Chapitre 49 : A deux, on est mieux Morgane avait expliqué à Claire et Erika ses intentions. En bref, elle en avait marre de se retenir et avait pris la décision de passer à l’attaque. -Evidemment, vous pouvez faire ce qui vous plait, avait-elle ajouté après ses explications. Ce que je viens de vous exposer ne sont que mes choix personnels et vous êtes libres de me suivre ou pas. Les deux filles s’étaient regardées et un sourire entendu avait étiré leurs lèvres. -Ne t’en fais pas, Morgane, tu peux compter sur nous ! S’était exclamée Claire avec conviction. Morgane avait souri à son tour. Elle était tellement heureuse et fière de ses filles. -J’aimerais tant que Cindy soit avec nous, déplora-t-elle. Clair et Erika acquiescèrent gravement. Leur sœur leur manquait à elles aussi … -Et si on faisait un petit jeu ? Proposa Claire, l’œil pétillant de malice. -Quel genre de jeu ? -Eh bien, celle qui aura baisé le plus de fille à la fin du moi remporte la manche, par exemple. Morgane ouvrit des yeux surpris avant de partir dans un grand éclat de rire : -Je trouve ça une excellente idée ! Rigola-t-elle. Mais attendez-vous à perdre ! Maintenant que je contrôle mon pouvoir, plus personne ne peut me résister !
Erika rit à son tour et lança un clin d’œil à sa petite sœur. -Tu aimes la compétition, toi, pas vrai ? -Oui, c’est vrai, sourit celle-ci. -Mais j’impose tout de même une condition, fit Morgane en levant un doigt impératif, si Cindy rentre, le jeu s’arrête. Je ne voudrais pas qu’elle se sente rejetée simplement parce qu’elle n’a pas eu sa transformation … -D’accord, approuvèrent les deux autres filles. -Bien ! Dans trente jours, à midi pile, le décompte prendra fin, décida Morgane. Je vais placer un tableau dans la cuisine sur lequel on pourra inscrire les scores. À la fin de chaque journée, vous marquerez le nombre de filles que vous avez engrossées. Attention, il faut avoir joui dans leur vagin pour que le point soit validé, compris ? -Oui, madame, ironisa Claire. -Ah oui, une dernière chose. Elles doivent avoir au moins dix-huit ans. En-dessous de ça, je vous interdis formellement d’essayer, je ne veux même pas en entendre parler. Les deux filles approuvèrent du chef. -On est d’accord, sourit Morgane. La partie commence demain à midi pile. Si vous niquer avant, ça ne compte pas. En attendant, je vais appeler Mathilde pour qu’elle me suce pendant que je prépare le repas. Tout cela m’a donné une faim de louve ! Et je suis certaine qu’elle aussi a faim … Une fois qu’elle se fut éloignée, Erika prit Claire par le bras et l’amena à l’écart : -Il faut que je te parle, dit-elle doucement. Allons dans ta chambre. -Alors, qu’as-tu de si important à me dire ? S’enquit Claire en refermant la porte derrière elle. -Tu te souviens de notre petit pari, n’est-ce pas ? Fit Erika en s’asseyant sur le lit. -Bien sûr, celui que j’ai gagné. -Oui, celui-là même. Tu as joui en moi, on s’en rappelle toutes les deux. Seulement il y a un petit hic … -Vas-y, crache le morceau. C’est quoi le problème ? -Ben … hésita Erika, … j’ai eu mes règles … -Oh … ça n’a pas marché, alors ? La jeune fille secoua la tête. Bizarrement, bien qu’elle ait été de prime abord soulagée par la nouvelle, elle était déçue. Elle ne savait pas trop dire pourquoi mais une part d’elle souhaitait malgré tout avoir cet enfant. Une foule de sentiments contradictoires l’avait assaillie quand elle avait vu les tâches rouges maculées sa culotte et elle n’était pas parvenue à mettre un mot sur ce qu’elle ressentait. -Pourquoi tu tires cette tête ? S’enquit Claire. Le pari était : la gagnante pourra engrosser la perdante. Donc, techniquement, tant que tu n’es pas enceinte, je peux te baiser. -C’est vrai, sourit Erika. En plus, j’ai rêvé de tes deux queues toute la nuit … Et puis, Morgane m’a forcé à la prendre tout à l’heure du coup j’ai mes trous qui sont tout mouillés et ils me démangent. J’avais vraiment envie qu’elle me baise mais elle ne l’a pas fait … -Je peux arranger cela … Quelques secondes plus tard, Erika se faisait chevaucher par sa petite sœur, ses deux cavités pleines à craquer des verges de Claire. -Oh, ça m’avait manqué ! Gémit Erika. -À moi aussi, haleta Claire. L’aînée se trouvait à quatre pattes, le buste collé au sol de manière à ce que son cul soit le plus tendu possible pour pouvoir accueillir en profondeur les hampes de sa sœur. Cette dernière n’y allait d’ailleurs pas de main morte. Le derrière de sa grande sœur pouvait avaler ses deux hampes sans rechigner, elle se permettait donc d’y aller franchement. C’était un vrai régal pour elle. -Tu sais, j’ai réfléchi, dis Claire. -Ouais bah, réfléchis moins … Mmh … et défonce-moi … Ooh … plus fort ! -Je suis sérieuse, Erika. -Vas-y … Mmh oui ! … je t’écoute. -Je pense que je devrais te baiser plusieurs fois pendant ce mois-ci si on veut être sûr que tu tombes enceinte. -Mmh oh oui ! Si tu veux ! C’est pas moi qui vais … Mmmh … te contredire. Je suis complètement accroc … à tes … Ooooh … grosses queues. Claire retourna sa sœur sur le dos et plaça sa double bite au-dessus de son vagin. -J’ai pensé à autre chose aussi … -Ne t’arrêtes pas, supplia Erika. Tu penses de trop ! Baise-moi, à la place ! -Attends, écoute-moi. Je me suis dit que peut-être l’une de mes queues produit du sperme non fertile. -Tu crois ? -Je n’en sais rien, avoua Claire. C’est juste une hypothèse … je trouve ça étrange que mon sperme qui est censé être à 100% fiable ne soit pas parvenu à te mettre enceinte. -Oui, c’est vrai que c’est étrange … Tu te rappels avec quelle bite tu m’avais juté dedans ? Claire fit non de la tête, l’air coupable. Mais un sourire lubrique éclaira rapidement son visage. -Je n’ai qu’a essayer avec les deux … -Comment ça, les deux ? Interrogea Erika. Je ne pense pas que … Claire ne laissa pas le temps à sa grande sœur d’aller plus loin dans ses réflexions. Elle amena ses deux glands luisant de mouille devant l’entrée d’Erika et força le passage. -Aaaah ! Hurla celle-ci. Arrête Claire ! Tu me … Aaah ! Tu me déchire ! La jeune fille poussa davantage. Ses deux verges tendues à l’extrême s’enfoncèrent difficilement dans le conduit trop étroit pour elles deux. Erika sentit les deux pitons se frayer laborieusement un passage tandis que sa petite sœur s’insérait impitoyablement en elle. Ça faisait mal, certes, pourtant, derrière la douleur, Erika perçut une sensation étrangement chaude et agréable. Claire buta enfin contre le pubis de sa sœur. -Aaah mon Dieu … Attend, attend, gémit cette dernière en posant une main sur le ventre de sa compagne. Attend, laisse-moi reprendre mon souffle … Elle avait l’impression qu’elle allait exploser tant elle était remplie. Son con était distendu au maximum et lui faisait un mal de chien. -T’es une de ces salopes, toi ! S’exclama Erika entre deux halètements. -Je sais, sourit Claire en posant un baiser sur les lèvres de sa sœur. Mais je sais aussi que tu aimes ça … Mmh c’est trop bon, tu compresses mes deux queues ! Je ne savais pas que tu étais si serrée ... Elle voulut bouger mais Erika l’arrête aussitôt : -Non ! Attend encore un peu … Rooh putain, qu’est-ce que je suis pleine ! Tu vois où est-ce que ça nous mène quand tu réfléchis trop ? Putain de salope ! Et tu ose dire que je suis serrée ?! C’est toi qui a beaucoup trop de matos ! Mais alors qu’elle insultait sa petite sœur, elle se mis à l’embrasser à son tour, agrippant ses cheveux avec force et plaquant ardemment sa bouche contre la sienne. -Mais quelle pute ! … Mmh … Je n’arrive pas à le croire … je vais t’enculer, après ! Embrasse-moi encore ! Rooh ce que tu vas … mh … prendre, toi ! Ma belle salope … -Avoue que tu kiffes avoir deux bites dans ton petit minou, minauda Claire. -Tais-toi et baise-moi, maintenant … Susurra Erika. -À tes ordres. Claire se retira précautionneusement mais ce simple mouvement suffit à faire crier Erika. -Ça va ? S’enquit Claire. -Reviens en moi ! Ahana Erika en se cramponnant aux douces fesses de sa petite sœur et en tirant celle-ci vers elle. Les deux sexes la perforèrent à nouveau et Erika ne put contenir un cri de douleur mêlé de plaisir. Elle ne savait pas dire si elle aimait cela mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’en demander encore. -Baise-moi, maintenant ! Claire, baise-moi ! -Et c’est moi la pute, après ça ? Questionna ironiquement la petite sœur. -Ferme-la et défonce mon petit trou ! Claire rigola et débuta de lents vas et viens. Ses deux sexes étaient intensément compressés entre les chairs de sa grande sœur ce qui rendait les mouvements difficiles mais absolument divins. Erika hurlait à chaque pénétration tout en insultant Claire de tous les noms. Malgré cela, elle prenait son pied comme jamais. Le mélange douleur/plaisir qu’elle ressentait la rendait littéralement folle. Elle avait l’impression d’être écartelée de l’intérieur et pourtant, elle adorait ça … -Accélère doucement … Oouuh ! Doucement ! Doucement ! -Ooh c’est tellement serré ! S’extasia Claire. Ta petite chatte me coupe les queues. -Moins vite, Claire ! Aaah ouiii … -Oh c’est si bon ! Putain, tu es si bonne, Erika. -Ah ! Arrête, Claire ! Moins vite, moins vite ! C’est trop … Aaah ! Tu y vas trop fort ! Aaaah pourquoi c’est si bon ?! -Parce que tu es une salope qui ne demande qu’à être remplie. -Mmh … Ferme-la, putain. Aah ! Tu me défonce la chatte ! Claire donnait de larges coups de bassins en s’appuyant contre le lit. Son cul tout blanc montait et descendait à un rythme effréné arrachant à chaque fois un cri de plaisir à sa grande sœur. Ses verges, collées l’une à l’autre, plongeaient avec vigueur dans le puits distendu d’Erika avant de rejaillir détrempées de mouille. -Ooh c’est trop booon ! -Je vais bientôt … Mmh … jouir, Erika ! -Non, non ! S’alarma celle-ci. Continue … Aah oui ! Continue de me baiser ! J’en veux encore ! Ooouuh Oui ! -J’arriverai pas à me retenir … Tu es trop serrée … Mmh … c’est beaucoup trop bon ! -Je t’en supplie … Aaah Claire c’est si bon ! Continue, baise-moi plus fort ! -Ooh Erika, je viens ! Je jouis ! Ooh … -Non ! Arrête ! Claire sentit l’orgasme tendre tous ses muscles … avant de s’envoler subitement. Le plaisir, qui était grimpé à son paroxysme et s’apprêtait à la faire exploser de bonheur, venait de retomber brusquement. Il ne restait à présent plus qu’un vague souvenir de celui-ci qui, déjà, s’évanouissait dans la brume de ses pensées. L’orgasme avait simplement disparu, comme s’il avait fait machine arrière. Sous le coup de la surprise, elle cessa de baiser Erika et lorgna ses sexes avec incompréhension, cherchant des traces de son plaisir évanoui. -Mmh … ne t’arrête pas ! Pourquoi tu t’arrêtes ? -Qu’est-ce que … que s’est-il passé ? Questionna la jeune fille. -Quoi ? Demanda Erika, irritée par toutes les réflexions de sa petite sœur. Mais j’en sais rien moi ! Qu’est-ce que tu attends ? Aller, violente-moi ! Erika, impatiente que sa sœur sorte de son état d’hébétude, agrippa ses fesses et la poussa en elle. Claire reprit rapidement les commandes et redonna de prudents coups de reins dans l’intimité d’Erika. -Aah oui ! S’exclama cette dernière. Ooh ne t’arrêtes plus ! Défonce-moi toute la nuit. Prise de frénésie, Erika poussa sa jeune sœur sur le côté et l’obligea à se coucher sur le dos. Folle d’envie, elle vint se placer au-dessus de Claire et planta directement les deux verges dans ses tréfonds. Elle gémit profondément et ferma les yeux de bonheur en descendant le long de ces brûlants piliers de chair. Elle était à genoux, les mains posées sur le ventre de Claire et savourait avec extase le plaisir de se sentir aussi pleine. Elle leva lentement son cul en soufflant bruyamment. Son vagin ultra-tendu racla les deux pénis de Claire sur toute leur longueur avant de les enfourner à nouveau le plus loin possible. -OoooOoOooh Ouiii, geignit-elle, ses yeux roulant dans leur orbite. Elle réitéra ce mouvement et accéléra petit-à-petit la cadence. Ses cris montèrent dans les aigus tandis que son plaisir ne faisait que grimper en flèches. Elle s’empala sur ces hampes en bavant de plaisir, la bouche grande ouverte et la langue tendue comme une véritable chienne en chaleur. Claire aussi était sur le point d’avoir un orgasme … pour la seconde fois. Elle tenait les hanches de sa grande sœur et l’accompagnait dans ses mouvements en haletant follement. -Tes queues me rendent dinguent ! S’exclama Erika, prise de frénésie. Je vais jouir ! -Ooh moi aussi ! Accélère Erika ! -Ooh oui ! Aaah mais qu’est-ce que c’est bon ! -Erika ! Je viens ! -Vas-y, ma belle ! Rempli ta salope de sœur ! Mmmm oooh ouiiii ! Donne-moi tout ce que tu as ! Claire suréleva son cul pour s’enfoncer le plus profondément possible dans sa grande sœur. Erika, quant à elle, s’empala encore et encore tandis qu’un puissant orgasme la parcourait de toute part. Les deux filles crièrent de concert. L’aînée sentit deux violents jets de sperme jaillir dans ses tréfonds et arrosés copieusement sa matrice. Elle s’enfonça davantage pour distendre encore son con ce qui entraîna un second orgasme qui faillit la propulser au pays des songes tant il fut puissant. -AaaAaaaaAah, éructa-t-elle de bonheur. Claire Jouissait avec une rare intensité lorsqu’elle sentit un liquide chaud et gluant se répandre sur ses seins. Le visage tordu par une expression extatique, elle baissa les yeux et vit la verge de sa sœur éjaculer dans sa direction. Elle reçut un jet de semence directement dans sa bouche et le reste vint se perdre sur ses yeux, son menton, ses cheveux, ses narines … -MmmMmh ! Déglutit-elle avec délice. Erika finit par s’écrouler sur Claire, en gémissant de bonheur et en tentant de récupérer son souffle. Ainsi cambrée, ses fesses s’entrouvraient et on pouvait apercevoir son petit anus qui coulait littéralement d’envie. Juste en-dessous, on distinguait sa chatte toute rouge d’avoir été si violemment malmené et qui était toujours encombrée des queues de Claire. Des gouttes de sperme et de cyprine en découlaient, souvenirs du carnage qui s’y était déroulé … Claire enlaça amoureusement sa grande sœur en posa ses lèvres sur son front. Elles étaient toutes deux exténuées mais un intense sentiment de bien-être se lisait sur leurs traits. Leurs seins, maculés de semence gluante, se pressaient les uns contre les autres sous le rythme de leur respiration effrénée. -Comment tu as fait ? Questionna Claire. -Mmh ? -Comment tu as fait pour m’enlever mon orgasme ? -J’ai fait ça, moi ? S’enquit Erika en relevant la tête avec étonnement. -Je suis certaine que c’est toi. -Oh … heu … ben, j’en sais rien. Je ne voulais simplement pas que tu jouisses trop vite, tu comprends ? Je ne voulais pas que tu t’arrêtes, c’était tellement bon … -Ça voudrait dire qu’en plus de pouvoir faire jouir les gens, tu peux aussi les empêcher d’avoir un orgasme … Ton pouvoir est réellement extraordinaire ! -Je sais, chuchota Erika en se lovant contre sa petite sœur. Elles restèrent ainsi, chaudement serrées l’une contre l’autre pendant un long moment. C’était si agréable qu’aucune des deux ne voulaient s’extirper de ce cocon qu’elles s’étaient amoureusement tissé. -Comme je le disais, souffla doucement Claire, il faudra qu’on recommence cela pendant tout le mois si on veut que tu tombes enceinte … Erika leva les yeux sur elle. Elle la contempla avec adoration, se pencha en avant et lécha une trace de sperme qui maculait sa joue. -Quand tu veux … minauda-t-elle.
