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[Sci-fi] Les plantes d'Akrana

Chapitre 4

Divers
4.

Dans une salle de commande, le Zourk Menesis, Mannè, et quelques autres akraniens, avaient assisté aux péripéties des cinq terriens sur des écrans vidéo. Certains akraniens prenaient des notes, commentaient ce qu’ils voyaient. Belinda fut la dernière à sortir de la salle où avait eu lieu son « épreuve ».
Mais, derrière une grille d’aération, d’autres yeux avaient aussi tout vu. Jones avait continué à marcher dans le conduit, et des bruits l’avaient attirée dans un conduit latéral. Par la grille d’aération, elle vit les akraniens rassemblés devant les écrans de contrôle, et elle avait vu ce qui était arrivé à ses amis. Malgré la peur d’attirer d’autres animaux, son sexe était trempé, et elle n’avait pu s’empêcher de se caresser, surtout en voyant Belinda se faire ramoner par l’androïde…
Maintenant, le Zourk Menesis se tourna vers les autres akraniens, qui semblaient être des scientifiques.— Messieurs, nous avons réussi. Nous avons créé l’arme défensive la plus parfaite de l’univers : le plus puissant des aphrodisiaque intersidéral ! Comme vous avez pu le constater, le parfum de cet aphrodisiaque fonctionne sur tous les être vivants ou semi vivants de la galaxie : êtres humains, aliens, végétaux, animaux et même les androïde de toutes les espèces. Nous avons aussi fait des tests en laboratoire, et il fonctionne sur les robots, les orcs, et même les morts-vivants ! Lorsqu’il est respiré ou ingéré, l’individu qui en est victime ne pense plus qu’à son plaisir… faire l’amour, baiser, foutre, remplir, sucer, jouir, il ne pense plus qu’à cela ! Imaginez, imaginez une armée offensive gazée par ce parfum : les soldats et les robots, au lieu de se battre et détruire, ne penseraient plus qu’à s’envoyer en l’air… Imaginez que nous dispersion nos plantes dans tous l’univers, et la guerre disparaîtrait à tous jamais ! Notre science sera supérieur à tout ce qui a existé et existera, pour toujours !
Les scientifiques applaudirent. Le lieutenant Jones comprenait tout maintenant. Les laboratoires, les cages, les animaux, le fait que le vaisseau rejette beaucoup de manière organique… C’était un zoo volant ! Il fallait qu’elle retrouve Neil et le Capitaine Douglas au plus vite !
Elle décida de continuer le long de ce couloir. Elle marcha à quatre pattes plusieurs minutes, avant d’entendre des cris. Elle reconnaissait la voix ! « C’est le professeur Neil ! Mon Dieu, ils la torturent ! » Elle avança le plus vite qu’elle put, jusqu’à la grille d’où semblait provenir les cris. Mais plus elle avançait, moins les cris semblaient être des cris de douleurs ! Elle arriva enfin à la grille d’aération, et put constater que le professeur Neil ne souffrait pas le moins du monde ! Elle était aussi à quatre pattes, sur ce qui devait être un lit. Sa chevelure rousse couvrait son dos, elle était entièrement nue. Un akranien la prenait par derrière, un sexe lui remplissant le vagin, l’autre son anus. Et l’akranien la prenait sans ménagement ! Un autre akranien était face à elle, et elle suçait une de ses bites mauves avec gourmandise, branlant la deuxième. Deux autres akraniens se branlaient les bites en regardant le spectacle, un de chaque côté de la rousse. Le lieutenant Jones n’en revenait pas ! Elle sentit à nouveau la chaleur dans le bas-ventre, son sexe se contracter… Elle avait de plus en plus chaud. Sa main descendit instinctivement vers son pubis, puis son clito… elle se caressa le clito, puis descendit vers son sexe, chaud et ouvert… elle s’introduisit facilement deux doigts, tellement elle était mouillée… Elle commença à se masturber, rapidement, frénétiquement, puis s’arrêta, horrifiée. « Mais qu’est ce que je fait… je ne peux pas ! Je suis leur dernier espoir, je dois les sauver ! » Comme elle ne pouvait rien pour Neil, trop bien entourée, elle choisit de continuer dans le conduit, pour essayer de trouver le Capitaine Douglas.
Elle n’eut pas à chercher bien longtemps ! La grille d’aération suivante lui montra un bien étrange spectacle : Dans une chambre pareille à celle du professeur Neil, le Capitaine Douglas, baisant une plante, une tige lui ramonant le cul. Il avait l’air hébété, un peu comme fou. Et il faisait furieusement l’amour au bulbe de cette plante. Dans la tête de Jones, ce fut un chamboulement. Elle revit les images de l’akranien éjaculant, du sexe rouge et gonflé du rat qui s’enfonça en elle, des péripéties érotiques de ses camarades, de Neil, tous les orifices rempli par des bites mauves… Et Jones craqua... Elle agrippa la grille d’aération, la secoua, criant « Capitaine ! Non ! C’est moi, j’ai besoin de vous ! Capitaine, redevenez vous-même ! » Et elle tomba en larme. Au même moment une sirène se fit entendre. Et une lumière rouge éclaira le conduit. Jones reprit ses esprits. « Merde ! J’ai déclenché le système d’alarme ! ». Elle essuya les larmes de ses yeux, et voulut faire demi-tour. Mais quelque mètre plus loin, une trappe d’acier se referma devant elle, lui barrant le passage. Elle devait donc continuer dans le conduit. Elle repassa devant la chambre du Capitaine Douglas., qui semblait maintenant endormi, sa bite dans le bulbe de la plante, et la tige profondément enfoncée dans son anus. Jones passa outre, et continua devant elle. Un autre conduit partait sur sa gauche, elle voulut l’emprunter, mais là aussi une trappe se ferma devant elle. Un peu plus loin, un autre conduit sur sa droite, qui se referma aussi avant qu’elle ne l’atteigne. Elle n’avait d’autre choix que de continuer devant elle. Elle avança et finit dans un cul de sac. « Mais qu’est ce qu’ils veulent ? Où me conduisent-ils ? » A ce moment, elle entendit un petit déclic. Elle remarqua alors qu’il y avait une grille sous elle… et avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, la grille s’ouvrit, et le lieutenant Jones tomba dans un trou noir.
Heureusement elle ne tomba pas de trop haut. Elle se réceptionna au sol. Elle regarda autour d’elle il faisait très sombre. Elle aperçut au-dessus d’elle la grille d’aération, sauta, mais celle-ci était un peu trop haute, et Jones ne savait pas remonter par là. Soudain, une lumière assez douce se fit dans la pièce. Elle put voir où elle était. La pièce était tellement petite qu’elle ne savait pas s’y coucher. En fait, en écartant les bras, elle touchait les murs des deux côtés, sans que ces bras soient tout à fait tendus. Et c’est en faisant cette expérience qu’elle remarqua que les murs étaient remplis de trous. Et qu’il y avait du monde derrière ces trous, elle entendait maintenant du bruit. Alors qu’elle observait un de ces trous, quelque chose en sortit. C’était mauve, une petite fente un petit chapeau… en fait un gland, puis le reste du pénis… Un deuxième vint en dessous du premier… Elle avait face à elle deux pénis akraniens, tout bandé, tout tendus… et elle en senti deux autres dans le mur derrière elle… Toutes les images pornographiques lui revenaient en tête, le pénis du rat, celui des raptors, des singes, des androïdes, elle voyait dans sa tête des pénétrations vaginales, anales… son sexe redevint humide, elle n’en pouvait plus…
Elle plongea vers les pénis face à elle, sa main entoura le premier, il était doux et chaud… elle commença à le branler énergiquement, tandis que sa deuxième main attrapa le deuxième sexe tendu, et elle lui fit subir le même sort. Elle aimait sentir ses sexes aller et venir dans ses mains… puis, un autre sexe apparut tout près de son visage, juste sous son nez ! Elle releva un peu la tête, et lèche timidement ce gland tiède. La sensation n’était pas désagréable. Elle entoura le gland de ses lèvres, et fit coulisser tout le sexe dans sa bouche… quelle sensation agréable ! Elle commence à sucer et lécher ce sexe, tout en continuant à branler les deux autres. Ce faisant, pour garder son équilibre tandis qu’elle œuvrait, elle voulut caler ses fesses contre le mur opposé… Mais elle sentit qu’il y avait d’autres sexes raides et tendus derrière elle. Il y en avait un qui butait contre ses fesses. Elle bougea un peu son postérieur pour que ce pénis se retrouve face à son sexe à elle. Elle sentit le gland, tiède, glisser contre son vagin. Elle se poussa en arrière, et se sentit coulisser le long de ce pénis tendu, jusqu’à ce qu’il vienne buter au fonds de son ventre. Elle lâcha un râle de plaisir. Que c’était bon ! Elle se fit coulisser le long de ce sexe, de plus en plus vite, jusqu’à se faire jouir. Bien vite, Jones fut entourée de pénis, il y en avait bien une vingtaine ! Les deux bites qu’elle branlait se cabrèrent en même temps, et éjaculèrent un foutre jaune sur sa poitrine et son ventre. Elle sentit le sexe qu’elle suçait avec gourmandise battre contre son palais, elle voulut se retirer, mais un premier jet de foutre inonda sa bouche et coula dans sa gorge, tandis que le deuxième inonda sa joue, et le sperme glissa le long de son menton. Les trois bites akraniennes débandèrent, mais il y en avait tellement d’autres ! Jones s’en empara de trois autres, une dans sa bouche, une dans chaque mains, suçant, masturbant. Elle sentit le sexe sur lequel elle coulissait battre au fond de sa chatte, puis le sperme chaud se répandre en elle… elle bougea pour pouvoir s’empaler sur une autre bite. Elle adorait cette sensation, ce gland qui buttait contre elle, puis entrait en elle, selon son choix, selon la façon dont elle bougeait le long de ce sexe raide, tiède… Elle reçut en plein visage et dans ces cheveux une giclée de sperme d’une des bites qu’elle masturbait. Elle le lâcha, et prit une autre. Alors qu’elle jouit une deuxième fois, elle sentit un autre sexe buter contre ses fesses. Elle se déplaça le long de la bite déjà dans sa chatte pour placer le nouveau gland contre son anus. Il résista au début. Elle se plaça mieux, et poussa. Elle sentit le gland passer son muscle anal, et la bite entrer petit à petit dans son cul. Au même moment, la bite qu’elle suçait éclata dans sa bouche. Cette fois-ci elle n’en perdit pas une miette avalant tous le sperme tiède akranien. Elle en prit vite une autre dans sa bouche, tandis qu’une giclée de sperme, elle ne savait plus d’où il venait, inonda sa poitrine et coula le long de son sein. La bitte dans son cul arriva aussi, elle avait son vagin et son cul inondé de sperme, qui ruisselait le long de ses fesses. Elle suçait, masturbait, avalait, prenait des bites dans sa chatte, dans son cul… du sperme giclait sur son visage, dans ses cheveux, sur sa poitrine, coulait par litre dans sa gorge… et à la fin, elle avait tellement d’orgasme successifs, et son sexe était tellement humide et mouillée et élargi par les nombreuses pénétrations qu’elle avait subies, qu’elle arriva même à prendre deux bites en même temps dans sa chatte. En plus ils éjaculèrent en même temps ! Il y avait tellement de sperme qu’il coulait le long de jambes de Jones. Enfin, épuisée, elle suçait la dernière bite bandée qui restait… la sentant se cabrer, elle la sortit de sa bouche, et guida le sexe pour qu’il éjacule sur son visage. La giclée de sperme arriva sur son front, ses joues, et elle le sentait dégouliner sur tout son visage. Repue de sexe, couverte de sperme, elle s’assit contre la paroi et s’endormit, épuisée…
* **
Jones reprit peu à peu connaissance. Elle était toujours dans le même endroit. Elle se releva lentement. Son sexe était légèrement brûlant, et elle sentait fort le sperme ! Sa combinaison n’étant plus que des lambeaux, elle s’en débarrassa. « Il faut que je m’évade d’ici ! » pensa-t-elle. Elle essaye de s’aider des trous dans le mur pour grimper jusqu’à la grille. Mais la grille était fermée. Et en voulant redescendre, elle glissa sur une trainée de sperme, et tomba sur le sol, maculé lui aussi de sperme. C’est en se relevant qu’elle sentit une présence, qu’elle se sentit observée. Elle chercha autour d’elle, et vit la lueur d’un œil qui l’observait par un des trous.
— Alors Lieutenant Jones, on nous fait une visite surprise ? Vous savez, il suffisait de venir avec les autres, sans vous donner tout ce mal… et surtout sans nous mentir. Ce n’est pas très honnête ça. Surtout que nous sommes une nation pacifique, et scientifique.
Jones reconnut la voix qu’elle avait entendue tout à l’heure, la voix du Zourk Menesis.— Salaud ! Je vous empêcherai d’implanter votre saloperie dans tout l’univers !— Comment ? Nous avons la solution pour faire disparaître la guerre et effacer ses cruautés et ses souffrances, et ce dans tous l’univers, et vous me traiter de « salaud » ! En plus cela sans tuer personne, mais au contraire en ne donnant que du plaisir !— Et notre libre arbitre ? Vous ne nous laissez même pas le choix !— Le libre arbitre ! Ah ! Mais qu’en faites-vous ? A part la guerre, qu’a fait la race humaine tout le long de son histoire ? Que ce soit sur votre planète, ou sur les autres ! Vous fédérez dans le sang et par les armes, sans demander l’avis des autres peuples non plus, ceux que vous appelez aliens, ou extra-terrestres, et dont certains ont une histoire et une civilisation deux fois plus ancienne que celle des humains. Nous vous forçons un peu la main, mais pour quelle résultat ! Par exemple, là tout de suite, vous n’avez pas demandé à vous retrouver dans cette « cage », nous vous avons forcé la main… mais ne me dites pas que vous n’y avez pas trouvé du plaisir ! Vous avez sucé, masturbé ou baisé quasiment tout mon équipage !
Jones rougit. D’un côté il n’avait pas tort, faire disparaître la guerre, la remplacer par le sexe… et oui, elle avait pris son pied, elle n’avait jamais connu de tels orgasmes. Mais d’un autre côté, se voir ainsi privée de son choix, bref de sa liberté !
— Où sont mes compagnons ?— Ne vous en faites pas ils vont bien. Ils se reposent dans leurs chambres. Si vous m’avez entendu, puisque vous citez mes paroles, je suppose que vous avez vu les écrans. Ils ne risquaient rien. Tous les aliens ou animaux étaient sous l’influence de la fleur, vos amis ne risquaient donc rien. Nous maîtrisons l’arme défensive inoffensive la plus puissante de l’univers ! — Mais vous croyez que cela est agréable de se faire défoncé par un monstre, un raptor ou un rat ? Et pour le Capitaine Douglas ?— Comment ? Un rat ? Mais aucun de vos amis n’a eut affaire à un rat… nous n’avons pas mis de rat sous contrôle de la plante.— Pas eux peut-être, mais moi, dans vos conduites, j’ai failli me faire violer par un rat. Il avait commencé à me besogner lorsque je l’ai tué. Or d’habitude, les rats de l’espace pensent plus à manger les femmes humaines qu’à les violer ! Et vous ne m’avez pas répondu pour le Capitaine ?
Jones n’eut plus de réponse. Le Zourk Menesis était toujours là, mais fort perplexe. Au bout d’un moment, il se ressaisit. — Je dois y aller, j’ai à faire. Pour le Capitaine Douglas, c’est un petit contretemps… nous ne comprenons pas ce qui l’a rendu dans cet état végétatif. Mais nous sommes sur le point de trouver l’antidote qui va le guérir. Excusez-moi. Je dois y aller. Je vous laisse ici pour réfléchir. Si vous renoncer à nous stopper, nous vous conduirons dans une chambre, et vous pourrez revoir vos amis. Sinon, vous resterez ici. Cela amuse bien l’équipage !
* **
Le silence devenait pesant. Les scientifiques se regardaient l’un l’autre, puis la longue table de la salle de réunion. Ils avaient entendu le récit du Zourk Menesis. — C’est absolument impossible ! Nous n’avons pas mis de rat sous contrôle.— Et impensable ! Aucune de ces bêtes n’aurait pu s’introduire dans nos laboratoires, nous l’aurions vu, ne fut-ce que sur nos bandes enregistrées vu que les labos sont sous vidéos- surveillances 24h sur 24h !— Peut être qu’elle ment ?— Oui, après tout, elle ne nous aime pas beaucoup. Et elle s’est introduite illégalement sur notre navire, ce qui est contraire à toutes les lois stellaires en vigueur !
Le Zourk Menesis réfléchit un moment. Il regarda l’ensemble des éminents scientifiques autour de la table. Puis il prit une décision.
— Puisqu’elle a dit avoir tué le rat, la seule façon de savoir la vérité est de trouver et d’étudier son cadavre. Et aussi de trouver un autre rat vivant, ils doivent grouiller dans ces conduits, pour voir s’ils sont réellement sous l’effet de notre produit. Et nous demanderons l’aide des humains pour cela.
Les scientifiques opinaient du chef à lorsque le Zourk Menesis parlait. En entendant qu’il voulait demander l’aide des humains, un scientifique allait réagir, mais Menesis tapa du plat de la main sur la table.
— J’ai décidé. Que mes ordres soient exécutés.
* **
Jones ne savait pas comment sortir d’ici. Elle cherchait un plan d’évasion, lorsqu’elle entendit des bruits, plusieurs personnes venaient vers elle.
— Lieutenant Jones…
Elle reconnut la voix du Zourk Menesis.
— Lieutenant Jones, je sais que vous n’êtes pas d’accord avec nous. Mais je vous propose une trêve. Et même une étroite coopération entre nous et vous. Qu’en pensez-vous ?
Jones réfléchit quelque secondes. La voix du Zourk Menesis paraissait beaucoup moins assurée que la première fois qu’il était venu lui parler. Ils avaient donc un problème, mais lequel ? Si elle restait ici, elle était coincée. Si elle les aidait, elle pouvait soit trouver une occasion de s’échapper, soit de les mettre hors d’état de nuire, soit de trouver une solution ensemble à ce problème. Son choix fut vite fait.
— OK, j’accepte de vous aider, mais faites moi sortir d’ici !
Un mur coulissa. Le Zourk Menesis lui-même lui tendit la main pour l’aider à sortir de la « cage ». Derrière lui venait quelques akraniens, ainsi que Lhatta, Belinda, Jenny, Mike et Ben. Un des akraniens portait une sorte d’échelle. Il entra dans la cage, et grâce à l’échelle, il atteint la grille par laquelle Jones était tombée. Avec une sorte de clef, il ouvrit cette grille, puis redescendit et quitta la cage, laissant l’échelle sur place. Le Zourk Menesis posa sa main sur l’épaule du Lieutenant Jones, et il soutint son regard sans ciller.
— Je vous jure que nos intentions sont pacifiques. Nous voulons éradiquer la guerre et les fléaux qui vont avec. Mais nous ne comprenons pas ce qui est arrivé au Capitaine Douglas. Nous ne comprenons pas non plus comment ce rat qui vous a attaqué a put être sous l’effet de la plante. Pour en savoir plus, nous devons analyser le cadavre de ce rat. Et pour ça nous avons besoin de vous. Sauriez-vous faire le chemin inverse dans les canalisations, afin de mener cette équipe de scientifique au cadavre du rat ? — Oui, je pense pouvoir le faire sans trop de problème. Mais mon équipe m’accompagne.— D’accord. Et si vous trouveriez d’autres rats, bien vivant ceux-là, nous aimerions les étudier. Nos deux scientifiques, le docteur Zingl et son assistant, qui vont vous accompagner sont armés de rayons paralysant. Merci Lieutenant Jones. Je vous jure de tout faire pour soigner le Capitaine Douglas. Après, nous pourrons reprendre ce débat sur l’utilité de notre plante défensive !— D’accord, mais sachez que je suis de moins en moins convaincue par vos arguments ! Bon, je passe en premier, puis viendront les scientifiques, puis Mike et Ben. Lhatta, Jenny et Belinda vous fermez la marche, à cinq minutes de nous. Si un des deux groupes est attaqué, ou voit un rat, il fait appel à l’autre. Pas de question ? OK, allons-y…
Et Jones grimpa à l’échelle et s’engouffra dans la canalisation, suivie par les deux akraniens et le reste de son équipe. C’est en arrivant dans la canalisation qu’elle se rendit compte qu’elle et ses amis étaient entièrement nus. « Faudra que je pense à demander à Nemesis des vêtements. Enfin il aurait pu y penser… Quels mateurs ces akraniens ! ». Tout en marchant à quatre pattes dans le conduit, elle sentait le regard de l’akranien, derrière elle, vissé sur ses fesses rebondies… Jones décida de ne pas y faire attention, et essayait de repérer le chemin à suivre en se rappelant celui qu’elle avait suivit pour venir. Elle passa devant la chambre du Capitaine Douglas. Puis, se fiant aux cris de plaisirs, passa devant celle du professeur Neil, qui était maintenant à quatre pattes sur la moquette, toujours remplie par des pénis akraniens par tout ces orifices. « Et bien, quelle santé celle-là ! » pensa Jones. Ce spectacle arracha un sourire hilare aux akraniens, qui se firent une réflexion dans une langue que Jones ne comprit pas, et aussi à Mike et Ben, qui ne purent s’empêcher quelques réflexions salaces. Mais le groupe poursuivi son chemin dans les conduites sans plus s’attarder.
A quelque mètre de distance, le deuxième groupe arriva aussi devant ce spectacle. Lhatta essaya de ne pas trop y faire attention, mais Jeny et Belinda furent captivées par ce spectacle. Elles se sentaient bizarre depuis leur réveil dans cette chambre akranienne. En chaleur, mouillée, excitée… non, affamée de sexe ! Lhatta les rappela militairement à l’ordre, et elles la suivirent. Belinda, qui suivait Lhatta, ne pouvait plus détacher son regard de ses jolies fesses, qui semblait danser devant elle. La courbure, le sillon, l’ombre qui indiquait l’entrée anale, puis la descente vers son sexe sans poil. Elle était captivée, affamée. Soudain, Lhatta s’arrêta de marcher, pour laisser la distance demandée entre son groupe et celui de Jones. Belinda s’arrêta son nez sur les fesses de Lhatta. Elle se redressa un petit peu, et de ses mains pelotta, puis écarta les fesses de Lhatta.
— Mais Belinda ! Arrête, qu’est ce que tu faits ?
La langue de Belinda suivit le sillon des fesses, descendit jusqu’au sexe de Lhatta, puis remonta le long du sillon, lui titilla l’anus…
— Oh ! Première classe Bélinda je vous ordonne d’arrêter ! Nous sommes en mission, vous risquez la cours marti… oh ! je…
La langue de Bélinda lui pénétra l’anus… Lhatta lui tendit encore plus sa croupe. Puis, la langue de Belinda descendit vers le sexe de Lhatta, et commença à le lui lécher tandis qu’un de ses doigts lui pénétrait facilement l’anus, tout mouillé de salive. Puis Lhatta se retourna, et elle et Belinda se mirent en position du 69, s’introduisant l’une l’autre la langue et les doigts dans l’anus ou le sexe, passant de l’un à l’autre, mouillant et jouissant de plus en plus. Jenny, voyant ce spectacle, commença à se caresser les seins. Ces tétons étaient durs. Une de ses mains descendit vers son clitoris, puis son sexe, ouvert et déjà tellement humide. Elle agaça un peu son clitoris, puis s’introduisit deux doigts dans le sexe. Mais elle voulait plus. Elle regarda autour d’elle, et vit une grille d’aération ouverte. Elle se faufila par cette grille. Elle avait tellement envie de sexe, elle était tellement excitée, qu’elle baiserait la créature qu’il y avait là, qu’elle qu’elle fût… et pourvu qu’elle ait un gros sexe !
Jenny sauta par la grille, et tomba sur de la terre. A l’odeur elle sut qu’elle était dans des marais, sans doute recréés par les akraniens pour la créature qui vivait ici. Elle regarda autour d’elle et ne vit rien. Elle entendit un petit grondement, et recula doucement. Derrière elle il y avait trois rochers, un très gros, au centre, et collé à lui deux rochers moyens, un à sa droite et un autre à sa gauche. Il y avait une place entre ses deux rochers moyens pour que Jenny s’y glisse. Ainsi, dos à un gros rocher, et protéger par les deux autres, elle saurait observer les alentours en se cachant. Elle recula donc doucement, et se colla, dos au rocher. Une douce sensation s’empara d’elle. Le rocher, qui avait une forme plutôt arrondie, était très tiède. Elle frotta son dos contre cette agréable source de chaleur. Ses pieds se calèrent sous les rochers moyens, à sa droite et à sa gauche. Elle était si bien. Le rocher était chaud, doux et vibrait doucement. Jenny savait déjà que ce n’était pas un rocher, mais un beau spécimen d’Erectea glossa. Cet animal du système Endocris3 est très étrange : Seuls ces organes génitaux sont visible : constitué de trois testicules, trois boules de belles dimensions, un très grosse au milieu, et deux moyenne sur le côté, de couleur vert-gris, qu’on confond aisément avec les rochers. Son pénis est assez énorme, et rétractable, et est caché sous la boule principale. Tout le reste de son corps est perpétuellement caché, dans la longue traîne de chair et de graisse qu’il traîne derrière ses trois testicules. Ils ne savent se mouvoir que de quelques millimètres par an, vivent en général 1000 à 1500 ans, et leurs vie n’a d’autre but que la reproduction de leur étrange espèce. Jenny se laissait tout à fait aller contre cette boule chaude et douce, y frottait son dos. Elle sentit le bas de la boule bouger, s’ouvrir, et quelque chose de long et tiède frotta sa cheville gauche. C’était le pénis de l’Erectea qui sortait. Il était long de presqu’un mètre, et épais comme le poing d’un enfant. Jenny l’attrapa doucement. Il était si long, il valait mieux qu’elle le guide… Le pénis était aussi tiède et doux, d’une couleur gris clair, presque blanc. Jenny écarta les jambes et le mena droit à son sexe trempé. Elle frotta le bout du pénis contre son clito, puis le long de ses petites lèvres, puis elle le fit entrer centimètre par centimètre en elle. Au début ce ne fut pas sans mal, car quel monstre ! Mais le plaisir et sa mouille aidant, Elle rentra une bonne partie de ce pénis en elle, jusqu’à ce qu’il butte contre le fonds de son vagin. Puis elle ne put plus rien contrôler… le pénis commença à onduler en elle, sans faire de vas-et-viens, la remplissant entièrement… elle commença à crier de plaisir… puis, elle sentit à l’intérieur de son sexe, le gland du monstre qui la pilonnait avec des mouvements lents, mais réguliers, comme un piston. Elle sentit les sensations augmenter, l’orgasme venir, et criant son plaisir, se caressant les seins, se frottant le dos à ce monstre chaud, elle eut deux orgasmes mouillés successifs, se sentant presque pisser de mouille tellement ils étaient mouillés… Puis l’Erectea éjacula. Des litres de semences couleur perle. Jenny sentit ce sperme se déverser en elle, par litre. Elle sentit sa matrice se remplir de semence tiède, puis la rejeter. Il y en avait tellement qu’il lui coulait le long des jambes, chaud et gluant, et ce pendant 10 bonnes minutes… Quand l’Erectea s’arrêta, Jenny avait tout le bas du corps trempé de sperme. Puis elle sentit dans son vagin le pénis du monstre recommencer à onduler, et le pistonnage recommença. Elle avait oublié que l’Erecta copule en général pendant cinq à six heures, et peut avoir jusqu’à 100 coït avant de s’arrêter…
* **
Dans le conduit, Ben appela le lieutenant Jones.
— Lieutenant, le groupe arrière ne suit pas, et ne donne plus signe de vie.— J’arrive !
Le Lieutenant Jones se plaqua contre la paroi pour laisser passer les deux scientifiques akraniens, Ben et Mike. Elle leurs fit signe de l’attendre, puis se retourna et revint sur ses pas. Elle trouva Lhatta et Belinda occupée à se lécher avec gourmandise, se doigtant l’anus… et en tournant sa tête vers la gauche, elle vit par la grille d’aération Jenny, les jambes trempées, se faire pistonner par une drôle de créature… la semence de la créature coulait le long des jambes de Jenny, et commençait à faire une flaque importante sur le sol. Le Lieutenant Jones voulut les appeler à l’ordre, mais c’était comme si les trois femmes ne l’entendaient pas. Elle décida de continuer sans elles. Elle refit demi-tour, et rejoint le groupe de Ben, Mike et des deux scientifiques.
— On continue sans elles.— Rien de grave au moins ? fit Mike en regardant vers l’arrière.— Non, désobéissance caractérisée. Mais c’est étrange. Je connais Jenny et Belinda depuis des années. C’est l’élite de notre armée. Jamais elles ne désobéiraient en mission, ou penseraient d’abord à s’amuser. Je ne les ai jamais vues faire cela ! Je suis sûre qu’elles sont encore sous l’influence de cette plante…
Le groupe continua son chemin dans les canalisations. Grâce au sens de l’orientation du Lieutenant Jones, ils arrivèrent sans mal au cadavre du rat qui avait essayé de la violer. Le docteur Zingl et son assistant prirent du sang du rat, des échantillons de salive, de sperme, étudièrent ses yeux, son sexe, et firent une sorte de photo-scanner de l’animal. Puis ils firent de même avec le cadavre du second rat, que Jones avait tué avant. Ceci fait, ils se tournèrent vers Jones.
— Pour comparer nos échantillons, il nous faudrait un rat vivant. Hélas, nous n’en avons pas vu un seul, et le temps presse.— Que proposez-vous ?— En fait lorsque ces rats vous ont attaqué, vous marchiez sans faire de bruit pour ne pas attirer notre attention. Nous faisons donc certainement trop de bruit pour eux. Il faudrait ne plus bouger et essayer de les attirer dans un piège. Avec un… appât…— Un appât ?— Oui… vous avez attiré ces rats avec vos… odeurs… féminines. Regardez, là bas il y a un croisement de conduit. La plaque du dessous peut être ouverte. Si vous vous mettez là, vos odeurs se répandront par les quatre conduits. Vous allez certainement attirer un rat. Nous serons en embuscade, ici, à 5 mètres de vous, et lorsque le rat vous attaquera, nous le paralysons, et on ne devra même pas transporter l’animal, il suffira d’ouvrir la plaque et de le laisser tomber. Qu’en pensez-vous ?
Le Lieutenant Jones réfléchit un instant. C’était risqué, elle n’avait pas vraiment confiance en ces akraniens. Mais avaient-ils un autre choix ? Mike et Ben faisaient « non » de la tête, mais Jones se retourna vers les deux akraniens.— J’accepte, mettons-nous en position.Puis à voix basse vers Mike et Ben. — Je n’ai pas trop confiance en eux, surveillez-les de près !
Cela faisait maintenant dix bonnes minutes que le Lieutenant Jones attendait à l’intersection des conduits. Elle était à quatre pattes, la croupe levée, espérant attirer un rat. Mais rien ne se passait. Quelle journée, quelle mission !!! Elle repensait à tous les événements de la journée, essayant de mettre de l’ordre dans ses idées. Mais dans ces pensées, une image vint s’interposer. Le mur troué, remplis de pénis akraniens. Et elle, trempée de sperme, qui suçait, avalait, s’empalait… « Non ! Enfin, qu’est-ce qu’il m’arrive ! Il faut que je mette de l’ordre dans mes idées, pas comme les autres… » Et elle pensa à Lhatta et Belinda… les images lui revinrent : l’index de Belinda qui rentrait petit à petit dans l’anus de Lhatta, tandis que la langue de Lhatta s’enfonçait dans l’intimité de Belinda, en ressortant, trempée de secrétions intimes… Ces images commencèrent à exciter Jones. Elle était là, dans ces conduits, la croupe levée et offerte… Elle commença à mouiller, et se caressa machinalement un sein, puis son entrejambe… « Mais non ! Jones, reprends-toi ! »
Mais ce qu’elle ne voyait pas, c’est que l’odeur de son excitation, l’odeur d’une femme en rut, se répandait dans les conduits… et moins de cinq minutes plus tard, deux yeux jaunes luisent dans les ténèbres, derrière le Lieutenant Jones. Elle ne pouvait le voir, mais elle sentit sa présence. « Ok, en voilà un qui s’amène me semble-t-il ». Le rat s’avança avec prudence, reniflant à gauche, à droite. Jones sentit l’animal s’approcher. « Si je bouge, il va s’enfuir, et il faudra tout recommencer. Et j’en ai marre d’être dans ces conduits. Donc, pas bouger. » Et puis Jones pensait au second rat qui l’avait attaqué. Elle revit son sexe, rouge et dur, légèrement ondulé… elle était excité… et avait envie de plaisir… Elle mouillait de plus en plus, et le rat le sentit. Jones, qui n’osait toujours pas bouger, sentit l’animal s’approcher derrière elle. Elle sentit la truffe de l’animal renifler son derrière, puis son sexe. Elle sentit la douce caresse du pelage tiède contre ses cuisses. Et soudain, elle sentit l’animal se coller à elle, ses épaules enserrées, la chaleur du corps de l’animal sur elle… le rat fit un mouvement de bassin et son sexe raide, entra facilement et complètement dans le sexe offert et trempé de Jones. Elle sentit les ondulations du sexe raide passer ses petites lèvres, la remplir, et le bout du sexe taper au fond de son vagin. Puis, avec des mouvements de plus en plus rapide de bassin, le rat la besognait. Elle sentait ce sexe dur, ondulé, aller et venir très rapidement en elle…
Mike et Ben avaient vu le rat approcher du Lieutenant Jones. A voix basse ils interpellèrent les scientifiques akraniens. « Docteur Zingl, tirez bon sang ! Il va la dévorer ! » A ce moment, le rat hésita un instant, reniflant à gauche, à droite. Les akraniens firent signe à Mike et à Ben de se taire et montrèrent quelque chose. Mike et Ben regardèrent, et virent le sexe du rat. Rouge, légèrement ondulé, tendu… Il était en rut ! Il agrippa les épaules du Lieutenant Jones, et en un coup de bassin, il la pénétra de son sexe tendu. Puis, en de rapide saccade, il la besogna. Les akraniens sortirent leurs rayons paralysants, mais ne tirèrent pas, ébahis et amusés par ce spectacle…
Jones sentait les coups de boutoirs du rat allant en s’accélérant. Elle fut envahie d’une vague de plaisir, qui la submergea, mais l’animal allait de plus en plus vite, et elle sentit le sexe de l’animal battre en elle… « mais…. Aaahhh… qu’est-ce qu’ils foutent ? mmhmmm… qu’est-ce qu’ils attendent pour le paralyser ? » Elle sentit un jet violent en elle, le rat éjaculait ! Elle sentait ce sexe battre et cracher sa semence, très liquide, sa semence qui se répand en elle, puis elle sentit ce sperme liquide déborder de son sexe et couler le long de ses cuisses… Le rat recula un peu, puis, son sexe directement raide, il recommença. Mais le sexe de Jones était tellement mouillé de sa jute et du sperme du rat, que le sexe du rat manqua l’entrée du vagin, glissa le long des fesses de Jones, et vit se caler à l’entrée de son anus. « Oh non, pensa Jones, horrifiée. Il va me faire mal, avec sa longueur et la force de ses coups de boutoir, il va me déchirer le rectum… il va me tuer ! » Elle sentit avec horreur le sexe du rat entrer dans son anus, elle sentit encore mieux les ondulations de ce sexe animal. Mais soudain un éclair blanc illumina le conduit, puis le rat, arrêtant tout mouvement, se laissa tomber sur elle, paralysé. Mike accourut, tenant le paralysateur en main, suivi de Ben, et des deux scientifiques akraniens, dont un avait un œil au beurre noir. Ils aidèrent Jones à se dépêtrer du rat.
— Vous en avez mis du temps avant de paralyser cet animal… vous attendiez quoi, qu’il me fasse trois portées ???Mike montre le paralysateur, et l’akranien avec l’œil au beurre noir.— Ils étaient tellement fascinés par tes ébats qu’ils en oubliaient d’utiliser leur joujou. Je le lui ai donc emprunté, pour te tirer des griffes de ton petit amis trop collant !
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