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[Sci-fi] Les plantes d'Akrana

Chapitre 8

Divers
8.

Jones marchait d’un pas rapide dans le vaisseau, avec un sentiment de malaise grandissant. Non seulement elle n’arrêtait pas de faire des cauchemars érotiques, mais en plus son intuition pessimiste s’aggravait. Et voilà que le Docteur Wenz l’appelait car des choses n’allaient pas : le résultat des analyses ne collaient pas, et son assistant qu’il avait envoyé dans la soute avait disparu depuis presque deux jours. De plus, Lhatta, Belinda et Jenny s’étaient éveillée et avaient un comportement bizarre.
Enfin Jones arriva à l’infirmerie. La porte était verrouillée. Elle passa son badge dans une encoche, à gauche de la porte, et celle-ci s’ouvrit. Jones entra dans l’infirmerie, et allait dire quelque chose au Dr Wenz, mais ce qu’elle vit la laissa sur place, bouche ouverte…
Devant elle, sur la table d’examen, Lhatta était couchée, nue, et devant elle il y avait le Dr Wenz, le visage pourpre, nu lui aussi. De son sexe raide, de petite taille mais assez gros, il s’enfonçait dans la vulve offerte de Lhatta, qui gémissait de plaisir, se caressant les seins. A ses pieds, Belinda et Jenny, qui tout en se masturbant avec de gros objets médicaux, léchaient l’anus et les couilles du Dr Wenz. Celui-ci accélérait son va et vient, ahanant des « Petites salopes ! Ah mes petites salopes, vous allez voir ce que vous allez voir ! ». Se sentant proche de l’éjaculation, il se retira du sexe trempé de Lhatta, et tout en se masturbant guida son sexe vers le visage de la jeune femme. Il lui éjacula sa semence blanche, par saccade, sur la joue, le menton, la bouche. Lhatta lècha ce sperme qui coulait sur ses lèvres et son menton. Puis le docteur Wenz, le sexe de plus en plus mou, alla vers un petit pot de médicament décapuchonné sur une table, et avala une gélule bleue. Après quelque minute, son sexe redevint raide et bandé ! Il revint près des filles, et vit que Jenny léchait le sperme sur le visage de Lhatta, tout en la branlant avec sa main. Il se dirigea donc vers Belinda, lui prit la bouteille de désinfectant avec laquelle elle se masturbait et la retourna avec rudesse. « A ton tour maintenant ! » Ce à quoi elle répondit « Oh oui, punissez-moi docteur, punissez-moi très très fort » tout en balançant sa croupe humide devant le docteur. Il enfonça la petite bouteille trempée dans l’anus de Belinda. Elle gloussa de plaisir. Puis il la prit en levrette, sans ménagement. Il s’enfonçait de plus en plus vite et de plus en plus fort en elle, donnant des claques retentissantes sur ses fesses arrondies.
« Mais enfin, qu’est-ce qui vous arrive ? Arrêtez ! Je vous ordonne d’arrêter ! » Cria le Lieutenant Jones. Mais rien n’y fit. Elle s’approcha pour secouer vigoureusement le Dr. Wenz, mais celui-ci la repoussa fermement, ahanant « Patience ! Ton tour viendra après ! ». Jenny se colla contre le Lieutenant Jones, son sexe humide caressant la tunique de l’officier, au niveau des fesses, sa main la caressant au niveau des seins. « Laissez-vous aller Lieutenant, venez voir et goûtez comme c’est bon… » Dit-elle, lui léchant l’oreille. Mais Jones se dégagea, hurlant « Non ! ». Et elle quitta précipitamment l’infirmerie. « Oh non, ça recommence ! Je suis sûre qu’une de ces saloperies est ici. Le meilleur moyen de savoir comment c’est arrivé, c’est de retrouver l’assistant du Dr. Wenz. Il faut que je descende aux soutes pour essayer de le retrouver ».
Jones fouilla méthodiquement tout le niveau inférieur, sans retrouver trace de l’assistant du Dr. Wenz. « Bon, pensa-t-elle, il ne me reste plus que la soute aux déchets, et là si je ne le retrouve pas, j’appelle l’amirauté et je mets le vaisseau en état d’alerte ».
Elle pénétra dans le local de maintenance, où se trouvaient deux ouvriers qui discutaient tout en jouant aux cartes. Reconnaissant l’uniforme d’un officier supérieur, ils se mirent tout deux au garde à vous.
— Repos, messieurs ! fit Jones d’un ton autoritaire. J’inspecte ce niveau à la recherche d’un membre d’équipage porté disparu… Rien vu d’anormal par ici ?— Rien Lieutenant. Sauf que le mécanisme de la soute à déchets ne fonctionne plus.— Quoi ? Depuis quand ?— Presque deux jours… — Presque deux jours ! Mais… ça colle avec la disparition de l’assistant du docteur. Et vous n’avez rien fait pour essayer de réparer ?
Les deux ouvriers se regardèrent, un peu gênés.
— On ne comprend pas Lieutenant. Tous les sas donnant accès à la soute aux déchets sont verrouillés de l’intérieur. Il n’y a qu’une ouverture possible… mais… on est trop gros ! On sait pas passer par là !
Tout en parlant, il montra une petite trappe, sur la droite de la porte menant au sas de la soute de déchets. Elle n’était effectivement pas très large. Même Jones aurait du mal à y passer. Pourtant, si elle voulait savoir ce qui se passait, elle devait aller dans cette soute, elle le sentait. Elle s’approcha et examina la trappe. A la hauteur du sol, large d’un demi-mètre, pas beaucoup plus haute, Jones ne savait pas y passer tête la première. La trappe donnait sur un conduit, pas très long. Elle s’assit donc par terre, prit appuis sur ses mains et engagea ses jambes dans le conduit. Elle avança lentement. Alors que ses jambes y étaient totalement engagées, elle entendit un ‘clac’ distinct, et elle ne sut plus bouger ses jambes. D’instinct, paniquée, elle s’arqua et entra ses mains dans le conduit, pour sentir ce qui bloquait ses jambes. Ses mains sentirent une barre métallique. Alors que ses mains palpaient la barre un autre déclic se fit entendre, et quelque chose emprisonna les bras de Jones. Elle ne savait plus bouger ! Elle était assise par terre, le visage contre la paroi en fer du vaisseau, ses pieds et ses mains bloqués…
— Au secours, cria-t-elle vers les deux ouvriers, je suis coincée, venez m’aider !— Mais bien sûr Mamzelle !
Était-ce le ton utilisé par l’ouvrier ? Directement, Jones comprit que quelque chose ne tournait pas rond. C’était un piège ! Dans les vaisseaux de la Fédération, aucune salle, aucune pièce, aucun sas ne fermait complètement de l’intérieur, par mesure de sécurité. Les ouvriers lui avaient menti, pour qu’elle fonce dans ce conduit, dans ce piège. Et, sans réfléchir, agissant d’instinct, elle y avait plongé, les deux pieds devants !
Elle sentit la présence de l’ouvrier dans son dos. Il agrippa fermement ses épaules. L’autre ouvrier alla ouvrir le sas, entra dans la soute à déchets, et débloqua quelque chose près des pieds de Jones. L’ouvrier qui la tenait par les épaules la tira alors fermement en arrière. Jones se retrouvait assis au milieu de la pièce, les pieds et les mains coincés dans une sorte de pilori métallique. Les ouvriers la regardaient, un sourire mauvais aux lèvres.
— Mais vous êtes devenus fous ? C’est de la mutinerie ! Relâchez-moi, ou vous le payerez très cher !— Pas question Lieutenant. Nous devons le faire, nous devons la protéger. C’est plus important que nos propres existences. Et vous, vous voulez la détruire. Depuis que vous l’avez vue. Vous avez été très vilaine… et vous allez être punie !
Et, un sourire méchant aux lèvres, l’ouvrier approcha de Jones, un couteau à cran d’arrêt en main. Jones devint blême. Il passa derrière elle. Sa fin allait-elle venir ? Mais au lieu de sentir le froid de la lame sur sa gorge, Jones sentit que l’homme découpait… ses vêtements ! Rouge de honte, Jones se retrouva entièrement nue, sauf la partie de son uniforme coincé par le pilori et ses bottes d’officier.
Puis les hommes la soulevèrent, et la portèrent hors de la soute où ils se trouvaient. Ils marchèrent un bon moment, puis déposèrent Jones. Ils ne la déposèrent pas assise, mais sur le dos. Celle-ci sentit le contact froid d’une table métallique contre son dos. De ce qu’elle voyait, elle devait être près du réfectoire du vaisseau. Nue, posée ainsi sur le dos, arqué, avec ses bras et ses jambes qui arrivaient au niveau de son visage, elle devait offrir sa croupe et son sexe aux regards de tous. Et elle ne voyait rien, si ce n’est le plafond. De plus, c’était un passage obligé dans le vaisseau, et très fréquenté. Etre exposée ainsi, nue, offerte, quelle honte !
Soudain Jones se crispa. Elle avait sentit quelque chose de tiède et d’humide contre son sexe. Ce contact l’électrisa. La sensation revint. C’était une langue. Une langue qui lui léchait les lèvres intimes. Qui était-ce ? Un des ouvriers ? Quelqu’un d’autre ? Jones ne le savait pas. Elle ressentait cette langue qui cherchait maintenant son clito, qui fouillait son intimité. Puis qui la pénétra, se délectant de ses sécrétions intimes. Jones rougit du plaisir quelle ressentait. Elle était attachée, offerte, contre son gré… mais son sexe s’ouvrait, comme une fleure, devant cette langue fouilleuse et experte. Puis la langue se retira. Jones sentit alors quelque chose de tout aussi tiède et mouillé, mais de beaucoup plus dur contre ses lèvres intimes. Un sexe bandé ! Le gland la pénétra doucement, puis d’un coup de rein, toute la verge entra dans le sexe de Jones. Était-ce la même personne qui l’avait léchée ? Elle ne le savait pas. Elle ne pouvait rien voir, juste ressentir les sensations. Et ça décuplait son excitation. Elle ressentait ce sexe en elle, qui allait et venait, de plus en plus vite, lui occasionnant des vagues de plaisirs. Elle ne voulait pas, non, elle ne voulait pas aimer ça. Mais ces sensations… ces vagues de plaisir, de plus en plus fortes. Elle était proche de l’explosion, mais la verge se retira d’elle. Puis elle sentit un liquide l’atteindre, par jets, tièdes, gluants, mouiller ses fesses, et couler le long de ses fesses, vers son dos. Puis de nouveau un gland contre son vagin. Et nouvelle pénétration. C’était une autre verge, elle le sentait, moins longue, mais plus grosse. Et cette verge là, elle tapait juste sur son point G. Après quelques rapides va-et-vient du gland sur ce point, Jones ne sut retenir un soupir de plaisir lorsqu’elle explosa. L’homme explosa peut après en elle, la remplissant de son sperme chaud. Puis vint, un troisième, avec une verge beaucoup plus imposante que les précédents. Sa verge était vraiment très épaisse, Jones la sentit passer doucement son passage intime, et remplir tout son sexe. L’homme savait si prendre, jouant de son épaisseur, de la vitesse, de la profondeur… Là, Jones ne sut retenir ses cris de plaisirs lorsqu’elle explosa. Elle eut encore un troisième orgasme avant que l’homme n’éjacule en elle. Il avait vraiment un sperme abondant, Jones le sentit couler de son sexe, et couler le long de son entre-jambe vers son anus.
Au bruit qui commençait à se faire, Jones sut qu’il devait maintenant y avoir plusieurs hommes. Elle entendit des commentaires grivois, des rires. Puis elle entendit la voix d’une femme qui relevait un défi. Et ce fut sans doute elle qui vint lécher le sperme abondant qui coulait du sexe de Jones. Elle lécha le sexe, sa langue faisant des bruits très indécents pour bien ramasser tout le sperme, puis sa langue descendit le long des fesses de Jones. Cette langue fouilla l’anus, puis joua à y pousser le sperme dégoulinant sur les fesses de Jones. Quelqu’un écarta la femme, et Jones sentit une nouvelle bite en elle. Mais celle-là était plus petite, et Jones était tellement mouillée, et son sexe si ouvert, qu’elle ne lui faisait pas beaucoup de sensation. A l’homme non plus sans doute car il se retira… et vint pénétrer l’anus de Jones. La surprise lui arracha un cri de douleur. De plus l’autre n’avait même pas pris la peine de se lubrifier l’engin ! Mais au fil des minutes l’agacement devient plaisant, et la douleur devint plaisir. Son anus se fit à cette queue, et accepta le vas et vient de l’homme dans le rectum, tandis que la femme recommença à lécher le sexe trempé de Jones. Elle léchait bougrement bien en plus ! Jones jouit en même temps que l’homme éjacula dans son cul. Il se retira, et Jones sentit le sperme couler hors de son anus.
Elle sentit des jets tièdes sur ses fesses, ses cuisses, d’autres hommes devaient se branler en voyant la scène. Elle entendit aussi une autre femme jouir, elle aussi devait se faire prendre. Peut-être était-ce celle qui l’avait léché ? Puis une autre bite s’engouffra dans le sexe béant de Jones, tandis qu’elle aperçut trois hommes arriver près d’elle, un à sa gauche, un à sa droite, un derrière sa tête. Ils se branlaient en regardant Jones se faire prendre. La cadence de leurs mains sur leurs sexes tendus augmentait au rythme des va-et-vient de la verge dans le sexe de Jones. Puis elle entendit un râle de plaisir, et quelque chose de tiède et de liquide aspergea son front, puis les joues. Le gars derrière elle venait de lui éjaculer dessus, et les deux autres firent de même. Jones avait le sexe ravagé, le visage plein de sperme, et elle ne comptait plus ses orgasmes… Un autre homme arriva, sur elle, au niveau de sa poitrine, et elle sentit une nouvelle bite dans son sexe, alors qu’une autre pénétrait difficilement son anus…
Ces sens s’agitaient, se mélangeaient… elle n’était plus qu’une sensation de plaisir. Hors d’elle-même, elle ouvrit même la bouche pour essayer d’attraper au vol un autre jet de sperme qui passait au niveau de son visage. Voyant cela, un des hommes s’approcha d’elle. « Mais tu sembles aimer ça en plus ! ». Il fit un signe, deux hommes soulevèrent Jones, et ils bougèrent la table sur laquelle était Jones, puis la redéposèrent. Elle avait maintenant la tête dans le vide. L’homme en profita pour mettre son sexe dans la bouche de Jones, tandis qu’un autre recommençait à lui astiquer l’anus. Comme elle ne savait faire quasiment aucun mouvement, l’homme faisait un mouvement de vas et vient, baisant sa bouche, sa grosse queue allant de plus en plus loin dans la bouche de la femme. Jones serrait les lèvres, écartant les dents, pour donner le plus de plaisir à l’homme, et pour bien sentir cette queue passer et repasser ses lèvres, racler son palais. Et l’homme explosa dans sa bouche, Jones avala tout ce sperme chaud. Et en plus, elle le trouva excellent ! Elle entendit quelqu’un crier « Vas-y, ouvre la bouche ! ». Elle ouvrit bien grand sa bouche. Trois hommes qui se masturbaient s’approchèrent. Jones vit ces trois gros glands rouges approcher de ces lèvres, les mains qui faisaient ce mouvement de va-et-vient… puis les trois qui éjaculèrent, visant sa bouche, quasiment en même temps. Jones bu ce qu’elle pu, le reste coula sur ses lèvres, ses joues… Elle sentit encore une bite dans son cul et une autre dans sa chatte… et le plaisir qui montait en force, et les éjaculations, le sperme qui remplissait tous ses orifices. Elle entendit encore quelqu’un crier « Vous avez vu ? Elle est couverte de sperme ! Regardez, elle en a tellement pris qu’il coule hors de sa chatte et de son cul ! » Rien qu’à imaginer ses orifices d’où coulait le sperme, Jones eut un orgasme mouillé…
Et alors que Jones sombrait doucement dans un coma orgasmique, elle était entourée d’homme, sexe tendu, attendant de pouvoir se satisfaire aussi… pas de doute, tout l’équipage allait lui passer dessus !
Elle était dans un état de semi-conscience lorsqu’elle reconnut la voix de l’ouvrier. Il tata sa chatte et dit « Elle est bien dilatée, elle est prête maintenant ». Elle sentit qu’on la transportait de nouveau. De ce qu’il lui semblait, elle faisait le chemin inverse. On la redescendait vers la soute. Elle reconnut la soute où les ouvriers l’avaient piégée. Mais cette fois une grosse porte était ouverte. On l’amenait dans la soute aux détritus.
Au lieu de l’odeur infecte, et au lieu du tas d’immondices puants, il y avait une sorte de couche d’humus sur le sol, et au milieu, une plante, avec des fleurs pourpres en forme de trompette. Il y avait deux jeunes plantes près d’elle. Les ouvriers assirent Jones face à la plus grosse plante qui semblait être la plante mère. « Je le savais ! pensa Jones, je l’avais senti ! ».Les ouvriers se reculèrent. Jones entendit une voix, douce, une vois de femme, très sensuelle.— Vous ne réussirez pas à nous détruire.— Pourquoi ? Pourquoi faites-vous cela ?— C’est une question de survie pour nous. D’autant plus que les humains sont fait pour nous, si faible, si esclaves de leurs sensations ! De tous l’univers, vous êtes les créatures les mieux appropriées pour notre survie. Mais nous avons compris une leçon de nos erreurs passées. Nous avons évolué pour ne pas sucer la force vitale des humains jusqu’à les faires disparaître, ce qui est arrivé avec les créatures de notre planète d’origine. Nous pouvons vivre en symbiose. Grâce à notre télépathie et votre faiblesse, nous vous contrôlons (comme je contrôle certains membres de votre équipage), et vous nous nourrissez et nous vous fournissons du plaisir…— Vous voulez faire de nous des esclaves ! Jamais, jamais ! Plutôt mourir ! Se battre ou mourir !— Tssss, tsss créature agitée ! C’est pour cela que nous t’avons choisie. Pour ta force, ta combativité, et pour t’apprendre à te mesurer à nous !— Me choisir ? Mais… pourquoi ?— C’est toi qui va nous implanter sur ta planète !— Jamais !
Jones répéta son « jamais », mais la voix ne lui parla plus. Au lieu de cela, une nouvelle tige sortit de son bulbe. Elle avait aussi au bout de sa tige des pétales pourpres, mais beaucoup plus petit que les autres. Par contre son pistil était énorme. Jaune, en forme de pénis, comme les autres, il était néanmoins plus gros, le plus gros que Jones ait vu, et était granuleux. Les ouvriers s’approchèrent à nouveau, retournant Jones, croupe face à la plante, visage contre terre. La tige s’avança, le pistil en forme de pénis arriva contre le dos de Jones, et descendit lentement. Jones le sentit, doux, plus doux qu’un pénis humain, et humide. Il s’arrêta près de son anus, puis descendit encore et vint frotter la vulve de la jeune femme. Elle cria « Noooooon ! », mais rien n’y fit. Le pénis força doucement l’entrée et pénétra dans son vagin. Elle sentit ce gland énorme. Heureusement sa mouille abondante et le flot de sperme, ainsi que sa chatte dilatée par les nombreuses bites qui l’avaient visitée, aidaient cet énorme pénis à entrer en elle. Une larme coula de ses yeux lorsque le pénis buta sur le fond de son sexe. Il était si gros ! Puis, il commence ses vas et vient en elle. Un autre pénis, de taille plus normale, glissant sur le sol, arriva près de sa bouche. Jones entendit à nouveau la voix. « Suce-le ! Le nectar te rendra l’insémination moins douloureuse… tu n’en ressentiras que le plaisir ! » Au début Jones n’en voulut pas ! Mais ce sexe était énorme ! Si gros ! Elle était fatiguée, et son corps se rappelait les nombreux orgasmes qu’elle venait d’avoir. Après tout, pourquoi se faire du mal alors qu’elle pouvait encore avoir du plaisir ? La lutte viendrait plus tard !
Elle ouvrit la bouche, accepta le pénis jaune qui s’y glissa. Il était si doux, et tiède ! Elle sentit le nectar qui en suintait. Sa langue fit le tour du gland, ramassant ce nectar, puis elle suça avidement le pénis jaune, qui allait et venait dans sa bouche. Il explosa bien vite, et elle sentit ce liquide sucré, chaud, qui coulait dans sa gorge. Et elle se sentit mieux, euphorique. L’énorme pénis dans son sexe ne la dérangeait plus, elle s’y était fait. Elle en ressentait tout le plaisir. Elle sentait les granules de cette queue qui frottaient tous son vagin de l’intérieur, et son point G aussi, elle sentait les secousses de son ventre, chaque fois que le gros gland buttait dans le fonds de son sexe. C’était si bon ! Jones continuait à sucer le pénis jaune, tout en se faisant ramoner par une bite énorme ! Et la plante attendit qu’elle eut un violent orgasme pour éjaculer en elle. Jones sentit ce liquide très chaud et très abondant envahir son sexe. L’autre pénis éjacula une seconde fois dans sa bouche. Il lui sembla être rempli de cette semence orangée, qui coulait du haut, du bas… elle était si bien, qu’elle ferma doucement les yeux et sombra dans l’inconscience…
Suivant les ordres de la plante, les deux ouvriers libérèrent et soulevèrent délicatement le lieutenant Jones. Ils la portèrent dans les soutes jusqu’à la partie du vaisseau où se trouvait les capsules d’évacuation. Ils déposèrent le lieutenant dans une de ces capsules, encodèrent une direction, fermèrent la porte de la capsule, puis appuyant sur un autre panneau de commande, ils lâchèrent la capsule dans l’espace, qui lorsqu’elle fut assez loin du vaisseau, prit lentement la direction encodée par les ouvriers.
Les deux ouvriers retournèrent vers la plante, qui était mourante. La couche d’humus était trop superficielle pour lui permettre de vivre longtemps, c’est pour ça qu’elle avait donné ses dernières forces pour transmettre la vie de son espèce à la femelle humaine. Ben arriva, lui aussi sous le pouvoir de la plante. Les hommes entendirent cette voix douce et suave. « Merci pour votre aide mes amis. Maintenant il faut effacer toute trace de ce qui est arrivé. Ben, vous qui étiez second sur ce navire vous avez les codes. Faites votre devoir ! »
Ben fit le salut militaire, puis disparut. Il monta jusqu’à la passerelle de commande. Là, il demanda à l’équipage présent de quitter les lieux quelques instants, le temps qu’il prépare un exercice d’un nouveau type. Peu habitué à discuter les ordres, les gens présents obéirent et quittèrent la passerelle de commande. Resté seul, Ben s’approcha du panneau de commande central. Il tapota un code sur ce panneau, et sur sa droite une petite trappe s’ouvrit, et un bouton rouge apparut. Il entra un deuxième code, et un déclic se fit entendre, le système de sécurité du bouton rouge venait d’être enlevé. D’un doigt qui ne tremblait pas, Ben appuya sur le bouton rouge, qui mit en marche la procédure d’autodestruction du vaisseau. Partout les lumières devinrent rouges, et une sirène se fit entendre.
Ceux qui étaient sous le contrôle de la plante continuaient leur orgie, sans se rendre compte de ce qui se passait. Les autres membres de l’équipage paniquaient, ne sachant que faire. Un jeune officier se rua sur la passerelle de commande, mais Ben le mis au sol d’un uppercut magistral. Et le jeune officier n’eut pas le temps de se relever. Il y avait juste cinq minutes que Ben avait enfoncé le bouton… Dans une gerbe d’étincelles et de feu, le FPU-Atlas explosa, ne laissant derrière lui que quelques particules fumantes flottant dans l’espace.
Seule la petite capsule d’évacuation contenant le lieutenant Jones continuait sa route incertaine…

Epilogue.

Après avoir contemplé silencieusement les jardins artificiels d’Orbital1, l’Amiral tapota distraitement la cloison de plexiglas qui illuminait son bureau, et se retourna vers les deux hommes assit de l’autre côté dudit bureau. L’un était capitaine et l’autre docteur.
— Ainsi donc quand vous êtes arrivé près de XC23, plus de vaisseau ?— Oui, Amiral. Alors qu’il était distinctement sur nos radars, le FPU-Atlas a disparu en une seconde. Lorsque nous sommes arrivés sur place, les débris ne laissaient pas place au doute : le vaisseau a explosé. Nous avons juste trouvé la capsule avec l’officier Jones, inanimée, qui venait vers nous.— A-t-elle repris conscience ?— Non, fit le médecin. Nous l’avons évacué vers la terre pour la soigner.— N’est-ce pas dangereux ?— Je ne pense pas, fit le médecin, nos scanners n’ont trouvé aucune trace de parasitage ou d’infection. Nous en serons un peu plus dans quelques semaines, lorsque le lieutenant Jones aura été examinée sur terre.
L’Amiral fit un signe de tête, congédiant ainsi les deux hommes qui étaient venus faire leur rapport de la disparition du FPU-Atlas. Puis il se retourna de nouveau vers la baie en plexiglas, contemplant les jardins artificiels fleuris d’Orbital1. Il avait un mauvais pressentiment depuis qu’il savait la disparition du FPU-Atlas…

THE END !
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