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Scènes de ménages (incestueuses)

Chapitre 1

Inceste
Le début de cette nouvelle histoire fait référence aux aventures narrées dans "étrange conversation entre une mère et sa fille", chapitre sept.Le début du texte est un "copier-collé" de cette courte conversation entre les deux Lilianne.Elles ont le même prénom, cette nouvelle Lilianne sera nommée Lilly, selon son diminutif dans la série "scènes de ménage".
— Ne t’ inquiète pas ma Lilianne, tout va s’arranger... Tu devrais venir nous voir ce week-end, José nous fera une bonne grillade.
— Je sais pas trop Lilly, ton José n’ aimerait pas l’ humeur qui m’accompagne en ce moment.
— Ho! On s’ en fiche de mon José, il regardera ses émissions de football! Répond son amie d’un ton léger et haut perché... Tu ne veux toujours pas me dire ce qu’il s’est passé avec tes filles?
— Pas pour le moment... mais merci d’être toujours là pour moi.
— Je t’aime ma Lilianne.
— Moi aussi Lilly... je ne pense pas venir ce week-end mais ça m’a fait du bien de parler avec toi.
Lilly raccroche, un pincement au coeur, en pensant à sa meilleure amie.Elles se sont connues dans l’ enfance, leur complicité s’ est poursuivie sans failles jusqu’à ce que Lilianne déménage ailleurs avec son mari.Leur liberté de penser a soudée une connexion inaliénable entre elles.
— Il est seize heure... Puis-je me servir un apéritif à cette heure? pense-t-elle en hésitant entre ses antidépresseurs et la bouteille de vin blanc rituelle dédiée au retour de José..... Un peu des deux!
Lilly sait que la combinaison des cachets avec l’ alcool ne fait pas "bon ménage", mais depuis que son fils est parti, c’ est l’ unique alchimie qui lui permet de garder ce sourire de petite fée qui l’ accompagne depuis sa plus tendre enfance. Bien sûr elle aime son José, un personnage simple et attendrissant par ses réactions dignes d’ un adolescent ivre d’ amour pour elle.Mais le coeur de Lilly est un jardin de fantasmes inavoués, empli d’ histoires qu’ elle essaie discrètement de mettre en scène lors de scénarios nocturnes avec son mari. José, son José, est un phénomène d’ innocence. Gaffeur à l’ impossible, possédé par un implacable esprit "premier degré", il ne cesse d’ interrompre les jeux de Lilly par des questions reposant sur une logique incompatible avec elle.Manu, son fils, est parti depuis si longtemps en chine... Elle se sent, depuis, comme un corps auquel on aurait arraché le coeur.L’ alcool et les antidépresseurs sont les expédients qui la maintienne en vie.Manu est le grand amour de sa vie. Elle s’ en veut d’ éprouver tant de choses pour lui, au détriment de ses désirs pour José.Oui, elle les a acceptée, ses pensées frôlant l’ inceste, ses émotions indomptables envers son fils. Incontestable évidence.Mais jamais elle ne s’ est autorisée à se masturber sur les nombreuses propositions de son inconscient concernant son fils.Même, parfois, lorsqu’elle fait l’ amour avec José et qu’ elle visualise son Manu, la Lilly guerrière intervient pour se centrer sur les efforts sincères de son mari.Ses pensées sont interrompues par José, tout guilleret, qui arrive dans la cuisine en claironnant.
— J’ ai faim! Qu’ est ce qu’ on mange ce soir ma Lilly?
Il embrasse sa femme comme un enfant quémandant son goûter.Lilianne s’ empresse d’ avaler son antidépresseur avec une longue gorgée de vin blanc.
— Un boeuf bourguignon mon amour...
— Super! Je prépare un apéro saucisson sur la terrasse?
— Mais oui mon José, prépare, prépare... Répond Lilly en se dandinant, avec sa démarche de dessin animé, vers l’ éponge de la cuisine en prévention des bévues de son mari.
La soirée passe, habituelle. Apéritif tournant principalement autour de la journée de José, ses jeux enfantins avec ses collègues trahissant l’ absence de motivations au sein de la mairie.Dîner durant lequel elle acquiesce, sourde, aux gesticulations habituelles d’ un josé autocentré.Film insipide qu’ elle essaie désespérément d’ apprécier pour participer à l’ enthousiasme de son mari, décrivant sans relâche, l’ action improbable des héros.Après ses ablutions du soir, José part rapidement se coucher pour bouquiner.Lilly finit de se laver les dents, observe son corps plantureux dans le miroir, avec un léger sourire.Elle se trouve jolie, "fraîche". Elle sent le désir s’ épanouir dans son bas-ventre. Ses deux mains, par-dessus la fine chemise de nuit fushia, caressent les deux généreux seins que lui a accordée mère nature.
— Manu. Pense-t-elle en fermant les yeux... Non! Arrête tes bêtises ma petite Lilly!
Elle s’ éloigne du miroir tout en continuant de se regarder, relève sensuellement sa chemise de nuit sur le ventre. Le "ticket de métro" pubien ressemble à une flèche indiquant le chemin des délicates lèvres vaginales. Une nouvelle vague d’ excitation la submerge.Elle s’ assoit sur les WC, passe une main entre ses cuisses, glisse doucement un doigt entre les lèvres intimes gorgées de désirs.
— Mmmm, je suis complètement trempée ce soir. Pense-t-elle en portant son doigt à la bouche pour perversement savourer son propre nectar.
Son autre main est occupée à jouer avec le clitoris. Elle pourrait jouir dans les secondes à venir...
— Non, hors de question!.. Tu vas prendre ce soir mon José! Murmure-t-elle en commençant à uriner.
— Tu m’ as parlé Lilly? Crie joyeusement José.
— Non mon amour. Répond-elle en roucoulant.
Elle essuie délicatement son sexe tout en titillant l’ anus légèrement ouvert dans cette position.Elle sourit en pensant à ses amis, ses clientes (Lilly est esthéticienne à domicile). Aucun d’ eux ne pourrait imaginer à quel point elle adore se sentir "cochonne" dans l’ intimité de la chambre à coucher... où, en l’ occurrence, sur ses toilettes.Lilly aime la fantaisie, les jeux, surtout au niveau sexuel.
José tressaille lorsqu’elle entre dans la chambre. Il est tellement dans l’ empathie, avec sa Lilly,qu’ il peut ressentir quand elle est particulièrement excitée... comme ce soir!Cela lui fait presque peur. Peur de ne pas être à la hauteur des formidables, et étranges, appétits de son grand amour.Peur de ne pas comprendre, comme souvent, les jeux de rôle qu’ elle lui propose.Peur de voir s’ éloigner la flamme du désir dans les yeux de celle pour qui son coeur continue de battre.Il sourit maladroitement tandis que Lilly se positionne à califourchon sur lui.Elle saisit et balance le magasine qu’ il tenait fébrilement entre les mains.
— Fais-moi l’ amour mon José! prends-moi! Feule-t-elle en prenant une expression de diablesse.
José sourit à l’ intérieur de lui. Même quand son aimée essaie de faire la succube prédatrice, la vibration d’ une héroïne tout droit sortie d’ un film de Disney reste dominante.Sentir la chatte trempée de Lilly maculer son ventre lui donne une rapide érection.Elle enlève sa chemise de nuit et expose fièrement ses seins à la vue toujours émerveillée, malgré toutes ces années, de son mari.José pose ses mains sur les hanches généreuses et guide sa princesse pour l’ empaler sur son phallusimpatient.Deux seules choses lui ont données un avant-goût du paradis: la France gagnant la coupe du monde de football en 1998, et être en Lilly. Sentir la douceur incomparable de son sexe épouser parfaitement sa verge ivre d’ amour.Comme souvent, elle donne le rythme de leurs ébats, accentuant dangereusement tandis que José se mord les lèvres, et pense aux buts ratés de son équipe préférée, pour ne pas éjaculer trop vite.
— Mets-moi un doigt dans le fut mon José! (Lilly, dans leurs jeux amoureux, a toujours remplacée le mot cul par ce nom).
Il s’ exécute avec empressement. Sentir la rondelle intime de sa douce "avaler" son doigt avec gourmandise le rend fou de désir.Lilly caresse, entre rage et délicatesse, son clitoris tout en s’ activant sur le sexe de son mari.José la regarde avec un amour infini.Comme il l’ avait pressenti, Elle est particulièrement excitée ce soir.La voilà en train de pousser de petits sons d’ oiseaux, sifflotant presque.
— Doucement ma Lilly, doucement... Marmonne-t-il en fermant les yeux... Arrête, je vais... je vais...
Sentant José sur le point de venir, la jouissance s’ empare d’ elle, grondante.Elle abandonne son clitoris pour coller les épaules de José sur le lit et l’ embrasser passionnément.Il éjacule en elle, avec un bonheur extatique, en sentant la douce langue de Lilly pénétrer sa bouche.Elle s’ est complètement couchée sur lui, continuant de remuer doucement son intimité sur la queue encore à demi-bandée de José.Les seins de sa belle écrasés contre son torse en sueur fait follement accélérer son coeur.Il l’ enlace tendrement... et s’ endort presque immédiatement.
— Mon José. Murmure Lilly en libérant avec délicatesse le sexe fatigué, imprégné de leurs sucs ambrés sous la lumière tamisée.
Toujours au-dessus de José, elle observe, les yeux rêveurs, le sperme s’ écouler hors d’ elle sur les cuisses poilues.
Lilly passe par la salle de bain pour remettre sa culotte avant de descendre à la cuisine se servir un verre d’ eau.Malgré sa jouissance, elle ne se sent pas tout à fait apaisée.Le son d’ un nouveau message sur Skype la fait sursauter. Elle se dirige en trottinant versl’ ordinateur portable.C’ est un message de son Manu: "Coucou les parents, vous êtes disponibles?"Elle trépigne de joie avant de s’ asseoir devant l’ ordinateur pour ouvrir la session de discussion avec webcam.Le visage souriant de son fils apparaît.
— Bonjour maman, je ne vous dérange pas?
— Bien sûr que non mon chérie. Ton père fait dodo, mais je n’ avais pas sommeil... Tout va bien?
— Oui maman, j’ avais juste envie de vous parler, vous me manquez. Répond Manu avec un regard que Lilly devine triste malgré le sourire.
— Qu’ il est beau mon fils. Pense-t-elle, avec un soupçon de honte, en sentant sa chatte s’ ouvrir.
L’ idée de mouiller pour son manu alors que le sperme de José imprègne son slip la fait chavirer.Elle se sent délicieusement perverse.
— Mon chéri, ça me fait tant plaisir que tu appelles!
Ils discutent de choses habituelles.Comment va le travail?Comment va sa petite amie? (Que Lilly déteste au plus haut point).Mange-t-il correctement?Quand rentre-t-il?... Voilà ce qui tracasse le plus Lilly.Ce maudit travail, à l’ autre bout du monde, qui lui a volé son fils.Manu baisse le regard.
— Qu’ est ce qu’ il y a mon chéri?
— Rien Maman, mais je ne pense pas rentrer avant longtemps.
— Pourquoi Manu? Nous ne te manquons pas? Tu n’ as pas envie de revenir parmi nous? Demande Lilly d’ une voix chevrotante.
— Bien sûr que si! Mais ça ne serait pas raisonnable...
— Mais pourquoi dis-tu ça, ça n’ a pas de sens... Qu’ est ce qui ne serait pas raisonnable?
— Je n’ aurai pas dû dire ça... Je ne peux pas en parler...
— Ca suffit Manu! Tu veux me rendre folle? Tu ne peux pas me laisser sur cette question. Dis Lilly d’ une voix presque hystérique.
Manu garde les yeux baissés.Sa mère commence à pleurer.
— Je vais éteindre l’ ordinateur maman, je suis désolé.
— Tu n’ as pas intérêt à faire ça! Tu entends?.. Parle!
Manu relève soudainement la tête. Voir sa mère chérie en pleurs lui déchire le coeur.Il se mord les lèvres, ne sachant quoi faire.
— Parle! Réitère Lilly.
— Très bien... De toute façon il fallait bien que ça sorte un jour où l’ autre... Si je ne veux pas revenir, c’ est parce que...
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