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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 34

Etrange découverte

Divers
Chapitre 34 : étrange découverte
-Je ne comprends pas, tu es sûr que ta sœur a éjaculé en toi ?-Mais oui, je t’assure, affirma Cindy avec conviction.-Mais alors comment cela se fait-il qu’il n’y ait aucune trace de sperme ni dans ton vagin ni dans ton anus ? Reconnais que c’est étrange.-Que veux-tu que je te dise ? Je n’en sais rien, c’est toi le scientifique.-Scientifique, approuva Simon, pas gynécologue. C’est strictement impossible que Claire ait joui en toi hier soir et qu’il n’y ait plus aucune trace de cet orgasme en toi ce matin.
Simon se tritura nerveusement le menton pendant qu’il faisait les cent pas dans son laboratoire. Il s’arrêtait par moment pour lorgner l’écran d’un ordinateur et taper quelques mots sur son clavier puis repartait de plus belle dans son interminable ronde.
-Mais il doit bien y avoir une raison ! S’exclama-t-il.-Tout ce que je peux dire c’est que je me souviens très clairement d’avoir senti Claire se déverser en moi.-Bon je vais déjà te faire une prise de sang, ça me donnera peut-être quelques indices sur la mystérieuse disparition de cette fichue semence.
La jeune fille tendit docilement son bras et Simon y préleva une petite quantité de liquide vermeil. Il déversa la seringue dans une machine qui émit un bourdonnement lorsqu’il l’activa. Quelques minutes plus tard, Simon connaissait les composants du sang de l’adolescente mais toujours aucune trace du sperme.
Le chercheur soupira de désespoir.
-J’étais sûr que les filles de Morgane allaient me causer du souci, murmura-t-il pour lui-même.Cindy préféra faire celle qui n’avait pas entendu. Elle admirait toutes les machines qui ornaient cette pièce en se demandant quel pouvait bien être leur utilité.-Il faut que je vérifie quelque chose ! Fit tout à coup Simon en quittant précipitamment le laboratoire.
Il grimpa quatre à quatre les escaliers qui menaient dans la chambre de Claire et y entra sans frapper. Étrangement, la scène qui se présenta sous son regard ne l’émut pas le moins du monde.
Claire se tenait debout au centre de la pièce, nue, et contemplait narquoisement Mathilde et Eugénie qui étaient étalées par terre. Toutes deux, nues elles aussi, souriaient béatement et haletaient comme si elle venait de courir un marathon. Le cul de Mathilde était largement ouvert et du sperme s’en évadait en grande quantité.

Claire lança un sourire charmeur au scientifique qui ne remarqua même pas le double pénis de la jeune fille tant il était pris pas ses problèmes. Il retourna à son laboratoire en claquant rageusement la porte derrière lui.
-Claire a bien du sperme, approuva-t-il lorsqu’il croisa le regard interrogatif de Cindy.-C’est ce que je me tue à te dire depuis une demi-heure !-Mais alors pourquoi n’y en a-t-il aucune trace chez toi ? S’énerva le chercheur.-Mais je n’en sais rien, répliqua Cindy, exaspérée par l’entêtement du chercheur. Tu ne peux pas … je sais pas moi … envoyé une caméra ou quelque chose dans le genre en moi pour voir … ?-Je n’ai pas le matériel nécessaire pour faire ça, répondit Simon avec humeur. C’est du matériel uniquement réservé au médecin. Non ce qu’il me faudrait c’est …
Simon s’arrêta net. Son regard s’alluma subitement comme s’il venait d’avoir une idée.
-Je sais ce qu’on va faire ! Je vais mélanger du sperme à un élément traçable au rayon X. Une fois que je t’aurai inoculé la semence, il n’y aura plus qu’à voir son cheminement.
Cindy réfléchit un moment et finit par hocher la tête.
-Ça me semble être une bonne idée.-Bien sûr que c’est une bonne idée, répliqua le chercheur.-Simon, fit calmement Cindy, tu sais que je n’y suis pour rien, moi. Alors tu vas rapidement te calmer et arrêter de passer tes nerfs sur moi !
Simon déglutit et approuva, penaud.
-C’est vrai, tu as raison. Excuse-moi. C’est juste que je ne connais absolument rien de toi et tes sœurs et j’ai peur que …-Que quoi ?-Je ne sais pas … de l’inconnu probablement.
La jeune fille approuva et agita la main pour dire que tout était oublié. Le scientifique acquiesça et se mit au travail.
Quelque temps plus tard, Cindy était étendue sur une table au-dessus de laquelle se trouvait une étrange machine. La jeune fille était nue et avait écarté les cuisses. Simon s’était placé devant elle et il ne pouvait s’empêcher de penser à ce jour où tout avait commencé. Il revit Morgane à quatre pattes sur le lit, les membres tremblants d’appréhension. C’était il y a dix-huit ans de cela …
Le chercheur s’ébroua comme pour chasser ce souvenir et se pencha au-dessus de la jeune fille. Contrairement à Morgane à l’époque, Cindy n’était nullement gênée par le regard scrutateur de Simon.
Qui pourrait s’en étonner, songea ce dernier, avec l’éducation qu’elle a eue, c’est normal qu’elle ne soit pas intimidée …
Il plaça une seringue remplie de semence traçable à l’entrée du vagin de la jeune fille et y vida son contenu. Il réitéra l’opération dans l’anus de Cindy puis s’approcha de son ordinateur.
-Très bien, ferme les yeux, à présent, lui enjoignit-elle. Cela risque de prendre un moment.
Sur l’écran était représenté le corps de l’adolescente dans une couleur basculant entre le gris et le bleu. Tous ses os ressortaient nettement ainsi qu’une tache pas plus grosse qu’un poing au niveau du pubis : le sperme que venait d’injecter Simon.
-Je vois la semence, annonça le chercheur.
Cindy acquiesça et se laissa bercer par le bip répété de la machine. Les minutes s’égrenèrent. Simon constata avec surprise que la tache se résorbait petit à petit.
-Comment cela se fait-il ? Murmura-t-il en fixant intensément l’écran. Où vas-tu donc … ?
Alors que la tacha blanchâtre disparaissait, le scientifique remarqua une chose étonnante. De fines lignes blanches pareilles à de minuscules rivières parcouraient à présent le corps de la jeune fille. Toutes naissaient à la base de la tache blanche.
-C’est donc ça, fit le chercheur, le sperme est véhiculé par le sang. Mais dans quel but ? Ça n’a aucun sens …
La tache blanche disparut entièrement laissant la place à un grand nombre de traits blanc : le sperme qu’avait injecté Simon était maintenant dans le sang. Le scientifique se tourna vers Cindy.
-Ça va ? S’enquit-il. Tu ne ressens rien d’étrange ?-Non non, répondit simplement Cindy, les yeux paisiblement clos.
Simon riva son regard sur l’écran d’ordinateur. Pour sa plus grande surprise, presque tous les traits blancs avaient disparu.
-Mais … ? Comment est-ce possible ?
Ses yeux sondèrent frénétiquement le corps de la jeune fille à la recherche de … de quoi ? Que cherchait-il au juste ? Il n’en savait rien lui-même. Peut-être une preuve que cette semence ne s’était pas simplement volatilisée.
Comme il restait encore quelques traits blancs, il eut l’idée d’en suivre un. Ce dernier longea le corps, circula par le cœur, passa par le genou, remonta à l’aine, traversa à nouveau le cœur, se perdit dans les poumons avant de rejoindre le ventre puis disparut mystérieusement.
Simon agrippa l’écran, comme s’il ne voulait pas croire ce qu’il venait de voir.
-C’est impossible, s’exclama-t-il.-Quoi donc ? questionna de façon ennuyée Cindy.
Le scientifique ne répondit pas car son regard venait de se poser sur une irrégularité dessinée dans le ventre de l’adolescente. Là, juste en dessous du cœur, avait grossi une petite tache blanche.
-Qu’est-ce que c’est que ça ?
Il eut beau regarder encore et encore cette excroissance, il ne parvenait pas à en déterminer la fonction.
-Ça ne devrait pas être là, ça ! S’énerva-t-il.-Qu’est-ce que ne devrait pas être là ? Demanda Cindy.
Une fois encore, Simon ne répondit rien et s’approcha de la jeune fille. Il posa ses mains sur le ventre de Cindy et palpa minutieusement à la recherche de l’étrangeté.
-Que fais-tu ?-Chut, laisse-moi me concentrer. Détends-toi, si tu bouges, tu contractes tes abdominaux et je ne sens plus rien.-Mais qu’est-ce que tu essaies de sentir ? Fit la jeune fille, exaspérée par les silences du scientifique.
Simon lui intima de se taire ce qui ne fit qu’augmenter la frustration de l’adolescente. Elle se laissa donc tâter en jetant des regards noirs au chercheur.
Malheureusement, Simon ne découvrit rien qui ressemblât à une quelconque excroissance. Il demanda alors à Cindy de se lever et d’aller à une autre machine. Elle obtempéra silencieusement. Elle se tint debout, les bras croisés, ses yeux lançant des éclairs. Le scientifique ne put s’empêcher d’esquisser un sourire devant sa mine renfrognée. Décidément, son corps de rêve n’est pas le seul héritage que lui avait légué Morgane.
-Parfait, ne bouge plus à présent.
Simon retourna à son écran d’ordinateur. Sur celui-ci était à présent représenté le corps de la jeune fille en position debout mais l’on y voyait plus que les organes. Comme cette machine ne permettait pas de détecter l’élément traçable que Simon avait ajouté au sperme, il dut chercher la grosseur qu’il avait aperçue auparavant. Après bon nombre de zoom et de changement d’angle à répétition, il tomba enfin sur ce qu’il cherchait.
Il s’agissait d’une petite poche, comme un estomac miniature, relié à tout un enchevêtrement de faisceaux sanguins, de nerfs et de ganglions lymphatiques. Simon détailla attentivement ce petit sac, se demandant à quoi il pouvait bien servir. Il se doutait que le sperme qu’il avait injecté en Cindy s’était rassemblé dans cette poche mais il ne parvenait tout simplement pas à en comprendre la raison.
-Qu’est-ce que tu vois ? S’enquit Cindy, sortant de son mutisme boudeur.-Je ne suis pas sûr … il faut encore que je vérifie quelque chose …
Simon s’approcha alors de Cindy en retirant son pantalon. Le regard de la jeune fille brilla instantanément de convoitise tandis qu’elle observait le chercheur avancer sur elle avec sa queue en main.
***
Morgane ouvrit difficilement un œil. Elle papillonna des cils pour en chasser la fatigue et sonda les alentours. Couchées sur elle à se gauche se trouvait Erika dont elle ne voyait que la chevelure noire et à sa droite Juliette. Ces dernières dormaient du sommeil du juste dans une nudité des plus érotiques. Elles avaient passé une jambe par-dessus Morgane et leur tête reposait sur son buste.
La jeune femme bougea un peu ce qui fit gémir Erika. Elle tourna la tête vers sa mère et un sourire ravi naquit sur ses lèvres.
-Bonjour.-Bonjour toi, sourit Morgane. Bien dormie ?-La meilleure nuit de toute ma vie, minauda la jeune fille en se penchant pour embrasser sa maman.
Juliette s’éveilla à son tour.
-Coucou les filles, fit-elle langoureusement. Ooh mon Dieu …-Que se passe-t-il ? S’enquit Erika.-Eh bien il y a, ma chère fille, que vous m’avez explosé la rondelle pendant toute la nuit. Ne vous étonnez pas si je boite aujourd’hui.-Ah bon ? S’étonna Erika. Pourtant je n’ai pas mal, moi …-C’est normal, approuva Morgane. Notre cul se recouvre d’une substance lubrifiante quand on est excitée. Ça augmente le plaisir et diminue les frictions. Certaines nuits, Simon avait beau m’enculer pendant des heures et des heures, je ne ressentais aucune douleur le lendemain …-Oh c’est cool ça.-Je ne te le fais pas dire ! S’exclama Juliette dont les traits affichaient une grimace de douleur chaque fois qu’elle bougeait.
Elle se leva comme une petite vieille souffrant d’arthrose et commença à s’habiller. Erika sentit l’excitation la gagner. Elle n’eut qu’à lancer un regard lubrique à Morgane pour que celle-ci approuve en souriant.
-Mais fait vite, alors, se contenta-t-elle de dire en présentant sa croupe.
Erika posa sa main sur la fesse de sa mère et l’écarta tendrement. Elle prit sa queue en main et la dirigea vers l’anus entrouvert qui mouillait déjà d’anticipation. Elle poussa lentement en se collant à Morgane.
-Mmh, gémit celle-ci. Se faire prendre par se fille dès le petit matin, quel pied !-Je ne te le fais pas dire, soupira de bonheur Erika.
Les deux femmes étaient en petite cuillère. La jeune fille passa ses mains autour de sa mère et pressa ses seins avec amour. Morgane, elle, saisit son sexe et le branla avec onctuosité, se calant sur le rythme des va-et-vient d’Erika en elle. La jeune fille déplaça sa main et vint la fourrer entre les cuisses de sa mère. Ses doigts trouvèrent immédiatement l’abricot trempé de Morgane et une bouillonnante moiteur l’accueillit.
-Oh oui … gémit cette dernière. Vas-y, baise-moi!
Erika doigta sa mère pendant que sa hampe en feu comblait le vide de son cul. Ses doigts accéléraient la cadence tandis que le puits d’amour de Morgane libérait des quantités faramineuses de chaude cyprine.
-Mmh c’est bon !
L’anus de Morgane accueillait avec jouissance l’imposante queue de sa fille. Les profondes pénétrations qu’il subissait écartaient ses parois intimes avec délectation. Morgane ouvrit les cuisses, laissant le champ libre pour les doigts d’Erika.
Celle-ci sauta sur l’occasion et se mit à doigter sa mère avec entrain.
-Ah ! Maman, je vais jouir, ahana la jeune fille.-Oui … oh ! Moi aussi ! Plus vite !
Erika ne se le fit pas prier. Sa queue se transforma en véritable marteau-piqueur pendant que ses doigts, comme animés d’une vie propre, violentaient l’intimité détrempée de Morgane.
-Oh mon Dieu ! C’est boooon.-Oh ton cul, Morgane ! Putain, c’est dingue !
Les claquements des corps nus s’entrechoquant résonnaient dans la pièce. Morgane fut la première à jouir. Son anus se contracta autour de la queue d’Erika, sa chatte propulsa de longs jets de mouille qui inondèrent le lit et sa bite fut saisie de soubresauts avant de se déverser entièrement. Le sperme vint s’étaler sur le corps tendu de Morgane et nappa avec régal ses seins, son cou, son ventre et son visage.
-Oooh Ouuii ! S’extasia-t-elle.-Oh Morgane, ton cul me coupe la queue !
Erika s’enfonça dans les tréfonds de sa mère avant de se faire emporter à son tour par un puissant orgasme. Elle se déversa avec un plaisir fou dans le cul de Morgane en poussant le plus loin possible.
Elles restèrent en position cuillère, chacune profitant de la chaleur de l’autre. Au bout d’une dizaine de minutes, Erika se retira de la chaude grotte de sa mère et vint se placer au-dessus d’elle. Elles se regardèrent avec amour et l’adolescente entreprit de faire la toilette de Morgane. Elle pourlécha avec délice toutes les traces de sperme présentent sur le corps transpirant de la jeune femme. Par moment, elle portait ses lèvres contre celles de Morgane et mère et fille échangeaient alors un langoureux baiser gluant de sperme.
Quand elle eut fini, Erika s’étira et entreprit s’habiller.
-Je vais voir Claire, annonça-t-elle. Je suis impatiente de voir si elle aussi peut avoir une érection.-Attends-moi. Je veux aussi savoir.
Elles entrèrent sans frapper dans la chambre de Claire. La stupéfaction la plus totale se peignit sur leurs traits lorsqu’elles virent le spectacle qui se déroulait sous leurs yeux.
Claire était debout au milieu de la pièce, en habit d’Eve. Sa peau blanche et nue contrastait grandement avec le ton plus foncé de la chambre. Mais ce n’est nullement sa nudité qui effarait autant Morgane et Erika.
Agenouillée sur le sol, Mathilde et Eugénie, nues elles aussi, taillaient une pipe des plus appétissantes à l’adolescente. Mais le plus choquant, c’est que chacune d’elles avait une queue en bouche ! Claire avait deux sexes masculins !
Les deux femmes qui venaient de faire leur entrée ouvraient la bouche en un cri muet d’étonnement. Claire tourna la tête dans leur direction et leur servit une expression béate. Elle caressait les cheveux des deux mamans qui s’échinaient avec application sur ses queues en érections.
-Morgane, Erika, venez vous joindre à nous.
Morgane et sa fille n’en revenaient toujours pas. Elles se regardèrent avec ébahissement puis baissèrent leurs yeux sur leur pantalon où grossissait lentement leur sexe respectif.
***
-Comment ça, tu n’as rien ressenti ? -Je n’en sais rien moi ! Je préfère sûrement les queues de mes sœurs.-Tu dis ça pour me vexer ?-Non, pas du tout. J’essaie de comprendre moi aussi.
Simon cacha sa grimace frustrée derrière une mine inquiète. Il venait de baiser Cindy mais, d’après elle, elle n’avait rien ressenti. Aucun plaisir.
-Quand tu dis « rien ressenti », tu veux dire absolument rien ou bien tu sentais que j’étais en toi quand même ?-Oui, oui, je sentais ta bite s’enfoncer dans mon vagin. Il y avait du frottement et tout mais … je n’ai pas eu de plaisir.
Simon réfléchit un moment avant de poser une autre question :
-Mais, hier, qu’as-tu ressenti avec Claire ?
Immédiatement, les yeux de Cindy s’illuminèrent au souvenir de ce moment magique.
-C’était … la plus belle nuit de ma vie.-Tu crois que … c’est parce que je suis un homme ? Demanda Simon en se grattant le crâne.
Cindy haussa les épaules en signe d’ignorance.
-Bon, on verra ça plus tard. Pour le moment, occupons-nous de l’espèce de glande que tu as sous le cœur.
Le chercheur retourna devant ses écrans d’ordinateur et analysa minutieusement les schémas qui y apparaissaient. Sa mine s’assombrit.
-Je pense savoir quel est le problème, annonça-t-il.
La jeune fille comprit à l’expression de Simon que ce n’était pas une bonne nouvelle …

Le scientifique ouvrit la porte de la chambre de Claire d’où s’échappait un concert de gémissements orgasmiques. Il entra et regarda, consterné, ce qui se déroulait devant lui.
Mathilde et Eugénie étaient couchées sur le sol et étroitement enlacées. Morgane et Erika en sodomisaient toutes les deux une pendant que Claire se faisait sucer ses deux queues en même temps. Chacun de ses membres virils était goulûment pompé par une maman en chaleur et couverte de transpiration tant leur effort était intense.
Morgane et Erika n’y allaient pas de main morte. Elles s’enfonçaient dans l’anus des deux femmes avec force et accompagnaient leurs coups de boutoir de feulements de plaisirs.
Une véritable orgie se déroulait sous les yeux du chercheur. Malgré lui, il sentit un début d’érection poindre et dut mobiliser toute sa concentration pour retrouver son calme. Cindy, qui avait pris le temps de se rhabiller, arriva et sourit immédiatement. Elle reconnaissait bien là sa famille …
-Cindy n’est plus capable de ressentir de plaisir, lâcha Simon suffisamment fort pour se faire entendre.
Peu à peu, les gémissements s’éteignirent laissant place à un silence médusé. Les six femmes avaient tourné leur regard vers le scientifique, les yeux remplis d’incompréhension. Même Cindy n’était pas au courant de ce que venait d’annoncer le chercheur. Elle pensait que ce phénomène ne s’était produit qu’une seule fois et qu’il ne risquait pas de se réitérer …
-Que veux-tu dire ? Finit-elle par demander.-Oui, explique-toi Simon, ordonna Morgane et se retirant de Mathilde.
Elle était nue, les poings sur les hanches, la queue fièrement dressée et lorgnait son ami avec autorité. Simon afficha une mine affligée.
-J’ai analysé Cindy. Son système nerveux est tellement endommagé au niveau du pubis qu’il ne parvient plus à faire passer l’information. Elle ne peut plus être excitée ni ressentir de plaisir.-Mais … comment est-ce possible ? S’ébahit la jeune fille. J’ai eu un orgasme hier soir avec Clair.-C’est précisément cela qui a causé la perte de ton plaisir …
Cindy lança un regard de détresse à sa sœur.
-Co … comment ? Demanda-t-elle, les yeux embués.-Ton corps n’était pas préparé à recevoir une telle décharge hormonale. Ta transformation n’était même pas entamée.
La pauvre fille mit sa main devant sa bouche. Une larme roula sur sa joue. Morgane la serra contre son cœur et lui caressa tendrement les cheveux. Cindy se laissa bercer en pleurant silencieusement.
-Je suis désolé, ajouta Simon.
L’adolescente se dégagea doucement et sortit, les épaules saisies de tremblements irrépressibles. Le silence gagna la chambre tandis que tous les regards se tournaient vers Claire. Elle voulut dire quelque chose mais se ravisa.
-Nous te punirons demain, lâcha Morgane avant de s’en aller.
Eugénie, Mathilde et Erika la suivirent, laissant Claire seule dans sa chambre.
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