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La séance du matin

Chapitre unique

Orgie / Partouze
Alors que Natalia venait de s’installer dans l’imposant fauteuil rouge, on tamisa la lumière et les bande-annonces commencèrent. Elle se souvint instantanément comme elle avait toujours aimé les projections sur grand écran, la proximité des personnages du film, et celle des spectateurs bien réels, dont les émotions vibraient avec les siennes.
Seulement, depuis qu’elle avait terminé ses études, elle avait perdu l’habitude d’aller voir des films au cinéma. Elle était célibataire, regarder un film seule ne l’amusait pas et les séances étaient chères. Mais elle venait de découvrir que le cinéma de son quartier proposait un tarif réduit pour la séance du matin, et, ce jour-là, elle avait décidé d’aller voir un film seule pour la première fois.
Tandis que les publicités s’enchaînaient, Natalia parcourut la salle du regard pour voir comment était composé le public, clairsemé à cette heure matinale : devant elle, au premier rang, un homme qui de dos semblait assez âgé ; trois sièges derrière lui, une femme seule à la coiffure élégante et sévère ; et encore quelques couples qui chuchotaient, dispersés dans la salle. Assis à sa gauche, à la même rangée qu’elle, deux étudiants enlacés partageaient du pop-corn. Tout en faisant de son mieux pour rester discrète, Natalia observa l’étudiante et se fit la réflexion qu’elle avait un joli visage, quand celle-ci se tourna vers elle.
Soudain, la salle fut plongée dans le noir : le film commençait. Natalia conserva quelques instants l’image de l’étudiante qui la fixait figée dans sa rétine. Quand elle risqua de nouveau un coup d’œil dans sa direction, elle ne trouva que son profil faiblement éclairé par l’écran.
Natalia faisait de son mieux pour se concentrer sur l’intrigue, mais le bref regard qu’elle avait échangé avec l’étudiante lui restait en mémoire, et les images floues qu’il faisait naître en elle l’inspiraient bien plus que celles qui défilaient sur l’écran. Elle n’aimait pourtant pas spécialement les filles, mais celle-ci lui avait semblé dégager quelque chose de sensuel et différent — presque obscène, en vérité.
Son imagination lui jouait-elle des tours ? Au bout d’un moment qui lui parut être une éternité, elle voulut en avoir le cœur net. Elle tourna légèrement la tête et crut que l’étudiante dormait : la tête renversée en arrière, les yeux clos, son visage était incliné vers le plafond et illuminé par la lumière mouvante de l’écran. Natalia la fixa plus attentivement. Quand la fille ouvrit les yeux et lui rendit son regard, elle ne se détourna pas. Au contraire, elles se dévisagèrent quelques instants, jusqu’à ce que Natalia remarque que le petit ami de la fille n’était plus assis près d’elle. Elle fronça les sourcils, l’air interrogateur, et pour toute réponse, l’étudiante referma les yeux et se mordit la lèvre en crispant la main sur son accoudoir.
C’est alors que Natalia comprit : l’étudiante ne dormait pas, son copain n’avait pas disparu. Agenouillé dans l’ombre, le visage de ce dernier était enfoncé entre les cuisses de l’étudiante, qui avait relevé sa jupe et lui caressait doucement la tête. À ses pieds se trouvait une petite culotte blanche qui semblait luire dans la pénombre.
Natalia sentit le rouge lui monter aux joues. Jamais elle n’aurait été capable de faire ça dans un cinéma, en plein film et, qui plus est, si une inconnue s’était trouvée assise à la même rangée qu’elle ! Mais ça ne semblait pas déranger le couple d’étudiants, qui continuait son affaire, intrépide. Natalia pouvait déceler toutes les émotions qui parcouraient le visage de l’étudiante, sans aucune cohérence avec les histoires qui se tramaient à l’écran. Elle avait d’ailleurs complètement oublié le film. Elle observait la main de la fille qui agrippait les cheveux de l’invisible amant qui la léchait, tandis que ses propres mains déboutonnaient son jean, comme mues par une volonté qui leur était propre, et qu’elle commençait à se masturber.
Quand la fille inclina la tête vers le siège vide à sa droite, Natalia décida de prendre ce geste comme une invitation. Sans un mot, le pantalon ouvert, elle vint s’asseoir près du couple indiscret. Tout fut soudain plus clair : les yeux fermés de l’amant qui s’appliquait, avec sa bouche et ses doigts, à satisfaire sa séduisante copine, le parfum de celle-ci et son souffle qui tremblait au rythme des coups de langue adroits qu’elle recevait. Elle passa son bras autour de l’épaule de Natalia qui, sans un mot, se serra contre elle et replongea une main dans son string. Sa chatte était déjà très humide.
Elles gémissaient maintenant toutes les deux, unissant leurs souffles, les joues brûlantes. Une puissante odeur de stupre émanait du trio. L’amant, toujours agenouillé, avait bien sûr remarqué la présence de Natalia. Sans doute avait-il espéré que les choses se passeraient ainsi, car il n’avait même pas eu l’air étonné. Reconnaissant, il redoublait ses efforts malgré les contorsions que lui infligeait sa posture. Natalia caressait les seins, les bras et les deux cuisses douces et ouvertes de cette fille inconnue. Son autre main n’était pas en reste : tandis que sa voisine l’enlaçait, elle se masturbait avec énergie, s’enfonçant deux doigts pendant quelques instants, puis titillant de nouveau son clitoris. La stupéfaction avait cédé la place au désir, et le plaisir montait rapidement.
La fille l’embrassa dans le cou. Leurs deux visages étaient presque fiévreux, leurs cœurs battaient fort. Natalia l’embrassa à son tour, la joue d’abord, puis elle prit sa bouche entre ses lèvres et laissa la langue humide de sa voisine s’insinuer en elle, sans cesser de se branler. Natalia sentit soudain les mains du jeune homme sur elle. Toujours à genoux, il lui retira son pantalon, son string, lui écarta les cuisses d’un geste doux mais décidé, et commença à la lécher. Natalia n’y tenait plus, elle lâcha un gémissement plus fort que les précédents.
— Silence ! lança la femme installée devant elles en se retournant. Natalia et sa voisine s’embrassaient langoureusement, échevelées, et se caressaient réciproquement tandis que Natalia se faisait lécher comme il lui semblait que jamais on ne l’avait léchée. Cela, bien sûr, la femme ne pouvait pas le voir, mais une intuition la poussa à se lever pour se diriger vers les deux insolentes. Natalia esquissa un mouvement de recul, mais reculer dans son siège n’aurait servi à rien. L’étudiante la rassura en l’embrassant de plus belle alors que la femme, qui avait quitté sa rangée, arrivait à la leur.
Elle lâcha un « oh ! » sonore en découvrant ce qu’elle s’attendait à découvrir : deux jeunes femmes débraillées, les jambes emmêlées, se doigtant tout en se faisant lécher par leur complice mal dissimulé dans l’obscurité. Cette fois, les autres spectateurs l’entendirent, et tous les visages se tournèrent vers Natalia. Deux ou trois personnes se levèrent même, une main sur la bouche, pour apercevoir l’objet du scandale : ce trio qui continuait son affaire sous les yeux effarés de la femme sévère.
— Est-ce que vous avez remarqué qu’on était au cinéma ? C’est pas un club échangiste, ici, fulmina-t-elle, bientôt rejointe par son voisin, le monsieur du premier rang, qui la prit par le bras comme pour essayer de la calmer. Il ne parut même pas étonné par la scène.— Allons, madame, restons tranquilles, ces jeunes gens ont bien le droit de s’amuser, et puis entre nous, ce film n’a aucun intérêt, dit-il gentiment en l’entrainant vers son siège.— Bande de petites putains ! Traînées ! continua-t-elle.
Natalia, qui recevait toujours un cunnilingus niveau expert, n’en croyait pas ses oreilles. Loin de réfréner son désir, entendre ces insultes qui lui était destinées l’excitait encore plus. Oui, elle était une petite traînée affamée de bite, à moitié nue sur son siège ; oui, la langue d’un inconnu explorait sa chatte ruisselante, et elle était offerte à la vue de tout un chacun. Elle ferma les yeux en ouvrant sa chemise pour libérer ses seins, admirative de son propre sang-froid. Ses tétons n’avaient jamais été aussi durs. Bientôt, trois bouches s’occupaient d’elle. Surprise, elle rouvrit les yeux : l’étudiante l’embrassait dans le cou, tandis qu’un homme inconnu lui léchait les seins et qu’une femme rousse, appuyée aux sièges, observait la scène en se masturbant.
— Vous permettez que mon mari se joigne à vous ? demanda-t-elle en souriant.
Natalia ne put retenir un premier orgasme fulgurant. Cette fois, même le projectionniste avait dû l’entendre crier. Elle remarqua que la femme sévère et l’homme du premier rang s’y étaient mis eux aussi : penchée sur un dossier, la femme avait relevé sa jupe, offrant son cul à la lumière bleutée qui baignait la salle. L’homme, qui avait sorti son sexe, la maintenait fermement tout en lui donnant des fessées.
— Mmmh, c’est tellement mieux que le film ! criait-elle. Corrigez-moi, je n’aurais jamais dû les déranger !
Cette vieille coquine révélait sa vraie nature. Partout ailleurs, Natalia découvrit que les spectateurs étaient à moitié déshabillés. Le public n’était plus que levrette, andromaque, pipe, doigts et fessées ; le cinéma avait muté en un invraisemblable baisodrome dont les éléments gravitaient autour du corps échauffé de Natalia.
Remise de son orgasme, elle repoussa doucement sa voisine et intima à l’étudiant de se lever, tandis qu’elle s’agenouillait à son tour devant lui, prête à lui rendre la monnaie de sa pièce. L’étudiante, elle, enjamba Natalia et ouvrit la braguette de l’homme qui s’était invité dans leur trio. Les deux filles, devenues bonnes amies par la force des choses, commencèrent à sucer chacune une bite, sous les encouragements du public qui, comme vous, chers lecteurs et chères lectrices, n’attendait que ça. Natalia suçait avec passion, comme hors d’elle-même, comme si sa vie en dépendait ; l’étudiant la complimentait entre deux soupirs, la poussant à l’emmener plus profond dans sa bouche, dans sa gorge, et cette petite salope de Natalia dépassait ses attentes. Quant à l’étudiante, elle avalait la bite de l’inconnu avec autant de flamme que sa voisine. L’homme était enlacé par sa femme, la rousse, qui observait avec délice notre jeune chaudasse anonyme sucer cette bite qu’elle-même connaissait si bien.

Tout le monde était occupé : des filles se roulaient des pelles ou se masturbaient dans leur coin, une jeune femme se branlait même avec un Womanizer qu’elle avait dû sortir de son sac. Des couples, venus ensemble ou récemment formés, baisaient un peu partout et, devant, la femme sévère qui aimait les fessées était maintenant pénétrée avec force par l’homme tandis qu’un autre, venu s’installer devant elle, profitait de sa bouche expérimentée. On ne savait plus qui baisait qui, qui suçait qui, à qui appartenait tel cul, telle bite, telle chatte, il était difficile de croire que le parfum de cyprine et de foutre qui flottait dans l’air disparaîtrait un jour.
Tout d’un coup, le film s’arrêta et, quelques instants plus tard, un porno vintage commençait. C’était le projectionniste qui, voyant à quel public il avait affaire, s’était débarrassé du film en cours pour projeter une bobine collector qui trainait dans sa cabine. Ce vieux brigand détestait Avatar et toutes ces conneries contemporaines, ainsi que leur public abruti qui bandait mou et ne mouillait plus à force de passer ses journées sur leurs smartphones. Ce qu’il voulait, c’était du cul ! D’ailleurs, il descendait rejoindre l’orgie qui continuait. Dans toute la salle, les orgasmes fusaient les uns après les autres. Une fille d’une vingtaine d’années squirta sur la moquette, la femme sévère du début jouit tout en avalant le sperme de l’homme qu’elle suçait, et Natalia et l’étudiante eurent droit à une double éjaculation semi-faciale, semi-buccale, semi-sur leurs vêtements… pour être honnête, il y en avait partout.
Cela ne les arrêta pas. Alors qu’à l’écran, Brigitte Lahaie se faisait prendre dans un gang-bang de moustachus des années 70, les deux reines de la salle allèrent se poster devant l’écran, sur l’estrade, et commencèrent à s’embrasser, puis à baiser, toujours couvertes de sperme, sous les acclamations des autres. La fille au Womanizer, occupée à se faire prendre par deux jeunes hommes, leur lança son sextoy et cette fois-ci, quand Natalia atteignit l’orgasme, elle sut que non seulement toute la salle, mais aussi les gens qui attendaient devant pour la prochaine séance et même les passants, dans la rue, l’avait entendu jouir. Elle était aux anges. C’était décidé : dorénavant, elle retournerait plus souvent au cinéma.
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