Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 7 J'aime
  • 2 Commentaires

le scénario dont tu es l'héroïne

Chapitre 1

Hétéro
Coquine, sensuelle, soumise, romantique, enragée, j’espère que tu trouveras ton bonheur dans cette histoire. Elle se lit comme « Le livre dont vous êtes le héros » de mon enfance : chaque décision que tu vas prendre va te mener à un numéro de chapitre différent… À lire et relire autant de fois que tu veux, selon l’humeur !Si tu es d’humeur romantique, va au 7, si en revanche tu es d’humeur plus sauvage, va au 17.
1. Très sensuellement, nous nous déshabillons l’un l’autre, laissant traîner nos mains, nos bouches, sur une cuisse, un entrejambe, une épaule, un sein, furtivement, mais délibérément. Les étoffes tombent les unes après les autres sur le sol. Tu m’allonges sur le lit, et commences à couvrir mon corps de doux baisers, tandis que tes mains effleurent ma peau. Inexorablement, ton visage s’approche de sa destination : mon bas-ventre. Délicieuse agonie que de te voir prendre ton temps, faire monter mon excitation, grandir mon érection.Tu te tournes, à mes côtés mais orientée vers mes pieds, à quatre pattes. Dans cette position, mon sexe dressé à l’extrême se présente merveilleusement à ta bouche, tandis que tes fesses s’offrent à mes caresses. Tu titilles le gland de ta langue, un temps qui me paraît infini, provoquant des ruades non contrôlées à ma verge impatiente. Enfin tes lèvres se referment sur ma virilité et tu me suces lentement et profondément. Ta bouche et ta gorge sont dans l’alignement parfait de ma verge incurvée, te donnant un contrôle idéal. Tu prends la mesure de mon sexe, t’habituant à le sentir te remplir, puis tu l’engloutis totalement, jusqu’à la garde, les yeux fermés.La sensation est incroyable, et magnifiée par la vue de tes cuisses, de ton sexe et de tes fesses. Tes cuisses finement musclées, ton sexe luisant, tes fesses rondes, dessinées, délicieusement écartées, m’attirent irrésistiblement. Je caresse toute la zone du bout des doigts. Sans en faire trop, j’effleure, je masse, j’entre légèrement, encouragé par des gémissements évocateurs. Puis j’adapte nos positions, me glisse entre tes genoux, et ma bouche vint se nourrir à ta source, lapant ton fluide, léchant ton clitoris, pénétrant ton vagin de ma langue durcie. Je savoure ton goût, sucré, métallique, que j’aime tant.
Notre plaisir à chacun devient double, celui de donner, et celui de recevoir. Tout en suavité, sans chercher à faire jouir, juste à provoquer en soi et chez l’autre d’agréables tremblements et frissons que l’on aimerait sans fin.Si tu veux prendre l’initiative de la position, va au 15, si tu me la laisses, va au 6.
2. Tu m’interromps brutalement : "jouis pas ! J’ai envie de te finir !". Tu me repousses, te jettes à genoux, empoignes mon sexe, et sans un regard, l’engloutis presque entièrement dans ta bouche. Rhhaaaaa comme c’est bon ! Exprimer ainsi ton désir de moi, de me posséder, de me faire jouir, vaut bien plus encore que l’orgasme qui va suivre. Je passe ma main dans tes cheveux et te caresse, tandis que tu me suces avec gourmandise, savourant mon goût mélangé au tien, les infimes réactions de mon sexe aux abois, et enfin après une ultime tension, ma semence brûlante qui envahit ta bouche ; cette semence gluante, pas forcément agréable, et pourtant si désirée, que tu n’aurais laissée échapper pour rien au monde à cet instant, les doigts plantés dans mes fesses, possessive, animale, rassasiée.
3. Je te pousse sans ménagement contre le mur du salon, ta bouche toujours emprisonnée par la mienne. Nos langues fusionnent, combattent, c’est à laquelle passera sur l’autre, caressera de la façon la plus sensuelle, tatouera sur ses papilles le goût de l’autre. Mes mains passent sous ta jupe, griffent tes fesses puis déchirent ta culotte.Je m’écroule à tes pieds, et dévore ton sexe déjà inondé. Je le prends à pleine bouche, avalant entièrement les lèvres et le clitoris. Sentir ainsi jouer sous mes lèvres et ma langue tes chairs vivantes, chaudes, pleines, merveilleusement lubrifiées, mmmm, quel goût, quelle saveur exquise ! Boire ton désir de moi, y a-t-il meilleur breuvage ?Une de tes jambes se positionne sur mon épaule, tandis que l’autre tremble sous l’effort et le plaisir dément qui vibre dans ton corps. Je continue à te manger ainsi, ouvrant grand la bouche, entourant ton sexe, refermant mes lèvres, l’emprisonnant, l’aspirant, le suçant, tirant sur ton clitoris et tes lèvres, relâchant, recommençant. L’action de ma langue se combine avec celle de mes mains, tantôt sur tes cuisses, tantôt sur tes fesses, tantôt sur tes seins.
Tes mains enserrent ma tête, comme si j’allais m’enfuir, m’arrêter ! Elles me pressent contre ta vulve. Tu libères enfin ta jambe, avant de risquer d’exploser, me relèves brutalement et m’écrases contre le mur. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ma ceinture vole, mon pantalon atterrit sur mes chevilles et mon sexe dans ta gorge. La chaleur de ta bouche qui l’entoure, l’excitation de ta langue sur le gland, la pression de tes lèvres sur la verge, rha mon dieu ! Tes lèvres fermes glissent, déroulent le prépuce, serrent le corps de mon sexe, vivantes, passionnées, expertes.Une vague terrible monte en moi, menaçant de déferler, de s’écraser sur la plage de mon plaisir, mais il n’est pas question pour moi non plus de jouir maintenant. À mon tour, je me libère et te remets debout.Si tu veux que je te prenne par devant, va au 14, par derrière, au 16, que je te sodomise, au 12.
4. J’intensifie la pénétration de mes doigts, écartelant ton vagin, cherchant le point G, ralentissant, accélérant. Des prémices d’orgasme te frappent, délicieux avant-goûts. Ce faisant, je répartis ton fluide au reste de ton anatomie. Il coule délicieusement entre tes fesses, en inondant le sillon. Je stoppe enfin l’action de mes doigts et les retire, pour caresser doucement l’intérieur de tes cuisses. Pendant ce temps, ma langue se pose sur l’interstice entre ton vagin et ton anus, le stimulant doucement, te préparant pour la suite.Et enfin, cette langue descend. Tu te contractes un instant, un peu surprise et inquiète, mais rapidement la chaleur t’envahit. Quelle incroyable sensation ! Ma langue masse doucement ton anus, sa peau plissée, tendre, tellement sensible. Les vagues de plaisir l’emportent sur la gêne, et de loin, tant elles irradient dans tout ton corps. Tu te détends complètement, et je sens tes muscles se relâcher, acceptant l’action de ma langue, l’invitant, l’attirant.J’alterne les lents cercles, tendres, et les pénétrations, plus vives. Quand tes gémissements se font plus rapprochés, je pose un pouce sur ton clitoris et le branle énergiquement. Il ne te faut que quelques secondes pour qu’un orgasme incroyable te submerge, magnifié par la double stimulation. J’en savoure les spasmes, donnant un coup de langue de temps en temps, ou pressant du pouce un instant, provoquant une réplique électrique dans ton corps au comble du ravissement.
Je me relève enfin, et à genoux devant toi, saisis mon érection folle et la contrains à se présenter à l’entrée de tes fesses. Tu n’as pas à parler, ton anus se contracte follement, m’appelle, criant ton désir. Oh comme mon sexe glisse en toi sans effort ! Il te pénètre comme jamais ! Quelle jouissance pour nous deux : abandonner nos esprits cartésiens, nos tabous, se restreindre à nos corps, nos désirs animaux, nos cerveaux reptiliens ; se concentrer sur le plaisir, les signaux électriques se propageant depuis nos nerfs, nous inondant de sensations. Je te lime abondamment, profitant de ton relâchement complet.
Tu te donnes entièrement, sans douleur, sans retenue, juste un plaisir immense ; sodomisée et le savourant pleinement. Je touche ton clitoris et tu exploses complètement. Secouée de convulsions, tu compresses mon sexe de tes sphincters, m’arrachant sans peine un orgasme violent, et je me déverse en toi, tandis que tu mords le drap. Je m’effondre sur toi.Nous sommes pris de rires nerveux, dans un abandon total.
5. Je te soulève et pose tes fesses sur la table. J’écarte tes cuisses, incite tes pieds à se refermer sur moi. Puis je saisis mon sexe dur comme de la pierre et l’enfonce brutalement en toi, dans un râle animal de victoire. Tu agrippes mon cou de tes mains, me presses contre toi, tandis que je te lime ardemment. Tu es trempée d’excitation. Heureusement, parce que sans préparation, tu es particulièrement serrée. La sensation est sublime. J’accentue mes coups de butoir, cherchant à m’enfoncer le plus loin possible en toi, te soulevant à chaque pénétration. Le choc de tes fesses contre le bois brut, à chaque retombée, t’arrache une grimace de douleur, dont tu n’as cure tellement ton désir que je te baise est fort. Qu’il est bon de se laisser aller à ce besoin animal, primal, bestial.Puis je dénoue tes griffes plantées dans mon cou, et te fais passer en position horizontale, les fesses toujours au bord de la table. Je saisis tes chevilles dans mon dos, et les écarte au maximum. La vision qui s’offre à moi, tes jambes écartelées, est splendide : ton ventre musclé se soulève en cadence, ton sexe luisant m’appelle, enserrant le mien rentré jusqu’à la garde. Je retire ma verge au maximum, ne laissant que le gland dans ton vagin, puis très lentement, je l’enfonce jusqu’à en sentir le fond. Je réitère l’opération, savourant chaque seconde, chaque contraction que tu me fais subir, augmentant encore mon plaisir.Enfin, j’accélère la cadence, rentre plus fort, plus vite, plus loin, encouragé par tes cris, rythmés par le bruit de mes hanches entrant en contact avec tes cuisses.
Si tu veux que je jouisse en toi, va au 10, que tu me finisses, va au 2.
6. Je me dégage enfin, et t’allonge sur le dos. Je replie une de tes jambes, m’installe à califourchon sur l’autre, tendue. Cette position en ciseaux m’offre une vue terrible sur tout ton corps, en particulier ton intimité, tout en m’y donnant un accès illimité et une profondeur de pénétration exquise. Je ne me fais pas prier. J’enfonce mon sexe entre tes cuisses, inexorablement, jusqu’à la garde, t’arrachant un râle de plaisir. Je fais une pause pour te sentir précisément, graver ces ressentis dans ma mémoire : la chaleur, la légère palpitation, les lèvres qui sucent la base de ma verge.Je me retire intégralement, joueur, te fais patienter un instant qui te paraît une éternité, tant ton sexe vibrant d’impatience se contracte, et je réitère mon entrée. Rhhhaa ces sensations : tout mon sexe caressé, frotté, brûlé, inondé, enserré, englouti par le tien ! Tu te sens remplie, stimulée, complète. Nous ne faisons qu’un. La position ne demande aucun effort, aussi nous maintenons longtemps ce va-et-vient. Je profite au maximum, me laissant guider par tes gémissements, observant tes abdominaux contractés, tes tétons pointés vers le ciel, ta gorge rougie par le plaisir.Enfin notre bonheur irradie tellement depuis nos sexes jusque dans l’intégralité de nos corps qu’il devient impossible de ne pas accélérer le mouvement, le rendre plus sec, intense, violent.L’orgasme ne nous surprend pas, non, nous l’attendions, il est comme évident, programmé, parfait, inarrêtable.
7. T’entendre chanter, les yeux mi-clos, les doigts grattant ta guitare, depuis un bon moment, me dresse les poils sur les bras. Je t’observe du coin de l’œil, attendri, le cœur au bord des larmes. Je sens monter mon désir. Alors, quand tu reposes ton instrument et te lèves du canapé, je te rejoins, rive mon regard au tien, et approche une main de ton visage. Tu y reposes ta joue, doucement, puis tournes la tête pour déposer des baisers sur ma paume.
Je te prends dans mes bras et t’embrasse langoureusement. Tu t’élèves sur la pointe des pieds pour mieux épouser mon corps, tandis que mes mains caressent le bas de ton dos. Tu frottes ton ventre au mien, anticipant mon désir. Nos langues se mêlent, fusionnent délicieusement.Tu interromps le baiser pour te lover contre mon torse, savourant ce moment tendre et silencieux. Je te laisse profiter un peu de la chaleur de mon corps, puis te prends par la main et t’escorte à pas lents jusqu’à la chambre à coucher, y allume quelques lumières tamisées et déclenche notre playlist favorite.Si tu veux me laisser faire, va au 11, si tu veux participer aux préliminaires, au 1.
8. Ma langue se fixe aux alentours de ton clitoris, pendant que de ma main je te branle doucement. Les cercles que j’effectue autour de ton bouton de plaisir, agrémentés de pressions plus fortes, ou de lapements plus rapides, associés aux pénétrations, pressions, caresses, écartèlements, que mes doigts font subir à ton vagin, te mettent au supplice, délicieux supplice, ravage de sensations. Tu hésites à me guider, à m’encourager. C’est si évident pour toi, ce que tu veux, où, comment, avec quelle force, quelle fréquence. Finalement tu renonces, préférant te rendre à mon bon vouloir.Je te sens monter, mais je ne te laisse pas jouir, je veux t’accompagner. Je me redresse, te maintiens dans ta position, et enfonce mon sexe entre tes cuisses, jusqu’à la garde. Je te lime, encore et encore. Mes bourses claquent contre tes fesses, mon gland frappe le fond de ton vagin, à la faveur de cette position propice à une pénétration profonde.J’en profite de longues minutes, avant de me résoudre à l’abandonner pour soulager tes muscles, et je m’allonge sur toi, te recouvrant de mon corps brûlant. Tu m’accueilles avec bonheur, m’enserres de tes pieds, et nos langues se lient tandis que nous reprenons nos mouvements de hanches, en fusion, grimpant un à un les échelons de l’orgasme.
Quand nous nous immobilisons, épuisés, heureux, nous nous endormons presque instantanément. Nous avons joui, tout doucement, régulièrement, sans à-coups, dans la continuité de l’acte, sans presque nous en rendre compte tellement la montée du plaisir a été progressive.
9. Je te pousse sans ménagement contre la table du salon. Je mords ton cou, puis soulève ton haut jusqu’au-dessus de ta poitrine, attrape ton soutien-gorge et le baisse pour libérer un sein, qui en jaillit magnifiquement, provocateur à souhait. Je le prends dans ma bouche, le dévore de ma langue, de mes lèvres, en mordille le téton, t’arrachant un cri de surprise et d’excitation. Tu entoures mon visage de tes bras, m’encourageant, me lovant contre toi, tandis que d’une jambe que tu enroules autour de moi, tu m’attires à toi.De mes mains libres, je passe sous ta jupe, remonte jusqu’à ta culotte, que j’arrache d’un coup sec. Je saisis fermement tes fesses et frotte mon pubis contre le tien. Nous ne pouvons pas être plus près l’un de l’autre, plus collés, exprimer plus frénétiquement notre désir. J’ai une envie folle de te pénétrer, de m’enfouir en toi, de sentir ton sexe me brûler. Je baisse maladroitement mon pantalon, qui tombe sur mes chevilles.Si tu veux que je te prenne par devant, va au 5, par derrière, au 13.
10. Une puissante décharge d’électricité me parcourt le sexe, irradiant dans tout mon corps. Tu me sens me tendre comme un arc, me serres fort de ton périnée. Encore quelques entrées sauvages et je vais exploser. Ton orgasme monte brutalement, en spasmes ininterrompus, délicieuse perte de contrôle de ton corps. Je me déverse en toi en saccades avant de m’effondrer, trempé de sueur, sur ton corps endolori.
11. Je t’allonge sur le lit, et couvre ton corps de caresses et de baisers, le détaillant, cherchant les zones érogènes, classiques ou qui te sont propres : ton cou, ta taille, l’intérieur de tes cuisses, la plante des pieds. Tes frissons, tes soupirs ou tes lèvres fugitivement entrouvertes, me guident. Aussi quand je m’installe confortablement entre tes cuisses, ton sexe est déjà manifestement inondé et m’accueille, brillant, impatient. Ma langue se pose sur ton clitoris et tu bondis, tes hanches se soulevant à ce contact délicieux, à cette décharge instantanée, puissante, violente.
Je te plaque au lit de mes mains, et descends jusqu’à l’entrée de ton vagin, détaillant tes lèvres avec passion, les faisant rouler entre les miennes, les lissant, les massant : merveilleuses lèvres, pleines, excitantes, sensibles. Ma langue fait de lents va-et-vient dans le sillon entre ta grotte et ton clitoris, titillant l’un et l’autre à chaque passage, laissant planer le doute quant à une pénétration linguale ici, ou une excitation frénétique là. Tes doigts plantés dans le matelas, tu fermes les yeux, te laissant envahir par les sensations.Mes mains frôlent tes cuisses, te déclenchant quelques frissons, puis se rapprochent de ton sexe, et je te pénètre de mes doigts : d’un, de deux, puis de trois. Tu te cambres, appréciant l’assaut, venant à ma rencontre. De mon autre main, je replie une jambe, approchant le genou de ton torse, et te demande de le tenir. Tu fais de même avec l’autre jambe, et te retrouves complètement offerte, toute ton intimité pointée vers moi.Si tu veux que j’en profite intégralement, va au 4, sinon au 8.
12. Je te retourne contre le mur, soulève ta jupe et admire tes fesses dessinées, et ce sillon merveilleux si plein de promesses. "Oui, vas-y, encule-moi !", m’ordonnes-tu. A-t-on déjà entendu pareille invitation ? Tu écartes légèrement les pieds pour me faciliter la tâche, te cambres pour m’offrir ton cul, pendant que je lubrifie mon sexe dur comme de la pierre et ton anus de ma salive et du fluide qui inonde ton vagin.Fou d’excitation, mais prudent pour ne pas te blesser, je me présente à l’entrée. Bien qu’en ayant follement envie, ton corps n’est pas complètement prêt. Je sens ton anus très serré résister quand le gland passe, puis se refermer, l’aspirer, l’emprisonner. Je lâche un murmure de plaisir à cette sensation, tandis que tu te mords la lèvre inférieure pour ne pas crier.Patiemment, j’entame de tous petits va-et-vient, pour que tu t’habitues à ma présence. Je te sens te relâcher, tes sphincters se décontracter lentement, tandis que tu expires longuement. Ce que nous ressentons lorsque tes fesses m’accueillent entièrement, que mon sexe glisse parfaitement, que tu m’engloutis, ne peut pas être décrit parfaitement. Mais l’excitation simultanée de tous les nerfs de ton anus, écartelé par mon chibre qui n’a jamais été plus gonflé, combinée à ton désir, te mène instantanément proche de l’orgasme, tandis qu’un gémissement m’échappe sous la sensation fabuleuse de mon sexe enserré, happé, sucé par tes fesses.
Le plaisir qui nous submerge alors, sous nos coups de reins combinés, rend absolument parfaite cette sodomie. Le plaisir est-il plus fort lors de cette pratique, ou est-ce simplement le goût de l’interdit, associé au don de ton corps que la femme fait ? Aucune importance, nous éclatons en une jouissance animale mémorable, puissante, interminable, fusion des plaisirs du corps et de l’esprit.
13. Je te fais grimper sur la table et t’installe en position accroupie, dos à moi, les pieds au bord de la table, les fesses sur les talons, les genoux écartés. Tu sens mon sexe dressé frôler ton entrecuisse, monter jusqu’à ton clitoris, le gland s’insinuer entre les lèvres et redescendre lentement jusqu’à l’entrée du vagin. "Vas-y baise-moi !", m’hurles-tu. J’enfonce mon dard entre tes cuisses brûlantes et l’immobilise tout au fond. J’agrippe tes seins et te penche en arrière, afin que ton dos, tes épaules, s’appuient sur moi. Ta tête se pose sur mon cou, tes cheveux défaits tombant en cascade dans mon dos. Et je commence à aller et venir en toi. Qu’est-ce que c’est bon, de frapper ainsi tes fesses de mes hanches, de sentir mon sexe frotter contre le tien, s’échauffer à ton contact, lubrifié de toi, alors que ton souffle exhalé à la même fréquence que mes coups de boutoir en dit long sur notre plaisir synchronisé.Immobilisée ainsi, totalement offerte, ta sensation d’être baisée est parfaite. Tout ton être vibre avec moi, les décharges successives irradient de plus en plus fort, t’emportent vers un orgasme inéluctable.Si tu veux que je jouisse en toi, va au 10, que tu me finisses, va au 2.
14. Je repousse ton dos contre le mur, saisis une de tes cuisses et t’enroule autour de moi, puis présente mon érection fabuleuse à l’entrée de ton sexe. Je rive mes yeux aux tiens, et te pénètre. Tu rejettes la tête en arrière sous l’assaut. Je plonge dans ton cou pour y planter mes dents, goûte ta peau salée, tendre. Je m’imagine vampire, me nourrissant de ton sang. Et je m’enfonce en toi, fort, profondément. Te posséder, encore et encore. Tu me veux en toi, plus loin que jamais, et que je te remplisse, pour toujours.
De ta seule jambe d’appui, tu montes rapidement sur la pointe, soulevée par mes assauts successifs, jusqu’à ce qu’elle lévite finalement, et rejoigne sa sœur dans mon dos. Je ploie sous l’effort, bestialement excité comme jamais. Nous ne faisons qu’un, nos deux corps et le mur, toi en ventouse parfaite, trempée, fusionnelle, m’emprisonnant de tes bras. Galvanisé par l’urgence de jouir, de te satisfaire, de nous satisfaire dans cette position, je te baise furieusement. Cette urgence, tu la ressens aussi, et ton vagin se met à se contracter follement, au rythme de la montée de ton orgasme. Tous mes muscles proches de la crampe, je m’arc-boute et te pénètre plus fort encore, jusqu’à me libérer, exploser en toi d’une violence inouïe, les jambes tremblantes sur le point de céder, les tympans vrillés par ton cri lâché sous la jouissance.Je ne tarde pas à m’effondrer sur le sol, épuisé par l’extase.
15. Sans un mot, tu t’écartes de moi, t’assures de ma docilité de quelques caresses, me fais comprendre que tu veux me chevaucher. Sur le dos en travers du lit, je te laisse faire avec délice. Tu t’installes à califourchon sur mon torse, et te frottes lentement, comme si tu voulais lustrer ma peau. Ton clitoris roule sur mes pectoraux, tes lèvres s’y écrasent, s’y enroulent, s’y massent. Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, tu es toute à tes sensations. Quel délice de te masturber ainsi, en douceur, de m’associer à ce plaisir en général solitaire ! Mes mains courent sur tes hanches, tes fesses, ton dos, tes seins, sans rencontrer d’opposition. Je me délecte de la douceur de ta peau, de tes formes généreuses, de ton corps harmonieux.Enfin, tu te places à la verticale de mon sexe, le saisit à sa base, le redresse, et d’une douceur infinie, l’enfonces en toi. Il me faut réfréner mon envie de rouler sur toi et de te prendre sauvagement, tellement tu m’as chauffé à blanc. Et je fais bien, car tu me mènes au septième ciel à ta façon. Tout en me laissant au fond de toi, tu nous procures de merveilleuses sensations, rien qu’en ondulant des hanches, d’avant en arrière, de gauche à droite, tes ongles plantés dans ma poitrine, tes cheveux tombant en cascade sur tes épaules, ton dos, tes seins. Mon sexe palpite follement, tout mon sang semble y battre, tandis que tu l’enserres, le cajoles, le réchauffes, tout en stimulant intensément ton clitoris, tes lèvres et ton vagin.Enfin, tu t’accroupis, poses tes mains sur mes cuisses, penches ton buste en arrière et te soulèves. Tu te figes un instant. Quelle vue : mon sexe tendu à l’extrême par la position, tout juste maintenu en toi par le gland, tes jambes écartées me donnant une visibilité parfaite sur ton sexe brillant, tes seins, ton ventre musclé, ton visage concentré.
Et tu te limes, profondément, frénétiquement, cherchant, trouvant, mettant le feu à ton point G, si longtemps que l’épuisement te guette. De magnifiques gouttes de sueur coulent sur ton front, ta poitrine, tes cuisses. Je pose mes mains sous tes fesses pour te soutenir, t’accompagne, et tous les deux, d’un mouvement parfaitement synchronisé, nous nous menons à l’orgasme, le laissant éclater avec délice, l’entretenant de quelques derniers à-coups délicieux.Tu reposes ton buste sur le mien et continues longtemps à onduler lentement des hanches, profitant au maximum de ma présence brûlante en toi.
16. Je te retourne contre le mur, empoigne mon sexe et pars à la recherche du tien. Tu me guides, pressée d’être remplie de moi. Enfin, ce contact magique, la chaleur qui nous envahit et nous ne faisons plus qu’un, violemment, instantanément. Dans un claquement de mon pubis contre tes fesses, je te presse contre le mur. Ton visage de profil, une joue écrasée contre la paroi, tes seins sont compressés, ton dos trempé collé à ton haut, et par transitivité, au mien et à mon buste. Un seul corps. J’agrippe tes hanches pour accentuer la profondeur de ma pénétration et te baise copieusement. Chaque entrée replie mon prépuce, et ton sexe, se resserrant sur ma verge, déclenche une lame de plaisir qui se propage dans tout mon corps.Tu me sens tout au fond de toi, te remplir, stimuler tout ton vagin, tandis que régulièrement, mon corps vient brûler tes fesses avant de se retirer. Tu libères une main pour te caresser, ajoutant à ton désir et à ma pénétration brutale la perfection du plaisir clitoridien, que tu sens monter, monter, à mesure que tes yeux se ferment, ta conscience de mes va-et-vient s’effrite, noyée sous le plaisir qui irradie depuis ce bout de chair étonnant.Quelle magie que ces deux corps, ces deux êtres, deux esprits, fusionnant dans un combat à sens unique, brutal, intense, inexorable, vers une seule destination, le plaisir animal. Enfin je m’immobilise, paralysé un instant par mon orgasme, et je t’inonde de ma semence, te limant encore et encore, ravi de tes spasmes extatiques.
17. L’idée te trotte dans la tête depuis le début de l’après-midi. Jusqu’à présent, tu t’es retenue, mais à grand-peine, de t’approcher, te coller à moi, plaquer ta main contre mon bas-ventre moulé dans ce nouveau jean si doux. Tu sens le désir monter en toi, ta culotte palpiter à mesure que tes yeux me détaillent, que ton esprit se plaît à imaginer un coït des plus sauvages, là, dans le salon.
Si tu me crois insensible à ton petit ménage, tu te trompes lourdement. J’ai bien saisi tes œillades, tes hésitations, ton pull qui dénude largement une épaule, donne accès à la bretelle de ton soutien-gorge en dentelle, et par transitivité, à ta gorge, tes seins… Je ne rêve plus que de te prendre, sans tarder…Aussi quand tu me frôles innocemment, à moins que ne soit parfaitement volontaire, je perds tout sens commun, attrape ton poignet, te plaque à moi et t’embrasse avec fougue.Si tu veux de l’action contre le mur, va au 3 ; si tu préfères la table, va au 9.
Diffuse en direct !
Regarder son live