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la séance de pose dégénère

Chapitre 1

Lesbienne
J’ai déjà eu l’occasion de dire ici que je posais comme modèle, aux Beaux-Arts et pour des ateliers d’artistes. Peintres ou sculpteurs. Le plus souvent, je pose nue.

Au cours d’une séance, avec plusieurs artistes qui se groupaient pour me payer ma prestation et pour mettre en commun leur approche, j’avais remarqué une jeune femme, dont l’attitude m’intriguait. Son regard sur moi était... spécial, sans que je puisse deviner s’il s’agissait de timidité, d’une attirance physique, ou d’autre chose.
Après que je me sois rhabillée, et que la plupart de ses collègues soient parties, elle m’a abordée. En rougissant, elle m’a demandé si j’accepterais de poser pour elle seule, à son domicile dans lequel elle s’était aménagé un atelier. Avant même que je lui ai répondu, elle a insisté, en me parlant de mon physique et de ma façon de poser, qui correspondait vraiment à son approche du nu.
Nous avons fixé un rendez-vous, pour le vendredi soir.

Elle m’avait donné son adresse. Une grande maison à une quinzaine de kilomètres, et j’ai eu un peu de mal à la trouver.
J’ai sonné au portail, et Delphine est venue m’ouvrir. Elle s’est excusée pour sa tenue : c’était celle qu’elle met habituellement pour peindre, quand elle est seule chez elle. Une vieille minijupe en jean, un grand pull, encolure V très profonde, et lorsqu’elle s’est penchée, j’ai vu qu’elle ne portait pas de soutif.
Elle m’a emmenée dans une dépendance, que son mari a aménagée pour elle en atelier. Une grande pièce, avec des murs blancs sur lesquels elle accroche ses tableaux, avec des éclairages adaptés pour son travail.
Au milieu, il y avait un vieux clic-clac ouvert, pour que je puisse m’installer confortablement. Et je n’ai pas pu m’empêcher de penser que je n’allais sans doute pas seulement poser dessus...
Elle m’a offert un verre, et elle m’a demandé si je voulais m’isoler pour me mettre nue, mais je lui ai dit que non, et je me suis déshabillée devant elle. En profitant pour le faire lentement, presque comme une strip-teaseuse.
Et puis, j’ai commencé à prendre des poses. Assez sages, pour débuter. J’étais malgré tout excitée, impatiente que les choses basculent. Car je savais qu’elles allaient basculer, mais j’attendais un "signal" de Delphine...
Ce signal est arrivé, lorsqu’elle m’a demandé si j’accepterais de prendre des poses franchement érotiques, voire provocantes. Je lui ai répondu oui, et je me suis installée à quatre pattes, mes fesses cambrées vers elle, jambes assez écartées pour qu’elle voie bien ma chatte. J’ai glissé une main entre mes cuisses, et j’ai ouvert ma fente avec mes doigts. Puis j’ai tourné ma tête, penchée dans sa direction, pour pouvoir la fixer dans les yeux.
J’ai senti qu’elle devenait un peu fébrile. Elle me dessinait, mais son regard brillant parlait pour elle. Alors, je lui ai dit que, si elle se mettait nue elle aussi, ça m’inspirerait dans mes poses, car elle me plaisait beaucoup.

Sans un mot, elle a enlevé son pull, et sa minijupe, et j’ai découvert qu’elle n’avait pas mis de culotte...
Je m’aperçois que je n’ai pas décrit Delphine. C’est une belle brune, d’une trentaine d’années, avec de grands yeux bleus, et la peau mate. A peu près de ma taille, elle est plutôt mince, avec une poitrine menue, toute ronde, coiffée de petites pointes sombres et très saillantes. Un beau cul cambré, et une petite toison taillée très courte, en triangle.
Après qu’elle ait terminé ce croquis, je me suis allongée sur le dos, et j’ai pris l’attitude d’une fille en train de se masturber. Il fallait que je reste immobile, pour qu’elle puisse me dessiner, mais je faisais coulisser tout doucement deux doigts dans ma grotte qui coulait, et je tournais la pointe d’un de mes petits nichons.
Au bout de quelques minutes, je n’en pouvais plus, tant j’étais excitée. Je le lui ai avoué, et je lui ai demandé si je l’inspirais, si me dessiner ainsi lui donnait envie de moi.
Elle terminait son croquis, et elle s’est approchée. J’ai pris sa main, et je l’ai guidée vers mon minou. Elle s’est penchée. Je lui ai offert mes lèvres, et sa langue a plongé dans ma bouche.
À partir de là, tout s’est accéléré. Je l’ai attirée contre moi, et elle est tombée sur le clic-clac. Nos mains sont parties à l’exploration de nos corps. J’adore ce moment où on découvre un nouveau (ou une nouvelle) partenaire !
Elle triturait mes seins, fouillait mon petit abricot, excitait mon clito... Elle s’y prenait vachement bien, et je lui rendais ses caresses, du mieux que je pouvais.
Puis elle a plongé sa tête entre mes cuisses, et elle a bouffé ma petite chatte, en me doigtant. Ma fente d’abord. Puis elle a glissé son autre main entre mes fesses, et elle a pénétré mon petit trou du bout d’un doigt. J’ouvrais mes cuisses le plus largement possible, pour qu’elle aille loin en moi, qu’elle puisse mieux mordiller mon petit bouton.
Elle m’a fait jouir. Deux fois de suite ! C’est une des nanas les plus expertes avec qui j’ai fait ça.
Elle s’était retenue, malgré mes caresses, et j’ai voulu la conduire aussi au plaisir. C’est là qu’elle m’a raconté que son mari l’attachait pour lui faire l’amour, et qu’elle adorait ça. Elle ne l’avait jamais fait avec une autre femme, et elle m’a demandé si je voulais la baiser attachée.
Avant que je réponde, elle m’a avoué que son mari nous observait, via une caméra de télésurveillance installée dans l’atelier. Elle m’a montré le boîtier de la caméra installée au plafond, dans l’angle de la pièce, et j’ai vu le petit voyant rouge qui clignotait. Son mari est très voyeur, et il aime aussi l’exhiber. Il avait accepté que sa femme fasse l’amour avec moi, à condition s’être spectateur. Delphine m’a dit qu’elle comprendrait que je refuse, et que si c’était le cas, on en resterait là.
J’ai accepté (j’avais trop envie de Delphine, et l’idée de m’exhiber aussi me mettait dans un drôle d’état...), et elle m’a proposé de mettre un œuf vibrant dans ma grotte. Elle garderait la télécommande, et elle ferait vibrer le sex-toy en fonction du plaisir que je lui procurerais.
Elle est allée chercher l’œuf chez elle (à poil...), et elle l’a enfoncé dans mon minou. Elle n’a eu aucun mal, tant j’avais mouillé, et le contact de ce machin rond en silicone m’a fait couler de plus belle.
Elle a gardé la télécommande dans sa main, et je lui ai lié les poignets et les chevilles à l’armature du clic-clac, pour qu’elle soit dans la position de l’étoile de mer.
Là, je me suis régalée. J’ai pris tout mon temps, en profitant de son immobilisation pour l’embrasser, la caresser, la lécher partout. Elle ne pouvait rien faire pour me guider, elle était à ma merci, et ça nous excitait toutes les deux.
Lorsque j’ai commencé à sucer son clito, j’ai senti l’œuf qui se mettait à vibrer. Suivant que je le léchais, que je l’aspirais entre mes lèvres, ou que je le mordillais, le rythme des vibrations s’accélérait ou ralentissait. Plus vite, lorsque la pointe de ma langue a vrillé sa fente. Encore plus vite, quand j’y ai plongé mes doigts...
Les pointes des seins de Delphine étaient toutes dures et dressées, et ça m’a donné une idée. J’ai pris deux pinces à dessin, qui traînaient dans l’atelier, et je les ai placées sur les petites aréoles tendues. Delphine a poussé un cri - je me suis demandée si c’était de douleur ou de plaisir - mais aussitôt, j’ai senti l’œuf vibrer plus fort dans ma chatte.
Et j’ai recommencé à bouffer son bel abricot juteux. En même temps, je la doigtais. Elle s’est cambrée, pour que je puisse glisser une main entre ses fesses, et j’ai compris ce qu’elle attendait: j’ai enfoncé un doigt dans son joli cul, et elle a crié encore.
J’avais l’impression que l’œuf était vivant, au creux de mon ventre, tant il bougeait en moi, et je contractais mon fourreau comme je le fais avec la queue d’un mec pour le rendre fou de désir. Et nous devenions folles toutes les deux. Nous avons crié très fort, et nous avons joui toutes les deux. Je suis partie trois fois, et je n’ai pas pu compter les orgasmes de Delphine.
Ça a duré jusqu’à ce que nous soyons épuisées, et le drap était tout taché par nos mouilles. Je me suis laissée tomber sur Delphine, et nous sommes restées là, haletantes, pendant un long moment. Je sentais ses seins contre les miens, qui se soulevaient au rythme de sa respiration.
Et puis, l’œuf a recommencé à vibrer dans mon fourreau. Tout doucement. Des impulsions courtes, mais qui ont réveillé petit à petit mon désir. J’ai regardé Delphine dans les yeux, et elle m’a dit:
— Je te veux encore... Détache-moi.
Je lui ai obéi, et dès que ses poignets ont été libérés, elle s’est jetée sur moi. Elle m’a allongée sur le clic-clac, et elle est venue sur moi, en 69. Elle a ouvert grand mes cuisses, mais elle avait gardé la télécommande dans une main. J’étais vraiment à sa merci, mais ça me comblait d’être ainsi offerte, et je coulais comme une fontaine.
J’avais sa chatte sous les yeux, à portée de bouche et de main, et je la léchais, je la doigtais, je suçais son clito avec des gémissements étouffés. Delphine répondait à mes caresses, et soudain, j’ai senti qu’elle retirait l’œuf de ma fente. Mais c’était pour le placer entre mes fesses. Elle a poussé. Ma rondelle lubrifiée par les flots de cyprine qui coulaient de mon minou, et par la salive de Delphine, s’est ouverte. Le jouet est rentré doucement. Jusqu’à ce que mon petit œillet se referme sur le cordon. C’était une sensation... waouh !
Et les vibrations ont repris, avec le ballet des doigts et de la langue de Delphine. J’avais l’impression de devenir folle. Nous poussions des cris toutes les deux, nous feulions comme des chattes en chaleur. Mon visage était maculé de la mouille de Delphine, qui a giclé dans ma bouche en jouissant. Ça coulait sur mes joues. Oh putain ! qu’est-ce que c’était bon !!
Nous avons joui encore et encore, jusqu’aux limites de l’épuisement, en perdant presque conscience. Je suis restée dans les bras de Delphine un long moment, et j’ai sombré dans le sommeil.
Lorsque je me suis réveillée, il était presque deux heures du matin, et nous étions toujours enlacées, nues, et Delphine me regardait tendrement.
Je me suis levée, rhabillée, et je suis rentrée chez moi, après un dernier baiser à Delphine, qui a dû aller rejoindre son mari...
Je suppose qu’il avait enregistré nos ébats, et qu’ils ont visionné la vidéo ensemble. Et je me demande si d’autres qu’eux l’ont regardée.
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