Chapitre 24 : cours particuliers (suite) De légers coups furent donner à la porte. -Entrez, dit Antoine. Morgane ouvrit la porte et vit la surprise se peindre sur les traits du garçon. -Bonjour Antoine, sourit-elle aimablement. Comment vas-tu ?-Madame Shem ! B … bien, bien, et vous ? Bafouilla-t-il, pris au dépourvu.-Je vais bien je te remercie. Si nous commencions ? La fin de l’année approche à grand pas et si tu veux réussir tes examens, il faut s’y mettre immédiatement. Antoine acquiesça silencieusement, intimidé de se retrouver seul avec sa prof. Ils s’assirent tous deux au bureau du jeune homme et débutèrent le cours. Morgane s’assura simplement de rester à une distance raisonnable du garçon pour éviter que certains problèmes ne surviennent …Pendant ce cours particulier, Antoine se montra bien plus sage qu’en classe, ce qui confirma à Morgane les impressions qu’elle avait à son sujet : il veut simplement qu’on le remarque. Sans doute souffrait-t-il d’un manque d’attention de la part de ses parents. Ces pensées tournoyaient dans l’esprit de Morgane lorsque la porte s’ouvrit. Élève et prof tournèrent la tête à l’unisson et constatèrent que c’était Isabella. Elle resta ainsi plantée dans l’embrasure de la porte durant une poignée de secondes. Comme elle ne semblait rien vouloir dire, Antoine finit par demander : -Maman ? Est-ce que tout va bien. Isabella regarda Antoine comme si elle le voyait pour la première fois. Elle a vraiment un comportement étrange, s’inquiéta Morgane. Elle remarqua que ses vêtements étaient tout froissés et sa chemise était par endroit transparente et lui collait à la peau comme si elle était couverte d’eau. Sauf que Morgane savait que ce n’était pas de l’eau …
-Maman ? Isabella fit un pas hésitant, puis un second. -Encore…, articula-t-elle.-Qu … Quoi ? Demanda Antoine, complètement perdu ? Qu’est-ce que tu veux ? Je suis en train de travailler là.-Encore … répéta Isabella. J’en veux … encore. Elle tomba à genoux et avança à quatre pattes vers Antoine et Morgane leur dévoilant par la même occasion son dos couvert de sperme. La jeune prof était tétanisée et ne savait absolument pas ce qui était en train de se passer. -Maman, qu’est-ce que tu as ? Pourquoi tu es toute mouillée ? Tu … tu m’inquiètes. Isabella atteignit son fils, se hissa à l’aide de ses bras et se mit à califourchon sur les genoux du garçon. Elle l’enlaça et, contre toute attente, elle se mit à l’embrasser goulûment. Antoine ne sut comment réagir autrement qu’en se laissant faire bêtement et en serrant les poings de surprise. Isabella gémit tendrement. Elle releva sa jupe jusqu’à son ventre, prit la main de son fils et la dirigea vers son jardin secret. Lorsque les doigts d’Antoine entrèrent en contact avec l’abricot de sa mère, celle-ci geignit de désir contenu. Elle garda la main de son fils plaqué sur son vagin détrempé et se mit à se frotter sur lui comme une chatte en chaleur. -Mmh ? Bafouilla Antoine dans la bouche de sa maman. Le jeune homme ne savait pas où se mettre. Sa mère l’embrassait avec une envie dévorante tandis que tout son corps le suppliait d’éteindre le feu qui embrasait son entrejambe. Contraint mais en même temps poussé par sa propre envie, Antoine mit timidement un doigt dans le petit trou de sa mère qui gémit aussitôt. -Mmh ! Oui, encore, mon chéri. Encore. Antoine fit de petits aller-retours avec son index mais il sentit bien vite que ce n’était pas assez pour sa mère. Il rajouta un doigt et poursuivit son travail. Isabella continuait de l’embrasser et de le serrer fort contre elle. Saisie par une frénésie sexuelle, elle ôta sa chemise qui lui collait à la peau et dégrafa son soutien-gorge. Deux seins blancs comme la nacre et d’une magnifique rondeur apparurent et se mirent à ballotter au rythme des mouvements d’Isabella. Sans cesser d’embrasser son fils avec fougue, elle s’empara de sa main ballante et la posa sur son sein. -Mmh, maman … Antoine se mit à pétrir ce superbe sein parfaitement galbé qu’il avait tété après sa naissance tout en doigtant l’abricot trempé de sa mère. Dans son pantalon, son engin était d’une rigidité incomparable et ne demandait qu’à s’échapper de sa prison de tissu. Isabella le sentait et n’hésitait pas à se frotter sur cette hampe toute dure qu’elle devinait au travers du jeans. Elle finit par ne plus pouvoir résister et murmura entre deux baisers : -Retire ton pantalon, vite ! Antoine ne se le fit pas prier. Son sexe pointa immédiatement vers le plafond et Isabella s’empressa de venir y frotter sa chatte. Elle gémissait intensément dans la bouche de son fils. Morgane était toujours assise sur sa chaise et lorgnait ce spectacle avec effarement … et envie. Bien que son sexe à elle aussi soit en érection dans son pantalon, elle ne parvenait pas à comprendre comment la situation avait pu lui échapper à ce point-là. -Maman, fit Antoine et mettent momentanément fin à leur baiser, je ne peux plus attendre …-Moi non-plus, haleta Isabella en enfouissant ses deux mains dans les cheveux de son fils et en s’y agrippant fermement. Tu es prêt ? Antoine acquiesça sans hésiter et prit sa mère par les hanches. Cette dernière souleva son cul et vint positionner la queue tendue de son fils juste en-dessous de son trou d’amour. Tous deux tremblaient comme deux jeunes puceaux qui s’rapprêtent à faire l’amour pour la première fois.Antoine appliqua une pression légère mais ferme sur les hanches de sa mère qui s’abaissa lentement. Son vagin engloutit maternellement la bite de son fils et ils poussèrent tous deux un râle libérateur. -Oooh Oooooh oui ! S’extasia Isabella. Tan bueno, mi hijo. Ta queue est trop bonne !-Oh maman ! Tu es brûlante à l’intérieur. C’est si bon, putain ! Mère et fils affichait une expression béate tandis qu’il s’enlaçait amoureusement. Isabella se mit doucement à se mouvoir sur cette queue qui la pénétrait sans pour autant cesser ses gémissements orgasmiques. Antoine, lui, s’accrochait aux hanches de sa mère et voyait cette sublime poitrine qui ondulait devant lui comme deux pommes juteuses devant Adam et Eve. Le jeune homme croqua avidement l’un de ces fruits défendus et se mit à téter comme un assoiffé le téton qui pointait. Isabella poussa un petit cri de surprise mais s’empara bien vite de la tête de son fils pour la presser contre son buste. Elle montait et descendait sur la queue d’Antoine avec un plaisir incestueux qui n’était pas pour déplaire au jeune homme. Elle sentait ses propres parois vaginales s’écarter et se refermer sous les incessants va et viens de cette bite. Sentant pointer l’orgasme, elle commença à accélérer le rythme et ses gémissements se muèrent peu à peu en cris de plaisirs. -Mmh ! Oh oui ! Mon chéri, es bueno ! Es bueno !-Vas-y maman ! Plus fort ! Oui ! Isabella était maintenant une véritable louve affamée de sexe et elle descendait sur cette queue avec une folie animale. Antoine lâcha les hanches de sa mère pour s’agripper fermement à ses fesses qu’il écarta violemment faisait hurler sa mère de bonheur. Sans qu’il ne le remarque, des gouttes de spermes s’échappèrent de l’anus d’Isabella et vinrent se perdre sur la moquette du garçon. La maman n’en avait cure et hurlait son plaisir à la lune. -Baise-moi, mon chéri ! Nique ta maman ! Nique-la fort ! Le claquement de ses fesses sur les genoux de son fils retentissait dans toute la pièce. Elle était déchaînée, son regard fou trahissait le plaisir infini qu’elle ressentait de cette relation incestueuse. -Plus vite, maman ! C’est bon !-Oui ! Oui ! Elle n’en pouvait plus. Sa chatte aspirait et recrachait la queue de son fils à une vitesse ahurissante et sans cesse croissante. Elle respirait comme une chienne en plein coïte et des gouttes de sueur perlaient sur tout son corps laiteux. Sa crinière sautait sur ses épaules, se gorgeant elle aussi de sueur. -Je viens, maman ! Je viens.-Joui en moi, mon cœur. Oh oui ! OUI ! Je veux ton sperme ! Rempli-moi ! OUI !-MAMAAAAN !-AAAAAH !! Tous deux jouirent en même temps, enlacés comme deux amants, et hurlèrent à l’unisson. Ils restèrent ainsi enlacés durant plusieurs longues minutes. Ils étaient tous les deux éreintés et reprenaient difficilement leur souffle et leur esprit. Isabella avait fermé les yeux. Elle avait enlacé Antoine et s’accrochait à lui comme si sa vie en dépendait. Ses cuisses qui dépassaient des deux côtés de la chaise étaient parcourues de frissons et de spasmes incontrôlables, vestige de son orgasme ravageur. Au bout d’un moment qui parut durer une éternité, la maman eut l’air de se réveiller. -Oh mon amour ! Minauda-t-elle. C’était … Isabella croisa le regard de son fils et son expression changea subitement. Du bonheur et de la luxure, il passa à l’horreur. -Antoine ?! Elle mit sa main devant sa bouche et se retira prestement. La queue de son fils sortit mollement de son vagin rempli de semence. Isabella tomba à la renverse et se retrouva à contempler son fils avec ce regard de totale incompréhension mêlée d’épouvante.Un fin filet de sperme s’écoula de son vagin. -Mon fils ? Mais …Qu’est-ce que j’ai fait ?-Maman … Je … je ne voulais pas mais … c’est toi qui … tu …-Qu’est-ce que j’ai fait ? Répéta Isabella, les larmes aux yeux. Elle s’en fut en courant, dans une nudité presque totale. Seule restait sa jupe, ceignant son ventre. -Maman, l’appela Antoine en se levant.-Laisse, l’interrompit Morgane, et remets ton pantalon. Il s’exécuta en s’excusant, les joues rouges de honte. -Vous ne direz rien, madame Shem, pas vrai ?-Tu as ma parole. Antoine sembla soulagé. Il s’assit devant son bureau et se prit la tête entre les mains. -Qu’est-ce que j’ai fait ? Se lamenta-t-il. Je ne comprends pas … Qu’est-ce qui lui a pris ? Elle n’est pas …-Où se trouve la chambre de ta mère ? Le coupa Morgane.-Heu … au fond du couloir à droite. Pourquoi ?-Ne bouge pas d’ici ! Lui enjoignit-elle. Elle se leva et sortit de la pièce sans fournir plus d’explication. Elle ne frappa pas à la porte de la chambre d’Isabella et entra sans s’annoncer. Isabella pleurait dans son lit et elle n’entendit ni la porte s’ouvrir ni se refermer derrière la nouvelle arrivante. Cette dernière souleva les couvertures et vint se glisser derrière Isabella. -Qui est-ce ? Sursauta-t-elle.-C’est moi, susurra Morgane à son oreille. Pourquoi est-ce que tu pleures ? -Tu n’as pas vu ce que j’ai fait ? J’ai fait l’amour à mon fils ! Mais qu’est-ce qui m’a pris ? Je suis une mère monstrueuse.-Mais non, voyons, chuchota Morgane en l’enlaçant. Elle colla son bassin contre le cul d’Isabella et laissa l’excitation la gagner peu à peu. -Tu n’étais simplement pas dans ton état normal. Tu devais être fatiguée …-Mais oui, c’est ça ! S’ébahit la maman en relevant la tête comme si une idée venait de la frapper.-À quoi songes-tu ? Demanda Morgane qui sentait avec délice son membre doucement se gonfler.-C’est ça, répéta Isabella, je n’étais pas dans mon état normal !-Mais oui, certainement.-C’est toi ! S’exclama Isabella en se retournant et en pointant un doigt accusateur sur Morgane. C’est toi qui m’a rendu comme ça. Tout est ta faute !-Quoi ? -Tu m’as sodomisé comme jamais et c’est seulement après que j’ai déraillé. Tout ce dont je me souvienne, c’est que tu m’as violemment enculé dans la cuisine et puis tu m’as laissé gisante sur le sol comme une vulgaire putain.-Je t’ai aussi prise dans les toilettes et ça n’a pas eu l’air de te déranger.-Quoi ?! Tu m’as baisé dans mes toilettes ??-Mais oui … Tu ne t’en souviens pas ?-Non ! Je me rappelle avoir fait une pipe à mon mari mais c’est tout. Je me souviens ensuite que tu es venu m’enculer alors que je prenais des serviettes dans l’armoire.-Mais tu … Tenta vainement d’argumenté Morgane avant de se faire couper à nouveau.-Ensuite je me suis réveillée toute nue et transpirante assise sur les genoux de mon propre fils avec sa queue calée tout au fond de moi. Et son sperme, mon Dieu ! Mon fils a éjaculé en moi. Il m’a prise comme si j’étais une vulgaire pute. Tout est ta faute, répéta-t-elle avec plus d’assurance.-C’est faux ! S’insurgea Morgane. Je ne voulais pas …-Sors de chez moi.-Mais…-Dehors !
