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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 31

Première fois ?

Divers
Chapitre 31 : Première fois ?
Claire n’avait pas une érection comme avait eu Erika durant la journée …
Elle en avait deux ! 

Deux magnifiques queues superposées et en érections. La jeune fille toucha la première du bout des doigts, comme si elle doutait de ce qu’elle voyait. Elle porta ensuite ses doigts sur son second sexe. Non, ils étaient tous les deux bel et bien réel tout comme les sensations qu’ils renvoyaient. Mais comment était-ce possible ? Elle ne comprenait déjà pas comment elle pouvait avoir une érection. Simon, lui avait certifié que c’était impossible. Mais deux ! Ça dépassait l’entendement.
Elle saisit le premier sexe à pleine main et tenta d’analyser le flot de sensation nouvelle qui la submergea. C’était étrange, agréable certes, mais étrange. La peau autour de sa queue était extrêmement fine et intégralement recouverte d’une fine pellicule visqueuse et glissante. Elle fit descendre la peau qui coulissa à merveille sur son membre gonflé et veineux. Son gland apparut à l’air libre et sembla la lorgner de son œil unique. Claire fit passer son doigt sur ce champignon rouge et en caressa les bords ce qui lui fit ressentir une myriade d’étincelles de plaisirs. Rien de jouissif mais plutôt des sensations très agréables.
La jeune fille s’empara de la seconde verge de manière à avoir une queue dans chaque main et les fit s’entrechoquer. Elle sourit en pensant qu’elle ressemblait à un pilote d’avion de chasse.
Soudain, la porte de sa chambre s’ouvrit. Claire sursauta comme si elle était prise en plein délit mais garda ses sexes en main. Elle tourna la tête : c’était Cindy.
Cette dernière ouvrit de grands yeux étonnés et poussa une exclamation admirative. Elle voulut parler mais les mots restèrent coincés dans sa gorge alors elle s’approche en conservant cette expression ahurie. Elle s’assit sur le bord du lit et contempla avec des étoiles dans les yeux les deux queues de Claire.
-Elles sont magnifiques ! Finit-elle par dire dans un souffle.-Tu veux les toucher ? S’enquit Claire, un sourire charmeur révélant ses dents blanches ...

*****

Morgane emmena Erika jusque dans la chambre de Juliette. En principe, les trois mamans ainsi que Morgane dormaient ensemble dans une même chambre mais parfois elles avaient besoin de passer une bonne nuit de sommeil et elles s’isolaient dans cette pièce.

-Ça va ? Tu n’es pas trop nerveuse ? Fit Morgane en refermant la porte derrière elle.-Non, non, sourit Erika. Maman ne vient pas ?-Si, je lui ai dit de nous rejoindre dans une dizaine de minutes. Il fallait d’abord que je te parle …-De quoi ? Demanda la jeune fille avec une légère appréhension.-Lorsque tu t’es réveillée de ta transformation, étais-tu seule ?
Erika sonda le regard de Morgane. Elle savait exactement pourquoi elle lui demandait cela et hésitait à avouer ce qu’elle avait fait quelques heures plus tôt …
-Non, finit-elle par dire. Il y avait une infirmière.-Oh je vois … Et … ?
Erika soupira. Elle était tiraillée. Fallait-il dire la vérité ? N’était-ce pas une énorme erreur que d’avouer ?
Voyant l’hésitation de sa fille, Morgane prit Erika par les épaules et la força à la regarder dans les yeux.
-Ecoute … Je sais exactement ce que tu ressens. Nous sommes pareilles toutes les deux et … je sais combien il est difficile de résister, ça tu peux me croire ! Mais il faut que je sache.
Erika se perdit dans le regard de sa mère et elle dut avouer qu’elle avait entièrement raison. Elle était la seule, avec ses sœurs, qui puisse la comprendre.
-Nous avons fait l’amour, avoua-t-elle dans un souffle. Je … je n’ai pas pu m’en empêcher.-Je vois, acquiesça Morgane.
En un éclair, Morgane se souvint de ce jour, dix-huit ans auparavant, où elle-même avait perdu sa virginité … Elle se revit au milieu de la piste de danse, une belle inconnue accrochée à son cou en train de l’embrasser à pleine bouche. Elle se souvint que son sexe s’était dressé presque de lui-même et que la jeune fille s’y était empalée inconsciemment. Dès lors, il n’avait plus été possible de faire machine arrière.
Morgane avait baisé la fille au beau milieu de la piste de danse sans que personne ne remarque quoi que ce soit. Elles avaient atteint l’orgasme ensemble et puis la fille s’était sauvée, sortant de sa vie aussi rapidement qu’elle y était entrée.
Jamais Morgane n’avait oublié cette jeune fille et une question avaient hanté ses nuits : était-elle tombée enceinte ? Elle vit le regard honteux de sa fille qui s’attendait à des remontrances et s’ébroua pour chasser ce spectre de sa mémoire.
-As-tu joui en elle ?
Erika acquiesça gravement.
-Mmh, réfléchit Morgane. Il faudra que j’aie une petite discussion avec cette infirmière dans ce cas … Ne raconte rien de tout ceci à tes mamans, compris ?
Une fois encore, Erika approuva, penaude.
-Est-ce que c’est grave ? S’enquit-elle.-Eh bien … je dois avouer que je n’en sais rien. Tout dépend de notre vision du futur, conclut Morgane en souriant mystérieusement.
Erika ne fut pas sûr de saisir le sens de cette dernière phrase mais elle ne s’y attarda pas.
Étrangement, le regard que Morgane lui lançait ne la laissait pas indifférente. Pourtant, jamais elle n’avait été attirée par sa mère auparavant.Ce doit être l’un des effets de cette transformation dont parlait Simon, songea la jeune fille en se mordant érotiquement la lèvre.
Elle détailla davantage Morgane et, pour la première fois de sa vie, elle ne la vit pas comme étant sa mère mais plutôt comme une superbe créature au charme ravageur et aux courbes idéales. Des cheveux noirs, comme les siens, ondulaient le long de son visage et coulaient rêveusement sur ses épaules. Un menton fin surplombait un cou élancé et gracieux qui se dressait avec la prestance d’une reine entre deux épaules galbées. Deux seins enserrés dans un tailleur promettaient monts et merveilles à qui portait son regard sur leur rondeur vallonnée. Deux seins que l’on désirait immédiatement croquer avec avidité.
-Mais c’est que je te fais de l’effet ! S’exclama Morgane avec un plaisir évident en suivant le regard de sa fille.
Erika baissa les yeux et vit qu’une bosse déformait son pantalon.
-Je ne sais pas encore très bien le contrôler, s’excusa la jeune fille.-Ça tombe bien, nous n’avons pas besoin de contrôle pour cette nuit. Alors laisse-toi aller. Et rassure-toi, cela fait des années que j’utilise ce sexe et je ne le contrôle toujours pas. Je peux même dire que, par moment, c’est lui qui me contrôle …
Morgane se pencha sur sa fille et posa ses lèvres sur les siennes. Instinctivement, Erika entrouvrit sa bouche et accueillit avec délectation cette intrusion buccale. La langue de sa mère vint lécher ses dents mais sans entrer trop profondément de peur sans doute de se montrer outrageusement invasive. C’était bien mal connaître la jeune fille. Sa langue alla immédiatement à la rencontre de celle de sa mère et les deux appendices buccaux dansèrent ensemble un balai érotique de caresses humides et enivrantes.
-Ah, je vois que vous ne m’avez pas attendu, rétorqua Juliette en entrant dans la pièce. -Nous n’avons pas pu résisté, sourit Morgane en lui lançant un regard charmeur. Tu nous en veux ?
Juliette fondit littéralement sous le regard lubrique de sa compagne et balaya la remarque d’un geste rempli d’impatience.
-Non, non. Laisse-moi embrasser ma fille ! Depuis le temps que j’en rêve !-Elle est toute à toi, fit Morgane en se plaçant dans le dos de la jeune fille.
Juliette vint à son tour l’embrasser et Morgane en profita pour laisser courir ses mains sur le corps d’Erika. Elle admira ses seins fermes et chauds puis descendit davantage et parvint aux fesses. Celles-ci étaient d’une vigueur exquise et les palper était un véritable plaisir.
Morgane s’assit sur le lit et tira la jeune fille jusqu’à ce que celle-ci s’assoie sur ses genoux.
-Mmh ! Je sens ta queue contre mon cul ! S’écria Erika.-Ne t’en fais pas pour ça, susurra Morgane au creux de son oreille, tu la sentiras beaucoup plus dans un très proche avenir …
Pendant ce court échange, Juliette avait ôté son chemisier et dégrafé son soutien-gorge, révélant par la même sa généreuse poitrine. Des trois mamans, c’est elle qui était la mieux fournie de ce point de vue-là.
-Tu les as déjà tétés, sourit Juliette en désignant ses deux mamelons. Peut-être voudrais-tu recommencer, ça te rappellera ton enfance …
Erika ne se le fit pas prier. Elle s’empara d’un sein à pleine main et enfourna derechef le bouton rose et dur entre ses lèvres. Juliette gémit intensément et caressa amoureusement les cheveux de sa fille.
-Oui, mmh, c’est bien mon cœur. Vas-y doucement, tète, ma petite puce.
Elle caressait la joue de sa fille à l’aide de son autre sein si bien qu’Erika finit par s’en emparer pour en pincer le téton.
Quand la jeune fille s’était penchée en avant pour sucer les seins de sa mère, Morgane eut une vue plongeante sur sa croupe. Instantanément, un intense désir était monté en elle mais son sexe étant coincé sous les fesses de sa fille, elle avait pris la décision de la peloter avidement.
Elle passa donc ses mains sous le chemisier de sa fille et vint pétrir avec joie ses deux seins fermes au bout desquels pointaient joyeusement les tétons durcis par un désir ardent. Elle finit par soulager la jeune fille du poids de ses vêtements afin de pouvoir explorer son corps sous toutes les coutures. Son ventre, ses seins, son dos, ses bras … tout se fit langoureusement caresser par les mains expertes de Morgane.
Erika gémissait sous cet examen tactile et ne pouvait s’empêcher de remuer érotiquement le bassin ce qui ne faisait qu’accroitre le désir grandissant de Morgane. Cette dernière, abaissa la fermeture éclair du pantalon de la jeune fille et glissa sa main entre ses cuisses. Le sexe d’Erika se dessina sous ses doigts et elle lui prodigua quelques caresses pour tenter d’en deviner la taille. Lorsque ce fut fait, Morgane sourit en songeant qu’Erika était bien la digne fille de sa mère …
Elle sortit la verge et la contempla avec appétit. Juliette la vit aussi.
-Oh mon Dieu ! S’exclama-t-elle avec émerveillement. Elle est splendide !-Tu aimerais la goûter ? S’enquit Morgane.-Oh oui ! J’aimerais beaucoup ! Je peux ?
Erika sortit le sein de sa bouche et tourna son regard vers sa mère. Elle lui roula une pelle en guise de réponse et Juliette sourit devant la fougue de sa fille.
Elle se mit à genoux et entreprit dans un premier temps de retirer le pantalon ainsi que la culotte de la jeune fille en chaleur. La bite dépourvue de couille de cette dernière se dressa devant le visage de Juliette, suintante de ce liquide lubrifiant que la maman avait appris à apprécier dès son adolescence. Elle huma avec régale la longue hampe qui sentait un mélange de musc et de féminité ainsi que d’autre chose, une odeur salée et indubitablement érotique.
Morgane mordilla coquinement l’oreille de sa fille et, avec une extrême lenteur, elle écarta les cuisses. Erika étant toujours assise sur ses genoux, ses jambes suivirent le mouvement et son intimité fut bientôt grande ouverte et exposée à la vue de tous.
Juliette sourit lubriquement devant ce magnifique spectacle : elle savait pertinemment comment procurer un plaisir immense à sa fille. Elle fourra sa langue entre les fesses de la jeune fille et, avec une lenteur calculée, fit glisser incestueusement sa langue sur toute la longueur des deux sexes. Le vagin se liquéfia sous les caresses linguales et la queue s’imbiba plus encore de ce liquide lubrifiant, signe d’un désir irrésistible. Juliette termina sa course sur le gland de la jeune fille qu’elle goba avec gourmandise.
-Mmmmh … gémit Erika. C’est trop bon !-J’adore quand ta mère me fait ça, avoua Morgane tout doucement. Viens, couche-toi contre moi, lui enjoignit-elle sans pour autant cesser de la caresser.
Erika s’exécuta instinctivement, trop obnubilée par les sensations que son entre-jambe lui envoyait pour réfléchir. Juliette réitéra son geste mais cette fois, sa langue débuta contre l’anus d’Erika.
-Oh ! Fit celle-ci, surprise, avant de gémir de plus bel.
Juliette laissa traîner langoureusement sa langue jusqu’au bout de la queue de la jeune fille pour finir par caler le gland contre son palais avide.
-Alors ? Qu’en pense-tu ? Questionna Morgane en déposant de précieux baisés dans le cou de sa fille.-C’est … Oh mon Dieu ! Commença-t-elle avant de se faire interrompre par un nouveau passage de la langue de Juliette contre son intimité en feu. C’est divin !-N’est-ce pas ? Rigola Morgane en faisant un clin d’œil à sa compagne qui suçait avec régale le sexe de sa fille. Ma belle Juliette est une experte dans ce domaine.-Et toi, en quoi es-tu une experte ? S’enquit la jeune fille entre deux halètements orgasmiques.-Moi ? Je peux prendre n’importe qui, n’importe quand … et la faire jouir autant de fois qu’elle le désir.
Erika se tordit le cou pour plonger son regard brillant de plaisir dans celui de sa mère. Elle l’embrassa fougueusement puis se pencha contre son oreille pour lui gémir doucement :
-Qu’est-ce que tu attends pour me le prouver ?
Le sang de Morgane ne fit qu’un tour lorsqu’elle rencontra le regard mi suppliant, mi défiant que lui lança sa fille. Sa queue sembla se débattre comme un taureau en cage dans son pantalon tant le désir la submergea violemment. Elle parvint malgré tout à cacher son envie débordante derrière un sourire en coin.
Elle fit lever sa fille et retira son pantalon aussi lentement que le lui permettait sa soif de sexe afin de faire durer le plaisir. Juliette s’était levée elle aussi et elle caressait avidement le corps de sa fille en s’y frottant comme une chatte en chaleur. Elle piquetait son corps de baisés humides tout en attendant que Morgane se soit déculottée.
-Montre-moi d’abord ce que toi tu vaux, fit celle-ci en écartant ses cuisses dans un geste plein de défi.
Son sexe, parfaitement épilé, se dressait vigoureusement, luisant de désir et surplombant un vagin duquel cascadait un ruisseau de cyprine.Juliette poussa une exclamation stupéfaite à la vue de l’entrejambe de Morgane :
-Je t’ai rarement vue aussi excitée ! Souffla-t-elle, impressionnée.
Morgane n’y préta pas attention. Elle regardait avec une rare intensité sa fille debout devant elle. Erika sourit et, comme Juliette l’avait fait avec elle quelques instants auparavant, elle s’agenouilla entre les jambes de sa mère et contempla avec ferveur ce sexe énorme qui la surplombait avec autorité.
Juliette se colla contre son dos, pressant sa superbe poitrine contre les omoplates de la jeune fille et caressa rêveusement sa queue dressée et glissante de liquide lubrifiant.
-Fais comme je viens de faire avec toi, lui enjoignit-elle doucement. Prends ton temps, ce qui compte, c’est le plaisir de Morgane.
Erika acquiesça, son regard ardent toujours verrouillé sur celui de Morgane. Elle s’approcha avec une lenteur telle que le désir de Morgane en fut incroyablement exacerbé. La jeune fille se pencha et souffla sur le vagin détrempé de sa mère.
Le corps de Morgane se tendit vivement sous la caresse de ce souffle. Sa hampe fut saisie de soubresauts et son vagin se mit à dégouliner excessivement. Son masque de sérénité se lézarda et se para de reflets torturés. Erika sourit.
Elle s’approcha davantage et, sous le regard de sa mère devenu suppliant, elle posa sa langue contre le puit d’amour. Morgane sursauta et due s’agripper aux couvertures pour s’empêcher de saisir la tête de sa fille. Cependant, elle ne put retenir une exclamation surprise qui l’étonna elle-même.
Erika lui lança un regard ironique et, toujours avec cette lenteur exaspérante, elle fit remonter son appendice buccal. La langue coula le long du vagin, étalant sa bave et récoltant au passage des effluves délicieusement féminine. Elle contourna les lèvres détrempées, survola la source de plaisir en y puisant une grande quantité de cyprine au goût douçâtre et grimpa sur le bouton gonflé et bourgeonnant.
À ce stade, Morgane était en proie aux plus intenses tourments mais elle refusait de s’abaisser à supplier sa fille d’accélérer. Tout ce qu’elle pouvait faire, c’était retenir sa respiration et tenter vainement d’endiguer le plaisir qui la submergeait et qui n’allait pas tarder à la noyer de bonheur …
Mais Erika n’avait pas fini son voyage. Après la vallée de la féminité, sa langue débuta l’ascension du pic masculin. C’était un volcan gigantesque sur le point d’entrer en éruption dont les versants étaient tapissés de miellat aux saveurs musquées et indéniablement mâle. Erika savoura avec délice ce nectar nouveau qui lui piquait le palais et liquéfiait ses tréfonds. La langue escalada langoureusement cette montagne veinée de magma bouillonnant, la faisant trembler d’excitation sous son passage.
Finalement, la jeune fille atteignit le sommet suintant de plaisir contenu et coulant d’envie. Elle plongea son regard dans celui fiévreux de sa mère et enfourna avidement le pilier de chair dans le fond de sa gorge.
Morgane hurla son plaisir incestueux. Elle posa vivement ses mains sur la tête de sa fille et poussa comme si sa vie en dépendait.
Erika ouvrit de grands yeux surpris lorsqu’elle se sentie propulsé en avant. L’épaisse hampe de Morgane s’enfonça dans son gosier sans rencontrer la moindre résistance. La gorge d’Erika se déforma pour accueillir l’énorme sexe de sa mère et, contre toute attente, ce dernier se mit à déverser de puissants jets de sperme libérateurs.
-Aaah ! C’est booonnn ! Cria Morgane en poussant toujours plus contre le crâne de sa fille.
La queue de Morgane était si profondément enfoncée dans la bouche d’Erika que les lèvres de celle-ci touchaient le pubis de sa mère ! Erika n’avait même pas besoin de déglutir pour avaler la semence de Morgane ! Le sperme jaillissait dans sa gorge comme un torrent sans fin.
La jeune fille ne se débattit pas le moins du monde face à cette entrée en force, au contraire, elle joignit ses forces à celles de sa maman pour planter le sexe le plus loin possible dans son gosier assoiffé.
Morgane n’en finissait pas de jouir. Elle criait de bonheur en pressant la tête de sa fille contre son sexe tressautant. Au bout d’un moment qui parut éternel, la bite de Morgane cessa de cracher des flots de sperme et se tarit peu-à-peu.
Erika recula et sortit de sa bouche l’énorme sexe qui ressemblait à présent à un long piton endormi. Il retomba inerte contre le lit tandis qu’Erika et Morgane reprenaient laborieusement leur souffle.
-Co …Comment tu as fait ? Haleta Morgane, encore sonnée par son violent orgasme.
Erika, qui était aussi étonnée que sa mère par cette jouissance subite, se contenta de secouer la tête en signe d’ignorance, trop essoufflée pour parler.
-C’était magique, souffla Juliette qui n’avait fait qu’observer la scène avec envie. Morgane, tu n’as jamais joui aussi fortement et aussi rapidement !-Comment tu as fait ? Répéta Morgane.
Cette fois, la question ne s’adressait pas à sa fille mais plus à elle-même. Comment Erika était-elle parvenue à la faire jouir aussi rapidement ? Même elle n’aurait jamais réussi cet exploit avec ses trois petites femmes …
Comme après chaque séance de baise, Juliette lui tendit une bouteille d’eau qu’elle vida intégralement.Erika en but aussi quelques gorgées.
-Je voulais … juste … te donner du … plaisir … Morgane, répondit Erika en cherchant vivement son souffle.
Mère et fille se regardèrent longuement, un puissant sentiment amoureux les liant. Et puis, presqu’avec douceur, le sexe de Morgane se suréleva. Il gonfla et grossit jusqu’à récupérer son impressionnante taille en position érectile.
-Très bien, sourit Morgane, à mon tour de t’en procurer à présent …
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