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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 66

La mission n'est pas finie !

Divers
Chapitre 66 : La mission n’est pas finie !
-Shem ! Tu as de la visite.
Allongée sur son lit, Cindy soupira bruyamment. Elle se doutait fort bien de l’identité de sa visiteuse. Ce n’était que la quatrième fois que la sénatrice désirait lui « parler », et par là, Cindy entendait : « se faire prendre dans toutes les positions possibles dans la salle d’interrogatoire ». Sans aucun doute, elle n’était qu’un jouet pour Jane.
En même temps, c’était sa seule occupation. Considérée comme une criminelle extrêmement dangereuse, ses geôliers lui refusaient tout contact avec les autres prisonnières. Seuls ses entrevues avec la sénatrice rompait la monotonie de ses journées.
-J’arrive, lâcha mollement Cindy.
La garde la menotta avant de la laisser passer devant elle. Cindy lui lança un coup d’œil coquin :
-Hey Abby, c’est pour mater mon petit cul que je marche en première ?
Comme la geôlière ne répliquait pas, Cindy poursuivit en accentuant son déhanchement :
-Tu sais ce qu’on a fait, hier, la sénatrice et moi ? Je l’ai d’abord prise en levrette, bon, jusque-là, rien de bien spéciale. Le truc, c’est qu’elle voulait le faire face au miroir. Tu sais pourquoi ? Elle adore se mater en train de se faire prendre sauvagement. Tu devrais voit la quantité de cyprine qui s’écoule d’elle juste parce qu’elle se voit gémir comme une chienne, tu kifferais ça !-Ferme-la, Shem !-C’est faux, peut-être ? Imagine la sénatrice qui se fait péter la chatte et qui en redemande. Avoue que tu aimerais assister à ça. -Je t’ai dit de la fermer !-Elle mouillait tellement que j’ai été obligée de lui bouffer le minou pour éviter de mettre de la cyprine partout. Toi qui es gouine, ça te plairait énormément de …
Sans crier gare, Abby plaqua la jeune fille contre le mur, la matraque pressée contre la carotide.
-Qui te dit que je suis homosexuelle ? 
-Il faut aimer lécher des chattes pour faire garde dans une prison pour femmes.
Elle comprit être allée trop loin lorsqu’elle vit le visage de sa geôlière se tordre de colère. Abby leva son arme.
-Suffit !
Le bras de la femme s’immobilisa sur le champ, comme foudroyé par l’ordre qui venait de claquer. Pearson, La directrice de la prison, se tenait à quelques mètres d’elles, les toisant avec une froide autorité.
-Veuillez m’excuser, madame la directrice, fit Abby en se mettant aussitôt au garde-à-vous. La prisonnière était indisciplinée, il m’a semblé normal que je …-Mademoiselle Abby, coupa la directrice en s’avançant, si je vous ai choisi pour ce poste, c’est parce que je sais que vous êtes à même de garder votre sang-froid. Si une erreur de ce genre venait à se reproduire, je serais dans l’obligation de vous démettre de vos fonctions. Vous savez bien que la sénatrice a ordonné qu’aucun mal ne soit fait à sa protégée …
Ce dernier mot, craché avec un mépris non dissimulé, informa Cindy de la totale désapprobation de la directrice envers cette procédure. La jeune fille y vit une ouverture :
-Je peux donc faire ce que je veux, la sénatrice me proté …
Si elle ne vit pas la claque partir, Cindy en sentit la brûlure sur sa joue. Elle en resta muette d’étonnement.
-Mademoiselle Abby, reprit la supérieure en replaçant sa main dans son dos, veuillez accompagner la prisonnière jusqu’à la salle d’interrogatoire.-Bien, madame.
La jeune fille se laissa bousculer sans ménagement, toujours sonnée par la gifle. On la fit entrer dans la pièce. Elle lorgna le miroir sans tain et ne put s’empêcher de remarquer la rougeur sur sa joue ; la directrice ne l’avait pas manquée. 
-Bonjour, Cindy.
La jeune fille se retourna. Dans l’encadrement de la porte, une parfaite inconnue lui faisait face. Le dos droit, elle détaillait la jeune fille d’un regard chargé de bonté. Cindy qui s’attendait à une séance de baise en bonne et due forme se montra déçue de n’apercevoir nulle part la sénatrice.
-Heu … bonjour.
Tandis que l’inconnue se penchait en avant pour s’asseoir, Cindy aperçut le pendentif propre à son couvent, celui-là même qu’elle distribuait à chacune de ses conquêtes après les avoir ensemencées. Elle redoutait malgré tout un piège ; les gardes pouvaient très bien avoir donner l’un de ses colliers à une infiltrée pour faire parler Cindy. 
Cependant, un détail attira son attention : sous le col de chemise de la nouvelle arrivante, elle discerna un bout de combinaison en latex noir, réservée à certaines personnes de pouvoir au sein du couvent. La police Américaine ne pouvait être au courant de ce détail. Du moins, c’est ce que Cindy espérait.
Toujours sur ses gardes, elle prit place à son tour, attendant patiemment que la femme entame la discussion.
-C’est un long voyage pour venir jusqu’ici, débuta cette dernière avec nonchalance. J’ai pris l’avion mais je ne m’attendais pas à ce qu’il soit si lent. Ce n’est pas que l’avion manque de rapidité mais bon, tu me connais, j’ai toujours été très impatiente. Tu sais ce qu’on dit : l’érection du matin n’empêche pas la baise du soir. Mais je suis ravie de te revoir, ma chère.
Cindy toussa dans son coude afin de masquer le sourire qui avait germé sur ses lèvres.
-Moi de même, répliqua-t-elle, jouant le jeu. 
Alors qu’elles devisaient avec une fausse tranquillité, elle se doutait qu’une armée de policiers, de traducteurs, d’enquêteurs et de commissaires embusqués derrière le miroir prêtait l’oreille afin de capter la moindre information utile. Comme les autorités Américaines n’avaient obtenu aucun renseignement sur elle provenant de son pays, Cindy supposait qu’ils allaient essayer d’en obtenir d’une façon détournée. Comme par exemple, autoriser une « connaissance » à venir discuter avec elle …
-Alors, comment est la vie dans ton nouveau foyer ? s’enquit l’inconnue. C’est un bel enclos dans lequel tu es, mon amie. Si tu avais vu le nombre de garde qui m’ont inspectée avant que je ne puisse te voir. L’Atlantide est un bien joli royaume, n’est-ce pas ? Plus qu’ailleurs, les gens ici ne sont que des moutons. Je suis sûre que la plupart font un métier qu’ils n’aiment pas du tout. Ils font ça juste pour gagner suffisamment d’argent pour avoir la possibilité d’acheter une paire de pizza quatre chaussures ou un petit géranium. 
Cindy ouvrit de grands yeux dans lesquels se lisaient une profonde incompréhension. Le discours que venait de lui servir cette étrange femme n’avait ni queue ni tête. Que devait-elle comprendre avec l’Atlantide ? Et les pizzas quatre chaussures ? Elle était persuadée qu’il s’agissait d’une réplique de film mais à part ça … Elle mobilisa toute sa concentration, tâchant de graver les paroles de son interlocutrice dans sa mémoire. 
-C’est un peu comme ce dessin-animé qu’on regardait quand nous étions jeunes, poursuivit la femme, imperturbable. C’était à propos de cette sorcière qui est en même temps bergère. Et quoi qu’il puisse lui arriver, contre vents et marées, elle est toujours à la recherche de ses brebis égarées …-Oui, je m’en souviens très bien, approuva Cindy avec un regard entendu.
La porte s’ouvrit. L’agent qui se présenta dans l’embrasure lança un regard assassin en direction de la mystérieuse femme avant d’annoncer d’une voix grave que le temps de visite était écoulé.
-Déjà ? s’étonna cette dernière. Mais je viens à peine d’arriver.
Si un regard pouvait tuer, la visiteuse aurait été foudroyée sur place. Elle se leva mais, juste avant de sortir de la pièce, elle se tourna à moitié et souffla :
-Trouve ton pouvoir.
L’homme l’empoigna par le bras et la jeta hors de la pièce pour éviter qu’elle n’en dise plus. Cindy fut ramenée dans sa cellule. Son esprit tournait à mille à l’heure, se repassant le discours dans sa tête encore et encore. 
Elle en était arrivée à la conclusion que bon nombre de phrases n’avaient tout bonnement aucun sens : elles n’étaient là que pour mettre les enquêteurs sur de fausses pistes. C’était un peu comme faire semblant de lancer une balle à un chien. Parfois il galopait partout en se demandant où elle pouvait bien se trouver. Espérons que les autorités Américaines aimaient courir …
Cindy se mit à marcher de long en large dans sa cellule. L’érection du matin n’empêche pas la baise du soir. Qu’est-ce que c’était censé vouloir dire ? À part sonner comme un dicton asiatique, elle n’avait pas la plus petite idée d’une probable signification. 
En revanche, la sorcière des dessins animés qui continue à chercher les brebis égarées, ce message-là était clair. La sorcière était sans conteste Sabrina, quant aux brebis égarées … et bien, pour le coup, cette partie-là ne changeait pas. La mère du couvent lui demandait donc de poursuivre sa mission. Mais comment ? Elle était bloquée dans sa minuscule cellule avec la sénatrice et les gardes pour seules compagnies. Soudain, une partie du message la percuta : C’est un bel enclos dans lequel tu es […] les gens ici ne sont que des moutons ! C’était ça ! Les gardes qui ne sont que des moutons, retrouver les brebis égarées, le bel enclos, tout concordait.
Elle devait faire de cet endroit son nouveau couvent ! 
Cindy jubila. Merci, Mère Sabrina d’avoir pris tant de risques pour me faire parvenir votre message.
Mais que penser de la dernière partie ? Trouve ton pouvoir.
Contrairement à ses trois sœurs, Cindy ne possédait pas de pouvoir. Claire possédait deux sexes masculins, Erika pouvait faire jouir n’importe qui à distance et Sabrina était capable de ... heu ... guérir ? De voir la lumière intérieure d’une personne ? De faire naître une ferveur aveugle ? D’être beaucoup trop bonne ?
Cindy dût admettre qu’elle ne connaissait pas vraiment les capacités spéciales de sa sœur aînée. Tout ce dont elle était sure, c’est que Sabrina détenait un pouvoir d’une grande puissance. Et qu’elle-même n’en possédait aucun, bien que la mère du couvent semblait penser le contraire.
Et comment je peux faire pour trouver mon pouvoir ? C’est pas comme si j’avais la moindre particularité ...
Ce mot fit naître un souvenir en elle. Simon avait effectivement détecté une anomalie en elle : cette petite glande située près de son cœur. Il l’avait découverte en suivant du sperme traçable au rayon X. Cette chose dans son corps serait-elle liée à son pouvoir ? 
Quoiqu’il en soit, elle possédait à présent un objectif et elle allait s’y atteler pas plus tard que tout de suite. Surtout qu’elle avait déjà une idée des moyens à mettre en œuvre …
***
Depuis son assignation à ce poste, Abby s’ennuyait ferme. Seule garde présente dans cette section de la prison, elle n’avait personne avec qui passer le temps.
-À part l’autre folle du cul, évidemment, marmonna-t-elle pour elle-même. Mettre une garde pour une seule prisonnière, quel gâchis.
Elle geignit de frustration : voilà qu’elle se mettait à parler toute seule, maintenant. 
Parce qu’elle s’était comportée de manière exemplaire pendant des années, on l’avait « récompensée » en l’assignant à une tâche de la plus haute importance. Si elle avait su qu’en guise de distinction, elle recevrait l’insigne honneur de surveiller une dégénérée à bite, elle aurait évité les heures sup’. 
Pour couronner le tout, la directrice l’avait surprise en train de perdre ses moyens. C’était la première fois qu’une telle chose se produisait et il fallait qu’Ariana Pearson y assiste. Décidément, depuis qu’elle se trouvait dans le bâtiment F, la section dédiée aux grandes criminelles, plus rien ne se passait comme elle le souhaitait.
Alors qu’elle ruminait ces sombres pensées, Abby perçut une série de gémissements provenant de l’unique cellule occupée pour l’heure. Elle soupira d’agacement.
-Shem ! Cria-t-elle en tambourinant contre la porte. Je veux rien entendre sortir de ta putain de bouche !
Seuls de petits cris lui répondirent, exacerbant sa colère déjà bien alimentée par l’injustice de la situation.
-Si je dois rentrer, ça va mal se passer pour toi, menaça-t-elle.
Comme elle ne reçut aucune réponse, elle sortit la clef de la cellule en marmonnant des injures entre ses dents serrées. 
-Qu’est-ce que … ? Shem ! Arrête-ça immédiatement !
Entièrement dévêtue, Cindy se masturbait, les yeux fermés.
-Je peux pas, haleta cette dernière. Comme je n’ai pas baisé la sénatrice aujourd’hui, je suis en manque !-J’en n’ai rien à foutre, s’égosilla la geôlière. Lâche ta bite tout de suite !
Sans prêter attention aux vitupérations, Cindy continua d’astiquer frénétiquement sa queue. Elle se mordait les lèvres, savourant son plaisir qui grimpait. Elle y mettait davantage d’ardeur car se savoir observée l’excitait d’autant plus.
Abby voulut dégainer sa matraque mais elle était littéralement hypnotisée par la prisonnière. Ses soubresauts faisaient gigoter sensuellement sa poitrine de laquelle pointaient de sublimes tétons. Ils paraissaient toiser la garde, la défiant d’oser lever la main sur pareils merveilles.
Plus bas, la fine taille de Cindy dirigeait le regard vers un bassin évasé duquel partait un long sexe d’homme. Le gland apparaissait et disparaissait au rythme de la masturbation de la jeune fille. Entre les cuisses de cette dernière, Abby distingua une petite flaque luisante qui la fit déglutir. La vue de ce spectacle déluré la choquait au-delà de ce qu’elle n’avait jamais imaginé. Comment pouvait-on en arriver à un tel point de luxure ?
-Shem, si tu n’arrêtes pas tout de suite, je … -Tu vas faire quoi ? ironisa la jeune fille, sa main coulissant avec langueur le long de sa hampe. Me frapper ?
La garde serra la mâchoire. Depuis que cette salope était dans sa prison, Abby vivait un enfer. Mue par un tel ressentiment, elle en oublia son rôle. Elle baissa son pantalon, saisit la jeune fille par les cheveux et la plaqua violemment contre sa vulve. 
-Mmhmm ?! Gémit celle-ci en ouvrant de grands yeux étonnés.
Voilà qui va faire office de compensation pour tout ce que j’ai subi par ta faute, songea la geôlière avec satisfaction.
-Bouffe-moi en silence, grogna-t-elle en maintenant la pression sur la tête de Cindy. Et mets la langue !
À sa surprise, La jeune fille s’exécuta. L’appendice s’insinua docilement entre ses chairs, pénétrant profondément son puits d’amour. C’était au tour d’Abby de gémir, à présent. Elle sentait son intimité fondre de bonheur dans la bouche de la prisonnière.
-Mmh ! Aaah ouais !
Cindy lâcha sa queue pour se dévouer à la chatte qu’elle toilettait méticuleusement. Tandis qu’elle aspirait les tréfonds de sa surveillante, ses mains vinrent pétrir les fesses musclées d’Abby, pressant le bassin contre sa face. Les geignements d’Abby gagnèrent en intensité malgré ses efforts pour faire le moins de bruit possible.
Puis, Cindy changea de tactique : elle sortit sa langue de l’orifice dégoulinant de mouille pour la faire courir de long du minou brûlant de plaisir. Elle planta ensuite deux doigts dans le vagin libre d’accès.
Abby se plia en deux sous la soudaine vague de plaisir qui la submergea. Elle ouvrit de grands yeux tandis qu’un cri silencieux restait coincé dans sa gorge. Prise par leurs jeux, elle se mit à frotter son abricot sur la face de Cindy.
Constatant l’efficacité de cette nouvelle position, La jeune fille redoubla d’ardeur. Sa bouche fit ventouse autour du clitoris que la langue excita d’une danse endiablée. Ses deux doigts, bien calés au fond du puits d’amour, entamèrent d’habiles mouvements de va-et-vient. Chaque fois qu’ils s’enfonçaient, le cul d’Abby se soulevait légèrement comme si elle était incapable d’endurer ce surplus de plaisir. Elle s’empressait de recoller son sexe contre le visage de sa bienfaitrice, quémandant toujours plus de caresses.
-C’est bon ! s’extasia-t-elle. Vas-y, Shem ! Lèche-moi plus fort ! Plus fort ! Mmhh !
La geôlière prenait un tel pied que Cindy s’attendait à recevoir une giclée de cyprine d’un moment à l’autre. Elle donnait tout ce qu’elle avait, rassemblant toute la connaissance que Sabrina lui avait léguée. Au vu des réactions d’Abby, c’était efficace. Le goût de la cyprine emplissait sa bouche et son nez, exacerbant au plus haut point son excitation.
Soudain, la surveillante poussa un long gémissement. Elle s’écarta aussitôt, éloignant d’une poigne ferme la tête de Cindy de son intimité. Les deux femmes étaient hors d’haleine. L’une parce qu’elle était au bord d’un puissant orgasme, l’autre, à cause de l’effort physique accompli. Sa frimousse barbouillée de mouille, la jeune fille prit un malin plaisir à pourlécher tout cela. 
-Couche-toi, ordonna Abby. 
Le ton employé ne souffrait d’aucun refus. Cindy lui servi son plus beau sourire en signe d’obéissance. Abby contempla le sexe masculin ; il lui paraissait beaucoup plus long maintenant que la prisonnière se trouvait sur le dos. Cette séance de léchage intensif avait mis Cindy dans tous ses états ; elle ne demandait qu’à ce qu’on s’occupe d’elle. Sa geôlière la toisait comme la lionne guette son prochain repas. Son entrejambe luisait de bave et de cyprine qui ruisselaient sur l’intérieur des cuisses. Pendant leurs ébats, elle avait ouvert sa combinaison pour se caresser les seins ce qui offrait à Cindy une vue plongeante sur ceux-ci.
Abby s’agenouilla, saisit une jambe de la jeune fille, la posa sur son épaule et se mit à califourchon sur l’autre cuisse restée étendue.
-Qu’est-ce que tu … débuta Cindy avant de se faire sévèrement rembarrer.
La garde releva le bassin de sa prisonnière puis colla sa vulve contre la sienne. La jeune fille retint sa respiration : c’était la première fois qu’elle expérimentait une telle position. 
Abby frotta son con détrempé contre la petite chatte de Cindy la réaction fut immédiate : le plaisir grimpa. Leurs lèvres intimes s’embrassaient dans une humide étreinte, échangeant chaleur et fluides corporels d’une façon bien plus plaisante que ce à quoi la jeune fille s’attendait. Bien que sa queue fut laissée de côté pour l’heure, les nouvelles sensations qu’elle percevait la firent gémirent de bonheur.
Abby se lustrait sur elle de plus en plus énergiquement. De leur vagin s’écoulait des flots de cyprine qui ne faisaient qu’augmenter la sensation de moiteur entre leur sexe. La friction n’en était que plus agréable ; le plaisir gagna rapidement Cindy.
-Mmmh oui, encore ! Encore !
Abby, arrimée à la jambe posée sur son épaule, paraissait avoir oublié le monde qui l’entourait. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, elle astiquait son con de plus en plus intensément.
La prisonnière tenta d’accompagner les mouvements de sa surveillante mais, incapable de tenir la cadence, elle lui céda les commandes. Elle s’abandonna à cette incroyable expérience. Son sexe d’homme se ballottait dans tous les sens tandis que son con subissait un fantastique lustrage.
-Je viens, Abby ! je viens !-Ooh ferme-là, Shem ! Putain, laisse-moi kiffer !
La geôlière cria. Ses mouvements de bassin devinrent incontrôlés et bientôt, un long gémissement s’échappa d’entre ses lèvres. Un flot de cyprine inonda le jardin secret de Cindy tandis que tout le corps d’Abby se contractait. 
-OoooOOhhh ouiiiiii ! S’exclama celle-ci en se tendant vers le plafond.
Comme la jeune fille n’avait pas encore joui, elle lima son abricot sur celui détrempé de sa surveillante qui s’en rendit à peine compte tant elle était accaparée par le plaisir.
Il ne fallut qu’une courte série de mouvements pour que Cindy explose à son tour. Son vagin ainsi que sa queue se déversèrent abondamment alors que la jeune fille jouissait. Des giclées de sperme fusèrent, maculant de coulées blanchâtres son ventre, ses seins, son cou, son menton et son visage. 
-Hey ! S’exclama Abby en se relevant subitement. 
Habituée à se faire cajoler par ses conquêtes une fois la partie de jambe en l’air terminée, Cindy lança un regard surpris à sa geôlière. Abby la considérait avec un dégoût non dissimulé.
-Qu … quoi ? fit la jeune fille un peu perdue en se relevant sur ses coudes.
Sans un mot, la geôlière se rhabilla et quitta la cellule, laissant Cindy seule.
Une fois encore.
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