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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 20

Divers
Chapitre 20 :Naissance de destinés-Sans transition, le drame qui s’est produit ce matin à la clinique du Sacré-Cœur reste toujours inexpliqué. Nous avons en liaison le directeur de la clinique, Jean du Jardinet, qui va tenter de nous expliquer une probable hypothèse. Jean ?

-Oui, bonjour Nathalie. Comme vous pouvez le constater, ici, à la clinique du Sacré-Cœur, nous sommes en pleine effervescence et cherchons encore la cause du problème. Pour l’instant nous n’avons pas encore de piste concrète mais nous penchons pour une attaque terroriste.

-Vous nous confirmez quand même qu’il n’y a eu aucun mort ?

-Oui, oui, assurément. Seulement, nous ne sommes pas passé loin de la catastrophe. Il y avait quelques opérations en cours lorsque … l’attaque, si je puis dire, a été lancée.

-Selon vous, quel serait les revendications des terroristes, Jean ?

-Semer le chaos.

-Bien merci, Jean, pour toute ces précisions. Nous vous recontacterons dès que vous en saurez un peu plus sur tout cela. En attendant, chers téléspectateur …

-Ah, Nathalie, on me dit à l’instant que l’on a probablement une piste sur ce qui a déclenché l’attaque.

-Quel serait-il, Jean ?

-Une bombe hormonale.
***
Simon éteignit la télé et soupira, la mine inquiète. Il se retourna et ne put s’empêcher de sourire, ému par le tableau qui s’offrait à lui.

Les bébés, trois adorables petites filles, tétaient le sein de leur mère respective avec gourmandise. Les trois femmes, Juliette, Mathilde et Eugénie avaient accouchée plus tôt dans la matinée sans se douter de ce qu’elles allaient déclencher.

-Qu’est-ce qu’on va faire, demanda Juliette en berçant tendrement sa fille.

Les yeux de la jeune maman étaient soulignés par de larges cernes qui prouvaient sa grande fatigue. Morgane vit à quel point elle était paniquée et vint lui faire un câlin pour la réconforter.

-Moi, j’aimerais déjà comprendre ce qui s’est passé ? Questionna Mathilde. Je suis complètement perdue depuis ce matin.-Je suis comme toi, la rassura Eugénie.-Attendez, attendez, attendez, temporisa Simon. Vous voulez bien me réexpliquer dans les moindres détails ce qui s’est passé ?

Les trois femmes se regardèrent et c’est Juliette qui prit la parole.

-Je suis la première à avoir eu mes contractions. Comme tu nous avais prévenu qu’on risquait d’accoucher dans un intervalle très proche toutes les trois, à cause d’hormones ou de je ne sais trop quoi, nous avons toutes pris la voiture et on est parti pour l’hôpital. Dans la voiture, Mathilde a commencé à avoir ses contractions. Et lorsqu’on est arrivé à l’hôpital, Eugénie a, elle aussi, ressenti les premières contractions. Tu aurais dû voir la tête des médecins lorsqu’ils ont vu trois femmes sur le point d’accoucher arriver simultanément ! S’exclama-t-elle en rigolant.

Voyant que Simon ne souriait pas du tout, elle récupéra son sérieux et poursuivit l’histoire :

-Nous avons toutes les trois été conduites dans des chambres voisines et le travail a commencé. Avec moi, il y avait un médecin et une sage-femme qui se sont très bien occupé de moi. Oh ! Ça me fait penser que je n’ai toujours pas prévenu mes parents.

-On s’en occupera plus tard, dit Simon avec impatience. Continue.

-Oui, tu as raison. Pardon. Donc, le médecin et la sage-femme me demandait de pousser et c’est ce que je faisais. Jusque-là, rien d’anormale. Mais, dès que ma petite Erika est sortie de mon ventre, tout a dégénéré.

-Que s’est-il passé ? S’impatienta Simon.

-Le médecin a été pris de folie ! Son regard est devenu comme dément et il paraissait affamé. Il a sorti sa queue, il a soulevé le tablier de la sage-femme, qui n’a d’ailleurs rien fait pour l’en empêcher, bien au contraire, et il l’a pénétré violemment ! J’étais complètement perdue.

-Et après ? Demanda Morgane avec compassion.

-La sage-femme n’arrêtait pas de gémir et de baver de plaisir et, au bout d’un moment, elle s’est complètement déshabiller, elle à jeter le médecin par terre comme une furie et s’est empalée elle-même sur son sexe en malaxant sa poitrine plus que généreuse. Le médecin grognait de …

-Stop, l’arrêta Morgane. Je te demandais ce que tu as fait, toi …

-Oh … heu … Je regardais … et au bout d’un moment j’ai coupé le cordon ombilical qui me reliait encore à ma fille, j’ai déposé Erika dans un berceau et je suis allé voir Mathilde dans la chambre d’à côté.

-Tu as eu de la chance, dit Mathilde. Moi, j’étais seule avec une sage-femme, il n’y avait pas de médecin. Mais, alors que ma petite Claire n’était pas encore sortie, un infirmier a ouvert la porte à la volée. J’ai été très surprise mais la sage-femme, elle, n’avait l’air d’attendre que ça. Elle a immédiatement baissé son pantalon blanc, relever son cul et s’est faite embrocher l’anus par l’homme qui venait d’entrer en hurlant. Ensuite elle s’est doigtée avec les deux mains, comme si une seule n’était pas suffisante. Je voyais ses yeux révulsés rouler dans leur orbite tellement elle prenait son pied.

Elle regarda son bébé tendrement en lui caressant le crâne.

-Peu après, Claire naissait.

-D’accord, et toi …

-Mais l’histoire ne s’arrête pas là, s’exclama Mathilde en coupant la parole au jeune scientifique. Un autre infirmier est entré et j’ai cru que c’était pour m’aider et puis j’ai vu qu’il tenait son sexe en main. Mais ce qui m’a le plus choqué, c’était son regard. Avide, impérieux. Il cherchait un trou comme si sa vie en dépendait. Il a vu la sage-femme qui se faisait enculer par l’un de ses collègues et …

-Attends, tu es sûre que c’est important que tu nous raconte ça ? Demanda Simon.

-Oui, primordiale même ! Je disais donc, le nouvel arrivant à relever la femme, retirer ses mains de son sexe et y a planté sa queue en soufflant comme un buffle. La sage-femme s’est accrochée à lui et tout en criant s’est fait prendre en double pénétrations par les deux mâles en ruts. Et c’est là qu’est entré Juliette.

-Merci Mathilde, dit Simon. Tu m’explique en quoi c’était « primordiale » ?

-Heu … Je ne sais plus, maintenant.

-Je vois … Bon, qu’est-ce que vous avez fait lorsque Juliette est entrée ?

-Elle m’a aidé à couper le cordon ombilical, j’ai aussi déposé Claire dans un berceau et on a été rejoindre Eugénie dans la chambre à côté. Quand on est passé dans le couloir, tu ne te rends pas compte du bordel, au sens premier du terme, que c’était ! Une patiente se faisait prendre par un médecin et un adolescent avec une jambe cassée pendant qu’elle offrait un cunnilingus des plus appétissants à une infirmière à poil. Je suis presque sûr que la femme qui se faisait prendre était la mère de l’adolescent à la jambe cassée ! Tu imagines ? Un peu plus loin, un blessé se branlait en enfonçant sa béquille dans le cul d’une jeune femme nue couchée sur le sol qui faisait une pipe à un jeune homme. Les gens baisaient partout et j’ai même failli glisser dans une flaque de sperme ! J’ai vu …

-Épargne-nous les détails, veux-tu, l’interrompit Simon avec fatigue.

-Bref, nous somme vite rentrée dans la chambre d’Eugénie.

-Merci. Et toi, Eugénie ?

-Moi, je constate que vous avez eu beaucoup plus de chance que moi, les filles, dit-elle. J’avais commencé le travail depuis dix minutes lorsque le médecin, qui était seul dans la pièce avec moi, a baissé son pantalon et a commencé à se branler en me regardant avec une envie dévorante. Je n’arrêtais pas de crier pour qu’il m’aide mais il ne réagissait pas. Un quart d’heure plus tard, une infirmière nue est entrée. Je n’espérais déjà plus me faire aider à ce moment … Le médecin l’a aperçu et il s’est jeté littéralement sur elle. Il la baisé violemment à même le sol en grognant comme un goret tandis que la femme hurlait de plaisir. Le médecin, qui, quand j’y repense maintenant, était vachement bien pourvu, n’y allait pas de main morte ! J’avais l’impression qu’il voulait casser l’intérieure de l’infirmière et que celle-ci n’en prenait que plus de plaisir. Elle s’accrochait à lui et elle forçait même les mouvements du médecin pour qu’il la baise plus violemment encore. Elle hurlait et bavait de plaisir en empoignant sa poitrine à pleine main et en la malaxant sauvagement. À un moment, elle a mis son sein dans …

-Viens-en aux faits, demanda Simon avec lassitude.

-C’est vrai, pardon. En fin de compte, ma petite Cindy est née. J’ai accouché seule. Et puis, Juliette et Mathilde sont entrée.

-Et qu’avez-vous fait ensuite ?

-Nous étions toutes les trois épuisées et nous ne comprenions rien à la situation. Nous avions peur. Peur du regard de tous ces mâles en rut. Alors nous nous sommes habillés et nous sommes parti.Dans les couloirs, les gens étaient pour la plupart nus. tous les hommes étaient en érection et tous avaient leur queue enfuie dans une cavité féminine. Tout l’hôpital résonnait des cris de plaisirs et de gémissements.

-Je vois … Fit Simon songeusement.

-Est-ce que je peux prendre ma fille, demanda Morgane à Juliette ?

-Bien sûre, dit cette dernière en lui tendant Erika sans oublier de glisser un regard attendri vers celle-ci.

Morgane prit la petite Erika qui gazouillait gaiement et la couva d’un regard enamouré. La petite tâtonnait partout à la recherche d’un sein.

-Tu as faim, petite globule ?

Morgane s’assit en déboutonnant son chemisier et tendit son sein à sa fille. Erika se mit à téter avidement en pressant dans sa minuscule main le doigt de sa mère.

-Morgane … ?

-Oui, Simon ? Répondit-elle distraitement.

-Toi aussi, tu as du lait ? S’étonna le chercheur.

-Quoi ? Je … Ah oui, c’est vrai. Je n’en savais rien, avoua-t-elle. J’ai vu qu’Erika avait faim alors je lui ai donné mon sein naturellement.

-C’est surprenant. Cela veut dire que ton corps savait que tu allais devenir maman et il a réagi en conséquence.

-Ah … heu … oui, sans doute, fit la jeune femme qui ne comprenait pas bien ou voulait en venir Simon.

-Cela voudrait dire qu’il sait quand ton sexe éjacule dans un vagin ou dans autre chose … C’est vraiment remarquable !

-Si tu le dis, dit la jeune femme dont l’attention était entièrement tournée vers sa fille.

-Simon, intervint Juliette. C’est bien beau tout ça mais est-ce que tu sais ce qui s’est passé à l’hôpital ?

Le jeune homme soupira et se frotta les yeux avec fatigue.

-J’ai … une théorie. Mais je ne sais pas si vous saurez comprendre, c’est très …

-On t’écoute, l’interrompit l’adolescente.

-Très bien. Bon … heu … par où commencer ? Fit-il en se tapotant le menton du bout de l’index. Comme vous l’avez remarqué, vos filles sont, comme Morgane, pourvue d’un sexe masculin. Pour qu’ait lieu cette transformation, elles ont dû être en contact avec une forte dose de CH69X, l’hormone du plaisir. Enfin, du désir pour être précis. C’est la même hormone, mélangée à d’autre substance dont je vous épargne le nom, que j’ai donné à Morgane, il y a de cela neuf mois.

-Ce n’est pas dangereux j’espère, s’alarma Mathilde.

-Non, bien sûre que non, la rassura Simon. Le CH69X n’est absolument pas nocif, loin de là. Selon moi, vos filles baignaient dans un liquide presque uniquement composé de cette hormone du désir. Mais il y a autre chose. Eugénie, est-ce que tu t’es demandé pourquoi le médecin n’a pas essayé de te sauter et il s’est contenté de se branler en te regardant ?L’interpellée le regarda avec surprise.

-Tu sais, Simon, j’étais en train d’accoucher … je ne me posais pas trop de question. Peut-être que comme j’étais en train d’accoucher, justement, il n’a rien tenté, hasarda-t-elle.

-Je doute que dans l’état dans lequel il se trouvait cela l’ait empêché de faire quoique ce soit. Non, je pense que, en plus d’avoir en toi une énorme quantité de CH69X, tu avais aussi l’hormone C3PO. Cette hormone a la capacité d’endiguer le plaisir. C’est elle qui t’a protégé de la furie sexuelle du médecin.

-Où veux-tu en venir ? S’impatienta Morgane.

-Pour faire court, vos filles ont été en contact avec du CH69X et du C3PO. Le CH69X s’est occupé de faire muter vos filles, sans danger, je vous rassure. Elles ont maintenant toutes les trois une incommensurable réserve de cette hormone en elle. Jusque-là, vous me suivez ?Les quatre femmes acquiescèrent ensemble.

-Bien. Seulement, vos filles ont aussi été exposées au C3PO. Cette hormone fera office de barrage pour la CH69X.

-De barrage ? Mais pour quoi faire, l’interrogea Eugénie.

-Le CH69X a de nombreux effets que j’ignore encore. Pour l’instant, cette hormone est prisonnière dans le corps de vos filles avec pour prison le C3PO. Seulement, le C3PO disparaît vers l’âge de dix-huit ans. Il faudra donc s’attendre à des surprises lors de la puberté …

-Des surprises de quel genre … ?

Simon haussa les épaules en signe d’ignorance.

-L’avenir seul nous le dira. D’après vos dires, lorsque vous avez accouché, tout le monde autour de vous n’avait qu’une seule envie : niquer. C’est cela l’effet du CH69X. Mais, pour que tout le monde dans l’hôpital soit touché par cette hormone, il en fallait une quantité terrifiante. Et j’ignore totalement les conséquences qu’auront sur vos filles une telle quantité de CH69X.

Simon vint caresser le duvet blond qui recouvrait la tête de Cindy.

-Probablement qu’une fois que le C3PO se sera retiré de leur corps et que le CH69X sera libéré, elles seront un peu plus excitées que les autres filles, voilà tout.

À ce moment, Simon ignorait complètement à quel point il était loin de la vérité …
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