nous rejoigne dans notre petite bande incestueuse, et ses motivations un peu loufoques n’avaient aucune importance à mes yeux.
 Cela m’a d’ailleurs permis d’assister au tout premier cunnilingus prodigué par notre Màma, et étant donné que pour une fois j’avais plus d’expérience qu’elle, je peux vous affirmer qu’elle s’est débrouillée comme une cheffe. Ensuite, procurer un orgasme à ma cadette avec ma queue a été non seulement un pur plaisir mais également un honneur, puisque j’ai été le tout premier à la faire jouir de cette manière. En réalité ça lui est arrivé deux fois, mais la première lorsque je l’ai pénétrée je ne la compte pas, parce que je n’ai fait que finir un taf qui avait été très bien commencé.
 Je n’ai pas été déçu lorsque j’ai appris dans la foulée que je ne serais pas le dernier homme à la combler de cette façon, mis à part le fait qu’elle envisageait dès le départ de se faire inséminer de manière naturelle quand elle voudrait un enfant, étant donné que je n’ai pas ouvert que l’entrée de son vagin mais également son esprit, quand elle a réalisé qu’elle pouvait recevoir du plaisir autant de la part d’un homme que d’une femme. 
 Elle n’a d’ailleurs pas renié ses premières amours vu que par la suite et étant célibataire, avec Maminka elles ont continué à se lécher régulièrement, et j’ai eu moi aussi d’autres occasions de faire jouir ma petite-sœur. Que ce soit avec ma langue ou avec ma queue. Par contre elle n’est pas attirée par la sodomie, malgré l’abondante publicité qui lui a été faite par Pauline et notre Màma, mais il est vrai qu’elle est encore jeune et que comme le dit le proverbe : Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis. Par conséquent, j’ambitionne toujours d’être le premier à entrer par cette porte-là.
χ χ

 Eliana :
 Voilà donc ce que nous sommes devenus, une famille de dépravés. Mais en même temps nous ne faisons pas de mal puisque personne d’autre n’est au courant, et si j’arrive à trouver un homme capable de comprendre ma manière de penser je me mettrai en couple avec lui. Ensuite j’encouragerai mon fils à fonder sa propre famille, en espérant qu’il rencontrera la gentille fille qu’il mérite, et qui correspondra à ses envies ainsi qu’à ses besoins. 
 En attendant que cela arrive nous nous contentons l’un de l’autre, et nous nous aimons sans aucun tabou ni aucune contrainte. Cerise sur le gâteau, Pauline m’a confié la garde de ses filles. Elle me mes amène quand elle se rend à son travail, pour venir les rechercher lorsqu’elle en revient. Ce qui implique non seulement que je ne me sens plus jamais seule, mais qu’en plus je me rends utile comme lorsque mes propres enfants étaient petits.   Finalement ce n’est pas difficile de transformer un cauchemar en rêve, il suffit d’un peu de sexe et de beaucoup d’amour, mais il est possible que l’inverse soit tout autant vrai... 
χ χ

 Alexis :
 Sept mois après le début de nos folles aventures incestueuses, le bilan provisoire est très positif puisque avec Maminka nous nous aimons dans tous les sens du terme. Pauline m’a confié avant-hier qu’elle est sur le point de convaincre Kevin d’élargir ses horizons, en qu’il pourrait accepter de se mélanger à nous. Mais chut, je ne vous ai rien dit et vous ne devez le répéter à personne, parce que c’est encore un secret. 
 Pas plus qu’il ne vous faudra répéter qu’elle pense avoir trouvé un compagnon potentiel pour notre Màma, qui est un de ses collègues de travail veuf depuis cinq ans. Un type gentil, qui d’après elle aurait les idées assez larges pour entrer dans notre famille tuyau de poêle. Je n’ai rien contre l’idée, mais tout comme mes sœurs je pense que je vais le surveiller de près s’il débarque dans notre vie. Et s’il s’agit d’un nouveau Machin, il en ressortira à coups de pieds dans les fesses. 
 Quant à moi, eh bien rien ne presse puisque j’ai toujours 20 ans et je ne suis par conséquent pas encore un cas désespéré. Je commencerai à m’inquiéter, lorsque je verrai s’approcher la trentaine...  
FIN

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