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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 43

Sabrina (suite)

Divers
— Bonjour, je m’appelle Sabrina, sourit la jeune femme. Suis-je bien chez Morgane Shem ?— Oui, c’est ma mère, approuva Erika.— Ah très bien, tu dois être l’une de ses filles dans ce cas. Laisse-moi deviner ... Avec tes cheveux noirs tu dois être Erika. Et toi, tu es Claire, c’est bien ça ?
Les deux sœurs étaient médusées. Elles se regardèrent sans comprendre avant de reporter leur attention sur Sabrina.
— Vu les têtes que vous faites, ce doit être exact, rigola Sabrina. Vous pourriez me dire où se trouve votre mère, j’ai à m’entretenir avec elle.— Heu ... je ... je vais la chercher, lança Claire qui ne s’était pas encore totalement remise de sa surprise.
Sabrina et Erika se retrouvèrent seules. Passé un moment gênant, Erika se racla la gorge :
— Alors, comment est-ce que tu Morgane ?— Je ne la connais pas, avoua Sabrina.— Ah bon, mais qu’est-ce que tu lui veux, dans ce cas ?— Oh juste discuter avec elle ...— Et comment tu nous connais, ma sœur et moi ?— On m’a beaucoup parlé de vous.— On ? Qui est ...— Ecoute, j’adorerais répondre à toutes tes questions mais c’est avec Morgane que j’aimerais discuter, coupa Sabrina.
Erika se rembrunit. Elle hocha la tête d’un mouvement sec et croisa les bras. Elles attendirent ensuite dans un silence pesant.
— Oui, c’est pourquoi ? Demanda Morgane lorsqu’elle entra dans le hall d’entrée. — Bonjour, je m’appelle Sabrina. Y aurait-il un endroit où l’on pourrait discuter tranquillement ?
Morgane lança un coup d’œil à Claire et Erika qui étaient visiblement outrées par les paroles de la visiteuse avant de reporter son attention sur celle-ci.
— Si vous avez quelque chose à me dire, vous pouvez parler librement. Je partage tout avec mes filles.
Sabrina parut contrariée par cette réponse mais elle le masqua bien rapidement derrière un sourire compréhensif.
— Bien, je ne passerai pas par quatre chemins, votre fille, Cindy, est actuellement chez moi.— Quoi ? S’exclama Erika. Où est-elle ?— Comment va-t-elle ? Est-ce qu’elle nous en veut ? Questionna Claire.
Sabrina leva une main impérieuse et le silence revint peu-à-peu.
— Elle va bien. Je m’occupe parfaitement d’elle.— J’imagine que tu n’es pas ici que pour nous dire cela, argua Morgane en adoptant la même pose que sa fille aînée.
Les bras ainsi croisés, elle était tout de suite plus intimidante. Malheureusement, ça ne parut faire aucun effet à la jeune rousse qui conservait un masque serein.
— Non, en effet. Cindy est une fille géniale. Elle est douce et attentionnée et sait faire montre d’une grande patience ...— On connait notre sœur, murmura Erika entre ses dents.
Sabrina n’y prêta pas garde et poursuivit :
— Cependant, elle est aussi d’une extrême sensibilité. Lorsque je l’ai rencontrée, elle était perdue et ne savait plus du tout qui elle était. Je l’ai recueilli et j’ai pris soin d’elle parce que c’est tout ce dont elle avait besoin. J’essaie de la remettre sur pied mais ...
Subitement, son ton se durcit et elle désigna d’un doigt accusateur la famille de Morgane :
-... vous brisez tout mon travail !— Pardon ?— Parfaitement ! Je lui parle et je la réconforte autant que je peux mais chaque fois qu’elle reçoit un message de votre part, elle sombre davantage dans la dépression.— Tu oses m’accusez de ...— Tout ce que je souhaite, c’est le bonheur de Cindy, asséna Sabrina avec autorité. Comme vous ... Seulement, pour l’instant, elle a besoin de recul et de calme. Vous ne faites que l’enfoncer quand vous la supplier de rentrer.
Le silence revint. Morgane sentait la colère bouillir en elle mais son instinct maternel lui soufflait de se calmer. Elle jeta un coup d’œil à ses deux filles qui semblaient aussi furieuses qu’elle. Elle prit une grande inspiration et souffla.
— Où se trouve mon enfant ?— Si elle voulait vous le dire, ça serait fait depuis longtemps.
Nouvelle inspiration. Morgane tentait de faire taire sa colère.
— Comment va-t-elle ?— Elle va bien. Mieux en tout cas que lorsque je l’ai rencontrée.— Je veux lui parler.— C’est impossible, répondit Sabrina. Son état ne ferait que s’aggraver. — Laisse-nous lui parler, intervint calmement Claire. Je suis sure qu’elle nous comprendra.— Je suis désolé, mais c’est non. Si vous aimez réellement Cindy, laissez-la prendre le recul dont elle a besoin. Tout ce que je vous demande, c’est de la laisser tranquille le temps qu’elle récupère. Je vais y aller à présent, j’ai dit tout ce que j’avais à dire. J’espère que le message est passé ...
Erika était folle de rage. Qui était cette fille qui entrait chez elles pour leur faire des reproches et les menacer ? Qui était-elle pour juger de ce qui était bon ou mauvais pour Cindy ? Qui était-elle pour leur interdire quoi que ce soit ?
Sabrina avait sa main sur la poignée de la porte d’entrée lorsque l’aînée de Morgane lâcha d’une voix inquiétante :
— Oh non, tu n’iras nulle part !
Et elle déversa tout son pouvoir. Jamais encore elle n’avait utilisé ses incroyables facultés à une telle ampleur. Elle sentit avec une dangereuse acuité le flot d’hormones jaillir hors de son corps en vagues déferlantes et se ruer sur la jeune rousse à une vitesse terrifiante. L’air entre les deux filles ondula comme sous l’effet d’une violente chaleur.
Sabrina se tourna calmement vers Erika. Elle la regarda longuement, sans rien dire. Ensuite, elle lui sourit narquoisement et s’en alla sans un mot de plus.
La jeune fille resta là, les bras ballants, à se demander ce qui venait de se produire.

***

Suite du journal de Sabrina.
« Dès que je L’ai vue, j’ai su qui elle était. Elle n’avait pas de nom à proprement parler et j’étais intimement persuadé d’être la première personne à qui Elle s’est présentée. Mais je La connaissais malgré tout.
Déesse.
C’est ainsi que j’ai décidé de l’appeler. Sa beauté transcendante me hante encore aujourd’hui et les mots qu’Elle m’a adressés résonnent en moi comme un puissant glas. « Je compte sur toi. »
Déesse comptait sur moi et je n’allais pas La décevoir. Oh non, s’en était terminé de la gentille Sabrina qui récite bêtement ses prières auxquelles elle ne croit plus depuis longtemps. Terminé la Sabrina qui chante les louanges d’un dieu qu’elle méprise.
Déesse m’a éveillée. Je prenais enfin les choses en main ...
Depuis toute petite, je vois des choses que les autres ne voient pas. La lumière, comme je l’appelais autrefois. Je n’avais jamais bien compris ce que c’était. J’ai même cru pendant un moment que je pouvais distinguer l’âme des gens. Rien n’est moins faux !
Lorsque Déesse m’a éveillée, j’ai compris de quoi il s’agissait. C’est le désir sexuel ! Plus une personne est lumineuse, plus elle veut du sexe, plus elle est en manque. C’est également à ce moment que j’ai compris que sœur Elise était une vraie nymphomane, et cela m’a énormément plu ...
J’étais assise à table, je mangeais un bouillon de poule et du pain et je me plaisais à observer les sœurs avec cette nouvelle vision. Je voyais telle sœur lorgner rêveusement le cul de sa camarade, cette autre religieuse qui brillait ardemment et dont le regard était verrouillé sur sa cuillère en bois. Je suis presque sure qu’elle ne désirait qu’une chose : se goder avec !
— Alors, comment vas-tu, sœur Sabrina ? Qu’est-ce que ça fait d’avoir dix-huit ans ?
Comme à son habitude, sœur Elise était rayonnante. Dans tous les sens du terme ...
— Eh bien, je me sens ... je ne sais pas ...— Oui, je sais, c’est une bête question. Evidemment qu’une personne ne change pas du jour au lendemain simplement parce que c’est son anniversaire.
Tu ne sais même pas à quel point c’est faux, pensais-je en mon fort intérieur. Mais j’ai préféré hocher la tête en souriant.
— En tout cas, j’ai la majorité sexuelle, à présent ! M’écriais-je.
C’est alors qu’un surprenant phénomène est survenu. L’espace d’une seconde, la luminosité de sœur Elise a lui plus intensément. L’instant d’après, elle récupérait son éclat habituel.
— Oui, c’est vrai ! Rigola celle-ci. Tu peux faire ce que tu veux ...
Que venait-il de se passer ? Cela ne s’était jamais produit auparavant. Alors qu’est-ce qui ... Et soudain, j’ai compris. C’était limpide ! Cependant, il fallait que j’en aie le cœur net.
— D’ailleurs, en parlant de ça, fis-je en prenant un air innocent, j’aimerais vraiment perdre mon pucelage mais je ne sais pas comment m’y prendre ...
Et ça se reproduisit ! Lorsque j’ai prononcé le mot « pucelage », sœur Elise s’est subitement « allumée » mais cette fois-ci, l’intensité de sa lueur a perduré. Elle me regardait avec, dans les yeux, de la surprise mais aussi autre chose, comme du désir. Je pouvais donc augmenter la luminosité des sœurs en les excitant !
— Tu veux perdre ton pucelage ? Mais pourquoi ? S’enquit-elle.— Eh bien, j’ai dix-huit ans, je suis une femme et j’aimerais connaître le plaisir charnel ...
Je mentais, bien évidemment. J’avais offert ma première fois à mon seul et unique amour : Déesse. J’avais dit cela dans le but de voir la réaction de ma grande amie. Celle-ci se mit à réfléchir. Je riais sous cape parce que plus elle méditait, plus je voyais sa lumière augmenter. Probablement que l’idée de m’aider à perdre mon pucelage l’excitait énormément ...
— Bon, écoute, me dit-elle en s’approchant de mon oreille. Ce soir, si tu veux, je ...— Non, la coupais-je. Maintenant !
Sœur Elise était à présent aussi rayonnante qu’une étoile. Je me forçais à ne pas plisser les yeux tant elle était excitée. Elle me regarda la bouche grande ouverte.
— Maintenant ?
Je hochai la tête.
— Mais ... et la prière du matin ? Et les chants de midi ? Et ...— C’est maintenant ou jamais.
En une seconde, sa décision fut prise. Elle me prit par la main et m’emmena dans le confessionnal. Sa respiration était haletante.
— Bon heu ... retire ta robe.— Attends, je préfère que tu ne regardes pas ...
Je disais cela parce que je ne voulais pas qu’elle voie mon sexe d’homme. Celui-ci était en érection et je le plaquais contre mon ventre pour le camoufler le plus possible.
— Oh, d’accord, accepta sœur Elise en nouant impatiemment un châle autour de ses yeux. Voilà, je ne vois plus rien.— D’accord. Je me retourne et je te laisse faire ... Si tu veux, je pourrai faire la même chose pour toi juste après.
J’ai mis mes mains contre la paroi de bois et j’ai attendu avec une légère appréhension. C’est vrai que j’étais moi aussi très excitée, il s’agissait quand même de ma première fois avec une femme autre que Déesse.
Elle a commencé par me palper les fesses. C’était assez agréable, je dois dire. Surtout la façon qu’elle avait de les écarter tout en les serrant avec force. Je sentais mon petit anus s’ouvrir et ma chatte se liquéfier doucement.
— Mmh ! Oh mon Dieu, quel cul ! Murmura-t-elle.
Je tenais toujours mon sexe dressé contre mon ventre et je ne pus m’empêcher de jouer avec. Je le décalottai et le recalottai compulsivement, au rythme des caresses de sœur Elise.
Cette dernière souleva ma robe et fit glisser un doigt tout le long de ma raie. Ma culotte s’imbiba immédiatement de ma mouille et je ne sus retenir un léger couinement.
— Shhht, me susurra langoureusement la sœur.
Elle colla sa poitrine contre mon dos et refit passer son doigt entre mes fesses.
— Tu aimes ?
Oh oui, j’aimais ça ! Bordel mais qu’est-ce que c’était bon !
Elle mit toute sa main au niveau de mon con et le massa comme une experte. Une chose est sure, c’est qu’elle savait s’y prendre ! Ma culotte était le seul rempart présent entre elle et moi mais cela ne l’empêchait pas de me procurer beaucoup de plaisir.
L’une de ses mains dériva délicieusement le long de ma taille et empoigna mon sein droit. Je sursautai de désir et elle se mit à pincer mon téton. J’avais très envie de gémir mais je me retenais de toutes mes forces.
— C’est bon ! Haletai-je.
Elle embrassa tendrement le creux de mon cou.
— Même dans mes rêves les plus fous je n’aurais pu espérer pareille chose, murmura-t-elle.
Avec douceur, elle s’empara de ma main libre et la guida entre ses jambes. Elle souleva sa robe, baissa sa culotte et posa mes doigts sur sa chatte détrempée. C’était extrêmement moite et chaud mais en plus de cela il y avait ...
— C’est ... c’est dur ? m’étonnai-je. Qu’est-ce que c’est ?
Sœur Elise dévoila ses canines dans un sourire lubrique. Elle poussa son bassin en avant, m‘encourageant ainsi à trouver la réponse par moi-même. Comme j’étais toujours dos à elle afin de lui cacher ma queue, je devais palper derrière moi à l’aveugle ce qui n’était pas chose aisée.Maladroitement, j’ai tenté de comprendre ce que je touchais lorsque la lumière s’est faite dans mon esprit.
— Un gode ! M’exclamai-je tout bas.
Je comprenais mieux, à présent, pourquoi sœur Elise était si lumineuse ... J’ai tiré dessus pour l’extraire de son bouillonnant fourreau.
— Mmh, gémit la religieuse. Vas-y, continue.
J’ôtai l’objet et le tint devant mes yeux pour l’admirer. C’était un long bout de plastique rose parsemé d’une myriade d’irrégularités. Sur la partie supérieure était sculpté un gros gland rougeâtre luisant de cyprine.
— Depuis combien de temps tu utilises ça ? Demandai-je, ébahi par la taille de l’engin.
Sœur Elise, dont les yeux étaient toujours masqués par un châle, tâtonna le long de mon bras pour venir s’emparer du gode.
— Oh ça ? Des années.
Elle le retourna et appuya sur un bouton qui se trouvait à sa base. La queue en plastique se mit à vrombir furieusement.
— Je le mets en mode « aléatoire », d’habitude, poursuivit-elle. Ça veut dire qu’il se met à vibrer aléatoirement pendant la journée.
Elle caressa ma joue avec l’ustensile ce qui y laissa une traînée humide aux effluves entêtants. Ce seul contact parvint à me faire fondre d’envie. Je sentis ma petite chatte se liquéfier à l’idée de mettre cet engin en moi.
Sœur Elise dut deviner ce désir car un sourire coquin naquit sur ses lèvres.
— Tu souhaites l’essayer ? Me demanda-t-elle alors qu’elle connaissait déjà ma réponse.
Elle fit glisser le gode tout le long de ma colonne vertébrale jusqu’à la naissance de mes fesses. Là, elle chatouilla ma raie en faisant aller et venir l’objet contre mon cul. Ses vibrations mes firent vivement haleter et je crûs même sentir mon anus s’humidifier d’anticipation.
— Retire ta culotte, me susurra sœur Elise à l’oreille.
Je m’exécutai sans plus de réflexion. Le bout de tissus passa entre mes jambes et je m’en débarrassai d’un coup de pied impatient.Enfin, ma cochonne de sœur inséra le gode entre mes cuisses.
— Mmmh ! Wouah !— Sshhh, m’enjoignit-elle en caressant mon con de son merveilleux objet.
Je dus me faire violence pour faire taire mes gémissements. Comment sœur Elise pouvait-elle résister à un tel plaisir pendant des jours et des jours ? Je n’y arrivais pas moi-même alors que le gode ne faisait que m’effleurer.
Elle saisit l’une de mes fesses et la souleva ce qui eut pour effet d’écarter mes lèvres intimes. Je me mordis la lèvre pour me retenir de couiner comme une dévergondée. Qu’est-ce que c’était bon !
Je sentis l’objet vibrant follement contre mon intimité changer de position. Il était maintenant à la verticale, le gland sculpté posé à l’entrée de mon minou. Il resta ainsi pendant plusieurs secondes, comme s’il attendait un signal.
Elle me fait languir, songeai-je.
Je n’avais plus qu’une seule envie, sentir le gode vibrer en moi. Alors je m’empalai dessus. Je vis au sourire de sœur Elise que c’est exactement ce qu’elle voulait que je fasse, mais je m’en moquais. Tout ce qui comptait à présent, c’était cette bite rose en plastique qui vibrait follement dans mon minou détrempé.
— Oooh ouiii !
La religieuse s’empressa de me bâillonner avec sa main. Pour mon plus grand malheur, elle ôta le gode.
— Non ne ...
Et le renfonça derechef.
— OooOoh ...
Même sa main ne suffisait pas à me faire taire tant je prenais mon pied. Les terribles vibrations se répercutaient jusque dans ma hampe lui procurant à elle aussi d’orgasmiques sensations. J’étais tellement obnubilée par cette bite en plastique que j’en oubliais de me branler.
C’est d’ailleurs ce qu’entreprit de faire ma cochonne de religieuse. Mais pas avec mon sexe d’homme, loin de là. Non, elle, elle se mit à branler mon anus. Elle a commencé par mettre un doigt dans cet étroit orifice déjà grandement lubrifié par je ne sais quelle substance.
— Mh ! Fis-je, surprise par l’incursion.
Sœur Elise inséra un second doigt et débuta un mouvement de va-et-vient. Je ne savais trop qu’en penser jusqu’à ce que des vagues de plaisirs me proviennent de mon fondement. Ma compagne dut comprendre que ça me plaisait car elle accéléra la cadence. « flop flop flop » faisait mon anus à chaque fois que ses doigts s’enfonçaient en moi.
— Mmmh c’est trop bon ! Ouuh !
De son autre main, elle saisit le gode et lui fit faire des allers-retours dans mon minou ultra-sensible. S’en était trop pour moi !
— Aaah mhmmm !— Tu aimes ça, ma belle ?— Oh oui ! Répondis-je, au bord de l’orgasme. Plus vite !
Elle poussait le sex-toy le plus loin possible tandis que mon trou du cul se faisait délicieusement ramoner. Il suffit que je décalotte une seule fois ma verge pour que j’explose.
— Aaaah ouiiiiii !
Mon anus, ma chatte et ma queue se contractèrent simultanément. Pendant une pleine seconde, mon esprit se déconnecta complètement de la réalité. Je n’étais plus qu’une boule hyper-condensée de plaisir sexuel.
Le temps retrouva son emprise et je me mis à éjaculer abondamment.
— Aah C’est booooon !
« flop flop flop flop flop ». Sœur Elise masturbait mon anus comme une possédée. Ma semence fusa sur la paroi de bois et mon vagin se déversa en longs filaments de cyprine.
Je finis par m’écrouler au sol, la respiration haletante. J’eus tout juste le temps de cacher ma queue lorsque je vis sœur Elise retirer son châle. Elle me regarda et un sourire satisfait éclaira son visage.
— Tu es magnifique, me dit-elle en s’agenouillant devant moi et en m’embrassant tendrement.
Le gode vibrait toujours en moi. Elle l’éteignit et se releva sans pour autant le récupérer.
— Bien, à mon tour, à présent !
Elle souleva sa jupe, prit ma tête d’une poigne autoritaire et la précipita sur son sexe détrempé ...
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