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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 67

jeux dangereux

Divers
Chapitre 67 : jeux dangereux
La plateau repas glissa sur le sol avec un bruit métallique. Cindy tenta de capter le regard d’Abby mais celle-ci referma la porte de sa cellule sans lui prêter attention. Ce manège durait depuis trois jours. En fait, ça avait commencé après que la garde ait céder à ses pulsions. Dès lors, les deux femmes ne s’étaient même pas échangé un coup d’œil, malgré les tentatives de la prisonnière pour attirer son attention. La sénatrice lui avait bien rendu visite à plusieurs reprises mais elle trouvait ces séances fades, un peu comme une branlette dénuée d’orgasme.
Bien sûr, Cindy n’oubliait pas sa mission. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle tenait absolument à nouer des liens avec sa geôlière … n’est-ce pas … ? Elle avait bien un plan mais le seul moyen d’y parvenir passait par la garde qui, pour son plus grand malheur, était un véritable casse-tête. Elle s’était dit qu’après cet agréable moment passé ensemble, la gardienne se montrerait plus conciliante voir même entreprenante. Que du contraire ! Elle était encore plus froide qu’auparavant et évitait toute forme de contact avec la prisonnière comme si elle était le diable en personne.
Cindy lorgna son repas avec dégoût : un porridge à l’aspect boueux accompagnait un morceau de carton qui se targuait d’avoir été du bœuf ainsi que des lamelles rabougries d’un vert crasseux que la jeune fille supposa être des haricots … ou un vieux poivron. Elle laissa son dîner pour plus tard car elle était bien trop occupée à compter les trous qui parsemaient le plafond, une activité passionnante …
Alors qu’elle arrivait à la quatre-milles deux-cents douzième irrégularité, elle capta un étrange bruit. Comme il n’y avait que deux personnes dans toute cette section de la prison, tout ce qui troublait le silence résonnait comme un gong dans une bibliothèque municipale. Cindy tendit l’oreille en se relevant sur un coude. Décidément, il y avait bien quelque chose mais elle ne parvenait pas à l’identifier. Serait-ce un chien qui boit ? Non, c’était bien trop ténu pour que ce soit cela. 
Elle porta son regard sur le plateau-repas : rien d’anormal. Ça ne l’aurait même pas étonnée que le porridge se mette à ramper pour s’échapper ou que la viande entreprenne de brouter l’espèce d’algue décrépite qu’elle avait pour voisine. 
Cindy s’empara de son gobelet en bois pour le poser contre la porte. C’était un truc qu’elle avait vu une fois dans une vidéo : placer l’ouverture du verre contre une paroi permet d’amplifier les vibrations et donc, de capter plus efficacement les sons. Cindy aurait bien entendu préférer que son récipient soit en verre mais c’était un matériau interdit dans les prisons afin d’éviter que les détenus ne se servent des tessons de verre à des fins meurtrières.
Grâce à cette technique, elle capta un autre bruit qu’elle associa à celui qu’émettrait un ventilateur. Un ventilateur défectueux, se corrigea-t-elle après une meilleure écoute.
Soudain, une image troublante de précision se matérialisa dans son esprit et fit naître un sourire sur ses lèvres. Elle savait exactement ce qui se passait là-dehors et elle n’avait aucune intention de laisser passer sa chance …
-Abby, pourquoi est-ce que tu m’ignores comme ça ? lança-t-elle.
Aussitôt, les bruits cessèrent, prouvant à la jeune fille qu’elle avait vu juste. Ses yeux pétillèrent de malice.
-C’était vraiment dingue la dernière fois. Tu sais que tu es la première femme avec qui j’ai fait les ciseaux ? Tu sais, frotter nos chattes l’une contre l’autre. Waouw ! J’en avais déjà entendu parler mais je pensais que c’était un truc de lesbiennes qui ne peuvent pas se payer de gode-ceinture. J’étais si loin de la vérité ! Je ne sais pas si j’aurai encore envie d’utiliser ma queue après cette expérience. Bon, bien sûr la sénatrice me force à la fourrer quasi tous les jours mais ça ce n’est rien à côté de ce qu’on a fait.
Dehors, seul un silence étrangement attentif lui répondit.

-Abby ? Tu sais que tu as très bon goût ? Quand tu m’as mis la tête dans ton vagin, tu m’as demandé d’utiliser ma langue. Je l’aurais fait dans tous les cas ! Putain, j’avais envie de te brouter pendant des heures ! Encore maintenant, je veux aspirer ta chatte et y fourrer ma langue le plus profondément possible.
Tout à coup, les étranges sons lui parvinrent à nouveau. Emportée par son monologue, Cindy se mit à lécher sa main de façon très érotique, ponctuant de la sorte son discours de bruits de gorge.
-En même temps, je te mettrais deux doigts dans le cul, reprit-elle, légèrement essoufflée par son excitation montante. Je les enfoncerai bien fort pendant que ma langue ferait des ravages dans ta délicieuse petite chatte. Et j’aspirerais ! Oh oui, j’aspirerais toute ta cyprine encore et encore jusqu’à ce que tu me supplie d’arrêter parce que ce serait trop bon. Et même après ça, je continuerais ! Mmh j’ai envie de toi, maintenant ! Ooh j’ai envie de te bouffer le vagin !
Ce que percevait Cindy de l’autre côté de la porte ravissait ses oreilles. Dorénavant, il n’était plus question de confondre cela avec un ventilateur ou quoique ce soit d’autre : elle percevait les bruits d’un doigtage en bonne et due forme ainsi que les halètements qui l’accompagnait !
Hautement excitée, la jeune fille tenta de discerner un peu la scène qui se déroulait de l’autre côté en lorgnant par-dessous la porte. Elle distingua deux genoux légèrement écartés et une main posée à plat sur le sol. La jeune prisonnière n’avait aucun doute quant à l’emplacement de la seconde main …
Sans détacher son regard de ce sublime spectacle, elle planta deux doigts dans son trou d’amour ultra-lubrifié.
-Ooh Abby ! gémit-elle en faisant coulisser ses doigts en elle. Tout ce dont je rêve maintenant c’est que tu viennes t’asseoir sur ma face pour y frotter ton entrejambe. J’ai envie que tu me barbouilles de ta mouille, que tu m’inondes de ton plaisir. Oooh oui ! Je veux que tu te masturbes sur mon visage, que tu presses ma tête entre tes cuisses pendant que j’aspire toute ta cyprine ! MmmMmh ooh Abby, j’ai envie de toi !
Les sons que Cindy entendait à présent très clairement dans le couloir faisaient échos à ceux qu’elle-même émettait dans sa cellule. Elle mouillait tant que ses doigts produisaient un « flop-flop » frénétique.
-J’ai envie que tu colles encore ta chatte contre la mienne pour que nos jus se mélangent ! Ooh Abby, viens ! Je t’en priiiiiiie … 
Au travers de la petite fente sous la porte, Cindy entraperçut une tête se plaquer au sol. Elle devina que c’était pour laisser la main qui soutenait le buste de la surveillante rejoindre celle qui s’échinait dans son minou. Abby se doigtait avec deux mains !
La jeune fille se demanda si l’une s’occupait du clitoris pendant que l’autre s’immergeait entre ses chairs. Ou peut-être qu’elle doigtait ses deux trous en même temps ! 
Voir le corps de la geôlière ainsi trembler de plaisir l’excita à tel point qu’elle jouit en poussant un long râle. Au-dessus de ses doigts qui secouaient avidement son petit bourgeon, des jets de son plaisir fusèrent par saccade accompagnés de puissants spasmes. Sa queue, bien qu’elle l’ait négligée, se contracta pour vomir un flot de sperme qui éclaboussa le parterre de sa cellule.
Cindy resta prostrée ainsi, le cul tendu vers le haut comme une offrande à la première personne qui se pointerait. Elle savoura dans une sorte de transe son orgasme se dissiper lentement. 
Lorsqu’elle rouvrit les yeux, il n’y avait plus personne dans le couloir.

Quelques heures plus tard, la gardienne entra pour s’emparer du plateau-repas toujours indemne.
-Il me faudrait une serpillière pour laver ma cellule, s’empressa de dire Cindy avant qu’Abby ne se volatilise.
La garde jeta un coup d’œil à la tâche de foutre qui maculait le sol puis, sans regarder la prisonnière, lâcha :
-Tu n’as qu’à pas la salir. 
Puis s’en fut. 
Sans savoir pourquoi, l’attitude d’Abby affecta la jeune fille. Qu’avait-elle fait pour mériter pareil traitement ? Avait-elle dit quelque chose de mal ou l’avait-elle blessée d’une façon ou d’une autre ?
Peu de temps après, une garde inconnue de Cindy vint la chercher pour la mener dans la salle d’interrogatoire. La sénatrice Jane l’y attendait, accoudée à la table, la jupe déjà relevée, prête à se faire embrocher sans autres formes de procès.
-Allez, ma belle, l’encouragea-t-elle en trémoussant ses fesses, j’ai un rendez-vous très bientôt, il va falloir faire ça vite.
La sénatrice était si impatiente que son jardin secret luisait d’excitation. Pourtant, Cindy ne ressentit pas la plus petite étincelle de désir la gagner. Elle s’adossa à la porte avant de se laisser glisser par terre.
-Tu viens me baiser ? fit Jane qui, ne sentant rien arriver, écarta les jambes pour secouer davantage son arrière-train.-Non.
Le ton emprunté par Cindy fit se retourner la sénatrice qui leva les yeux au ciel avant de demander d’une voix égale :
-Quoi ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
Aucune réponse.
-Bon écoute, Cindy. Je n’ai vraiment pas beaucoup de temps alors, soit tu me dis ce qui ne va pas, soit tu me pètes le cul. (Comme elle n’obtenait toujours aucune réaction, la sénatrice approcha :) Tu ne veux vraiment pas me dire ce que tu as sur le cœur ?
Cindy eut un sursaut d’excitation lorsqu’elle capta les effluves féminines de Jane mais parvint à le masquer adroitement.
-Hey, qu’est-ce qui ne va pas, ma grande ? minauda la sénatrice en prenant la prisonnière par les épaules. Tu sais, je suis vraiment très chaude actuellement et c’est une torture pour moi d’être aussi proche de ta grosse queue sans pouvoir en profiter pleinement. Dis-moi ce qui te tracasse, s’il te plaît.-J’ai bientôt 19 ans, je suis en prison et je dois me taper la femme qui m’a dénoncé à la police. Ça te va comme réponse ?
Jane se rembrunit et ne trouva rien à redire pendant plusieurs secondes. Comprenant qu’elle était la cause de la morosité de l’adloescente, elle retira son bras.
-Tu sais Cindy, sans moi, tu serais probablement dans un endroit bien pire. Je parlemente beaucoup en ce moment avec un homme qui tient absolument à te récupérer. Il n’arrête pas de me faire des offres qui dépassent l’entendement et mes subordonnées me prennent pour une folle parce que je lui oppose un refus net. En même temps, comment ne pas les comprendre : Je garde une criminelle d’un autre pays sans donner aucune raison valable. 
Cindy renifla dédaigneusement.
-Tu sais ce qu’il te veut, cet homme ? poursuivit Jane. C’est la question que je lui ai posée, un jour. Il m’a répondu qu’il tenait à faire une batterie de tests sur toi. Soi-disant, ce serait pour améliorer la santé publique. Je l’ai alors questionné quant à la nature de ces examens ; il n’a rien voulu me dire. Je pense très sincèrement qu’il est dangereux.-Je devrais te remercier, c’est ça ? rétorqua la jeune fille en dévisageant la sénatrice avec amertume.
Cette dernière ouvrit la bouche mais, une fois encore, ne sut pas quoi répliquer. Elle soupira puis lança un regard suppliant en direction de Cindy :
-Tu es sûre que tu ne veux pas me faire l’amour, aujourd’hui ? J’ai … enfin, je fais tout ce que je peux pour …-Me garder auprès de toi, c’est ça ? Tu veux juste ta ration quotidienne de baise !
Jane soupira de dépit. Elle se leva, ramassa sa culotte qu’elle avait éjectée dans un coin de la pièce puis remit de l’ordre dans sa tenue.
-J’espère que tu auras changé d’attitude la prochaine fois que je viendrai, fit-elle en lissant sa jupe. Ma bonté a des limites …
Puis la sénatrice Jane sortit, elle et toute la dignité qui lui restait. Cindy regagna son alvéole sans relever la tête une seule fois. 
Cependant, il ne fallut pas attendre longtemps avant que sa porte ne s’ouvre à nouveau. 
Vous avez tous décidé de me casser les pieds aujourd’hui ! fulmina-t-elle intérieurement.
Elle se retourna avec la ferme intention de renvoyer l’importun d’où il venait. C’était Abby qui, bras croisés, la fixait avec insistance. Trop surprise pour dire quoique ce soit, la jeune fille se contenta de la dévisager.
Elle possédait un visage légèrement carré mais sa chevelure de jais émoussait coquettement ses formes, lui conférant une féminité toute particulière. Bien que souvent pincée, sa bouche avait quelque chose de sensuel et de mystérieux, comme si les canines qu’elle gardait jalousement ne pouvaient être montrées que lors d’occasions spéciales. Deux yeux d’un brun sombre était posés sur Cindy sans laisser transparaître la moindre émotion. Elle se trouva bien incapable de définir l’expression qu’arborait sa geôlière.
-Pourquoi tu n’as rien fait avec la sénatrice, aujourd’hui ? finit-elle par demander de but à blanc.-Qu’est-ce que ça peut bien te faire ?-Je m’interroge, c’est tout. Je ne comprends pas ce qu’elle te veut.-Bon, qu’est-ce que tu fous ? explosa Cindy. Tu me forces à te bouffer la chatte, ensuite tu m’ignores pendant des jours et tout à coup on est copine ? C’est quoi le plan, là ? Tu vas te masturber sur moi pour ensuite m’éviter durant une semaine ? Et pour bien faire les choses, tu comptes te branler devant ma porte comme une putain de perverse ? C’est ça ?
Un silence lourd accueillit ses paroles. La tension était palpable ; les deux femmes se fusillaient du regard sans qu’aucun geste ne soit esquissé. Finalement, Abby baissa les yeux sur une petite boite qu’elle tenait.

-Peu après qu’elle ait quitté la salle d’interrogatoire, la sénatrice est venue me voir. Elle m’a demandé si c’était moi qui avais la charge de ta surveillance. J’ai acquiescé et elle m’a donné ça en me disant : « mettez-ça dans son repas juste avant ma prochaine séance avec elle ». Ensuite, elle est partie. C’est … c’est du viagra, c’est pour que tu …-Je sais à quoi ça sert. Pourquoi me dis-tu cela ? Tu aurais pu obéir aux ordres sans venir m’en parler …-Toi aussi, tu aurais pu obéir à la sénatrice aujourd’hui mais tu ne l’as pas fait. Pourquoi ?-J’en ai ma claque de n’être qu’une bite sur laquelle elle peut venir s’asseoir quand ça lui chante. C’est à cause d’elle que je me retrouve ici et comment je la remercie ? En faisant ce qu’elle me demande. Je ne veux plus être ce genre de femme.
Abby acquiesça sans rien ajouter. Elle se retourna mais, juste avant de sortir, hésita. 
-Tu sais, si je me suis masturbée dans le couloir c’est … c’est pour mieux résister quand …
Incapable de terminer sa phrase, elle secoua la tête puis referma la porte derrière elle.
Cindy se recoucha dans son lit. Elle avait l’impression d’être en colère contre le monde entier ; elle sentait son ventre brûler de rage. Qu’avait-elle fait pour finir dans un tel endroit ? Elle était née différente, voilà tout.
Cherchant un moyen de se calmer, son regard s’attarda sur le plafond.
Où est-ce que j’en étais, déjà ? Bon ça fait, rien. J’ai qu’à recommencer. Un … deux …
Le lendemain, Abby lui apporta son plateau-repas. Il était garni bien différemment de celui de la veille : Un hot-dog siégeait en son centre, entouré de quelques feuilles de laitue ainsi que de deux petits récipients contenant respectivement une sauce jaune et une rouge, très probablement de la moutarde et du ketchup. Petit détail qui valait son importance : une pilule de viagra se trouvait juste au côté d’un gobelet d’eau. 
-Tu n’étais pas censée la cacher ? hasarda Cindy en levant ses yeux sur la geôlière.-Je n’aime pas les méthodes de cette femme, fit Abby en haussant les épaules.-Bien sûr, ironisa la jeune fille. Toi tu es plus dans la subtilité. Quand tu as fourré ma tête entre tes cuisses, tu as juste omis de me demander la permission …-Ça n’est pas pareil … tenta-t-elle de se justifier. -Oui, tu as raison. Au moins, la sénatrice se souci que je sois excitée avant que je ne la prenne, alors que toi …-Bon, ça va j’ai compris.
Abby s’empara du plateau-repas avant de faire  demi-tour.
-Non, attends ! s’exclama Cindy en se levant de son lit. Je … je regrette. Pardon, ce n’est pas ce que je voulais dire.-Qu’est-ce que tu voulais dire, dans ce cas ?-Merci de … ne pas avoir caché la pilule dans le plat.
Abby plissa les yeux, la main toujours posée sur la poignée de porte.
-Et d’avoir demandé un repas de meilleure qualité ... Enfin, si ça vient de toi.
La gardienne fit marche arrière pour tendre le dîner à la prisonnière. Considérant le sujet clos, elle annonça qu’une visiteuse attendait Cindy dans la salle habituelle.
-Libre à toi de prendre le viagra ou pas, ajouta-t-elle avant de disparaître.
Quelques minutes plus tard, Cindy entrait dans la salle d’interrogatoire, sa tenue de prisonnière déformée par une importante érection. La sénatrice Jane, assise sur la table, eut un sourire carnassier.
Les deux femmes s’observèrent en chienne … de faïence ; difficile de dire laquelle des deux étaient la plus excitée. C’est finalement Jane qui prit les devants. Elle plongea ses yeux dans ceux de la jeune fille en rut :
-Tu m’as l’air bien chaude, aujourd’hui, ma douce, murmura-t-elle en caressant le chibre qui semblait vouloir trouer le vêtement tant il était dur.-Parles pour toi, répliqua Cindy en plissant le nez. J’ai senti l’odeur de ta chatte depuis ma cellule. Bon qu’est-ce qu’on fait ? Tu te mets à quatre pattes pour que je t’éclate ou on attend que tu meures de déshydratation à cause de cette cascade que je devine entre tes cuisses ?-Cindy ! s’exclama la sénatrice qui réprima, malgré son ton outré, un sourire coquin. Ton attitude a bien changée par rapport à hier. Je me demande ce qui a alterné ton avis …
Mais oui, bien sûr, ironisa intérieurement la jeune fille.
Pour couper court à ce babillage intempestif, Cindy agrippa Jane par la jupe pour la plaquer contre la porte. D’une main impérieuse, elle arracha sa culotte qui, trempée comme elle était, ne parvenait plus à endiguer les flots de mouille s’écoulant au travers.
-Oh oui, vas-y, Cindy ! supplia la sénatrice, le visage collé contre la porte. Mets-la moi profonde, je t’en prie !
La prisonnière colla son gland contre le trou suintant de Jane et, d’une vive poussée, l’y engouffra. Les deux femmes gémirent de plaisir. La jeune fille, le bassin plaqué contre les fesses de la sénatrice, profita de sentir sa queue entre des chairs si chaudes. 
-Aller, fourre-moi, ma petite catin ! s’impatienta la sénatrice en tortillant du cul.
Cindy ne se le fit pas prier. Elle s’arrima aux hanches de sa conquête pour la baiser avec hargne.
-Ooh Oui ! Ah ! C’est … bon, oui ! Mmh ! Oh … putain ouais !!
Excitées comme elles l’étaient, Elles ne mirent pas moins de deux minutes pour toutes les deux exploser de bonheur. La rapidité avec laquelle elles avaient atteint l’orgasme les avait grandement essoufflées. 
-Oh putain, Cindy ! s’exclama Jane. Ce que tu m’as mis ! J’en reviens pas comment c’était bon !-Si tu crois que j’en ai fini avec toi …  
Sans avoir le temps de comprendre ce que la jeune fille venait de lui murmurer à l’oreille, La sénatrice se retrouva la tête plaquée au sol et le bassin tendu vers le haut.
-Attends, s’écria-t-elle, paniquée. Qu’est-ce que tu … OOoooh !
Le cul de Jane s’ouvrit sous la poussée de l’imposante queue de Cindy. Elle sentit celui-ci entrer en elle comme un brise-glace sur la banquise pour finalement se stopper net lorsque ses fesses entrèrent en contact avec le bassin de la prisonnière.
-Cin … Cindy ! Qu’est-ce qui te prend ? s’insurgea la sénatrice. Je t’ai dit que je ne voulais pas que tu ailles là !-Je sais mais je ne pouvais pas résister, fit la jeune fille avec un sourire mesquin. Et puis, je ne sais pas pourquoi, mais depuis que j’ai mangé, j’ai envie de niquer tout ce qui bouge ! Quand je suis comme ça, je peux baiser pendant 4 heures d’affilées sans m’arrêter …
Liant le geste à la parole, Cindy envoya de formidables coups de bassin dans les tréfonds d’une Jane martyrisée.
-Aah ! Attends ! Oh ! Mmh … Attends ! Je … Cindy … Ah … je …-Ooh c’est bon ! C’est ça que tu voulais, pas vrai ? Une bonne grosse bite rien que pour toi. Quelle chanceuse, hein !-Aah Cindy, je t’en supplie ! Ah, mon Dieu ! Oh ! Pourquoi est-ce si bon ?!-Qu’est-ce qui se passe, Jane ? Tu en veux plus ? Mais il suffisait de demander.
L’anus de la sénatrice avalait sa queue goulûment, raclant celle-ci sur toute la longueur. À ce rythme, la jeune fille savait qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour avoir un second orgasme.
Agrippant les hanches de Jane, Cindy amplifia la force de ses pénétrations, lui prodiguant encore plus de plaisir.
-Aah ! Cindy ! Je … pardon … Ah ! Je regrette. Ah !
La prisonnière s’arrêta, la pine profondément enfuie entre les fesses de la sénatrice.
-Qu’est-ce que tu regrettes ? s’enquit-elle.-Je … Je ne voulais … pas … tenta d’expliquer Jane, son buste montant et descendant au rythme de son souffle saccadé. Je regrette de … t’avoir fait … avaler cette pilule …-C’est tout ce que tu regrettes ?-je … oui … je (sentant la hampe bouger dans son séant, Jane se rattrapa précipitamment) Non, non ! Je veux dire que … Je regrette aussi de … t’avoir forcé à me baiser. Pardon, je voulais juste … prendre un peu mon pied …-Et … ?-Et … et c’est tout.
Jane se retourna autant que la jeune fille dans son cul le lui permit :
-Je ne regrette pas de t’avoir mise en prison, annonça-t-elle. Sans cela, je n’aurais pas connu tous les plaisirs que tu m’as offert. Cela vaut tout l’or du monde …
Cindy hocha la tête, compréhensive.
-Je te remercie pour ton honnêteté, sourit-t-elle. Seulement, à cause de ça, tu empêches des centaines d’autres femmes de connaître pareil bonheur. C’est égoïste de ta part de vouloir me garder pour toi toute seule. À l’avenir, si tu veux que je te baisse, il faudra que tu m’apportes une femme différente à chaque séance.-Mais …-C’est la seule condition que j’impose si tu veux encore connaître le plaisir de te faire prendre par une fille de Déesse.-Par une …-Aussi, poursuivit la jeune fille sans prêter attention à l’interruption. La pilule que tu m’as donnée va faire effet encore un bon moment. Malheureusement pour toi, tu es la seule personne ici qui puisse me soulager. Malheureusement pour toi, crier n’y changera rien. Malheureusement pour toi, cette pièce est entièrement insonorisée et, comme tu me l’as répété plusieurs fois déjà, personne ne nous observe.-Non attends, ne …-Tu as tenté de me piéger, voilà le prix à payer.

Plusieurs heures plus tard, Cindy regagna sa cellule, épuisée comme si elle avait couru deux marathons d’affilés. Elle s’écroula sur son lit, les yeux paillonnant de fatigue. Aujourd’hui, elle avait exploré les limites de son corps, sans parler de celui de la sénatrice. 
Elle plongea la main sous son oreiller pour en tirer une petite chose qu’elle contempla avec une satisfaction mêlée de fierté.
-Toi, je sens que tu vas m’être très utile, à l’avenir …
Dans le creux de sa paume, se trouvait la pilule de viagra.
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