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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 8

Trash
Chapitre 8 : Une question d’autorité (suite)
La directrice regarda ce doigt qui lui ordonnait de venir et pensa à son cul déjà plein à craquer de foutre. Elle lança un regard implorant à Morgane qui lui répondit par un sourire impitoyable. Résignée, la principale obéit et, toujours à quatre pattes, avança vers la jeune femme pourvue d’une formidable érection. Eugénie savait qu’elle ne tiendrait pas longtemps cette fois-ci…
Morgane lui saisit doucement la mâchoire à deux doigts et posa ses lèvres sur les siennes. Ce fut un long baiser, empreint de tendresse et de complicité. Leur langue se frôlèrent, se caressèrent et se tournèrent autour l’une de l’autre exécutant une danse sensuelle. Toutes deux couinaient tandis que leur main caressait les seins de l’autre.La jeune prof mit fin au baiser et se pencha à l’oreille d’Eugénie :
-J’aimerais que tu t’asseyes sur moi, minauda-t-elle.-Je … je ne …Morgane, je ne tiendrai pas … avoua piteusement la principale du collège.
La jeune femme lui releva le menton et planta son regard dans ses yeux.
-la troisième règle est : « c’est moi qui décide quand on s’arrête », fit-elle sévèrement. Et puis, ajouta-t-elle en se radoucissant, je crois que tu en est capable. Disons que j’abolis la seconde règle pour cette fois-ci, ce n’est pas grave si du sperme sors de ton petit cul et tu pourras soulager tes intestins en les vidant … une fois que tu m’auras soulagé, moi, bien sûr…
La directrice acquiesça docilement. Elle grimpa sur la jeune femme, passa ses bars autour de son cou et présenta sa croupe toujours bouchée d’un sex-toy à la queue. Elle écarta fortement les cuisses et cala l’énorme bite dans la raie de son cul, juste sous le jouet. Elle saisit ce dernier et le retira précautionneusement. C’était une vraie torture. Elle sentait qu’elle ôtait l’ultime barrière qui empêchait à des litres de spermes de s’écouler librement de ses entrailles. Elle serra les fesses et arracha d’un coup sec le bouchon. Pas une goutte de semence ne s’évada de son cul.
Elle sourit victorieusement à Morgane qui se mit à caresser son ventre gonflé. Elle appuya légèrement sur le bedon ce qui fit grimacer de douleur la directrice.
-Non Morgane, je t’en prie, ne fais pas ça. Tout va sortir si tu continues.-Mmh, il te faudrait un autre objet qui pourrait empêcher ton cul de céder… mais quoi ?
Eugénie la foudroya du regard et, tout doucement, s’empala sur le sexe tendu. Son anus accepta difficilement cette hampe mais elle finit par passer. Quand le gland dépassa l’anneau anal, elle frémit, sentant la peau de son ventre se tendre davantage. Ensuite, lorsqu’elle descendit un peu plus, elle ne put retenir un halètement entrecoupé de laborieux gémissements. Finalement, le sexe glissa jusqu’à la moitié et elle gémit sans discontinue. La pénétration était grandement facilitée par le sperme qui lubrifiait divinement les parois.
-Je ne peux pas aller plus loin, gémit la principale. Oh mon Dieu ! je crois que je vais exploser !
Morgane la laissa faire quelques allers-retours en profitant naturellement de ses chaudes entrailles.
Soudain, elle écarta les douces fesses d’Eugénie et y enfonça violemment sa queue jusqu’à la garde. La directrice hurla à plein poumons et le sperme jaillit de son anus comme un torrent déchainé. La jeune femme lui baisa sauvagement la rondelle, pénétrant ses intestins jusqu’au bout. Eugénie ne cessait de crier en proie à un orgasme jamais ressenti auparavant. La monstrueuse bite remuait toutes ses entrailles qui se déversait sur Morgane. Une flaque blanche grossit rapidement sous la jeune femme qui perforait aussi puissamment qu’un marteau-piqueur le cul de la directrice. Le ventre de cette dernière se dégonflait à vue d’œil tandis que le flot de semence s’écoulait toujours par son anus. La jeune femme criant de plaisir tandis que son sperme l’éclaboussait quasi entièrement. Tout le bas de son corps était blanc et visqueux de jus de bite.
Morgane était sur le point d’avoir son quatre ou cinquième orgasme de la journée mais se retint à temps car une idée venait de germer dans son esprit. Elle s’était arc-boutée pour enculer sa supérieure et se rassit au milieu de la nappe de sperme.
-Assieds-toi sur moi, lui dit-elle en saisissant ses hanches.
La principale était exténuée et manquait de souffle pour répondre. Elle descendit simplement sur la bite en se mordant la lèvre pour éviter de crier. Elle finit par s’asseoir, les entrailles en feu et encombrés par un sexe gigantesque.
Morgane enlaça son ventre et posa sa tête sur son dos. Le contacte entre leur deux corps nus et trempés de foutre était des plus agréable. Sa queue était comme rangé dans le plus extraordinaire de tous les fourreaux. Celui-ci enserrait sa bite dans un étau de chaire chaude et humide des plus accueillants. La jeune femme caressa distraitement le pubis de sa supérieure, jouant avec la petite boule rose qui couronnait son trou d’amour. Sous les caresses, la respiration de la directrice s’accéléra et son cœur se mit à battre plus fort. Morgane pouvait l’entendre.
-J’aimerais beaucoup qu’on recommence, débuta la jeune femme.-Moi aussi, avoua Eugénie qui souriait sous les massages pubiens qu’elle subissait.-Mais avant que je ne jouisse pour la dernière fois en toi, je veux que tu fasses quelque chose pour moi…-Tout ce que tu veux, lui dit-elle en haletant parce que Morgane venait de passer un doigt dans son vagin.-Je veux … que tu aspires la semence qui se trouve au sol !-Quoi ?! s’exclama la directrice. Tout ?!-Disons une grande partie. Et tu le feras pendant que je t’encule, bien sûre …
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Eugénie Figide était à quatre patte, la tête collée contre le sol en train d’avaler les quantités énormes de foutre qui jonchaient le carrelage. Morgane la sodomisait allègrement et, à chaque poussée, la directrice faisait un bond en avant, raclant le sperme avec sa joue. Elle faisait de grand bruit de succion quand elle aspirait le précieux nectar et déglutissait en produisant de grand « galoupe », « galoupe », …
La principale avait introduit deux doigts dans sa chatte et se masturbait lubriquement. Morgane s’échinait toujours sur l’anus de sa supérieure et, à force de l’enculer, elle finit par jouir en poussant des cris de plaisir. La semence remplit à nouveau la directrice qui gémit intensément quand elle sentit les jets exploser au fond de son rectum. Elle continuait à lécher contentieusement le sol en se doigtant férocement jusqu’à ce que l’orgasme l’emporte une dernière fois.
-Oh ouiii ! C’est bon, putain ! C’est Booooooon ! beugla la principale.-Mmmh je jouis aussiii ! J’éjacule dans ton cul ! Ouiiiiii !!
Toutes deux s’écroulèrent contre le sol visqueux et collant à la fois. La bite de Morgane était toujours dans son « fourreau ». Les deux femmes étaient en position cuillère, et restèrent ainsi le temps de récupérer.
-Tu as été merveilleuse, mon petit sac-à-sperme, complimenta Morgane.-J’aime ce mot, dit Eugénie après un léger temps de réflexion. « Sac-à-sperme », articula-t-elle pour se familiariser avec la prononciation. Je trouve qu’il ma qualifie bien.-Contente qu’il te plaise, sourit la jeune femme. Je vais devoir rentrer chez moi à présent mais il faudrait que tu nettoies tout ça, dit-elle en désignant la mare blanche. Et je vais ajouter une dernière règle qui sera extrêmement importante : « pas un seul spermatozoïde ne doit pénétrer ta chatte ! ».-D’accord, accepta la directrice en baissant la tête.Morgane se leva et s’habilla. Les habits n’étaient pas faciles à mettre car le sperme sur son corps les faisait coller. Elle y parvint finalement et se retourna. Elle vit qu’Eugénie léchait avec gourmandise chaque centimètre du sol qui était tapissé de semence. Son visage était enduit de cette même substance et ses yeux exprimaient un appétit sans égal. -À demain, mon petit sac-à-sperme …-À demain, répondit la directrice, la bouche encombrée du liquide gluant.
    *************
Morgane rentra chez elle et fonça prendre une douche pour se débarbouiller de tout son sperme. Une fois propre, elle se mit en pyjama et s’apprêta à aller se coucher lorsqu’elle se rendit compte qu’elle avait oublié de rallumé son téléphone. Une fois fait, son portable fut littéralement envahi d’appel manqué. Simon, évidemment. Elle le rappela.
-Enfin ! répondit le jeune chercheur à l’autre bout du fil. Qu’est-ce que tu as fait pendant tout ce temps ?-Bonjour Simon, oui je vais bien et toi, comment vas-tu ? c’est vrai que ça ne fait que 12 heures que l’on ne s’est pas vu.-Ha ha, très drôle ! Rétorqua-t-il. J’ai besoin de te parler. Est-ce que je peux venir ?La jeune femme soupira. Elle n’allait pas dormir de sitôt …
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