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  • Concours Les voisins / voisines

Sciences et vie sexuelle

Chapitre 1

Hétéro
Le paysage défilait à toute allure. Les arbres semblaient se mouvoir pour disparaître hors du champ de vision d’Alexandre. Le ciel bleu, tacheté par endroits de nuages aux diverses formes, défilait tandis que le jeune étudiant de sciences se concentrait sur cette autoroute en direction de Rennes. Les mains sur le volant, il récitait tout haut la liste des formules qu’il devait connaître afin de réussir le concours qu’il allait passer dans cette grande ville Bretonne. Ec=1/2(mv²). Epp=mgz. Tant de formules, toutes plus complexes les unes que les autres, passaient à travers son esprit sur le reste de la route.Alexandre était arrivé. Le jeune homme de vingt ans, habitant à Caen, avait, avant de partir de chez lui, loué un appartement dans le centre-ville. Il gara sa petite voiture noire sur le parking prévu à cet effet et descendit. Il déchargea sa valise et la posa au sol, sur les roulettes qu’il utilisa afin de la transporter plus efficacement. Il traversa les deux passages piétons le séparant du grand immeuble dans lequel il allait séjourner et arriva devant la porte. Il sortit la clé qu’il portait dans sa sacoche, celle qui pendait contre son flanc, et ouvrit. Il ne perdit pas de temps et rejoignit sa chambre au deuxième étage. Là, il posa la valise sur le seuil de la porte de la petite pièce à vivre composée d’un réfrigérateur, d’une télévision, d’un lit, d’un évier, d’un micro-onde, d’une armoire et d’un bureau et se jeta sur le lit, épuisé par le trajet.Trois petits coups retentirent dans la chambre d’Alexandre. Le jeune homme se leva de son lit, l’esprit encore embrumé par la sieste qu’il avait faite.
-Bordel, je pensais pas que je m’endormirais, jura-t-il.
Les trois coups résonnèrent derechef. Se grattant le cuir chevelu, l’étudiant se dirigea vers la porte de bois et l’ouvrit. Une jeune femme, probablement du même âge qu’Alexandre, attendait, anxieuse, sur le seuil. Elle portait un Tee-shirt blanc légèrement décolleté et un jeans. Lorsqu’elle vit le visage encore endormi du jeune homme, elle porta ses mains tremblantes devant sa bouche.
-Je vous ai réveillé ! Bon sang, je suis tellement désolée, s’excusa-t-elle.-Non, ce n’est rien. D’une certaine manière, ça m’arrange pas mal, j’ai encore du pain sur la planche.-Je vois. Désolée d’être aussi directe, mais auriez-vous un téléphone ? Le mien est tombé dans les marches pendant que je montais ma valise et, maintenant, il refuse de s’allumer.
Alexandre plongea sa main dans sa poche et en sortit un smartphone qu’il lui tendit.
-Tenez. Inutile de vous presser, j’ai encore beaucoup de forfait.-Oh, merci, vous me sauvez la vie.
Là, elle attrapa délicatement le téléphone des mains de son propriétaire et tapa un numéro sur le clavier numérique.
-Allô, maman, c’est moi. Oui, je t’appelle avec le téléphone de quelqu’un d’autre, j’ai eu un problème avec le mien. C’était juste pour te prévenir que tout va bien, j’ai mon appartement et un voisin sympa.
Elle sourit à Alexandre qui peina à masquer sa gêne.
-Oui, promis, je te rappelle ce soir, après les premiers concours. Bisous, moi aussi je t’aime.
Elle raccrocha et rendit le téléphone à son propriétaire.
-Merci. Sans vous, ma mère aurait été capable d’appeler le SAMU pour savoir si j’étais bien arrivée. Vous comprenez, c’est la première fois que je vais vivre seule, loin de ma famille.-Ne vous en faites pas, c’est aussi mon cas.
La jeune femme sourit avant de passer sa main droite dans ses cheveux pour coincer l’une de ses mèches derrière son oreille.
-D’ailleurs, excusez-moi, j’ai oublié de me présenter. je m’appelle Valentine, je suis votre voisine pour les cinq jours à venir. Enchantée.-Moi c’est Alexandre. En chantier…. Je veux dire, enchanté.
Valentine sourit d’amusement.
-Je vois que vous n’êtes pas encore bien réveillé. Dans ce cas, laissez-moi vous inviter à boire un café. C’est pour vous remercier de votre aide.-Avec plaisir. Je prends mon manteau et vous rejoins sur le champs.
Valentine et Alexandre, assis face à face autour d’une table du bar situé à quelques mètres de leur immeuble, sirotaient leurs cafés en apprenant à se connaître sous les discussions des autres clients.
-Oh, tu es scientifique. C’est intéressant, dit-elle. J’ai toujours aimé les sciences, c’est d’ailleurs pour cela que je fais des études de physique. Malheureusement, je suis très mauvaise en mathématiques. Pourtant, j’essaie de réussir mais je ne sais pas pourquoi, je ne comprends jamais ce qu’il faut faire.-C’est vrai que parfois, les énoncés sont un peu étranges, admit Alexandre. Mais j’aime tellement les maths que je finis toujours par trouver une solution. Si seulement je pouvais en faire autant dans les autres matières. Surtout que les concours commencent demain.-Oh, toi aussi tu passes les concours ? À partir de demain, nous serons donc adversaires, ricana-t-elle.
Alexandre rit en finissant sa tasse. Lorsque Valentine eut terminé à son tour, elle alla payer et partit en compagnie de son voisin.

Alexandre s’assit à son bureau, des cours de mathématiques disséminés devant lui. Il avait raccompagné sa nouvelle amie chez elle avant de rentrer pour réviser. Son esprit avait encore son image gravée en lui. Il en était de même pour son sourire. Son tas de copies de brouillon devant lui, il piocha une feuille et amorça un exercice portant sur les suites de fonctions. Après avoir démontré la convergence uniforme de la série de fonctions créée, l’étudiant répondit à l’ultime question portant sur une intégrale impropre liée à la série. Le cerveau en éruption, il quitta son bureau et but un verre d’eau. Encore une fois, il pensa à sa voisine et s’imagina l’embrassant passionnément devant un lac couleur saphir. Il balaya cette idée de son esprit et se rassit à son bureau. Il fit encore quelques exercices sur d’autres sujets avant de faire une pause. Il alluma la télévision et zappa jusqu’à tomber sur un épisode de The Big Bang Theory. Cette série le faisait beaucoup rire, notamment par le fait qu’elle racontait les aventures de scientifiques. Pendant que Sheldon Cooper refusait catégoriquement de s’excuser auprès de Penny pour avoir cacher ses sous-vêtements, quelqu’un frappa à la porte. Alexandre alla ouvrir et tomber nez à nez avec Valentine. La jeune femme portait quelques feuilles dans ses bras.
-Excuse-moi de te déranger, tu révisais ?-Non, j’ai fini tout à l’heure. Tu as besoin de quelque chose ?-En fait, j’aimerais que tu m’expliques comment trigonaliser une matrice d’ordre trois. Sauf si tu ne veux pas. Après tout, si je ne sais pas le faire, ça te donnera un avantage sur moi.-Je ne suis pas ce genre de mecs, dit-il faussement vexé.-Désolée, je ne voulais pas …-Mais je déconne, dit-il en riant. Tu croyais vraiment pouvoir me vexer comme ça.-Bah, je te connais pas encore assez pour le savoir, dit-elle soulagée.-Bon, tu veux entrer ?
Valentine pénétra dans l’appartement et sonda la pièce du regard.
-C’est soigné chez toi. La plupart des mecs que j’ai connus étaient plutôt bordéliques.-Ravi de savoir que je ne mets pas mon appartement sens dessus dessous en à peine vingt-quatre heures, répondit-il en riant.
Valentine rit à son tour avant de s’asseoir sur la chaise devant le bureau du jeune homme. Ce dernier resta debout et expliqua les étapes à suivre en essayant de ne pas plonger son regard dans le décolleté de sa voisine qui, visiblement, ne portait pas de soutien-gorge. Lorsqu’il termina ses explications, il lui dicta une matrice afin qu’elle pût s’exercer. Elle suivit les étapes une à une et, après une intense réflexion, elle parvint à ses fins. Elle réitéra l’opération sur deux nouvelles matrices avec une joie indescriptible.
-C’est la première fois que je réussis un exercice toute seule, s’émerveilla-t-elle. Merci Alexandre, t’es le meilleur.
L’étudiant sourit, visiblement gêné, suite à ce compliment. Là, l’étudiante se leva et posa délicatement un baiser sur la joue de son ami.
— Je crois que je te dois un autre café, dit-elle en souriant.-Tu n’es pas obligée, ça m’a fait plaisir de t’aider.-Si, tu l’as mérité. Après tout, si j’obtiens mon concours grâce à toi, je te devrais bien plus.-Parce que tu penses ne pas l’avoir ?-Eh bien, disons que je suis loin d’être douée en maths, dit-elle en soufflant.-Détrompe-toi, tu as toutes tes chances.
Valentine le regarda en se demandant si son voisin se moquait d’elle ou s’il la soutenait réellement.
-Regarde tout à l’heure, quand tu as réussi l’exercice, tu étais heureuse. Tellement de gens passent ces concours simplement parce qu’ils ne voient pas d’autre alternative. Toi, tu fais des sciences avec ton cœur. Tu aimes ce que tu fais, ça se voit et ça se verra d’autant plus sur ta copie.
-Alexandre, je … tu penses vraiment à ce que tu dis ?-Évidemment. Tu es réellement merveilleuse. Normalement, les étudiants lambdas se contentent de maîtriser partiellement quelques points, mais toi tu as envie de réussir totalement. Je vais me répéter, mais je l’ai vu ce soir et je suis sûr que les examinateurs le verront. Tu as juste besoin de croire en toi.
Valentine ne sut que dire. Ses yeux brillaient tandis qu’elle regardait intensément son voisin.
-C’est la première fois qu’on me dit ce genre de choses, dit-elle émue.
Une larme de joie coula le long de sa joue.
-Merci beaucoup, Alexandre. Je suis réellement heureuse que le destin ait fait de nous des voisins.-Je le suis tout autant, Valentine. Je t’assure, tu es la plus belle rencontre que j’ai jamais faite.
L’étudiante le fixa du regard. Ses yeux, pleins de douceur, semblaient vouloir lire en lui. Elle essuya la larme coulant le long de sa peau et se rapprocha de son voisin. Elle enroula ses bras autour de son cou et, lentement, timidement, amoureusement, posa ses lèvres sur celles d’Alexandre. Ce dernier lui rendit son baiser tout en posant ses mains sur ses flancs. Une chaleur enivrante s’empara de la pièce tandis que les deux corps se rapprochaient avec un rythme des plus lents et irréguliers. L’étudiant, totalement subjugué par l’intensité de sa relation avec sa voisine, se laissa aller au plaisir de leur jeu de langues. Dans un mouvement parfaitement coordonné, les deux voisins reculèrent jusqu’à tomber sur le lit. Leurs corps s’entrechoquèrent légèrement et la poitrine de Valentine, nue sous le seul tee-shirt qu’elle portait, caressa sensuellement le torse d’Alexandre par ses tétons durcis. Leur baiser se poursuivit tandis que la jeune femme ôta lentement les vêtements de son voisin désormais en caleçon. Alexandre, à son tour, passa sa main au niveau de la ceinture de sa voisine. Ses doigts accrochèrent le tissu de son tee-shirt et la peau de sa main frotta érotiquement le torse et la poitrine de Valentine tandis que le tissu abandonna le corps de sa maîtresse. Le jeans ne cacha pas plus longtemps les jambes lisses de la jeune femme. Elle se retrouva alors en culotte pour le plus grand bonheur de son ami. Ce bonheur se matérialisa en une bosse au niveau de l’entre-jambe d’Alexandre. La jeune femme, enivrée par cette chaleur intense, prit alors la main droite de son partenaire pour empoigner son sein gauche. Leur baiser n’en fut que plus chaleureux. Puis, lorsque les deux amis se sentirent suffisamment confiants, la main gauche de Valentine descendit le long du thorax de son voisin jusqu’à empoigner la bosse formée à travers le tissu. Elle commença à la malaxer délicatement avant de plonger sa main dans le caleçon et de poursuivre son massage. Alexandre ferma les yeux et poussa un faible gémissement lorsque ses doigts se refermèrent sur son organe. Lentement, Valentine fit danser son pouce au sommet de ce mont d’Éros et entama un léger mouvement de va-et-vient du poignet. L’étudiant ne put se retenir de gémir, arrachant au passage un rire à sa voisine.
-Tu es sensible, dit-elle en séparant leurs langues.-C’est surtout dû au fait que c’est ma première fois, admit-il.
Elle le regarda avec passion tandis qu’elle ôtait définitivement le dernier bout de tissu recouvrant le corps de son voisin.
-Alors je vais faire en sorte que tu t’en rappelles toute ta vie.
Tandis qu’une colonne de 18 centimètres se collait à son corps bouillant, la jeune femme recula jusqu’à ce que son visage fût à portée de ce bâton magique. Toutefois, cela força également Alexandre à lâcher le sein si ferme qu’il caressait depuis quelques instants. Là, Valentine, tout en ne quittant pas des yeux le regard éberlué de son ami, posa ses lèvres sur le gland lui faisant face. Elle l’embrassa à trois reprises avant de lui faire visiter l’intérieur de sa bouche. Une douce chaleur humide s’empara de l’étudiant qui ne put retenir un râle de plaisir. Le visage de Valentine s’approchait et s’éloignait de ses yeux dans un rythme constant et agréable. Quelques secondes passèrent et le rythme s’accéléra, au plus grand bonheur du propriétaire du bâton magique. Cette délicate attention dura un peu moins d’une minute : Alexandre commençait à ne plus pouvoir se retenir. Là, sans savoir d’où lui venait cette énergie si soudaine, il se releva et fit s’allonger sa partenaire. Il passa délicatement ses mains entre le tissu et la peau de Valentine et, très lentement, lui ôta sa culotte. Nue devant lui, son visage vira au rouge lorsqu’elle sentit ses jambes s’écarter. Elle ferma les yeux lorsqu’un organe vint lui chatouiller les parties intimes. Alexandre, le visage entre les cuisses de sa partenaire, se concentrait au maximum afin d’offrir à son amie les mêmes sensations qu’elle lui avait fait vivre. Il se doutait que, parce que c’était sa première fois, il ne s’en sortait pas si bien, mais les efforts de Valentine pour lui prétendre le contraire lui firent plaisir. Lorsque la vulve ouverte sous ses yeux lui sembla suffisamment humidifiée, le jeune homme décida de s’avancer et plaqua son torse contre celui de sa voisine. La poitrine de cette dernière s’écrasa contre son torse tandis que ses tétons pointaient toujours.
-Vas-y, tu peux commencer quand tu veux, lui souffla-t-elle à l’oreille.
Encouragé par ce sifflement érotique, Alexandre plaça son membre à l’entrée de la grotte secrète de sa voisine et, délicatement, la pénétra. Valentine poussa un gémissement aigu tandis qu’Alexandre se retint de hurler de plaisir. Moulant le bâton magique de ses parois internes, Valentine jeta un regard ô combien aguicheur à son partenaire afin qu’il allât plus loin. Le jeune homme comprit ce qu’il avait à faire et, tendrement, entama d’amples mouvements de bassin. Chaque contraction du vagin de Valentine décuplait le plaisir qu’il ressentait tandis que, de son côté, l’étudiante gémissait chaque fois que son ami s’enfonçait en elle. Leur coït dura plusieurs minutes au bout desquelles, lorsqu’Alexandre annonça qu’il ne pouvait plus se tenir, la voisine se libéra de cette douce emprise et se positionna sous l’homme qui venait de lui faire l’amour. Elle ferma les yeux et sentit alors une matière visqueuse et chaude se répandre sur sa poitrine. Elle y posa les doigts et sourit lorsqu’elle l’étala sur ses seins. Il ne fallut alors plus que quelques secondes au couple pour s’endormir dans les bras de l’autre.

Les concours terminés, Valentine et Alexandre, leurs valises sur le seuil de cet appartement, se dirent au revoir. Cet au revoir sa traduisit par un baiser langoureux que chacun semblait plus apprécier que l’autre. Les deux amis avaient échangé leurs numéros de téléphone et s’étaient promis de se revoir, d’ici aux oraux qui se tiendraient dans trois semaines. Comme quoi, passer un concours peut définir bien plus qu’un avenir professionnel.
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