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Sculpture

Chapitre 1

Trash
Je m’appelle Margaux et j’ai 42 ans. Il y a quelques mois je m’étais inscrite comme modèle sur un site pour photographe, non pas pour gagner de l’argent comme la majorité des modèles, mais réellement pour le fun. Suite à cette inscription, j’ai été contactée par plusieurs photographes et aussi par un sculpteur. Il proposait de faire une empreinte de mon corps puis de le mouler pour en faire une sculpture.L’anniversaire de Greg, mon mari étant dans deux mois, j’inspirais à lui offrir comme cadeau une sculpture de mon corps, allant de mi cuisses à mon cou. Je répondais à la proposition du sculpteur et nous prenions rendez-vous pour un mercredi en fin d’après midi. Il m’avait auparavant expliqué le déroulement de la séance, tout d’abord que les parties de mon corps devant servir à l’empreinte devaient être totalement épilées, puis qu’il m’enduirait de vaseline afin que le duvet n’adhère aux bandes plâtrées dont il allait me recouvrir. Ensuite, il coulerait du plâtre dans le moule, puis poncerait, patinerait…J’arrivais vers dix sept heures dans son atelier, c’était un homme d’environ soixante ans, qui se nommait Daniel. Il m’offrit une boisson pour discuter un peu, puis il me demanda de venir m’installer sur une bâche plastifiée et de me déshabiller. Il me flatta :— Tu as un très joli corps avec de belles formes bien généreuses !Je me disais que son tutoiement était le propre des artistes et je ne m’en offusquais pas. Puis il me prit en photo, avec des plans rapprochés.— C’est pour respecter au mieux lors de la finition les détails, comme les aréoles de tes seins,ou les lèvres de ta petite chatte !Sa vulgarité me gênait sans plus venant de cet homme âgé. Puis se saisissant d’un pot de vaseline, il commença à m’enduire les épaules, plus d’une manière caressante que celle d’un massage. Quand il couvrit ma poitrine, le doute se leva, il me caressait lascivement les seins. Je le laissais faire, ne sachant ce que je pourrais lui dire. Devant mon mutisme, qu’il considéra comme une acceptation, du bout de ses doigts il agaça mes tétons.— Des tétons qui pointent sont toujours plus sensuels pour une sculpture. De plus, ce n’est pasdésagréable, non ?— Oui, ça va, répondis-je timidement. Il en profita pour me malaxer les seins d’un sourirecoquin tout en soutenant mon regard.Il poursuivit son badigeonnage graisseux sur mon ventre et mes hanches, mais sans s’y attarder, avant de musarder sur mon sexe. Ses doigts poisseux de vaseline câlinèrent mon pubis, puis ils glissèrent sur mes lèvres, s’insinuant peu à peu entre elles, jusqu’à ce que je ressente que l’une de ses phalanges furetait ma vulve.— C’est toujours agréable ?— Oui, mais c’est vraiment nécessaire ? Pourquoi avais-je dis « oui » ? Idiote ! Pensais-je.— Pas vraiment, mais j’aime bien que mes modèles aient du plaisir lors des séances.Ses doigts glissaient sur mon pubis huileux pour s’insinuer entre mes lèvres et achever leur course dans mon vagin. Daniel continua ses caresses jusqu’à ce que je m’abandonne à son impudicité et que me mette à soupirer de bien être.Enfin il se décida à appliquer les bandes plâtrées en commençant par mon cou, mes bras et mon corps jusqu’à mi cuisses. Je sentais le plâtre prendre prise peu à peu, je restais immobile dans cette position pendant de longues minutes.— Je vais t’enduire ton dos en attendant que le devant soit assez sec pour l’ôter.Comme je m’y attendais, cela alla très vite, jusqu’à ce qu’il me pommade mes fesses, toujours de manière très sensuelle. Ses doigts sillonnaient ma raie jusqu’à venir lustrer mon anus. Je percevais que l’un d’eux pressait petit à petit mon œillet puis s’infiltrer dans mon rectum. A quoi bon serrer mes sphincters pensais-je, ses doigts graisseux n’avaient aucune peine à fouiller mon anus, alors je me laissais faire, d’autant que ce n’était pas si désagréable que ça. Voyant que je ne protestais pas, il s’agenouilla derrière moi et son doigt fut rejoint par deux autres qui se mirent à me tarauder dans un mouvement de vrille, tout d’abord lentement, puis avec brutalité jusqu’à ce que mes gémissements se transforment en plainte.— Tu es bien accueillante de tes orifices, t’as l’air d’aimer le sexe, non ?— Je n’étais pas venu pour ça !— T’inquiète, je vais faire l’empreinte de ton dos, c’était un moyen amusant et plaisant de tefaire patienter.Il m’ôta mon carcan de plâtre et recommença l’opération sur mon dos. Pendant que l’empreinte prenait, il rangea la première puis il alla se laver les mains. Enfin, il retira cette dernière et commença à essuyer ma peau où quelques traces de plâtre subsistaient.— Je n’ai pas fini, me dit-il, va t’allonger sur le ventre sur la table la bas.Je pensais que la séance était terminée, mais ne connaissant les techniques pour réaliser ces sculptures, j’allais m’allonger sur une serviette recouvrant la table. Il m’aida à prendre ce que je considérais comme une pause, ventre et visage sur la table et pieds à terre. Il me fit écarter mes jambes puis j’attendis quelques secondes avant que ses mains de nouveau enduite de vaseline viennent me masser les fesses.— Pourquoi faites-vous ça ?— C’est pour te rendre la séance encore plus agréable et surtout inoubliable !Il m’écarta les fesses et je sentis sa verge tendue venir se fourbir entre mes lobes rebondis pour aller et venir dans un mouvement de masturbation.— Mais qu’est-ce que vous faite ! Hurlai-je en voulant me relever.De ses deux mains il plaqua les miennes contre la table tout en poursuivant de s’astiquer entre mes fesses.— Dis-moi petite aguicheuse, tu t’es laissée te peloter tout à l’heure, t’as même pris du plaisir àce que j’te bourre ton petit cul de mes doigts. Ne dis pas non ! J’t’ai entendu gémir, et maintenant comme une sainte nitouche, tu n’veux pas me donner ce petit plaisir ?Son torse nu était collé à mon dos, je sentais son haleine sur mon cou, mais encore plus son pénis tendu qui allait et venait entre mes chairs souillées de vaseline. Parfois son gland venait buter contre mon anus avant de prolonger sa masturbation. Peut être n’avait-il comme obsession que de jouir de cette façon ? Aussi je me détendais en me cambrant davantage pour lui faciliter d’assouvir ce que je pensais être son fantasme. Son gland revint heurter mon œillet violacé, mais d’un coup de rein il me sodomisa. Je poussais un cri de surprise. Et malgré la vaseline qui poissait mon anus, une brulure m’irradia tant sa verge était épaisse. Je discernais cette hampe qui violait mes entrailles et coulissait sans contrariété dans mon orifice qu’il avait amadoué de ses doigts.— Dis-moi que t’aime ça. Dis-moi que t’aime te faire enculer, murmurait-il à mon oreille.Bien sûr que j’aimais ça, mais je ne pouvais le lui dire. Mon corps se relâcha, Daniel le compris, il me voyait résignée. Alors il relâcha mes mains et se redressa pour me saisir par les bourrelets de mes hanches. Sa verge me possédait de toute sa longueur, et ses testicules battaient contre mes fesses à chacun de ses assauts qui devenaient plus violent. Malgré ses soixante ans, il était aussi vigoureux qu’un jeune étalon, il devenait furieux et s’acharnait à me saillir comme une chienne. Ma respiration était devenue plus haletante et je crispais mes doigts aux rebords e la table pour contenir un orgasme naissant. Mais mon corps fut parcouru de frissons et de spasmes me trahissant.— T’es une vraie salope. Tu jouis de te faire enculer ! Hein ?De me voir jouir ainsi, l’excita à un tel point, qu’à son tour il se cambra en poussant un râle éraillé. Je sentis son sperme chaud inonder mes entrailles. Il redonna quelques coups de reins fébriles pour vider sa semence dans mes intestins, avant de se plaquer contre mon dos pour me rappeler :— Tu reviens dans un mois, ta sculpture sera finie, mais prévois un peu de temps devant toiquand tu reviendras la prendre.Il resta ancré en moi jusqu’à ce que son pénis devienne flasque et coule de lui-même de mon anus. Je sentis son sperme suinter de mon anus puis ruisseler sur mon entre cuisses. J’étais encore enfiévrée de cette relation que je ne voulais pas mais qui m’avait procuré tant de jouissance, que je me retournais et m’agenouillais devant Daniel. Sa verge était devenue chétive et luisante de sa semence. Sans la toucher de mes doigts, je la gobais de mes lèvres en l’aspirant. Je goûtais son sperme, allant jusqu’à jouer de son méat du bout de ma langue.— C’est ce que je disais, tu voulais me berner en te faisant passer pour une sainte nitouche, mais t’’aime bien la bite. Une vraie petite salope ! Alors lèches-moi bien ma queue, qu’elle soit aussi propre que quand t’es arrivé !Sa verge était molle, et je la ballotais dans ma gorge en la contournant de ma langue avant de l’aspirer de nouveau. Je continuais de le sucer en me masturbant de mes doigts englués de son sperme, jusqu’à ce qu’un dernier orgasme m’anéantisse. Agenouillée, j’haletais en reprenant le sens des réalités.— Vas prendre une douche, petite hypocrite débauchée !
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