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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 2

Divers
Chapitre deux.

« Boum boum boum »
  Les coups sur la porte réveillèrent Morgane. Elle avait les yeux vitreux et une douleur lancinant au crâne comme après une très grosse cuite. Elle se hissa difficilement sur ses coudes tandis que les coups sur la porte redoublaient d’intensité. Elle prit son portable et regarda l’heure. 18 h. Elle était comme dans un état second et mit un certain temps avant de remettre ses idées en place. La jeune femme finit par se lever et chancela jusqu’à la porte de sa chambre. La pièce tanguait dangereusement autour d’elle et elle dût se cramponner à son armoire pour ne pas tomber. Sa vue cessa d’être trouble et elle aperçut son reflet dans le miroir de son armoire. Elle n’arrivait pas à saisir l’image qui y était réfléchie. Lorsqu’elle comprit, elle hurla.
    ***
  Simon tambourinait depuis plusieurs minutes déjà sur la porte de la maison de Morgane sans qu’aucune réponse ne lui parvienne de l’autre côté. « Et si la pilule qu’il lui avait donnée la veille avait eu un effet imprévisible ? Et si elle était tombé dans le coma ou pire ... ». Simon, inquiet, continuait de frapper espérant de tout cœur qu’elle viennent lui ouvrir. Soudain, il entendit un cri strident. N’écoutant que son courage, il se jeta sur la porte l’épaule en avant. Il dût s’y reprendre à quatre fois avant que cette dernière ne cède et vienne se cogner contre le mur. Simon s’engouffra dans la maison et appela Morgane. Il entendit des pleurs à l’étage et grimpa prestement les escaliers. Quand il ouvrit la porte à la volée, il trouva la pauvre Morgane par terre, nue, en train de sangloter toutes les larmes de son corps.
  - Morgane, est-ce que ça va ? Dit-il en s’agenouillant auprès d’elle tout en entourant ses épaules dans un réflexe protecteur.
  Elle tourna son visage ravagé par la tristesse et prit conscience du jeune homme. Son regard prit soudainement une lueur menaçante.
  - Qu’est-ce que tu m’as fait ? Souffla-t-elle.
  La question le percuta et il eut tout à coup du mal à trouver son souffle. Les yeux de Morgane étaient emplis de colère et ne le lâchaient pas. Il chancela sous l’intensité de son regard et la seul pensée qu’il put filtrer du maelstrom de sentiments qui faisait rage dans sa tête fut qu’il la trouvait incroyablement belle. Ses cheveux noirs en désordre encadraient son visage en colère et lui donnait un air de déesse de la guerre tandis que ses yeux, toujours débordant de larmes, lançaient des éclairs de fureur contenue. Simon recula, effrayé.
  - Qu... quoi ? Bafouilla-t-il.
  Elle finit par baisser les yeux. Simon suivit son regard et ouvrit de grands yeux incrédules ...
  - Oh mon Dieu...
  Entre les jambes de la jeune femme se trouvait ... un pénis ! Simon n’en croyait pas ses yeux. Comment son expérience avait-elle pût tourner aussi mal ? Où avait-il fait une erreur ? En regardant ce sexe, il fut surpris par sa taille impressionnante. Il reposait le long de la jambe de Morgane et, sans être en érection, atteignait plus du quart de la cuisse de cette dernière. Le sexe semblait dormir, inconscient du drame qui se jouait autour de lui.
  Morgane cacha son visage dans ses mains et fondit à nouveau en larmes.
  - Qu’est-ce que je vais faire maintenant ? Plus aucun homme ne m’acceptera dans son lit. Je suis un monstre. Qu’est-ce que tu m’as fait Simon ?  - Je ne sais pas je le jure. Je ne comprends pas où l’expérience a pu rater. J’ai faits tout ce qu’il fallait faire, les ingrédients étaient les bons, tu as joui et je ... Oh non !  - Quoi ?  - J’ai éjaculé en toi. Mon sperme a dû altérer certains composants créant de ce fait une surcharge d’hormone masculine et donc l’apparition de ...
  Il eût du mal à terminer sa phrase tant la fin de celle-ci lui semblait bizarre.
  - Et ça veut dire quoi tout ce charabia ?  - Eh bien, ce serait un peu dur de tout t’expliquer mais en gros, les pilules que je t’ai données contenaient une quantité incommensurable d’hormones féminine ainsi que beaucoup d’autres éléments. En mélangeant mon sperme à la gélule, je crois qu’il y a eu une réaction chimique qui a inversé le processus ce qui a transformé toutes les hormones féminines en hormones masculines. Ces dernières ont alors agi sur ton organisme et, aussi stupéfiant que cela puisse paraître, fait naître en une nuit un sexe masculin au-dessus de ton vagin.  - Oui je l’avais remarqué ça, répondit-elle, sarcastique. Ce que je veux savoir c’est s’il est possible de l’enlever.  - Je regrette, je n’en ai pas la moindre idée, Morgane.
  Un grand désespoir s’abattit subitement sur la jeune femme. Voyant cela, Simon tenta de la réconforter :
  - Peut-être trouverais-je une solution si tu me laissais t’observer ... Je me pose beaucoup de questions et je crois que la transformation qui a été opéré sur toi n’a pas dévoilé tous ses secrets. Il y a trop de mystères encore irrésolus sur ton corps pour faire machine arrière. Morgane, ce que je vais te demander va très certainement te troublé mais, accepterais-tu de continuer l’expérience avec moi jusqu’au bout ?
  Morgane le regarda intensément. La supplique dans ses yeux la troubla et elle fût surprise de voir sa résistance faiblir. « De toute façon, se dit-elle, je n’ai plus rien à perdre. Et puis, s’il trouve un moyen de m’enlever ça en m’observant, autant le laisser faire. »
  - C’est d’accord, je veux bien. Mais si tu fais la moindre erreur et que ton expérience tourne encore plus au désastre, tu auras affaire à moi !  - Entendu ! Merci ! Merci beaucoup de me faire confiance. De toute façon, je ne vois pas comment ça pourrait être pire, ajouta-t-il pour lui-même.
  Elle l’entendit mais ne releva pas. Simon se mit sur pied et il aida Morgane à s’asseoir sur le lit.
  - Bon, pour commencer, je vais regarder si tout va bien du point de vue de ... heu ... de ton côté ... disons féminin.
  Le jeune chercheur avait bafouillé en cherchant ses mots et rougit devant l’étrangeté de la situation. Pour cacher son embarras, il lui demanda de se coucher sur le dos, les jambes à demi pliées. La bite de Morgane recouvrait entièrement son sexe féminin et Simon lui demanda de la tenir pour qu’il puisse utiliser ses deux mains. La jeune femme prit timidement sa verge et la releva en cachant son dégoût du mieux qu’elle le pût. Sans qu’elle y fasse attention, elle analysa les sensations qu’elle ressentait et fût étonnée de constater que... eh bien que ce n’était pas si désagréable que ça en fin de compte ... Incapable de résister à la tentation, elle décalotta son gland et elle put apercevoir ce dernier émerger des replis de peaux comme un beau champignon rose. Le jeune homme la regardait faire et il constata que Morgane était dépourvue de testicules.
  - Tu n’auras sans doute pas de sperme.
  Morgane acquiesça distraitement, ignorant si c’était une bonne ou une mauvaise nouvelle. Simon se mit à caresser doucement ses lèvres vaginales tout en soufflant dessus délicatement. Immédiatement, La jeune femme sentit des fourmillements de plaisirs parcourir tout son corps. Elle frissonna malgré elle. Simon poursuivit son exploration en écartant précautionneusement les douces parois ce qui libéra le clitoris de sa chaude prison de chaire. Quand il le caressa du bout de l’index, Morgane ne pût retenir un couinement de surprise. Son souffle devint plus profond et son entrejambe s’humidifia. Simon sourit devant la réaction de la jeune femme et titilla davantage le petit bouton rose. La jeune femme, fermant les yeux, tenta de contrôler les pulsions qui émanaient de son bas-ventre et parcouraient tout son corps.
  Tous deux pris par leurs jeux, ils ne virent pas la queue que Morgane tenait toujours en main grossir par à-coups et lentement s’élever vers le plafond. Sous le coup du plaisir, la jeune femme avait inconsciemment débuté un mouvement de va-et-vient sur sa longue hampe fièrement dressée et haletait sous le flux de ce plaisir nouveau. Simon, encourager par les gémissements de plus en plus pressants de Morgane, s’empara avec sa bouche de son vagin qui se liquéfiait à vue d’œil et se mit à le lécher comme un dément. Quand les lèvres du jeune homme entrèrent en contact avec son sexe, Morgane geignit intensément en cambrant le dos. Alors que son bassin s’élevait dans les airs, Simon agrippa les hanches de la jeune femme et poussa tout son magnifique corps vers lui pour qu’il puisse opérer le meilleur cunnilingus possible. Il aspirait avidement l’énorme quantité de cyprine qui s’échappait du tréfonds d’elle-même tout en déglutissant fortement et en lapant les abords de son sexe.
  Toujours inconsciente de ce qu’elle faisait, Morgane s’activait follement sur sa bite, faisant apparaître et disparaître son gland à un rythme régulier. La longue queue était soudainement devenue luisante et glissante rendant la branlette extrêmement agréable. Ses hanches, toujours surélevée, accompagnaient ses mouvements en douceur pour enfoncer plus profondément encore la langue de Simon au fond d’elle et pour effectuer les plus amples va-et-vient possible avec sa main.
- Oui ! Vas-y Simon ! Je t’en supplie, plus loin ! Plus loin !
  Simon, sous les encouragements, lâcha une des fesses qu’il s’était mis à pétrir et titilla la douce rondelle de la jeune femme. Avant qu’elle ne puisse comprendre ce qui se passait, le jeune homme lui enfonça profondément deux doigts dans le cul. Sous le coup de la surprise, Morgane ne pût réprimer un cri de jouissance. Instinctivement, son bassin augmenta l’amplitude de ses mouvements, s’empalant involontairement sur les doigts ainsi que sur la langue du jeune chercheur alors qu’elle branlait furieusement son membre viril. Sa main gauche ne faisant pas le tour complet de ce dernier, son autre main quitta le lit et vint la rejoindre. À elle deux, elles purent entourer entièrement sa verge. La jeune femme ne reposait maintenant plus que sur son cou et ses talons, l’entrejambe comblé par la bouche du chercheur.
- Oh ... c’est bon, cria-t-elle. Plus profond, je t’en prie. Plus vite, Oui ! Oui !
  Simon rajouta un doigt dans son anus, étirant délicieusement ce dernier qui coulait abondement d’une substance dont le jeune chercheur n’avait aucune idée de la provenance mais, pour l’instant, il s’en moquait. Elle rendait la pénétration beaucoup plus aisée et procurait à Morgane une myriade de plaisir qui manquait à chaque instant de la faire exploser. Elle ne se rendait même pas compte des cris qu’elle poussait. La jeune femme avait complètement perdu la tête sous la puissance des ondes de plaisir qui balayaient tout son corps. La langue de Simon faisait des ravages dans son bas-ventre, s’insinuant dans tous les recoins de son intimité et aspirant goulûment tout le liquide vaginal passant à sa portée. Ses doigts, eux, étaient plus doux. Ils rentraient dans ses fesses presque tendrement et en ressortaient en tournant délicieusement procurant un plaisir bien différent mais tout aussi intense à Morgane.
  Finalement, ne pouvant plus résister, Elle jouit. Un triple orgasme d’une ampleur et d’une violence telle que Morgane manqua de perdre connaissance. Elle hurla. Elle hurla son plaisir au monde entier. Son anus et sa chatte se contractaient violemment laissant tous deux fuser des jets de liquides transparents que Simon s’empressait d’avaler à grands traits en faisant de grands bruits de déglutition.
  Involontairement, la jeune femme avait abaissé sa queue sur son ventre. Lorsqu’elle jouit, elle éjacula un puissant jet de foutre qui vint s’étaler sur son menton. Elle fut tellement surprise qu’elle baissa la tête sur sa verge et fût littéralement aspergée de sa propre semence. Elle en avala une grande quantité et le reste vint se perdre sur ses seins, ses cheveux et son visage. Elle faillit s’étouffer tant la quantité de sperme était importante.
  Une quinzaine de secondes plus tard, l’orgasme cessait, laissant la jeune femme pantelante et exténuée sur son lit. Simon, le souffle court, se releva et eut la surprise de voir Morgane, couverte de foutre, la queue encore prise de spasme entre les mains.
- Mais... qu’est ce que... ?- Je ne l’ai pas fait exprès, sourit-elle, pas le moins du monde désolée.
  Simon sourit à son tour. Les ébats qu’ils venaient d’avoir l’avait énormément excité et quand il la vit, ruisselante de sperme et souriante d’extase, son sang ne fit qu’un tour : Il déboutonna lentement son pantalon et sortit son sexe depuis longtemps en érection. Lorsqu’elle vit sa queue, le sourire de Morgane s’agrandit et elle lécha le foutre qui coulait à la commissure de ses lèvres. Elle lui lança un regard gourmand et écarta les cuisses...
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