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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 38

Un grand pouvoir implique ... de niquer sa race! (Partie 1)

Divers
Chapitre 38 : Un grand pouvoir implique … de niquer sa race ! (Partie 1)
Erika s’ennuyait au cours. L’auditoire entier retranscrivait silencieusement ce que la prof racontait sauf elle qui ne parvenait pas à se concentrer. Tout ce que Simon leur avait appris la veille lui trottait dans la tête.
Alors comme ça, elle avait hérité d’un fabuleux pouvoir. Celui de faire jouir les gens à distance. C’était terrifiant mais aussi follement excitant ! Elle ne savait pas encore comment il fonctionnait et il lui tardait de pouvoir s’en servir. Simon lui avait promis qu’il l’aiderait à le maîtriser et elle attendait avec impatience le moment où elle pourrait enfin l’essayer.
Mais alors qu’elle se disait cela, une idée lui vint à l’esprit. C’était tellement évident qu’elle se demandait pourquoi elle n’y avait pas songé avant. Pourquoi ne pas utiliser son pouvoir maintenant ? Qu’est-ce qui l’en empêchait ? Personne ne saurait que c’était elle …
Son regard balaya le vaste auditoire à la recherche d’une proie potentielle et ses yeux se fixèrent presque d’eux-mêmes sur … la prof ! C’était une cible idéale. Elle espérait seulement qu’elle ne se trouvait pas trop loin pour que son pouvoir la touche …
Elle jeta un coup d’œil à droite et à gauche pour s’assurer que personne ne lui prêtait attention, puis couvrit son bassin avec sa veste afin de camoufler l’éventuelle érection qu’elle risquait d’avoir. Elle mobilisa ensuite toute sa concentration et se mit à fixer avec une rare intensité la prof qui déblatérait son cours sans se douter de ce qui se tramait …
Au bout d’une minute, elle était déjà grandement excitée et se félicitait d’avoir pensé à cacher son sexe. Cependant, la prof ne faisait montre d’aucun symptôme dû à l’excitation et poursuivait les explications de son cours avec monotonie. Erika se concentra davantage.
Au bout de cinq longues minutes à fixer intensément la prof, la jeune fille commença à fatiguer et elle se mit à douter quant à ses chances de réussite. Elle s’apprêtait à abandonner lorsque la fille assise juste devant elle se mit subitement à pousser de terribles gémissements. Elle fut saisie de tremblements incontrôlables et ses deux voisines s’empressèrent de l’aider, croyant qu’elle faisait un malaise.
-Virginie ! Qu’est-ce qui ne va pas ? S’alarma l’une d’elle. Tu ne te sens pas bien ?-Oooh mon Dieuuuu … gémit la jeune fille.
Ensuite, tout se passa très vite.
L’adolescente assise devant Virginie fut à son tour saisie de tremblements, puis le jeune homme devant elle aussi. La prof ainsi que tout l’auditoire observaient avec effarement ces trois personne se contorsionner follement sur leur siège. Les deux filles geignaient et bavaient tandis que le garçon s’était plié en deux et contractait sa mâchoire avec force tout en poussant des grognements incontrôlables.
-Mais que se passe-t-il ? S’exclama la prof qui ne comprenait rien à la situation, tout comme le reste des élèves.
Subitement, l’enseignante poussa un cri de surprise et tomba à genoux. Elle se recroquevilla sur elle-même et se mit à pousser de langoureux gémissements à travers tout l’auditoire. Plusieurs élèves dégainèrent aussitôt leur portable pour filmer l’improbable scène qui se déroulait sous leurs yeux.
-Aaah ouiii ! Bava-t-elle. Ouaaaaah !!
Elle se roula en boule sur le sol et enfouit vivement ses mains entre ses jambes. Elle était prise de violents spasmes. Ses jambes brassaient furieusement le vide tandis que ses doigts ne lâchaient pas son intimité.
-Qu’est-ce qui se passe ? Questionnaient certains élèves. Qu’est-ce qui lui prend ?
Erika relâcha tout à coup la pression et les quatre personnes qui étaient en plein orgasme se calmèrent peu-à-peu. Ils reprirent doucement conscience et se retrouvèrent face à une centaine de paires d’yeux qui les considéraient avec effarement. La prof se dressa avec difficulté sur ses jambes flageolantes et lança des regards perdus tout autour d’elle.
-Le … le cours est terminé, bafouilla-t-elle avant de s’enfuir en triple vitesse de l’auditoire.
Un brouhaha sans nom jaillit subitement. Tout le monde voulait donner son avis à propos de ce qui venait de se produire. Ça jacassait dans tous les sens et Erika en profita pour s’éclipser discrètement, un sourire satisfait plaqué sur les lèvres.
Elle y avait peut-être été un peu fort. Elle ne s’attendait pas à en faire jouir quatre en un coup mais elle était assez fière de l’effet produit. Alors qu’elle marchait pliée en deux pour masquer son érection, elle croisa le chemin de la jeune fille qui se prénommait Virginie et qui était la première à avoir jouis. Celle-ci rasait honteusement les murs et elle la vit s’engouffrer dans les toilettes.
Erika eut un sourire carnassier et entra à sa suite. Elle eut tout juste le temps de voir la porte de l’un des cabinets se refermer. Elle s’en approcha et entra sans frapper. Virginie était assise sur la cuvette des WC. Elle sursauta quand elle aperçut l’intruse et retira vivement ses doigts d’entre ses cuisses, embarrassée d’avoir été prise la main dans le sac … sans mauvais jeux de mots.
-Hey ! Qu’est-ce que tu fais ? S’exclama-t-elle. Sors d’ici !
Sans quitter Virginie des yeux, Erika verrouilla la porte derrière elle et se pencha en avant. La jeune fille recula autant que le sièges des toilettes le lui permit.
-Tu te doigtais, l’accusa Erika, comme s’il s’agissait d’un crime.-N … non je … Non …-Tu viens de jouir devant tout le monde et tu en redemandes …-C’est faux, je … j’avais … je n’ai pas …
La pauvre Virginie bégayait en cherchant ses mots et le regard scrutateur d’Erika la mettait atrocement mal à l’aise. Leur visage était à présent à quelques centimètres à peine l’un de l’autre.
-Tu es une vraie dépravée !
Virginie ne sut que répondre. Elle affichait une mine alarmée et gigotait dans tous les sens. Erika dévoila ses canines blanches ce qui eut pour effet d’exacerber la honte de la jeune fille.
-Je n’ai rien fait … je ne voulais pas …
Erika la fit taire en l’embrassant fougueusement. Virginie se laissa faire, trop surprise que pour réfléchir à quoi que ce soit. Elle sentit une main intrusive se glisser sous sa ceinture et, une fois encore, elle se laissa faire. Elle-même ne savait pas si elle réagissait ainsi parce qu’elle était pétrifiée de honte ou bien si c’était parce qu’elle en avait cruellement envie …
Erika glissa un doigt dans le vagin détrempé de la jeune étudiante qui gémit doucement.
-Chuuut, lui susurra-t-elle au creux de l’oreille. Tu ne voudrais quand même pas qu’on nous entende …-N … non, gémit-elle.
Elle haletait grandement et s’agrippait aux épaules d’Erika comme s’il s’agissait d’une bouée de sauvetage. L’ainée de Morgane approuva du chef et se remit à l’embrasser. Son sexe masculin était dur comme du bois et elle mourrait d’envie de l’utiliser.
Elle déboutonna le jeans de Virginie et l’abaissa fiévreusement. Cette dernière l’aida avec impatience en soulevant ses fesses et en glissant son pantalon au niveau de ses chevilles. Leurs halètements se mêlaient follement tandis que les doigts d’Erika taquinaient sournoisement le fin tissu de la culotte de la jeune fille.
Virginie n’en menait pas large. Elle tentait tant bien que mal de faire taire ses gémissements mais les caresses d’Erika contre son entrejambe la faisaient littéralement fondre. Elle écarta les cuisses démesurément malgré le fait que ses chevilles étaient entravées par son jeans. Ses yeux supplièrent silencieusement Erika d’aller plus loin mais celle-ci se contenta de lui répondre par un sourire des plus érotiques.
Virginie se mordit la lèvre pour s’empêcher de gémir. Erika s’agenouilla et huma avec délice les effluves épicées qui s’échappaient de la moite intimité de l’étudiante. Elle fit poindre sa langue et la fit courir sournoisement le long du tissu détrempé de mouille. Virginie se sentit défaillir et due mordre dans son poing pour étouffer ses couinements de plaisirs.
Erika sourit malicieusement et réitéra son geste avec une lenteur calculée. Pendant qu’elle était accroupie, elle défit son pantalon et sortit son sexe gonflé d’envie. Étant hors du champs de vision de Virginie, cette dernière ne l’aperçut pas. Elle était de toute manière bien trop accaparée par son propre plaisir… Sous le coup des caresses linguales d’Erika, elle avait rejeté la tête en arrière et semblait pousser un cri silencieux vers le ciel.
En un rapide mouvement, Erika lui ôta le bout de tissus trempé qui lui servait de culotte et positionna aussitôt son imposant sexe contre son puit largement ouvert. Virginie baissa son regard vers cette chose dure et agréablement chaude qu’elle sentait contre son intimité et ses yeux s’agrandirent de stupeur.
La queue d’Erika lorgnait de son œil unique et gonflé son vagin. Ce dernier paraissait tout-à-coup minuscule face au python qui se dressait face à lui.
-Mais qu’est-ce que … Non ne …
Erika poussa.
Son sexe déjà grandement lubrifié rentra en Virginie avec une aisance désarmante et s’y enfonça profondément, comme un serpent irait s’engouffrer dans un terrier trop petit pour lui. Virginie contint difficilement le gémissement orgasmique qui lui monta à la gorge et s’arrima solidement à celle qui la pénétrait si puissamment. L’énorme sexe élargit presque sans résistance le petit trou de l’étudiante qui sembla sur le point d’exploser de bonheur.
Erika buta soudainement contre le fond de Virginie. Elles s’observèrent, le souffle court et le cœur battant la chamade. Un sourire ébahit naquit sur les lèvres de la jeune fille dont le con était délicieusement étiré par un gigantesque braquemard. Erika l’embrassa et entama langoureusement de torrides va-et-vient.
-C’est trop bon, s’extasia le plus silencieusement possible la jeune fille qui se faisait prendre.
Virginie se sentait défaillir à chaque perforation. Elle écarta les cuisses largement pour qu’Erika puisse la ramoner le plus loin possible. À chaque fois que celle-ci s’introduisait en elle, elle sentait le membre veiné écarteler ses chaires et plonger au plus profond d’elle, lui arrachant à chaque fois de silencieux gémissements.
Tout à coup, un groupe de fille entra dans les toilettes en jacassant comme des poules de basse-cour. Elles parlaient de ce qui venait de se produire dans l’auditoire.
-Nan, mais j’aurais trop honte quoi ! T’as vu ce qu’elle a fait ?-Ouais, c’est vraiment dingue ! Regarde, Joe a mis la vidéo sur insta …
S’ensuivit alors un concert de rires et d’exclamations incompréhensibles.
-Mais j’hallucine quoi !
Erika lança un regard complice à sa partenaire et continua à la baiser avec tendresse. Virginie l’enlaça fortement et mordit même dans son top pour ne pas se faire entendre. Elle mourrait d’envie d’hurler son plaisir : cette bite qui la bourrait la rendait littéralement dingue.
-Les filles, les filles ! Regardez ça ! J’ai réussi à filmer Noémie, Virginie et Greg quand ils ont commencé à gémir. Non mais regardez leur gueule ! On dirait qu’ils sont en plein orgasme !
Rires et moqueries jaillirent dans tous les sens tandis que les étudiantes regardaient la vidéo que leur montrait leur amie.
Virginie ouvrit de grands yeux lorsqu’elle entendit son nom et elle mit sa main devant sa bouche en comprenant de quoi il s’agissait. Alors qu’elle se faisait divinement ramoner la chatte, elle comprit que sa réputation allait prendre un sacré coup dans l’aile après cette désastreuse aventure. Ce fut peut-être à cause d’un manque de vigilance de sa part ou bien du plaisir trop intense mais Virginie laissa échapper un gémissement. Léger, presque discret. Malheureusement, il fut suffisamment audible pour que les filles dehors le perçoivent et cessent aussitôt de ricaner.
-Vous avez entendu ? Fit l’une d’elles.-Oui, ça venait de là …
Virginie plaqua sa main contre sa bouche. Elle lança un regard horrifié à Erika qui avait cesser tout mouvement. Celle-ci lui servit un coup d’œil sévère dans lequel brillait une lueur d’appréhension.
-Il y a quelqu’un ? Appela l’une des filles.
Erika fit signe à sa conjointe de répondre.
-O … Oui. C’est moi. C’est Virginie.-Virginie ? Mais qu’est-ce que tu fous ? Tu te doigtes ou quoi ?
Les autres rirent sous cape.
-Non … je … je fais pipi.-Depuis quand faire pipi ça te fait gémir ? Je suis sûre que t’es en train de te branler ! T’avais l’air de te mettre bien dans l’auditoire ! Tu veux un coup de main ?
Erika entendit un bruit contre la porte des toilettes et vit avec horreur le loquet tourner sur lui-même. Elle dégagea son sexe du vagin de Virginie et se précipita sur le verrou. Malheureusement, elle ne l’atteignit jamais.
La porte s’ouvrit à la volée dévoilant trois filles hilares, la caméra de leur téléphone pointée sur elles deux …

***

Morgane rentra chez elle l’esprit apaisé. L’infirmière que s’était tapée sa fille ne comptait rien dire de toute cette histoire et elle était même prête à garder l’enfant. Pour cela Morgane lui avait d’abord proposé de l’argent, il lui en restait beaucoup de sa petite combine avec la richissime Isabella, mais Laurence ne s’était pas laissée convaincre. Elle doutait de pouvoir s’occuper d’un enfant à elle seule.
-Si tu le gardes, avait alors tenté Morgane, tu pourras passer de temps en temps à la maison … J’ai trois filles comme Erika, si tu veux tout savoir …
Dès lors, la jeune infirmière n’avait plus hésité un seul instant. Elle avait certifié qu’elle garderait l’enfant et qu’elle l’élèverait avec tout l’amour dont elle disposait. Morgane avait souri et s’en était allée, soulagée par la décision de Laurence.
Elle rentra dans son salon, déposa ses affaires et trouva Eugénie assise à la table à manger.
-Coucou mon cœur, tu vas bien ?
Eugénie tourna vers elle un regard vide de toute expression.
-Quelque chose ne va pas ? S’inquiéta immédiatement Morgane. Que s’est-il passé ?
Pour toute réponse, la maman de Cindy tendit un bout de papier sur lequel étaient gribouillés quelques mots :
« Chères mamans, chères sœurs, cher Simon,
Je suis partie. S’il vous plaît, ne m’en voulez pas. Je reviendrai un jour. En attendant, n’essayez pas de me retrouver, c’est mieux ainsi.
Je vous aime,
Cindy »
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