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Chapitre 2

La chanteuse et le maître chanteur

Hétéro
Chapitre II

Marlène Warmer, vêtue d’un legging noir qui épouse les rondeurs de sa croupe comme une seconde peau et d’une brassière rose qui moule sa poitrine et dévoile son nombril, déambule devant son immense véranda, son téléphone à l’oreille. Quelques gouttes de sueur perlent le long de son cou et entre ses seins. Sa silhouette sensuelle se découpe sur le jardin en pente de son domaine et en contrebas la vue imprenable sur la baie ensoleillée de Chevanu.
— Oui, tu sais très bien que j’ai besoin d’avoir des moments à moi... Une semaine, ça passe vite, tu verras.
Elle laisse échapper un petit rire malicieux, qui semble être sa réponse à ce que lui rétorque la voix masculine à l’autre bout du fil. Son ton se fait plus caressant pour répondre :
— Mais moi aussi j’en ai envie... mais justement, tu sais bien que c’est encore meilleur après une longue attente... je dois y aller... je t’embrasse.
Marlène repose le téléphone sur la table basse et s’avance vers le tapis de sol pour reprendre ses exercices matinaux, quand on frappe à la porte du grand living.
— Oui ?
Vêtue d’une robe dorée fendue jusqu’à la taille, une jeune asiatique, souriante et réservée, une natte de cheveux noirs dans le dos, entre dans la pièce avec plusieurs enveloppes à la main.
— Il y avait ceci dans la boîte pour vous, madame...— Ah, merci Sumalee.
Marlène prend le courrier, l’examine rapidement et sélectionne, intriguée, une enveloppe avec une écriture manuscrite, à l’intention de Marlène Warmer, sans adresse.
— Vous avez bien dormi ? demande Sumalee, en reprenant le plateau du petit-déjeuner.— Très bien oui... répond la chanteuse, sans vraiment lui prêter attention.
Dès que la jeune femme est sortie, Marlène, intriguée, ouvre l’enveloppe, d’un geste sec. Imprimée en couleur sur la totalité de la feuille A4, la photo lui saute aux yeux. Son visage se fige, bouche ouverte, sous le choc. Elle sent une onde de chaleur remonter dans sa nuque. Sur cette image, on la reconnaît parfaitement. Elle et son chien Garou. En plein ébat, au bord de sa piscine. Il y a un numéro de téléphone écrit de l’autre côté de la feuille.
...

Durant sa longue carrière, Marlène a dû faire face à toutes sortes d’épreuves. Elle a appris à contrôler ses émotions. Assise sur le canapé, elle commence à examiner froidement la situation. Jusqu’à aujourd’hui, son refuge corse, pourvu de murs grillagés et d’une végétation abondante qui masquent la plus grande partie de sa propriété aux regards, l’avait mise à l’abri des paparazzis. Force est de constater qu’un petit malin a réussi à trouver la faille.La procédure habituelle, en cas de publication de photos volées, consiste à faire appel à son avocat pour qu’il attaque le magazine en justice. Mais cette fois, elle s’imagine assez mal en train de porter à la connaissance de Maître Colas une photo où on peut la voir nue en train de se faire grimper sans retenue par son chien-loup ! Pragmatique, Marlène en conclut qu’elle n’a plus qu’un seul choix. Elle saisit son téléphone et décide de composer le numéro écrit sur le document anonyme pour en savoir plus.
— Allo ? Marlène Warmer à l’appareil.
A l’autre bout du fil, Lucas, chez lui, une bière à la main, sent son cœur s’emballer en entendant la voix facilement reconnaissable et se contrôle pour ne rien montrer de sa nervosité.
— Bonjour.— C’est vous qui avez pris cette photo ? demande la star.— Oui.— Félicitations, elle est très réussie.
Un silence. Puis elle reprend.
— Je peux savoir ce que vous comptez en faire ? Vous voulez de l’argent, je suppose, c’est ça ?
Lucas, bluffé par l’assurance de son interlocutrice, prend une grande inspiration avant de répondre :
— Je crois que le mieux serait d’en parler plus longuement tous les deux... chez vous.— Chez moi ? — Oui, chez vous, cet après-midi. Bien sûr, vous prendrez des dispositions pour que ni votre chauffeur ni votre gouvernante ne soit présent. Et bien entendu, votre chien doit rester dans sa niche, c’est clair ?— Très clair, alors je vous attends à 15 heures.
Et c’est elle qui raccroche.
Décidément, se dit Lucas, cette femme a du cran. Et, ce qui est de bon augure, elle semble prête à négocier. Malgré tout, il lui paraît plus raisonnable de se rendre au rendez-vous avec son couteau corse en poche, au cas où la star ait prévu pour lui un comité d’accueil musclé.
...

Il est 15 heures pile lorsque Lucas gare son vieux pick-up près du grand portail noir de la propriété de la célèbre Marlène Warmer. Une caméra vidéo pointe vers l’entrée. Lucas est bien conscient que toute cette démarche est risquée, mais vu les circonstances, il mise sur le fait que la chanteuse a tout intérêt à traiter cette affaire dans le plus grand secret. Déterminé, il s’extrait de son véhicule, le visage protégé par une casquette de baseball et des lunettes noires et avance vers le portail. Il appuie sur l’interphone.
— Oui ?
Il reconnaît la voix de Marlène.
— C’est moi, le photographe.
Un bruit de buzzer retentit et une porte plus petite s’ouvre dans le grand portail en acier.Après avoir remonté une allée de gravillon, bordée par ce qui semble être le garage de la propriété, Lucas s’approche du perron à colonnade entouré de deux palmiers et sur lequel il reconnaît la figure élancée de la maîtresse de maison.
Chevelure rousse savamment décoiffée, habillée d’une robe droite en soie beige, qui dévoile ses épaules et met en valeur ses jambes fuselées, perchée sur des Louboutin assortis à sa tenue, Marlène toise son invité avec aplomb. Le soleil modèle agréablement les courbes de son corps. Quand l’homme arrive à sa hauteur, elle le fixe de ses yeux noisette avec un demi-sourire.
— Vous êtes ponctuel. Suivez-moi...
La chanteuse fait volte-face et Lucas la suit dans le grand living baigné de soleil. La démarche souple, elle se dirige lentement vers le bar, au rythme du bruit mat de ses talons hors de prix sur le parquet de bois. Dans son sillage, Lucas est enveloppé d’un parfum voluptueux qui ajoute à son émotion. Pour lui, la situation est surréaliste. C’est la première fois qu’il se trouve dans la même pièce qu’elle et sa présence est totalement troublante. Ce n’est plus la jeune femme de ses débuts, mais il émane de sa beauté mature un charme magnétique, quelque chose de charnel qui réveille chez Lucas des pulsions irrépressibles.
Se tournant vers lui, elle lève un sourcil interrogateur.
— Scotch ? Cognac ?
Lucas s’assoit dans le canapé en cuir et, comme si la situation était normale, répond :
— Cognac pour moi.
Marlène revient vers lui avec deux verres, se penche pour lui en offrir un et le haut de sa tenue s’anime du mouvement de ses seins libres sous la soie.Elle s’installe ensuite face à lui, dans un fauteuil au design épuré en croisant haut ses jambes nues parfaitement galbées, son regard perçant rivé sur lui. Lucas décide de boire son Cognac d’un trait, pour se donner du courage. La chanteuse l’observe, silencieuse, en réchauffant son verre entre ses doigts. Elle semble déployer pour lui un jeu de séduction dont elle connaît tous les codes.
— J’espère au moins que le spectacle vous a plu... dit-elle, avec un petit sourire provocant. — Le spectacle ? Oh, celui de ce matin, vous voulez dire... ? C’était, disons ... assez spécial !
J’avoue, j’étais loin de me douter que j’allais assister à quelque chose comme ça... c’est quand même assez inhabituel...
Marlène laisse échapper un petit rire gracieux.
— J’espère que je ne vous ai pas choqué ! Et détrompez-vous, c’est plus fréquent que vous ne pensez. Vous seriez étonné de savoir que je suis loin d’être la seule, dans le milieu du spectacle...— N’hésitez pas à me donner des noms, j’en ferai bon usage.
La chanteuse semble amusée par la repartie et Lucas reconnaît l’expression mutine qu’il a déjà vue dans tant de ses vidéos musicales sur le Net. Elle trempe ses lèvres dans le cognac.
— Vous leur feriez du chantage ? Car c’est bien ce que vous êtes venu faire ici, n’est-ce pas ?
Lucas se racle la gorge.
— Ce n’est pas très glorieux, je le sais... Mais, j’ai besoin d’argent et j’ai bien l’intention de tirer profit de mes images. La vidéo est de bonne qualité comme vous avez pu vous en rendre compte. Je suis pour le moment le seul à l’avoir vue. Si vous souhaitez que ça dure, ce sera 10 000. Chaque mois. Et en liquide.
Marlène fait la moue.
— Je crois que vous voyez un peu trop grand, répond-elle, sur un ton un peu condescendant.
Lucas, piqué au vif, réplique d’un ton sec :
— A ce moment-là, il y a plus simple : je poste la vidéo dès ce soir sur un site spécialisé et demain matin le monde entier sera au courant que la célèbre Marlène Warmer se fait sauter par son chien-loup dans sa propriété corse, ça devrait vous faire une jolie publicité, non ?
Le visage de Marlène trahit l’impact que le changement de ton de Lucas a eu sur elle.
— Je préférerais qu’on évite d’en arriver là... Votre silence a un prix, c’est entendu, mais il va falloir être plus raisonnable.— Je ne crois pas que vous soyez en position de négocier ! répond sèchement Lucas.
Sous l’effet de la tension, son sexe commence à être à l’étroit dans son jean délavé.Marlène le regarde fixement, comme si elle voulait prendre la mesure de l’homme qui est assis devant elle.
— Et si je vous proposais, disons... 2000. Tous les mois. C’est déjà bien, non ? — Qu’est-ce qui vous fait croire que je vais accepter ?
La chanteuse, redevenue plus charmeuse, baisse les yeux vers la bosse qui déforme l’entrejambe du photographe.
— Eh bien... est-ce que je me trompe en disant que vous n’êtes pas uniquement intéressé par l’argent ? Si c’est le cas, on peut imaginer un complément à cette offre...
Lucas n’arrive pas à croire les mots qui viennent de sortir de la bouche de la star, même s’il pense à cette possibilité depuis le début.
— Vous parlez de régler en nature ? C’est ça ? Vous voulez dire que vous me proposez 2000 tous les mois... plus vous ? demande Lucas, avec de la fébrilité dans la voix.
Marlène se redresse lentement et prend une large inspiration avant de préciser sa pensée :
— Il va falloir tout de même fixer des limites. Trouver un terrain d’entente...
Lucas coupe court.
— Ce sera tous les jours, quand j’ai envie et au moins deux heures par jour.
Marlène ressent une vague de chaleur dans son corps, en sentant la violence du désir qui habite cet homme dont elle ne connaissait pas l’existence il y a seulement quelques heures et qui exige d’elle de devenir ni plus ni moins que son esclave sexuelle. Avec une voix qui trahit sa nervosité, elle répond, en baissant les yeux :
— Ce ne sera pas toujours possible... Mais dans la semaine qui vient, je peux m’organiser.
Lucas sent son pouls qui s’accélère.
— Alors c’est d’accord, mais à mes conditions : premier versement demain et en liquide. Et pour le reste... ça commence tout de suite ! Debout !
L’ordre, donné d’une voix rauque, chargé d’une tension sexuelle de moins en moins retenue, fait remonter un frisson depuis les reins de Marlène jusqu’à sa nuque. Elle pose son verre avec précaution et se lève, campée sur ses talons hauts, les reins creusés, les sens en éveil, la bouche entrouverte. Lucas observe un temps la belle rousse, qui vient de se soumettre à lui, conscient que la situation est en train de basculer vers l’irrationnel. Il se lève lentement du canapé et vient se placer derrière elle, comme au ralenti.
— Attention, lui murmure-t-il à l’oreille, au moindre refus, je considère que notre accord ne tient plus...
Marlène pousse un léger soupir quand elle sent que l’homme remonte sa fine robe de soie beige jusqu’à la taille, jusqu’à révéler ses fesses rebondies, qu’aucun sous-vêtement ne protège.
— C’est comme ça que tu reçois tes invités d’habitude ? ironise Lucas, en la tutoyant pour la première fois.Tu savais que tu négocierais... ça te plaît ce petit jeu, hein ? Seulement je te préviens, moi, ça fait des années que je mate tes vidéos, des années que tu me chauffes et avec ce que j’ai vu ce matin, je vais pas me gêner avec toi, crois-moi...
Les mains viriles enserrent la taille fermement, glissent sur la peau satinée, l’une d’elle s’aventure sur le ventre plat, plonge vers le mont de Vénus, deux doigts atteignent les lèvres et s’insinuent sans prévenir dans la fente charnue. Marlène serre les cuisses par réflexe et pousse une plainte aiguë.
— Oh... mais il semble que Miss Warmer soit toute mouillée... c’est d’être à ma merci qui te fait cet effet ?
La chanteuse gémit et se cambre, yeux fermés, respiration courte. CLAC ! La claque sonore arrache un petit cri de surprise à la belle rousse et fait trembler ses globes charnus.
— Réponds quand je pose une question !
La réponse fuse entre les dents de la belle rousse.
— Ouii !!— Si tu ne veux pas faire la une des magazines en train de te faire monter par ton clébard, je te conseille d’être bien obéissante, menace Lucas d’un ton tremblant d’excitation.
Marlène réplique, dans un souffle :
— Je... suis à la disposition ... de mon maître.— Humm voilà... ça c’est bon !
La réponse réveille toutes les pulsions du photographe qui saisit sans douceur la crinière rousse de la star, lui tire la tête en arrière et la pousse devant lui pour la faire avancer.
— Direction la chambre, ma belle. On sera mieux pour que tu t’occupes de moi...
Et il ponctue sa phrase par une nouvelle claque sur les fesses blanches de la chanteuse.
— Allez avance !...
...

En se préparant ce matin à investir la Tour génoise du Calderello, Lucas Luciani, photographe de son état, avait la ferme intention de prendre son destin en main, mais il était loin d’imaginer que, quelques heures plus tard, il se trouverait dans une situation aussi favorable pour lui.
Pourtant, il ne rêve pas. Il est bien dans la chambre de Marlène Warmer, assis, nu, sur son fameux lit « king size », véritable Graal pour tous les fans des deux sexes qui hurlent le nom de la diva rousse au premier rang de ses concerts.
Et, comble de bonheur, l’icône de toute une génération, la star secrète et intouchable est actuellement à genoux sur la moquette épaisse, en train de lui prodiguer une fellation digne d’une actrice de porno professionnelle. Elle a encore sa robe de soie et ses hauts talons et, comme pour mieux le convaincre de sa totale soumission, vrille son regard dans le sien, tandis qu’elle fait glisser ses lèvres pulpeuses le long de la hampe tendue. Lucas, entre deux gémissements, déverse sur elle une litanie d’insultes qui révèle l’état d’excitation dans lequel il se trouve.
— Ooooo vas-y, vas-y ! Pompe ! Allez, ma belle ! Oohh ouiii putain... ooooh nom de dieu, t’es douée, ma salope ! Oh ouii ! Oohhh ! Continue !
Allongé sur le dos, en appui sur ses coudes, il ne perd rien de la scène grâce au miroir mural qui fait face au lit. Les mains agrippées dans les boucles rousses, il guide et rythme les va-et-vient, obligeant parfois la chanteuse à s’empaler à fond, à positionner son cou dans un angle adéquat pour recevoir la totalité de ces vingt et un centimètres en fond de gorge. Lucas se délecte de la vision du célèbre visage, empourpré, plaqué contre son ventre, les narines de la diva rousse se noyant dans ses poils pubiens. Enfin, au bout d’un moment, il relâche la pression et la chanteuse se retire vivement pour reprendre de l’oxygène, le souffle court, la bouche ouverte, un filet de salive qui coule de la commissure de ses lèvres. Lucas la toise de son regard fiévreux.
— T’es championne pour sucer des bites... et pas uniquement humaines, je parie...
Le regard fébrile, Marlène esquisse un sourire malicieux qui vient confirmer l’intuition du photographe.
— Putain ! Si tes fans savaient ça ! Que tu suces des chiens ! Dingue !!
Lucas, l’esprit surchauffé d’images toutes plus obscènes les unes que les autres, se penche brusquement vers elle.
— Ouvre la bouche ! Il hurle presque.
Marlène obéit de suite, avec une expression affolée dont on ne sait si elle est jouée ou sincère. Lucas crache sur la langue rose de la star.
— Avale !
La belle rousse déglutit le crachat avec un petit gémissement de satisfaction. Puis elle replonge aussitôt entre les cuisses musclées de son « maître » pour passer des coups de langue mouillés sur ses bourses lourdes, émettant des bruits de bouche délicieusement évocateurs. Lucas profite quelques minutes encore de sa chance, mais, sentant que sa résistance est mise à rude épreuve, il décide de couper court aux prouesses buccales de la diva et se redresse soudain. Par une prise ferme au niveau de la nuque, il oblige Marlène, toujours à genoux, à venir se coucher à plat ventre sur le bord du lit et à offrir sa croupe dans une position non équivoque. Le photographe se délecte un instant de ce spectacle, digne de figurer dans les clips de la chanteuse.
— Putain, je ne sais pas comment tu fais pour être toujours aussi bonne ! La levrette, c’est ton truc, ça, non ? Cambre-bien ! Encore ! Pense à ton chien, salope !
Et il conclut son discours par une claque sonore sur le fessier offert. Marlène gémit sous la claque, yeux fermés. L’allusion à son amant canin semble la plonger dans un état second. Elle s’offre, creuse les reins, tête en arrière, le souffle court, bouche entrouverte. Lucas s’agenouille sur la moquette épaisse, prenant appui sur les hanches larges et d’un coup de reins puissant, plante son sexe raide dans la vulve trempée.Marlène émet un petit cri qui se transforme en un «Ouiiiiiii » sonore puis un feulement rauque. Lucas se penche sur elle et entame un pilonnage lent, mais brutal.Entre ses dents, tout en donnant des coups de reins, il continue de laisser libre cours à ses fantasmes, lui parlant à l’oreille.
— T’es vraiment une chienne ! Tu le sais, hein ? Marlène la chienne ! Ça rime tu vois ? ! Tu devrais peut-être en faire une chanson !
Marlène parvient à articuler « Salaud ! » entre deux secousses et deux gémissements. Un brouillard voluptueux a pris possession de son cerveau, une fièvre qui la rend hyper-sensible et totalement désinhibée. La voix de l’homme, hachée, fébrile, continue son récit obscène à son oreille.
— Si tu veux frapper fort cette année à Bercy, tu mets ma vidéo dans ton prochain spectacle... sur écran géant ! Pendant que tu chantes... T’imagines ? Effet garanti sur tes fans !— Oohh ! Oooohhhhh !Oooohhhh !
Marlène semble goûter les propositions perverses de son maître chanteur et se cambre encore sous les coups de reins violents.
— Tu sais quoi salope ? Je vais te baiser à fond et ce soir je posterai quand même la vidéo ! Que tout le monde sache quelle chienne tu es !
Elle se cabre, rue, proteste « Noooooooonnn ! »Marlène, le front trempé de sueur, les cheveux en bataille, le corps secoué de spasmes, est foudroyée par un orgasme puissant qui fait trembler son corps voluptueux. Lucas perd pied sous la ruade, il ferme les yeux. Un flash blanc fait griller ses neurones tandis qu’il inonde de sa semence la matrice trempée de la chanteuse rousse.
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