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Sea, sex and... son

Chapitre 1

Inceste
—** Tout d’abord, pardon aux puristes qui me reprocheront ce titre en Anglais... mais c’était trop tentant !***

J’étais célibataire... une fois de plus ! C’est elle, elle, Sylvie, qui m’avait quitté, après cinq ans de vie commune. Et je ne comprenais toujours pas pourquoi... Bon, d’accord... je n’étais pas un Apollon ! Mais il y avait quand même pire que moi. Sportif, j’entretenais bien mon corps, et mes 1m75 et mes 70 kilos ne contenaient pas trop de gras, mes yeux bleus et mon regard ravageur avaient eu pas mal de succès dans mes années étudiantes, je venais d’un milieu relativement aisé et je commençais à avoir une bonne situation qui m’assurait une belle indépendance financière. Et j’étais, je pense, « pas trop con », m’intéressant à beaucoup de choses, l’esprit ouvert, pouvant suivre et argumenter toutes sortes de conversations... enfin, un mec normal quoi !
Oui, normal, mais « pas assez inventif au plumard » m’avait-elle dit en me quittant !Mince alors ! Je la faisais bien jouir pourtant ! Et souvent !Bon, c’est certain, elle était « chaude », elle en redemandait toujours, et c’est vrai qu’elle me mettait souvent sur les genoux... mais bon ! Cela était quand même super chouette entre nous !
Enfin, c’est ce que je croyais.Mais bref, elle était partie, et comme je m’y étais très attaché, je broyais du noir depuis son départ. Et les vacances approchaient. Des vacances qui, avec ce beau temps qui durait déjà depuis quelques semaines et que la météo nous prédisait pour toute la durée de ce mois d’août, s’annonçaient sympas ! Enfin, pour ceux qui n’avaient pas le cœur en miettes.
Devant mon manque d’entrain, face à mon envie de ne rien faire et de rester à Paris à me morfondre, Maman me proposa de partir un peu en vacances avec elle, dans la villa que ses parents lui avaient laissée, près de Saint Raphaël.
Alors, après tout... pourquoi pas ! Je savais qu’elle s’occuperait de tout, que je n’aurais rien d’autre à faire que de me prélasser sur la plage, à l’ombre du grand parasol bariolé... impeccable pour ruminer ses idées noires toute la journée !
J’aimais le sable, la mer, j’aimais beaucoup nager... et j’aimais bien ma maman... Ah non, d’un bel amour filial, uniquement ! Qu’alliez-vous envisager !Depuis le départ de mon père, emporté dans un accident de la route, nous nous étions beaucoup rapprochés tous les deux pour faire face avec plus de force et de courage à ce coup du sort. Ce rapprochement avait perduré depuis que nous avions " fait notre deuil ", et notre complicité était vraiment très grande. À un tel point que lorsque nous sortions parfois tous les deux à Paris, pour aller au resto, aller au ciné, on nous prenait plus souvent pour un couple que pour une mère et son fils. Et nous laissions dire, avec de petits sourires amusés. Cela amusait surtout maman qui se sentait ainsi beaucoup plus jeune.
Et c’est vrai qu’elle était jeune ma maman ! Jeune dans sa tête, et belle comme le soleil de ce merveilleux été.Oui, elle était merveilleusement belle, et surtout très attirante. Et, même si elle ne comptait absolument pas se remarier, je savais qu’elle avait eu quelques belles aventures depuis qu’elle était veuve. Mais, jamais à la maison, toujours chez son amant, voire à l’hôtel, car je savais que même avec le temps, elle avait toujours des scrupules à faire l’amour avec un autre dans ce qui avait été le lit conjugal.
Nous partîmes donc pour le Sud de la France, en ce début du mois d’août. Et pour une fois, la météo ne s’était pas trompée, le ciel restait d’un bleu limpide que pas un nuage n’osait venir contrarier, le soleil venait nous visiter tout du long de la journée, mais une bonne chaleur, une chaleur agréable, pas cette canicule que nous connaissions parfois. Bref, un temps de rêve pour des vacances de rêve !
Et nous en profitions bien, de la plage, de la mer, des bons petits restos et de la bonne chair. Il est vrai que Maman faisait tout pour me sortir de mon état léthargique, son œil d’aigle repérant toujours au plus vite les corps féminins les plus attrayants de la plage, me demandant aussitôt de planter le parasol (non, non... pas de mauvais esprit...) dans leur parage, des fois que cela me sorte de ma morosité. Car oui, j’étais toujours d’humeur morose, et même si j’aimais bien en effet me trouver dans le parage de jeunes femmes agréables à regarder, je n’étais pas tenté ! Je les regardais, mon œil était ravi, mais moi-même restais détaché.
Il fallait que je me reconstruise, et je savais maintenant que cela serait long, peut-être même très long.Et puis, pourquoi rechercher la promiscuité de ces corps alanguis ? Car je dois dire que le corps de maman, qui deux ou trois fois par jour me demandait de lui passer de l’ambre solaire sur tout le corps était un régal pour les yeux, et que cela me procurait toujours de légers frémissements dans le bout des doigts.
Je me sentais mieux cependant, je sentais que peu à peu, je reprenais goût à la vie. Et un soir, voulant remercier Maman de tous les efforts qu’elle faisait pour me divertir, je retins une table dans une petite auberge en bordure de la côte, que j’avais découverte avec une ancienne conquête, lors d’un séjour antérieur, mais où j’étais certain que Maman n’était jamais allée.Ravie de mon initiative qui lui prouvait que je reprenais peu à peu goût aux choses de la vie, elle se fit toute belle ce soir-là ! Oh, sans ostentation, simplement un jean qui moulait bien le bas de son corps, mais sans provoquer, un léger chemisier blanc où trois boutons non fermés laissaient deviner une poitrine appétissante, ses cheveux blonds biens tirés, de discrètes boucles d’oreilles et juste un soupçon de maquillage... ma Maman quoi, telle que je la connaissais tous les jours, mais avec peut-être dans les yeux une étincelle qui prouvait qu’elle était heureuse.
— Comme tu m’invites, je te laisse me conduire, me dit-elle en me lançant les clés de son cabriolet.
Le trajet se fit dans la bonne humeur, nous parlions gaiement de choses insignifiantes. Mais au bout de quelque temps, je m’aperçus soudain que j’étais seul à parler. Presque aussitôt, je sentis sa main se poser sur mon bras.
— Yves... je connais ce chemin... c’est... au relais des trois étangs que tu as retenu une table ?— Oui, en effet Maman ! Nous n’y avons jamais été ensemble... tu connais ?
Elle resta un moment sans répondre, et je me tournais un peu vers elle pour voir deux petites larmes couler sur ses joues.Et puis, d’une voix mal assurée :— C’est... c’est là que ton père... avait fait sa demande !
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