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Scènes de gynarchie familiale

Chapitre 1

Erotique
La petite cinquantaine, je suis assez bien conservée.Mon mari m’a quittée pour une jeunette et m’a laissée avec nos deux enfants, Aurore, vingt-huit ans et Xavier, vingt-deux.Nous tenons un salon de coiffure dont s’occupent les enfants, et, pour ma part, je me charge de la comptabilité et de toute la partie administrative de notre petite entreprise que je dirige d’une main ferme.Aurélie est assez délurée, et a connu un certain nombre de petits fiancés. Je suis sa confidente et nous sommes assez complices. Je lui fais bénéficier de mon expérience, la conseillant quand elle part en soirée, dans le choix de ses tenues, son maquillage... et même sur des choses plus intimes.

Elle est très accroc au dernier de ces messieurs, Alfonso, avec qui elle a emménagé dernièrement.Xavier, lui, est beaucoup plus secret et n’a jamais amené de petite amie à la maison.La vie s’écoule paisiblement, bien que, parfois la présence d’un homme à mes côtés se fait sentir, que j’essaye de combler avec ma collection de joujoux qui remplissent mon tiroir préféré.Ce jour-là, j’étais allongée nue sur un transat, et je prenais le soleil en caressant ma poitrine, faisant durcir mes tétons, glissant parfois une main entre mes cuisses.Les yeux fermés, j’imaginais que les lèvres pulpeuses, la langue habile ou les doigts agiles d’un amant précautionneux allaient m’envoyer au septième ciel, quand, soudain, la porte du jardin s’est ouverte.
— Coucou, c’est nous, on vient se baigner !
Aurore, comme à son habitude, venait d’arriver sans prévenir.J’ai eu juste le temps de me couvrir avec la serviette qui traînait à mes côtés.
— Vous auriez pu sonner quand même, j’étais toute nue.— Oh, ce n’est pas la première fois que je te vois toute nue, fit-elle.— Toi, oui, mais... fis je désignant Alfonso du menton.— Oh pardon j’avais oublié, fit-elle en riant. Ferme les yeux, dit-elle en se tournant vers lui. Tu vois bien que maman est toute nue !
J’en ai profité pour rentrer dans la maison et me suis dirigée vers ma chambre à la recherche de vêtements.Un grand T-shirt et la première culotte que j’ai trouvée dans mon tiroir à lingerie, un joli tanga rouge.
Aurore est arrivée quelques instants après.
— Il a trouvé que tu avais de jolis seins et une chute de reins magnifique, fit-elle.— Il t’a dit ça ? Il est drôlement culotté quand même ! J’ai l’impression qu’il a besoin d’une sérieuse prise en main pour lui apprendre à traiter les femmes avec un peu plus de respect, pas comme des proies, tu ne crois pas ?— Si, mais il y a du boulot, c’est un mec, et un Méditerranéen en plus !— Raison de plus pour commencer rapidement.— Si tu le dis... On va se baigner, tu viens nous rejoindre ?
J’ai fini de me vêtir et l’ai suivie quelques instants après.Fidèle à son habitude, Aurore était nue, ses fringues posées en vrac sur mon transat. Le jean et le polo d’Alfonso complétaient le petit tas.Je me suis assise, les regardant barboter, s’enlacer, s’embrasser sans pudeur devant moi.Il l’a plaquée contre lui, ses mains ont glissé sur son ventre, remontant empaumer sa poitrine, s’est penché vers elle pour lui murmurer quelque chose à l’oreille.
— Oh, t’as pas honte, fit-elle en riant.
Je les ai regardés barboter un long moment avant de demander :
— J’ai soif, vous voulez quelque chose ?— Volontier, mais un truc frais.
Je me suis dirigée vers la cuisine, cherchant verres et boisson fraiche.Aurore est arrivée.
— Décidément, tu lui donnes des idées. Tu le mets dans tous ses états. Il m’a demandé si tes seins étaient aussi fermes que les miens, alors, avec ça, fit-elle en montrant mes mamelons qui pointaient sous le tissu, et en plus ta petite culotte lui fait l’effet d’un chiffon rouge agité devant un taureau.— Qu’à cela ne tienne, dis-je en me baissant pour saisir ma culotte et la faire glisser sur mes jambes.— Qu’est-ce que tu fais ?— Tu vois, je l’enlève, comme ça il ne la verra plus.— Il ne manquerait plus qu’il s’en aperçoive !— Avec son maillot, il sera facile de s’en rendre compte.
Suivie par Aurore, j’ai rejoint la piscine, emportant verres et boisson, laissant ma culotte rouge négligemment posée sur la table.Il était accoudé à la margelle, attendant que ces dames lui apportent son rafraichissement.Je me suis accroupie devant lui, déposant son verre avec précaution.Bien que je tenais les jambes serrées, il ne pouvait ignorer que ma culotte avait disparu et quand il a levé la tête, il n’a vu dans mes yeux, qu’un regard innocent.Je suis retournée vers le transat, Aurore s’est assise à mes pieds.
Nous avons siroté nos boissons en silence, échangeant avec Aurore des sourires de complicité.A chaque fois que je levais la tête vers lui, il baissait le nez, feignant d’être absorbé par son verre.Enfin, je lui ai tendu mon verre vide.
— J’en reprendrais bien un autre. A vous de nous servir.
Il m’a regardé, l’air étonné.
— La bouteille est dans le frigo, insistais je.
Il a hésité une seconde avant de se hisser sur la margelle, puis saisissant la serviette posée sur mes jambes, s’est essuyé sommairement avant de la nouer à sa taille.Il a saisi nos verres et s’est dirigé vers la cuisine.
— Et bien dit donc, tu sais te faire obéir ! Il ne l’aurait pas fait si c’était moi qui le lui avais demandé.— J’ai eu le temps de m’exercer avec ton père. Il va devoir changer rapidement s’il désire continuer à être reçu chez moi. Tu as beau être nue et moi couverte juste un peu plus, nous ne sommes pas que de la viande fraiche destinée a nourrir sa libido.— Pfftt, c’est un macho dans l’âme, ça ne va pas être facile, fit-elle en rigolant.— Oh si, il y a des méthodes efficaces, je te montrerais.
Il est revenu, m’a tendu mon verre. J’ai levé le bras... mon T-shirt est remonté jusqu’à la naissance de mes cuisses. Il s’est assis à côté d’Aurore au bout du transat, me tournant presque le dos. Il avait vu mes fesses nues, ma culotte sur la table... de quoi alimenter sa libido, comme disait Aurore. Maintenant, il lui suffisait de tourner la tête vers moi...... Allait-il le faire ? Allait-il oser ??Il s’est levé et a plongé dans l’eau.
Nous avons fini tranquillement nos verres.
— L’eau fraiche va lui faire du bien, dis-je en souriant. Viens, je vais te montrer.
On est rentrée dans la maison, je me suis installée devant l’ ordinateur, cherchant un célèbre site de vente en ligne, tapant le mot clé : cage de chasteté.
— Tu vois, avec ça il va se calmer.— C’est quoi ?— Ce sont des cages de chasteté. On enferme la petite bite de Monsieur dedans, on ferme à clé, et hop, il devient sage comme une image.
Elle regardait sans rien dire les pages que je faisais défiler à l’écran.
— Tiens, celle-là, c’était celle de ton père.— Parce que papa en portait une, demanda-t-elle d’un air étonné.— Oui, et je peux t’assurer que ça lui a fait du bien. Fini de faire le joli cœur auprès de tout ce qui portait jupon. Dès qu’il l’a portée, il s’est montré gentil, prévenant, participant aux travaux ménagers comme tu as pu le voir.
Et ça ne l’a pas empêché de me faire deux enfants, ajoutais-je en riant.
— Mais... mon chéri n’acceptera jamais.— Oh si ! Il suffit de savoir s’y prendre. Je t’expliquerai.
Elle m’écoutait en silence, soufflée par les révélations que je venais de lui faire.
— On prend celle-là ?
Elle s’est penchée vers l’écran.
— Elle m’a l’air un peu petite, balbutia-t-elle.— Oh que non ! J’ai fait la même erreur au début, mais il faut la mettre sur leur zizi au repos. Et ils ne sont pas aussi gros qu’ils veulent bien le croire. Tu vas voir, il va bien la remplir, mais plus question de grossir, il va devoir rester bien sage. Et avec ça, adieu le macho conquérant, bonjour le gentil compagnon. On prend la rose ou la noire ?— Eh bien, heuuuuu.....— Rose, c’est plus féminin, ça accentue leur trouble.
En quelques clics, la commande était passée.Il ne restait plus qu’à attendre.
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