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Séance de Cinema pour soumise Emma

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Chapitre 3 : Il faut toujours respecter les règles
Benoît Poelvoorde dans le rôle du soumis milliardaire maniaco dépressif face à Laetitia Casta dans la peau de la pute dominatrice par obligation qui se demande dans quel sens se tient un martinet. Un film de plus sur le BDSM, qui stigmatise le côté pervers psychotique des personnes qui fréquentent ce milieu. Si encore on profitait pleinement de ses courbes avantageuses .Passons. Ce film est un prétexte après tout… Les distractions sont ailleurs ce soir….Mon majeur, s’applique à frôler le haut de votre cuisse. Je glisse vers le genou. Tombe vers l’intérieur. Me faufile entre les plis. Coule vers le mollet. Descends jusqu’à la cheville. Je la saisis. Je soulève votre jambe, aucune résistance de votre part. Je place votre cuisse droite sur l’accoudoir central de velours rouge. La position est indécente. Les différentes tonalités de lumière du film génèrent un effet stroboscopique dans la salle. Le noir, salle obscure, les ombres du public qui se dessinent, discrétion, intimité rassurante. Lumière blanche, la salle s’illumine, nous distinguons les rictus de notre voisin le plus proche, Il est là un mètre à peine devant nous. Le scintillement de vos bas. La blancheur de vos cuisses qui contraste avec le noir de la jarretière. Le plaisir de s’exhiber, la peur de se faire surprendre, les muscles qui se tendent.Je m’applique. Je prends mon temps. Ma main remonte vers le genou…. Elle redescend…s’arrête à mi-chemin…. Descend plus bas…..les cuisses s’ouvrent…..puis la main remonte… votre rythme cardiaque s’accélère…. Votre regard est suppliant….. Mon majeur qui glisse à nouveau….il glisse…plus bas …. Encore plus bas…. La moiteur de votre entre-cuisse, la chaleur qui monte…. L’élastique de votre culotte. Je m’arrête…retire mon doigt….« J’ai quelque chose à vérifier avant toute chose ». Vous me jeter un regard tant interrogateur que de reproches. Vous n’osez me poser La question, car vous savez que je sais. Vous avez failli à vos obligations et je ne pardonne rien. Je glisse un doigt dans l’échancrure de votre décolleté.Je glisse à votre oreille « Je vous avais dit Sans soutien gorges ». « Maitre, j’ai manqué de temps…vraiment..s’il vous plait…. »« Vous en avez manqué parce que vous avez perdu du temps à le mettre ». Je sais que ma logique binaire vous interdit toute objection. « Moi qui étais dans de bonnes dispositions ce soir. Prêt à vous câliner…avec tendresse. A croire que vous n’aimez pas la tendresse…. Je vous rassure votre punition sera à la hauteur de votre affront…. Et pas un mot… pas un son ne devra sortir de votre bouche…n’est ce pas ? » Vous me faites un léger oui de la tête.Je glisse ma main dans la poche intérieure de ma veste. Vous redoutez le pire. Je prends mon temps. J’en ressors trois objets. Trois objets que vous connaissez parfaitement. 2 pinces à linge en plastique souple, et un rosebud couleur argent de dimension intermédiaire, mais qui a la particularité d’être relié à une chaîne métallique d’une dizaine de centimètres. « Votre cul et vos seins vont être mon terrain de jeu favori ce soir. Vous allez devoir souffrir en silence… Soyez sans crainte je n’oublierai pas de prendre soin de votre chatte et de votre bouche »« Écartez votre décolleté et dégagez vos seins de cette prison abjecte dans laquelle vous les avez enfermé » « Non Maître, s’il vous plait.. » J’entends à peine le son de votre voix. Mon regard emprisonne le votre. Un nouveau non de la tête. Le pli qui sépare vos sourcils se creuse. Les yeux implorent. Mon regard se fait plus froid. La négociation ne fait pas partie de nos relations et encore moins de mes qualités. Il n’y a pas d’issue. Vos prenez votre courage…à deux mains…et des deux mains, vous glissez les deux bonnets sous vos deux petits seins laiteux. Une petite poitrine ferme, fière, aux auréoles légèrement rosées, aux tétons dardés, sensibles très sensibles. Une poitrine qui a oublié de passer le cap de vos 18 ans. Elle est restée celle d’une adolescente sur votre corps de femme…mais je l’aime, j’en raffole, je me délecte de cette poitrine…et elle me le rend bien.Vos yeux scrutent la salle. Et si quelqu’un se retournait. Mais je prends mon temps. Tout mon temps. « Ouvrez la bouche et tirez la langue, je ne tiens à ce que vous ameutiez tout le quartier.... » Vous vous exécutez, résignée. Je prends le rosebud. Le fais glisser sur votre langue, l’introduit entre vos lèvres. Vous fermez naturellement la bouche…seule la chainette pend vulgairement le long de votre menton. Votre supplice peut désormais commencerJ’appuie sur les extrémités de la première pince. Elle s’ouvre en grand. Je m’approche du téton le plus éloigné. Je le glisse entre les embouts…..puis je lâche…sans hésitation… sans remords… aucun vraiment…j’en jouis… mon érection est naissante et proportionnelle à la douleur électrique et fulgurante qui irradie tout le haut votre corps. Vous en perdez le souffle… vous dents se brisent sur le métal froid de l’intrus buccal ; Vous rejetez la tête en arrière. Le monde qui vous entoure n’existe plus. Mais il en reste encore une..Même lenteur, même position, même relâchement sadique, même causes et mêmes effets. Votre poitrine se tend. Vos fesses se soulèvent, puis retombent aussitôt sur le siège. Un son s’échappe de la commissure de vos lèvres. Notre voisin de devant tend l’oreille, mais il n’ose se retourner. Les larmes coulent sur vos joues. Je suis un Sadique pensez-vous à la lecture de ses mots… oui et j’assume mais dans ce jeu il ne peut y avoir le S sans le M et Emma est la pure définition du Masochisme…car à cet instant, je sais que ce qui coule sur ses joues n’est rien comparé à ce qui coule entre ses cuisses… il ne reste plus qu’à vérifier

Chapitre 4 : A votre Service
Votre poitrine se soulève au rythme des pulsations de votre cœur, rapidement et de façon saccadée. Les pinces ressortent de votre décolleté, mais votre poitrine n’est pas assez opulente pour empêcher votre soutien-gorge de vouloir regagner sa place originale. Il vient frotter contre les intrus ce qui a pour effet d’amplifier la douleur.Votre bouche forme un petit cœur autour du rosebud. Le regard est inquiet, suppliant scrutant le moindre mouvement dans la salle. Je repose ma main sur votre cuisse. Il est temps de prendre votre température.J’écarte un peu plus vos jambes. La fine dentelle noire de votre string s’offre à moi. Je pose la paume de ma main sur votre bas vente. Votre vessie est tendue à l’extrême, vous avez respecté cette consigne. J’appuie plus fort. Vous ne pouvez vous empêcher de m’agripper. Vous serez si fort la manche de ma veste que le tissu se froisse.Je tends mes doigts et viens les poser de chaque côté de votre slip. Je les fais glisser de haut en bas. Vous tendez votre bassin, pour rentrer en contact avec la paume de ma main. Je me dérobe, vous faisant comprendre de ne pas bouger. Je retourne à mes investigations. Je glisse mes doigts sous l’élastique. Je soulève, Je tire, laissant l’air rafraîchir la moiteur de votre vulve. Frissons qui parcourent votre corps. Je relâche. Regard de braise. Je pose mon index délicatement sur la broderie au niveau de votre ticket de métro. Mon doigt descend vers le fruit défendu. L’humidité se fait sentir. Toujours plus sentir. Chaque fibre est imprégnée de votre cyprine. Votre culotte dégouline de plaisir au fur et à mesure de mon exploration. Je sens votre sexe palpiter sous mon doigt. Je le fais rouler sur le fin tissu, cherchant les recoins de votre clitoris. Je force la dentelle, un liquide tiède enrobe mon majeur. Je fais rentrer le coton à l’intérieur de votre sexe. Vous poussez plus loin, vous en voulez plus, la moindre parcelle de votre clitoris essaie de s’échapper à travers la dentelle ajourée. Une auréole commence à se former sur votre siège. Une odeur de sexe mêlée d’urine monte à mes narines.Je glisse enfin ma main dans votre culotte, et sans autre préliminaire, j’empale votre chatte de trois doigts…profondément…violemment…le flop caractéristique de la vulve emplie de plaisir se fait entendre. Sous l’effet de la surprise, vous relâchez vos muscles, les cuisses s’écartent béantes…vous oubliez votre vessie…un jet brulant m’inonde la main… vous desserrez les dents… l’objet métallique tombe entre votre cuisses…. L’air sort brutalement de vos poumons…dans un bruit sourd…un grognement félin...un feulement sauvage… vos yeux roulent…votre tête se renverse…vous êtes au bord de l’évanouissement. Notre voisin se retourne…


Chapitre 5 : Tu es mienne
Il est dans le siège face au mien, et par conséquent lorsqu’il se retourne sur sa gauche, son regard ne peut que se poser sur vous. La profondeur des sièges fait qu’il ne peut voir la robe relevée sur vos cuisses écartées. Mais il a une vue imprenable sur l’échancrure de votre robe. Rien d’obscène, si ce n’est le haut de votre balconnet qui cherche à s’échapper de l’encolure.Son regard cherche le votre. Vous êtes figée. Tétanisée. Le rouge vous monte aux joues. Vos cheveux collent à votre front. Vous me serez la main…fort.Silence… long silence puis sa bouche s’ouvre, les sourcils se froncent, reproches à l’horizon « vous pourriez faire un peu moins de bruit s’il vous plait »Tu ne trouves rien d’autre à répondre qu’un « oui Monsieur ». Ce oui Monsieur caractéristique quand tu es prise à défaut, comme une petite fille qui te rappelle ta nature de soumise. L’orage est passé.Je me penche à votre oreille « Vous avez eu peur maintenant donnez-moi votre culotte petite chienne ». Regard suppliant « non, on va finir par se faire prendre ». « Vous l’avez entendu tout comme moi. Vous faites trop de bruit. C’est votre faute pas la mienne. Il suffit de vous taire et de m’obéir. Alors donnez moi votre culotte, et taisez-vous »Inutile de lutter plus longtemps. Vous resserrez vos cuisses, remontez plus haut votre robe, soulevez délicatement votre fessier, faites glisser lentement votre string le long de vos cuisses…..de vos genoux de vos chevilles de vos escarpins vous soulevez les pieds dernières étape vous roulez le minuscule tissu au creux de votre main…..je tends la mienne grande ouverte votre calvaire ne finira jamais à mes côtés, résignée vous me le remettez.Je fais à cet instant l’une des choses qui vous horripile le plus chez moi. Je laisse pendre votre string entre mes doigts et viens le porter délicatement à mes narines. Je hume alors avec délectation les effluves de votre plaisir. « Votre chatte sent toujours aussi fort, vous avez été négligente dans votre toilette ce matin comme à votre habitude ». Je sais qu’il n’en est rien, vous passeriez votre journée sous la douche si vous le pouviez. Mais le plaisir de l’humiliation ne connaît aucune limite, notamment lorsque cette humiliation sert votre libido. « Mais n’ayant rien d’autre sous la main et sachant que vous ne saurez pas vous taire, je n’ai pas d’autres solutions…désolé vraiment…. Ouvrez la bouche » Vous ne vous faites pas prier, vous adorez l’odeur et le goût de votre cyprine. Je glisse le fin tissu entre vos dents et le laisse pendouiller. Je vous fais à nouveau écarter les cuisses. Ma main, mes doigts peuvent désormais profiter pleinement de vos charmes…en silence…. Mon majeur rencontre la chaînette du rosebud tombé sur votre fauteuil tout à l heure. Ah je l’avais oublié celui là. Le hasard fait bien les choses.Je prends l’objet, le fait rouler entre mes doigts, le fait glisser sur vos grandes lèvres, puis vos petites lèvres, je descends plus bas, l’entrée de votre sexe, l humidité qui y règne, parfait comme lubrifiant. Je m’y attarde. J’explore. Je fouille. J’introduis. J’expulse. Vous connaissez mes intentions. Resserrement de cuisses. Trop tard ma main est déjà bien calée. L’objet métallique glisse à nouveau. Plus bas. Encore plus bas. Il rencontre une petite cavité. La cible est proche. Le sphincter résiste. J’appuie. Plus fort. Je relâche. J’appuie à nouveau, les muscles se relâchent, votre anus se détend, nouvelle pression, et victoire le rosebud se jette à l’assaut de votre porte étroite. Bien calé au chaud. Nouvelle montée de plaisir. Nouveau liquide entre mes doigts
Lætitia nous apparaît gaînée d’une combinaison de latex noir, fouet en main. L’ensemble lui va à ravir. Le pauvre Benoît agenouillé au bord de son lit a du mal à contenir son érection, tout comme moi. J’en profite pour défaire la ceinture de mon pantalon. Je l’ouvre. Mon sexe palpite sous le shorty en viscose blanc. J’adore cette matière, mon côté fétichiste. Je le dégage, je prends votre main droite et sans hésitation vous enserrez ma barre de chair.Ma main restée prisonnière de vos cuisses s’active à nouveau. Vous êtes insatiable en termes de sexe. Il est difficile de vous amener à l’orgasme, vous êtes une soumise exigeante. Il m’a été donné de rencontrer des femmes qui avaient du mal à se laisser aller, à lâcher prise, à accepter leur plaisir, mais une fois trouvée la clé, l’orgasme n’était jamais loin. Mais vous, vous êtes à mes yeux un défi permanent. Vous pouvez mouiller et prendre du plaisir durant des heures, une journée entière, et ce dès le premier regard, mes premiers ordres, mes premières caresses. Il suffit de vous traiter en soumise, de vous dominer, ne serait ce que de la voix pour que le désir monte. Mais ensuite, il faut tenir sur la durée. L’orgasme est chez vous une véritable récompense pour vous, certes, mais surtout pour celui qui vous le procure. Il est rare, il est long à venir, il est violent, il vous emporte à vous pâmer. Je n’y arrive pas à chaque fois, ma jouissance ayant parfois le dessus, mon endurance me faisant défaut d’autres fois. Je n’ai aucune honte à l’avouer, car avec vous plus d’un homme se contenterait de son propre plaisir sans se préoccuper du votre, sans se soucier de savoir si vous avez atteint le 7ème ciel. Pour ma part, je ne tire mon plaisir qu’à en procurer. Je peux passer des semaines à jouer avec votre corps sans jamais jouir de mon côté, sans même libéré mon sexe. Je suis un cérébral, l’éjaculation n’est pour moi que l’aboutissement frustrant d’un conflit gagné par le plaisir de la chair face au plaisir de l’esprit. Et quoiqu’il y arrive, mon corps fini toujours par avoir raison de mon esprit, mais au moins avec vous, je peux mener ce conflit intérieur durant des heures, des jours voir des semaines et me rapprocher toujours plus de l’extase absolue.Vous vous saisissez de mon sexe, et commencez un mouvement de va et vient, de haut en bas. La caresse est lente mais assurée. Vous décalotter le gland, vous faites glisser votre pouce sur l’extrémité. Vous titillez le prépuce, vous jouez avec mon gland comme vous jouez avec mes nerfs. La caresse me rend extrêmement sensible, cela devient vite insupportable. Un bruit sourd envahi alors la salle. Nos regards se jettent sur l’écran, le fouet vient de claquer sur le dos de l’acteur. Vous en profitez vous serez plus fort. Le sang cesse alors de monter au sein de ma virilité. La tension redescend, vous serrez encore, tout en me branlant, vous relâchez, vous serez à nouveau, les prémices de mon plaisir commencent à sortir. Mon liquide séminal s’épanche sur mon membre, rendant la caresse plus agréable, plus onctueuse. Vous accélérez le mouvement…..
Reprendre le contrôle. Je dois reprendre le contrôle. Je respire plus lentement, je ferme les yeux, je diminue mon rythme cardiaque pour que mon sang circule moins vite dans mes veines, dans mon sexe. Mes palpitations sont moins fortes. Vous comprenez vite mes intentions. Vous serez plus fort, vous masturbez plus vite…mais il est trop tard j’ai repris le contrôle….Et pour vous le faire comprendre, je glisse entre mon pouce et mon index le capuchon qui se cache en haut de vos petites lèvres. Je le serre, je le pince, plus fort, je le fais rouler, je le pince à nouveau….je le titille du bout de l’index, je glisse mes doigts dans les recoins de votre clitoris, je pince à nouveau, je pince chaque parcelle de chair tendre. Vous serrez les dents, aucun son ne s’échappe, pas question que notre voyeur se retourne à nouveau. Je vous doigte à présent…..et un…..puis deux…. et enfin trois doigts. Je m’enfonce profondément. Vous êtes trempée. Je glisse mon pouce dans l’anneau du rosebud. Je tire dessus. La chaînette se tend. Par réflexe, vous suivez le mouvement en soulevant votre cul mouvement qui me permet d’introduire plus profondément mes doigts inquisiteurs. Nouveau fleuve de plaisir. Je laisse la chaîne se détendre. Je place mon pouce sur l’embout de l’intrus et j’appuie, Je force, J’insiste, Les muscles de votre anus finissent par céder. Je tire à nouveau, je glisse, je pince, je caresse, je tire, je caresse, je plonge plus loin plus fort, je tire sec,…l’objet métallique sort violemment de sa cachette…vous portez votre main à votre bouche encore encombrée par votre culotte. Vous serrez le poing, vous être prêtes à me frapper…mais ne me laisse pas impressionner, vous connaissez le code qui vous permet à tout moment de tout arrêter, et je sais que vous l’utiliserez sans hésiter si j’allais trop loin… je me penche à ton oreille « Je t’aime… merci d’être là… merci d’être à moi»…nos yeux s’unissent de tendresse, le mot fin s’affiche en gros à l’écran…la lumière revient déjà…et le film est terminé…
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