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Séance ambrée à l'hôtel

Chapitre 1

Balade bandée

SM / Fétichisme
La veille, tu m’auras donné des indications bien précises: « Je veux que tu m’attendes nue sous ton manteau. Mets le porte-jarretelles qui te met tant en valeur. Attache tes bas. Une paire de talons serait appréciée. Et prépare ton foulard. »
Il est l’heure et je t’attends comme prévu. Je me suis apprêtée comme tu me l’as demandé. J’ai mis ce beau porte-jarretelles que je ne porte pas assez souvent, mais qui est très classe. Tu l’aimes parce qu’il met bien mon cul à l’honneur. Mon petit cul rond. Je porte aussi mes talons vernis noirs. Je me trouve sexy comme ça et je sais que je vais te plaire. J’ai le cœur qui bat en t’attendant. Je suis stressée, mais curieuse de savoir ce que tu me réserves. Te voilà enfin.
Je t’ouvre la porte. Je revois tes beaux yeux. Nous nous embrassons, nous nous enlaçons. C’est toujours aussi long l’un sans l’autre. J’ai enfin ton corps contre le mien. Nos corps respirent un peu mieux et nos tensions s’apaisent. Tes mains descendent très vite sur mes fesses qui t’attirent tant. Nos bouches se font plus insistantes. Tes lèvres écrasent les miennes et ta langue entre enfin dans ma bouche. Elle cherche la mienne, passe dans tous les recoins de ma cavité buccale. Tu fourres ta langue toujours plus dans ma bouche. Tes mains agrippent mes fesses et mes hanches. Je me colle davantage à toi. Je resserre mes bras derrière ta nuque pour garder le contact. Nos souffles s’accélèrent et déjà, la chaleur de nos corps se fait ressentir. Je colle mon bassin contre ton pubis pour deviner ton érection, et qui, bien qu’à peine naissante, est déjà bien présente. Te sentir gonflé contre moi me donne encore plus envie de toi.
Tu prends alors le foulard qui est posé à côté de nous. Je sens que tu es pressé que nous quittions l’appartement. Tu me bandes les yeux. Mes oreilles deviennent plus attentives. Il est déjà trop tard pour saisir ta queue avec ma main. Pourtant, j’aime l’avoir en main. Elle m’a manqué, j’ai envie de la sentir, encore plus quand tu bandes. Tu t’éloignes un instant et je soupçonne que tu rentres dans la chambre. Tu as l’air de récupérer diverses choses. Tu reviens. Tu me prends alors la main et nous quittons l’appartement. Tu me guides à l’aveugle jusqu’à la voiture. Tu m’ouvres la portière et tu m’aides à m’installer correctement. Je soulève mon manteau, ma chatte repose sur le siège. Tu me surprends en embrassant délicatement sur la bouche. Puis tu me glisses à l’oreille comme tu as envie de moi et que je t’excite. Je jouis intérieurement, mon entrejambe se contracte à tes mots. Tu te mets au volant et nous démarrons.
Tu fais en sorte que je ne reconnaisse pas le chemin et le trajet me semble long. Tu me parles de choses et d’autres. Tu me poses quelques questions. Tu me frôles la joue et la cuisse en remontant mon manteau de temps à autre. A un moment, à l’arrêt, tu en profites pour sentir mon humidité. Satisfait de sentir mon jus sur tes doigts, tu t’enfonces doucement en moi. Plusieurs fois. Tu sors tes doigts de moi et tu les remontes devant mon visage sous mon nez. Je reconnais mon odeur. Tu passes alors délicatement tes doigts sur mes lèvres. J’en profite pour les sucer et me goûter. Tu me saisis alors la main et la plaque contre ta bite dure et chaude. Ta bite qui est nue. Je ne n’avais pas entendu que tu l’avais libérée. Alors je suis encore plus excitée de sentir ta belle bite, douce et tendue sous ma paume. Il me tarde d’arriver à destination. Je ne sais pas où nous sommes, mais la voiture s’arrête enfin.
Tu me dis que nous sommes arrivés. Je garde mon bandeau. Tu m’embrasses de nouveau et me dis que tu as envie que je te suce. Je me dirige alors vers ton entrejambe à l’aveugle, tu m’orientes pour que je te trouve facilement. Je sens alors ta queue contre mes lèvres. Je te saisis d’une main et je commence par te lécher. De haut en bas. Je te lèche et t’humidifie de ma salive. Je balade mes lèvres le long de ta verge douce et je sens que tu veux entrer dans ma bouche. Je te fais languir un peu. Puis quand tu t’y attends moins, je dépose mes lèvres au bout de ton gland, et doucement, j’ouvre la bouche. Et je te fais entrer lentement. Mes lèvres profitent de chaque millimètre de ta queue. J’aime t’avoir comme ça en moi. Je t’enfonce de plus en plus. J’ai enfin ton gland sur le fond de mon palais, c’est doux là aussi. Et je reste dans la position, je te tiens au fond de ma bouche comme ça. Puis je remonte un peu. Je commence alors les aller-retour. J’alterne les rythmes.
Tu me dis des mots crus pour m’exciter. Tu me dis que tu aimes que je te suce comme ça. Et je continue de t’aspirer. Tu me dis que tu aimes que je te prenne dans ma bouche, que je t’avale. Et je te lèche davantage. Je te sors de ma bouche pour mieux te reprendre. Je sens tes mains qui hésitent à me prendre la tête et les cheveux pour que je te prenne davantage et que tu t’enfonces en moi. Je laisse couler ma salive le long de ta queue. Tu es de plus en plus dur. Ta bite de plus en plus longue et de plus en plus grosse, comme je l’aime. Tu me relèves alors la tête. J’ai toujours les yeux bandés. Tu m’embrasses plus durement cette fois. Tu es excité, au moins aussi excité que moi. Je me redresse. Tu sors de la voiture et récupères les affaires que tu as prises toute à l’heure. Puis tu viens m’ouvrir la portière. Tu m’aides à sortir et tu me reprends la main. Je ne sais pas où nous sommes. Nous marchons quelques mètres. Puis tu m’arrêtes et me retires doucement le bandeau.
Je suis éblouie. Je ne connais pas le lieu. Je me tourne et je constate que nous sommes devant un hôtel. A ce moment, je comprends que je deviens Ambre. Et lui Monsieur.
Le lieu est beau. Il y a un parc tout autour. Il fait calme. A cette heure de la journée, il y a peu de monde. Je continue d’observer où je suis. Je croise son regard, je vois qu’il est excité par sa surprise. Moi j’ai hâte de découvrir ce qu’il me réserve. Nous entrons alors dans le hall. Il arrive le premier à la réception. On lui remet la carte d’accès et nous nous mettons en route vers l’ascenseur. En l’attendant, il s’amuse à passer sa main dans l’entrebâillement de mon manteau à hauteur de mes cuisses, pour ensuite remonter. Par sa dextérité, il arrive à constater de nouveau mon humidité. J’ai envie de lui. Les portes s’ouvrent, il me propose de passer la première. Il n’y a que nous dans l’ascenseur. Une fois la cabine en mouvement. Il attrape mon visage pour y déposer un baiser puissant et long. Je suis un peu surprise. Nous arrivons au bon étage, nous sortons de l’ascenseur. Je le suis jusqu’à la porte de la chambre.
Il se tourne vers moi et il me dit « Tu vas attendre ici quelques instants. Je reviens dans une minute t’ouvrir la porte ». Il entre dans la chambre et referme la porte derrière lui. Je suis devant la porte et j’attends. Je fais de petits aller-retour sur mes hauts talons. Mon pas est feutré sur la moquette du couloir.

Une minute après, il ouvre. Je constate qu’il est torse nu. Il porte juste son jean, ouvert, qui lui moule le cul. Sans slip. Je mouille un peu plus. Il me fait rentrer et me demande d’attendre devant le lit. J’en profite pour regarder la configuration de la chambre. Elle est très lumineuse. La grande fenêtre donne sur le parc. La vue est apaisante. J’apprécie. La décoration est sobre et élégante, dans les tons blancs et bois clairs. Je me dis qu’il a bien choisi. Je sens alors sa présence de mon dos. Je continue de promener mon regard. Il m’embrasse dans le cou et me saisit les seins de ses mains. Il les agrippe fort à travers le manteau.
Une fois qu’il a relâché sa prise, il s’assied alors dans le fauteuil, dans le coin de la chambre. Je reste debout près du lit et je le questionne du regard. Il me dit alors qu’il aimerait que j’enlève mon manteau de manière sensuelle. Je m’exécute. Je me tourne dans sa direction. Et doucement, je défais les boutons de mon manteau. Je commence par ceux du bas. J’en défais l’un ou l’autre jusqu’à mon entrejambe. Je place alors mes mains sur mes cuisses et les fais remonter doucement jusqu’à mon porte-jarretelles. Mon manteau s’ouvre pour lui laisser l’occasion d’observer ma chatte dévoilée. Je recommence avec les boutons du haut. J’en défais un, puis deux. Et lorsque je m’apprête à déboutonner le 3ème, je me tourne doucement pour lui présenter mon dos. Le 3ème bouton ouvert, je passe mes mains sur mes flans et les fais descendre jusqu’à mes fesses. J’en profite pour relever mon manteau afin qu’il profite de la vue sur mon fessier, mis en valeur par la lingerie.
Je reprends mon déboutonnage. Et je reviens face à lui, tout en gardant mon manteau fermé. Je contrôle mes mouvements. J’ouvre d’abord les pans de mon manteau. Pour qu’il redécouvre mon corps nu, pour qu’il m’observe. D’un geste léger, je fais glisser mon manteau sur mes épaules et le long de mes bras. Il tombe alors à mes pieds. Je suis nue en porte-jarretelles et toujours sur mes talons face à lui.
Pendant que je me déshabillais, je l’ai observé libérer sa queue de son jeans. J’ai mouillé un peu plus en la voyant belle et tendue. J’ai encore plus mouillé quand il a commencé à se branler doucement lorsque je lui ai relevé mon entrejambe. Je croise son regard juste avant de me retourner et il a ce regard fou de désir, celui qui me dit à quel point il a envie de me prendre. Quand le manteau est à mes pieds, il a arrêté de se masturber. Son rythme s’était intensifié pendant que je finissais de me déboutonner. Il se lève et vient près de moi. Il défait son jeans et vient coller son corps contre le mien, sa bouche contre la mienne. Il me tire alors d’un coup sec les cheveux en arrière pour que mon cou lui soit plus accessible. Il y dépose des baisers violents, me mordille, m’aspire. Puis il me fait me retourner et me claque sa bite contre les fesses. Je le sens si dur et si excité que mon désir devient de plus en plus fort. J’ai envie de le sentir en moi.
Me tenant pas les hanches, il me pousse alors vers la fenêtre. Nous avançons sans pour autant décoller nos corps. Et là, il me plaque contre la vitre. Mes seins s’écrasent contre la fenêtre. C’est froid. Je pousse un soupir de surprise. Il m’immobilise de son poids, maintient son pénis contre mes fesses, m’empêchant de bouger. Il me prend le bras gauche et le replie pour le coincer entre mon dos et son ventre. De son autre main, il me tire de nouveau les cheveux et me force à tourner la tête vers la gauche. J’ai le visage contre la vitre et il pose le sien sur le mien.
— Me laisses-tu te posséder, mon Amour ?— Evidemment. J’ai envie de toi.—- Reste comme ça​.
Je reste donc la poitrine et le côté du visage contre la fenêtre et j’observe le parc. Je l’entends fouiller dans son sac puis je reconnais le bruit des bracelets. Il revient et délicatement les passe à chacun de mes poignets. Il les attache finalement ensemble dans mon dos. Une fois contraint, il recolle son corps contre le mien. Il frotte sa queue sur mes fesses. D’une main, il me maintient la tête contre la vitre. De l’autre, il positionne son pénis à l’entrée de mon vagin. Je suis tellement mouillée qu’il n’aura aucun mal à me pénétrer. Pourtant, il me laisse languir. Il rentre doucement, me laissant le plaisir de sentir chaque millimètre de sa bite rentrer en moi. Il s’enfonce aussi loin qu’il peut. J’aime l’avoir profondément en moi. Puis il reste un instant comme ça, à titiller les points que lui seul connaît par cœur. Ceux qui me font perdre la tête. Puis il commence à me pénétrer à un rythme plus rapide. Il y va fort parce qu’il a senti que c’était ce dont j’avais envie.
Il me maintient toujours la tête et de l’autre main me saisit la hanche. Il enfonce ses doigts dans ma chair. Pendant qu’il me pilonne toujours plus fort, il me tire les cheveux encore une fois en arrière pour que je me cambre davantage. Il veut que son pubis claque contre mes fesses. Au fur et à mesure de ses coups de boutoir, mon plaisir monte et doucement je m’échappe. Les sursauts de mon corps apparaissent et sont de plus en plus forts. Lorsque je subis un dernier coup de verge, puissant et profond, je crie de plaisir parce qu’il me fait jouir. Je tremble de tout mon corps et j’ai du mal à rester sur mes jambes. Il le sent et me soutient directement. Il me dirige alors vers le lit et me place sur le ventre. Il ne me laisse pas de répit et me reprend rapidement. Je me cambre à nouveau et relève mes fesses pour encore mieux le réceptionner et l’avoir toujours plus loin en moi. Très rapidement, je jouis et je crie de nouveau. Je sens que je lui éjacule dessus.
Il se couche sur moi et reprend un peu son souffle. Il dirige ma tête vers lui et nous nous embrassons. Il prend possession de ma bouche, sa langue s’insinue en moi. La mienne part à sa recherche. Le baiser est langoureux, profond, fougueux. Sa bite est toujours en moi. Nos sueurs coulent le long de mon corps et sur mes flans...
Notre partie de sexe ne fait que commencer. ​
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