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Séance Caoutchouteuse

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Une petite histoire réelle qui s’est passée l’année dernière, je préviens de suite qu’il y a des fautes d’orthographes, de grammaire, de ponctuation (je n’ai utilisé que Word pour écrire), etc., dans ce récit, je ne suis pas écrivain, je n’ai pas fait relire ou corriger ce récit, pour une fois par rapport à mes autres récits (qui mélangent certaines choses réelles et beaucoup d’imaginaire), elle est réelle, et je compte suivant le ressenti et les commentaires, raconter le reste de mes nombreuses aventures BDSM, variées et insolites, certaines courtes, mais à 51 ans, j’ai oublié des passages, voici le premier qui est aussi le dernier vécu et qui est encore en cours, du moins je l’espère, bonne lecture :Un soir de semaine, je me mets en quête d’une relation sexuelle, je surfe sur mes sites BDSM réguliers, et je tombe sur une annonce pas encore vue jusque-là :
— Cherche homme pour des aventures caoutchouteuses avec un homme mûr.
Brève et simple comme annonce, je connais le Latex, mais le caoutchouc, je pense direct pécheur, je commence quelques recherches sur le Net, et faut dire que je ne trouve pas grand-chose à part un site Mec En Caoutchouc, et il y a des trucs qui me font vraiment envie, je me dis pourquoi pas, qui ne tente pas n’a rien !
Je lance les traditionnelles formules de politesse, et j’arrive à l’accrocher, je me décris, taille, mensurations, expérience nulle dans ce domaine, mais adepte de jeux BDSM en tant que soumis, je lui dis que je ne possède rien en caoutchouc à part des bottes, un peu comme tout le monde, et il me dit que c’est déjà un début.
Au bout de quelques jours, nous convenons d’un rendez-vous après avoir répondu à ses questions sur mes pratiques, sur ce que je voulais par SMS, je n’ai jamais réussi à lui faire dire ce qu’il voulait me faire subir, j’ai bien compris que c’était lui le Dominateur, et qu’il ne veut pas d’un Souminateur, je serai à sa disposition et rien d’autre ! Donc, ce sera un samedi 14H, dans un endroit qu’il connaît très bien, ce sera dans la nature pour une première.
Je ne vois pas de soucis, et il me donne les coordonnées GPS exactes.Samedi 12h, je pars de chez moi, entre les coordonnées et hop me voilà parti, 4 voies en direction de Saint Malo, je sors, je suis proche, je vois une forêt, le GPS me dit de tourner à gauche, dans un petit chemin de terre, et moi qui vient de laver ma voiture, j’espère que la route ne sera pas trop dégradée, je n’ai pas de SUV, mais ça va, à part quelques ornières très boueuses, nous sommes en novembre, et c’est très humide, mais la température est correcte.
Je reçois un SMS, me disant de me garer sur le côté et qu’il va me donner des instructions, OK, ça commence bien. Nouveau SMS :
— Maintenant, tout dépend de toi, toujours envie de continuer ?— Oui, bien sûr.— OK, je veux que tu sortes de ta voiture, que tu te mettes nu et que tu viennes à ma rencontre plus loin avec juste tes bottes au pied.— Très bien, à tout de suite, je réponds.
Déshabillé, et juste les bottes aux pieds, je ferme ma voiture, et continue sur le chemin.Je ne sais où je vais, mais vite, je m’enfonce de plus en plus dans cette forêt, il me rassure en m’envoyant des SMS qu’il me voit de loin, et que je suis proche, tant mieux, c’est la 1ere fois que je me balade nu en forêt, ça fait un peu flipper, et ça commence à se rafraichir.Au détour d’un virage, je vois un gros Range Rover bien boueux, ça doit être lui.
Je m’approche, ne cachant rien de mon anatomie, et il sort de son véhicule, je vois une grande masse sortir, une masse verdâtre, toute couverte de la tête aux pieds de vêtements de caoutchouc genre vêtement de pêcheur, il n’y a qu’un bout de son visage de visible, il est balaise le gars, même un peu gros pour ses 2 mètres, comparé à mes 1m78 et 68 kilos, je suis tout chétif à côté.
— Je suis content de te voir, ça va ? Pas trop déçu par ma corpulence ?— Non, du tout, vous êtes même impressionnant.— Pardon ?— Je voulais juste dire que vous en imposez, euh, et merde ! vous imposez le respect.— Je te cherche, je ne suis pas vexé, j’aime bien les petits mecs comme toi, et pas de soucis que je te tutoie ?— Non.— Pour toi, ce sera le vouvoiement et c’est Monsieur et non Maître ! — OK, Monsieur.— Donne-moi tes clefs, je les mets dans ma voiture, pas de risque de les perdre, bon il va falloir que je m’occupe de toi !
Il vient vers moi, fait le tour, il se colle à moi, ses mains gantées de plastique épais me touchent tout le corps, les fesses, le sexe, je tente de lui toucher le sexe, je touche son entrejambe, et il me repousse !Il ouvre le hayon qui est en deux parties, une comme un coffre classique et une assise qui bascule vers le bas, et il me porte et me pose dessus, il a une force, il enlève mes bottes, et je suis là comme un petit garçon, avec les jambes qui pendent, j’attends.
— Bon, je vais te vêtir, ça te plaît ma tenue ?— Oui, ça donne envie, Monsieur.
Il m’allonge dans le coffre, il me passe, un genre de pantalon vert en caoutchouc, froid, très froid, rigide, mais à ma taille, ensuite un genre de chaussettes qu’il remonte pour fermer le bas du pantalon, il me fait passer un autre ensemble, genre pour la pêche, avec des chaussettes, plus des bottes intégrées et des bretelles, mes bottes ne vont pas, il m’en passe d’autres, plus grandes, je suis maintenant debout, je passe un haut, un autre, et encore 2 autres, ça devient épais, sur la tête une cagoule classique en latex, et enfin, une grande veste longue qu’il ferme avec la grande fermeture éclair, jusqu’aux genoux par-dessus tout ça avec une capuche, qu’il me met.Qu’est-ce que j’aimerais bien me voir dans un miroir, mais ce que j’aperçois me va très bien.
— J’ai oublié un truc, tu permets ?— Oui, bien sûr.
Il prend ma main droite, et y glisse un long gant d’électricien (il me le dit), il a la particularité d’être très épais, il fait de même avec le gauche.Il me fait bouger les doigts, et il les trouve trop mobiles, donc j’ai droit à 2 autres couches par-dessus, j’ai des mains, mais impossible de faire quoi que ce soit avec, mes doigts sont rigides dans ses multiples couches.
— Voilà, ça te va ?— Oui, qui ne serait pas content avec tout ça ?— Je peux en mettre plus voire autre chose, mais ce sera pour une prochaine, si cette 1ere fois me satisfait.— Comme vous voulez Monsieur, si tous deux sommes contents.— Oui, c’est vrai, je ne te l’ai pas dit, mais j’aimerais te poser un collier et la laisse qui va avec ?— Pas de soucis, Monsieur.— On ira faire une longue balade après, et pour te rassurer, tu es sur mes terres, donc pas de soucis, on ne devrait pas croiser de promeneurs.
Il ouvre la porte avant côté passager, et sort une immense chaîne et le collier, qui rejoint vite mon cou, il est large, lourd, rouillé, un gros anneau, et le ferme avec un gros cadenas.
— Ah, oui, quand même, Monsieur, vous n’y allez pas dans la demi-mesure !— Ça te dérange ? — Non, non, Monsieur, il est impressionnant.— Oui, c’est vrai, je ne fais pas dans la demi-mesure, d’ailleurs, j’ai aussi ça à te mettre, OK ?
Je regarde ce qu’il tient, et c’est un bâillon plug et des liens pour mes poignets, je connais donc j’accepte.Il tombe ma capuche et me fixe le bâillon, mes bras passent derrière et mes poignets sont attachés ensemble, il revient devant moi. Puis il tire sur la ficelle de chaque côté de ma capuche, et la ferme bien, contre mon visage, et ajoute encore une couche de caoutchouc, c’est comme un grand sac vert qu’il glisse sur tous mon corps, avec juste un trou pour la tête, me voici bien emballé, je dois ressembler à un sac avec juste une tête et des jambes. Aucun mouvement possible avec mes bras, juste mes jambes !
— Très bien, nous voilà partis pour une balade !
Il ferme sa voiture, et tire la laisse.Je le suis et l’observe, du moins j’observe cette grande et grosse masse caoutchouteuse, nous marchons dans son domaine, nous suivons le sentier, nous marchons dans des ornières remplies de boues, j’ai du mal à me déplacer, je glisse, je suis à la limite de me vautrer dedans, mais il force à chaque fois sur la chaîne, je dois suivre la cadence.Je commence à avoir franchement chaud, et cette sensation est sublime, je sens ma sueur couler le long de mon corps, j’ai chaud. De la bave sort de ma bouche et coule.Je ne sais où il m’emmène, mais c’est loin.Il me regarde de temps en temps, il me demande si ça va, et je hoche de la tête pour dire oui.
Je souffle, je sue comme un bœuf, je bave avec ce bâillon, s’il veut m’épuiser, il y arrive.
— Ça va ?— Hum, hum pour dire oui.— Ça fait 1 heure que l’on se promène, j’aime les balades en forêt, tu es dans un état ! couvert de boue ! on va faire une pause !
Enfin, je me dis, mais elle fut courte, nous repartons, je ne sais pas où il veut en venir, je ne comprends pas son délire, chacun de mes pas est calculé, car chaque fois que je suis tombé, il m’a relevé, mais j’ai reçu des coups, d’abord des baffes, douces puis de plus en plus fortes, puis conjuguées avec ce qu’il trouvait sur place, des bouts de bois sur les fesses, des orties sur le visage, de la boue jetée au visage, donc, je fais attention, je marche la tête en bas à scruter chaque dénivelé, et je ne remarque même pas que la longueur de la chaîne a augmenté, car à un moment, je m’arrête, je suis face à une immense ornière, remplie de boue et d’eau, il a dû passer à côté, il me regarde, moi aussi, je fais de la tête un NON, lui un OUI, et il tire d’un coup sec sur la chaîne, je vacille et tombe, sans possibilité de me retenir, je tombe ventre à terre dans la boue, la tête la première, il arrive vite pour me faire rouler sur le dos, je panique, je tente de me relever, je glisse, impossible, je suis tel un ver de terre englué dans la boue :
— Oh là, n’aie pas peur, je ne vais pas te faire de mal ! Calme-toi, laisse-toi faire, je maîtrise.
Je sens que je m’enfonce doucement, je sens ses mains prendre mes épaules, il me tire en arrière pour mettre ma tête hors de danger, il tient un grand bâton dans chaque main, se pose au-dessus de moi, ses pieds viennent sur moi, et de tout son poids, il m’enfonce dedans, je glisse, je m’enfonce, je vois cette boue me couvrir doucement, je tombe dans un trou, assis, j’ai l’impression de m’enfoncer doucement, je panique, il me rassure, il m’enfonce de tout son poids, je sens la boue m’engloutir, je bande comme un fou, j’ai peur, j’aime, j’adore, j’ai peur, mon Dieu c’est quoi ce bordel, je jouis dans mes couches de plastique. Je ferme les yeux. Il stoppe.
Il me regarde, satisfait de mon état, j’ai de la boue jusqu’au cou, il s’agenouille dedans, il a tout son poids sur moi, j’ai une vue directe sur son entrejambe caoutchouteux, ses mains gantées fouillent son entrejambe, son chibre énorme et raide comme il se doit est face à mon bâillon, il l’enlève, ses mains s’emparent de ma tête, et force le passage, je le prends en bouche, il donne la cadence, son sexe remplit ma bouche, il est large, gros, je n’en ai jamais sucé d’aussi gros, je suis vite à la limite du vomissement, il a de l’endurance, mais il est très excité, il gémit, il crie et son sperme remplit ma bouche, il me force à l’avaler, je ne peux faire autrement, ça ne me dérange pas, mais son foutre est abondant.
Il se retire, j’avale le max que je peux, et le reste coule certainement le long de mes lèvres. Il continue à se masturber, et me fait faire la toilette de son gland. J’adore !Je ne dis rien, je récupère, lui aussi, de toute façon, je ne peux me lever seul. Lui il se lève, et tourne autour de moi, il s’assure que je ne risque pas de m’enfoncer plus, mais s’amuse à me mettre de la boue sur la tête.Il me fait face :
— Ça va ?— Euh, oui, ça va.— Oui ?— Oui, mieux, j’ai eu peur, mais mon Dieu, je n’ai jamais connu ça avant, le mélange de la peur et ce jeu sexuel, j’ai flippé, j’ai joui comme jamais !— Tant mieux c’est le but ! Moi aussi j’ai aimé, et tu es une bonne suceuse !— Merci.
Il m’a parlé en tenant constamment son sexe en main, il se rapproche un peu, et il commence à me pisser dessus, il vise mon visage et la bouche, je n’étais pas prêt à ça, on n’a pas parlé de douche dorée. Il me dit qu’il me lave avec sa pisse, et que je ne mérite que ça.
— Voilà, c’est mieux, tu es un peu plus propre, tu as encore soif ?— Non, ça ira Monsieur.— Tu es bien là ?— Bizarrement, oui, la sensation est étrange.— Raconte.— Eh bien, à la fois, enfermé, contraint au chaud dans sa sueur, la sensation, l’odeur du caoutchouc est incroyable, mieux que le latex, et la boue est chaude une fois dedans, la sensation que l’on s’enfonce dedans fait à la fois peur et se sentir glisser sans contrôle, j’ai adoré, je me répète, mais c’est la vérité.— Tant mieux que tu as aimé, j’aime faire découvrir ce plaisir méconnu.
Il me sort de mon trou, je suis couvert de boue. Il me relève, toujours en laisse, mais sans le bâillon, nous reprenons notre promenade, nous parlons de cette expérience, je lui accorde ma stupeur, je n’en reviens toujours pas d’avoir éjaculé en me sentant en danger, je lui avoue mes surprises : comme le fait qu’il ait uriné sur moi, c’est la première fois, que son sexe est le plus gros que j’ai eu dans ma bouche, il est ravi de mes confessions, il m’écoute, je lui dis aussi que les odeurs de sous-bois, de putréfactions sont intenses, cette communion avec ce qui peut dégouter d’habitude, donne aussi du plaisir.
Il en a un peu marre de mes bavardages, et je me retrouve de nouveau bâillonné.On continue notre promenade, je ne sais ce qu’il me réserve, cela fait des heures, je pense, que nous marchons, je suis à l’affut du moindre bruit, mais une chose que je n’ai pas encore dit et le bruit de nos pas dans la boue, maintenant je trouve ça tellement excitant, le bruit aussi du plastique quand nous marchons, ce n’est pas discret.
Je n’ose imaginer à quoi je ressemble, une masse verdâtre couverte de boue, bâillonnée et traînée par une chaîne. Je tombe, je me fais martyriser de plus en plus fort, mais j’encaisse. Sensation ultime de soumission.
Je reconnais le chemin, je vois son gros 4x4, on approche, c’est la fin de la promenade ? Pas envie que cela se termine, je suis encore dans un état d’excitation maximum.
Nous faisons face à l’avant de son véhicule, il attache la chaîne au pare-buffle avant. Il passe derrière, il ouvre son coffre, et s’y affaire.Il me détache et je le suis derrière, là dans son coffre une grande bâche plastique, il me pousse dessus, j’ai le ventre et la tête dessus, il baisse et ouvre mes différentes couches de caoutchouc que j’ai aux fesses, je sens l’air frais sur ces dernières, me voilà cul nu, son bas-ventre couvert les frotte, je vois qu’il pose devant mon visage un sachet de préservatifs ouvert, je sens son énorme sexe effleurer mon trou, son gros gland force le passage, il est passé, il s’en fout de savoir si j’ai mal ou pas, il ne pense qu’à lui, je gémis de plaisir et un peu de douleur, son chibre entier entre vite, et je sens le contact de sa tenue sur mes fesses, il est entré entièrement. Les saccades sont vigoureuses, et violentes. Comme la fellation, il donne la cadence, il est endurant le gars, mais que sa bite est grosse ! ça stoppe, il a dû éjaculer. Il se retire et je le sens trifouiller mon anus de ses doigts, je ne sais pourquoi. Il me dit :
— Putain, mais qu’est-ce que t’es bonne, j’adore, et qu’est-ce que tu encaisses bien, pas envie de te laisser partir !
Merde, il veut faire quoi maintenant ? Mais qu’est-ce qu’il a raison, j’ai encore éjaculé !
— Tu veux continuer ?— Hum, hum, je réponds !— Bien, mon gars !
Qu’est-ce que j’ai dit ?J’ai toujours le cul à l’air, je le sens partir, je l’entends s’affairer sur le côté du véhicule, il farfouille dans des buissons, il revient, ses mains touchent mes fesses, je sens de suite qu’il me fourre quelque chose à mon entrejambe et en grosse quantité, c’est du feuillage, non, ça pique ce sont des orties qu’il me met, il en met plein, et relève aussitôt mes pantalons, ah c’est horrible, ça pique de partout, j’ai le sexe en feu, les fesses aussi, il me relève, et me laisse me tortiller, tandis que lui se désaltère tranquillement. Il rigole en me voyant. Il boit sa bouteille tranquille, et moi je me trémousse comme je peux, j’ai mal à la queue.Je ne sais combien de temps cela a duré, mais lui a pu finir son litre et demi de flotte, et une bonne bière qui m’a fait envie.Il détache mon bâillon, et me donne à boire, il a prévu une petite bouteille avec une paille qu’il pose sur le capot de la voiture, et je bois, il en faudra 2 autres.On fait une pause :
— Ça va, tu supportes ?— Euh, oui, c’est mieux, c’était des orties ?— Oui, que ça je te rassure ! c’est la nature ! dit-il en rigolant.— Oui, Monsieur, la nature est hostile.— Bien dit, tu as des obligations ce soir ?— Euh, non, mais quelle heure est-il ?— Presque 17 h !— Ah oui, je n’ai pas vu le temps passé.— Dans une heure, il fera presque nuit, une autre promenade ?— Euuhhhhh, et puis oui, Monsieur, encore une promenade s’il vous plaît.— Plus intense ? Plus forte ?— Oui, Monsieur.— OK, comme tu veux !
Il me remet le bâillon, ferme sa voiture et d’un coup sec, il tire sur la chaîne, je tombe direct, je n’étais pas prêt, je me prends de suite des coups de botte à l’entrejambe.J’encaisse, il me relève, et nous repartons, nous marchons, je tombe, je prends des coups, la nuit tombe, il me refait tomber dans le même trou, je le re-suce, il me pisse dessus, le soleil s’est couché, c’est de plus en plus sombre, lors d’une nouvelle chute, cette fois, allongé par terre, il me déculotte, et me fourre de nouveau sa grosse dans mon cul, et il me change ma litière comme il dit, en mettant de nouvelles touffes d’orties.Il fait quasiment nuit, quand nous arrivons à nouveau à son véhicule.
— Bon voilà, c’est terminé pour aujourd’hui, je vais te déshabiller !
Il commence par le haut, les affaires qu’il pose sur la bâche plastique ne sont plus vertes, mais couvertes de boue. Je suis de nouveau nu, et il m’enlève mon bâillon, je passe mes bottes :
— Très bien Jean-Luc, te voilà de nouveau aussi nu qu’un ver de terre, cela t’a plu ?— Oui, Monsieur, énormément, et vous ?— Oui, aussi, tu es un bon soumis, c’est un essai concluant.— Merci Monsieur, donc cela veut dire qu’il serait possible de renouveler ?— Oui, c’est réalisable, mais j’ai aussi d’autres projets semblables, avec des nuances de soumission différentes, plus fortes.— Ah, oui, si c’est dans la même veine, j’y adhère complètement !— C’est noté, il me reste des trucs à me procurer, mais ça pourrait le faire !— Dites-moi quand ?— Non, ce n’est pas pour tout de suite, mais tu as aimé d’être contraint dans tes mouvements ?— Oh que oui, c’est ce que j’ai aimé le plus, être à votre merci et de recevoir des coups.— Ce sera encore plus fort la suite !— Comme vous voulez, dites-moi quand ?— Je t’enverrai un SMS et tu viendras chez moi passer peut-être le week-end, il faut que je mette ça en place !— OK, vous me dites, je reste à votre disposition.— Très bien, allez, rentre chez toi !— Au revoir Monsieur.
Et je pars, nu en bottes, vers mon véhicule.J’ai le cul, les couilles, la queue en feu, je suis sale, j’ai encore le goût de son sperme dans ma bouche, j’en ai aussi qui coule de mon cul, il a vidé ses préservatifs dedans, je m’arrête pour pisser, putain que j’ai mal, je ne vois rien, fait nuit, je n’ose imaginer le résultat de ses coups et des orties, à mon véhicule, je m’habille vite, car je suis gelé, il doit faire moins de 10 degrés.
C’est chez moi que je réalise, sous la douche, je pue, je suis sale, plein de boue, propre, je constate les dégâts, j’ai de gros boutons sur la queue et les couilles, j’ai de belles griffures sur les fesses, des bleues au ventre, aux cuisses, mais merde, que c’était bon. Je m’étais toujours refusé au BDSM hard, mais quand c’est amené comme ça, je n’ai pas vu l’intensité monter.
La nuit fut aussi difficile que la précédente, mais là j’avais mal, ce n’est que 2 jours après que j’ai pu enfin me masturber, avec l’envie de recommencer.Deux semaines, plus tard, je lui envoie un SMS qui reste sans réponse, je pense alors que je ne lui ai pas plu, et que je ne l’ai pas satisfait, je suis hyper-déçu, car j’aurais aimé renouveler cette expérience intense.
Je surveille tous les jours le site où il a posté son annonce, mais je ne l’ai pas revu, une semaine plus tard, je retente un SMS, idem, pas de réponse.
Fin de la 1ere partie, la suite de mes aventures à suivre est en cours d’écriture...
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