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Séance voyeurisme

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Margaux et j’ai 42 ans. Pour me décrire, je suis de taille moyenne dans un corps proportionné, cheveux blonds tombant sur mes épaules et des yeux bleus, le cliché, mais je née ainsi. Je suis mariée à Mathieu mon ainé de 8 ans, et ce qu’il a tout de suite aimé en moi, comme beaucoup d’hommes qui se retournent sur mon passage, c’est ma poitrine, je porte des bonnets D pour contenir mes seins lourds et laiteux, je dis lourd et non pas retombant, j’y tiens ! Cet été nous étions en vacances dans le Cantal dans une ferme auberge en pleine campagne. Nous ne restions que trois ou quatre jours avant de faire une étape un peu plus loin. Cet été c’était la canicule qui sévissait, pourtant nous décidions un après midi une escale shopping dans la ville la plus proche. Avec son bitume et ses murs de pierre qui emmagasinaient la chaleur, l’air y était irrespirable et ma petite robe se marquait de mes traces de sueur. Nous faisions une halte avec mon mari à une terrasse ombragée pour nous désaltérer. Après quelques minutes, Mathieu me fit remarquer un black qui s’était posté à l’ombre contre la muraille d’une vieille église un caméscope à la main. Dès qu’une femme légèrement vêtue passait, l’objectif de sa caméra la suivait, recommençant son manège à plusieurs reprises. A un moment il avait précédé un couple, tenant son appareil à bout de bras, objectif tourné sous la jupe de la personne, et lorsque ceux-ci s’était assis sur la margelle d’un vieux puits, il s’était assis à son tour deux mètres devant eux en leur tournant le dos, à la nuance que la caméra était pointée vers la femme et qu’il vérifiait le cadrage dans le petit écran. Nous nous amusions à le regarder faire, pariant même sur la stratégie qu’il allait adopter sur telle ou telle autre personne pour réaliser ses images volées. Ainsi nous prenions une seconde consommation pour nous distraire de son manège. Il s’était rapproché de notre table, et j’eus le plaisir de voir que son appareil avait pris cap sur ma personne. - Tu as fait une touche, me lança Mathieu en remarquant mon sourire. - Et bien heureuse, lui répliquais-je, il ne filme que de belles femmes et j’aurais été déçue et jalouse que je ne fasse pas partie de sa chasse ! - Si tu ne veux pas qu’il aille voir ailleurs, fait en sorte de le ferrer. Le message de mon mari était bien passé, et connaissant son candaulisme j’étais persuadée qu’il désirait que je sois l’égérie de ce voyeur invétéré. Aussi, sans fixer mon attention sur lui, je décroisais mes jambes, les laissant offertes à son voyeurisme. - Là, je suis sûr qu’il zoome à fond, me chuchota Mathieu. J’étais excitée de savoir qu’un homme puisse me reluquer pour son plaisir. Toujours l’air indifférent à ses manœuvres, je déboutonnais légèrement le haut de ma robe, et j’ébrouais les deux pans de l’échancrure pour ventiler mon buste tout en me penchant vers mon sac à main à la recherche de l’introuvable. - Je pense que ton décolleté déborde de son écran, continua Mathieu, t’es une bonne élève en divertissement fantasmagorique. - Et maintenant, qu’est-ce que je fais tout en restant dans la limite de la pudeur publique ? Mathieu ne me dit rien. Il paya les consommations et nous partîmes vers de petites ruelles qui cernaient la vieille ville. Il y avait très peu de touristes, cependant notre ami nous suivait à quelques mètres derrière nous, faisant semblant de s’intéresser à l’architecture ou au site lorsque mon mari se retournait. Nous nous arrêtions à une balustrade dominant la cité médiévale. Je me penchais plus que la situation ne le voulais, pour unique but de faire remonter un peu plus haut ma robe sur mes reins. Mathieu à mes côtés passa sa main sur ma hanche et ostensiblement je perçus le tissu glisser sur mes rondeurs, découvrant peu à peu mon entre cuisses jusqu’à la naissance de mes rondeurs. Le black s’était rapproché de nous, son caméscope à bout de bras dont l’objectif en contre plongée devait se délecter d’une vue imprenable. Puis Mathieu se retourna vers l’homme un peu décontenancé. - Je vois que vous êtes un vidéaste averti, et qui à l’œil pour découvrir de jolies vues ! Le black resta pantois. Mon mari le prit par le bras pour l’emmener un peu plus loin en me lançant un « reste ici, je reviens ! » Ils s’isolèrent quelques minutes à discuter avant que Mathieu ne revienne me rejoindre. Il me narra leur échange, comme quoi, il désirait que le black nous filme lors d’une relation intime ! La seule chose qui me vint à l’esprit fut : - Mais pourquoi ? Tu nous as déjà filmés. Mathieu a une petite société de vidéo, dont la principale activité est l’événementiel, le reportage en entreprise, les commémorations… Il possédait un matériel professionnel qu’il mettait sur trépied pour nous filmer, mais dont il considérait les plans trop fixes, mal cadrés… Ou lorsqu’il tenait la caméra à la main, trop saccadés ! Il avait donc déjà envisagé que nos étreintes soient filmées par un tiers, un inconnu que nous ne reverrions, et l’idée d’avoir cet émissaire, loin de chez nous venait de faire son chemin. Je lui posais mille questions sur la manière d’opérer. Il avait réponse sur tout, même sur notre confidentialité. Il lui avait donné rendez-vous pour le lendemain à quinze heures. La seule chose qu’il manquait, était des bas ! En cet été de vacances, c’était la seule chose que je n’avais pas mis dans mes valises, et il voulait que j’en porte pour nos ébats ! Nous nous arrêtions quelques minutes plus tard dans un magasin pour l’achat de bas noirs auto fixant à couture. Je n’étais pas à proprement dite exhibitionniste, bien que le regard des hommes sur moi ne me soit pas indifférent, mais avoir une relation devant un inconnu me gênais tout de même un peu. - Ne t’inquiètes pas, au bout de quelques minutes tu l’oublieras.
Le lendemain à l’heure prévue, le black nous attendait. La chaleur était toujours aussi étouffante. Il était en short et en tee-shirt, tout comme mon mari. Mathieu fit les présentations sous les prunelles noires du caméraman qui me dévorait littéralement. Puis nous nous dirigeâmes vers un hôtel bon marché. Arrivés dans la chambre, Mathieu fit ses recommandations techniques, sur les plans, la prise de vue… Alors que j’allais dans la salle de bain me dévêtir et enfiler mes bas. Lorsque je réapparus dans la chambre, bien que sachant que mon intimité serait plus qu’offerte aux yeux du black, je portais ma main sur mon sexe et l’autre sur ma poitrine dans une fausse pudeur. Aussitôt Mathieu se plaça derrière moi et tout en m’embrassant dans le cou il me défit les mains pour m’offrir à l’objectif. Il se mit à pétrir ma poitrine, puis soulevant mes seins qu’il porta à mon visage il me demanda de me sucer. Je fermais les yeux pour faire abstraction de l’inconnu et je me prêtais au jeu voulu par Mathieu. Il m’entraina sur le lit et me demanda de me masturber pendant qu’il me couvrait de baisers. J’étais en eau et déjà prise par le jeu impudique lorsqu’il me retourna pour me prendre en levrette. Je sentis le matelas s’avachir sous le poids du corps du black qui nous filmait entre nos jambes. Puis Mathieu me sodomisa, son péché coquin. Je me mis à jouir, et lorsque son sperme inonda mes entrailles, mon corps se convulsa à plusieurs reprises, sans que je puisse me contrôler. Nous sommes restés quelques instants collés l’un à l’autre, effondrés sur le lit. Puis il se retira en m’écartant davantage mes cuisses. - Filmes mon jus, je veux le voir couler de son anus. Intima-t-il black. Je restais à plat ventre, n’entendant que le chuintement de la sève de mon mari s’échapper de mes intestins et ruisseler sur mes chairs. J’étais abattue tant par la chaleur que par ma jouissance, j’étais dans un état comateux prête à me laisser m’assoupir dans une atmosphère de béatitude. - Passe-moi la caméra. Mon mari devait sans doute me filmer. Sa main se posa sur ma fesse délicatement pour me caresser. Du haut de mes reins, ses doigts joints s’insinuèrent dans le sillon mes lunes pour venir agacer mon anus tout juste flagorné. Ses phalanges souillées de sperme n’eurent aucune peine à se vriller et venir fouiller mon intestin. Je me cambrais légèrement pour mieux le recevoir et savourer cet attouchement pourtant salace qui me firent gémir. Ses doigts quittèrent mon anus pour s’engouffrer dans ma vulve dans un rythme fougueux. Des perles de sueurs vinrent piquer mes yeux. Tandis que mon vagin dégoulinait de plaisir, deux ou trois doigts vinrent me sodomiser en alternant les va et vient. Je mordais les draps pour étouffer mon plaisir. Mon corps fut parcouru de tremblement où instinctivement je me cambrais davantage pour mieux recevoir ces doigts berceaux de ma jouissance. Un éclair traversa mon esprit embué de luxure. Comment mon mari qui filmait pouvait-il faire pour me fouiner de ses deux mains en même temps ? J’ouvris les paupières, les yeux vitreux de ma moiteur. Mathieu était devant moi, un sourire immoral au coin des lèvres. - C’est bon non ? Laisses-toi aller, pour ton et MON plaisir. C’est tout naturel qu’il ait sa petite récompense. Le deal que j’ai passé avec lui, c’est qu’il te fasse encore jouir, mais sans te pénétrer. Je laissais retomber ma tête contre les draps humides en refermant mes yeux. Le black me retourna sur le dos et m’écarta les cuisses. Sa bouche, sa langue et ses doigts prirent possession de mon sexe souillé de salive, de sperme et de ma dépravation de femme. Je m’abandonnais à cette débauche de coucherie, laissant cet inconnu profiter de mon corps sous l’œil complaisant de mon mari. L’homme vint se mettre à genoux sur le lit, et prenant mon visage entre ses mains, il guida ma bouche à son sexe. Sa verge était épaisse et plus longiligne que celle de Mathieu. Je la suçais et la léchais presque machinalement alors qu’il me malaxait les seins plus qu’il ne les caressait. La sueur dégoulinait sur ma gorge et entre ma poitrine. Je sentais son odeur musquée, mélangée à la transpiration et au sperme, mon euphorie s’estompait. Il dut s’en rendre compte, car il me bascula de nouveau sur le ventre en y plaçant deux oreillers afin que mes intimités lui soient davantage offertes. Puis il s’agenouilla entre mes jambes en prenant soin de bien les écarter de ses genoux. - T’as un cul à bite, dommage que je ne puisse pas te le défoncer avec mon gourdin ! De ses mains il écarta mes fesses et je sentis plusieurs giclées de salive et de glaire fondre sur mon œillet violacé. Ses phalanges jointes vinrent barbouiller mon anus en le provocant par petites pressions. J’essayais de me détendre, l’inverse n’aurait été que tourment, et comme le voulait Mathieu je devais atteindre la jouissance de cet instant, moi pour l’ivresse sexuelle et lui de me voir abuser par un inconnu. Alors je laissais la désinvolture de mes muscles me gagner. Dans un mouvement de vrille, je perçus trois de ses doigts s’engouffrer dans mon rectum et venir palper mes chairs en les crochetant. Sa respiration saccadée dévoilait son envie de me posséder et de me faire jouir. - Tu aimes ? Tu aimes salope ! Sa main libre brassait bestialement la chair de mes fesses, mais je ne ressentis pas cette douleur, mon esprit étant trop concentré à mon anus qui se dilatait maintenant sous quatre de ses doigts qui s’insinuaient au plus profond de leurs longueurs. La brulure devint intense, pourtant je ressentais du plaisir à cette pénétration immorale, sans doute de voir cet homme qui ne pouvait me posséder comme mon mari, n’avait comme échappatoire que de s’acharner de ses doigts pour que lui aussi me fasse jouir. Sa main remplaçait son sexe, qui allait et venait en moi sous des chuintements de débauche. Je me mis à gémir. Il se dégagea d’entre mes cuisses pour ôter son short avant de revenir me chevaucher. - Pas ça ! Intervint mon mari, pensant que dans sa fougue il voulut me sodomiser. Il posa sa verge tendue dans le sillon de mes fesses et dans un lent balancement il se masturba entre mes chairs. Je glissais une main sous mon ventre pour me donner du plaisir en venant agacer mon clitoris déjà éveillé. Je gémissais sous la douceur de mon attouchement et de son membre dont le gland venait de temps à autre buter contre mon anus. Puis son rythme s’accéléra jusqu’à ce qu’il se cambre dans un râle rauque. Mes reins et mes fesses se maculèrent de son sperme chaud sous le regard assouvit et vicieux de Mathieu. Le black se vautra sur moi. Nos peaux souillées de sueur murmurèrent des sons de succions alors qu’il m’embrassait dans le cou. Son sexe roide coulissait lentement entre chairs, puis il se cambra légèrement, et d’une douce impulsion de ses reins, son gland força mon anus. Lentement il me posséda de toute sa longueur, je percevais chaque centimètre des parois de mon intimité se faire abuser sans que je n’ose protester. Il était en moi et restais immobile. Mathieu le croyant toujours entre mes fesses continua de nous filmer. - Je t’ai quand même enculé, dis-moi que tu aimes, me chuchota-t-il au creux de l’oreille. Je n’eus qu’un soupir de contentement pour toute réponse lorsque son bas ventre se contracta. Il m’embrassait et me léchait dans le cou, tandis que ses mains devenues amantes flattaient et câlinaient mes seins. Mathieu lui fit signe que c’était fini. Mon ventre se convulsa lorsque lentement je sentis sa verge couler de ma caverne. - Tu n’es jamais rassasiée, ironisa mon mari. Pendant que l’homme se rhabillait, je restais abasourdie étendue sur le lit. Mes doigts glissés dans mon entre cuisses entretenaient la torpeur lascive où je me complaisais.

Une heure plus tard, après une longue douche nous quittions l’hôtel. Mathieu m’embrassa amoureusement et me remercia de ces instants. Je lui avouais que sans qu’il s’en rendre compte, le black m’avait sodomisé. Il se désola seulement de ne pas l’avoir vu et par conséquence de me filmer.
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