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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 9

Le retour du roi

Voyeur / Exhibition
La longue semaine d’attente qui séparait Manon et ses enfants du procès venait de commencer. Cependant, ce premier jour d’attente fit tout de même partie des plus agréables. En effet, vers dix heures, Johann rentra enfin de son voyage d’affaires. Il fut chaleureusement accueilli par son épouse et ses enfants qui le questionnèrent poliment au sujet de ses rendez-vous.
— Bonjour, mon chéri. Tu as fait bon voyage ?— Oui, très bien. Le voyage m’a juste paru un peu long parce que ma chère épouse et mes enfants m’ont énormément manqué.— Tu nous as manqué aussi, papa.
Johann monta dans la chambre conjugale afin d’y défaire sa valise. Manon entreprit de l’aider tandis que Sébastien et ses sœurs allaient vaquer à leurs occupations. Vers midi, après avoir aidé son mari à ranger ses bagages, Manon alla préparer le dîner. Une heure plus tard, la famille fut à nouveau réunie au complet autour du repas que Johann anima en racontant les péripéties qu’il avait vécues lors de ses déplacements et de ses rendez-vous. Ayant pris soin de sélectionner les anecdotes les plus hilarantes, le père de famille ne manqua pas de rendre l’ambiance agréable.Le repas terminé, Johann décida de s’accorder un peu de repos et monta à nouveau dans la chambre conjugale. Aidée de ses enfants, Manon fit la vaisselle et profita de l’absence de Johann pour aborder un sujet sensible.
— Maintenant que votre père n’est pas là, j’en profite pour vous rappeler de vous économiser pour le procès. C’est-à-dire aucune relation sexuelle d’aucune sorte entre vous.— On sait, maman.— Et bien évidemment, faites en sorte que votre père n’apprenne rien de nos relations par inadvertance.— Pas de problème, maman.— Très bien. Je voulais juste être sûre que les choses soient bien claires.
Manon rejoignit son époux tandis que Sébastien, Justine et Alice, désirant profiter de la température estivale qui régnait à l’extérieur, se mettaient en maillot de bain dans l’idée de faire quelques longueurs dans la piscine. Lorsqu’ils se retrouvèrent au bord de la piscine, Alice fut la première à exprimer sa frustration.
— Pourquoi maman veut-elle absolument qu’on s’abstienne pendant une semaine ? Trois jours, ça suffit pour récupérer. En plus, on n’est même pas sûrs que ce type sera condamné. Donc, potentiellement, on aura attendu pour rien.— C’est peut-être parce qu’elle prévoit quelque chose de particulièrement physique dans six jours. Cependant, je suis d’accord avec toi : il y a effectivement un risque qu’on ait attendu pour rien.— Il ne reste plus qu’à espérer que notre attente en aura valu la peine. En attendant de le savoir, les filles, je propose de faire quelques brasses, histoire de nous vider la tête et de faire passer le temps.
Alice et Justine approuvèrent cette proposition, mais alors qu’ils comptaient se badigeonner de crème solaire avant d’aller dans l’eau, Sébastien constata que lui et ses sœurs avaient oublié d’en amener le flacon. Il se proposa pour aller le chercher. En remontant l’escalier qui menait à la salle de bain où était rangée la crème solaire, le jeune homme entendit des gémissements qui l’intriguèrent. Dans un premier temps, il n’en tint pas compte puis s’empara de ce qu’il était venu chercher. Dans un second temps, les bruits se firent plus insistants et Sébastien décida cette fois d’en déterminer la cause, bien qu’il en eût une idée en tête. En se fiant à son ouïe, le jeune homme parvint devant la chambre parentale.
Derrière la porte, les bruits étaient tout aussi distincts que s’il s’était trouvé juste à côté. Curieux de connaître la raison des gémissements, le jeune homme se risqua à pousser le plus doucement possible la porte entrebâillée. Ce qu’il y vit confirma l’intuition qu’il avait eue. Assis sur le lit, Johann, lui tournant le dos, recevait une petite gâterie de la part de Manon, agenouillée à ses pieds. À la fois surpris, excité et en colère, Sébastien s’éloigna aussi discrètement que possible et redescendit en direction de la piscine. En le voyant arriver, Alice et Justine ne manquèrent pas de déceler son trouble dans ses yeux.
— Tu as fait plutôt long pour aller chercher la crème.— Il faut que vous voyiez ça. Ça pourrait nous donner des idées pour plus tard...— De quoi est-ce que tu parles, Seb ?
Le jeune homme fit signe à ses sœurs de le suivre. Lorsqu’ils parvinrent devant l’escalier, Sébastien avertit Alice et Justine de ne pas faire de bruit en montant les marches. Arrivés devant la chambre de leurs parents, les trois frère et sœurs découvrirent un spectacle qu’ils n’avaient jusqu’alors jamais envisagé de voir. Les préliminaires étant passés, Manon chevauchait Johann qui la soutenait par les fesses afin de l’aider dans son mouvement. La surprise se lut sur les visages d’Alice et Justine. Elles voulurent exprimer leur sentiment, mais la situation leur commandait de rester discrètes. Au fil des secondes, la surprise finit par se muer en excitation. Alice défit le haut de son maillot de bain et joua avec ses seins en amenant de temps à autre les tétons à sa bouche tandis que Justine, maillot baissé jusqu’aux genoux, se caressait la fente d’un mouvement lent et régulier. Ce tableau ne manqua pas de stimuler Sébastien à son tour.
Une bosse déforma son maillot de bain et le jeune homme décida de se mettre plus à l’aise en le baissant jusqu’à ses pieds avant de se masturber. Son regard allait et venait de Manon, dont il apprécia le fessier et la lourde poitrine, à ses sœurs, dont les petits jeux solitaires ajoutaient une dose supplémentaire d’excitation.
Dans la chambre, Johann et Manon changèrent de position. La mère de famille se positionna à quatre pattes sur le lit tandis que son époux, agenouillé derrière elle, s’apprêtait à enfoncer sa verge dans son arrière-train. Durant le court laps de temps où leur père s’était retiré, Alice et Justine affichèrent une expression ravie à la vue de sa verge dont la longueur et l’épaisseur auraient fait rêver plus d’une femme. Dès que Johann se fut enfoncé jusqu’à la garde dans le rectum de son épouse, arrachant à celle-ci un gémissement de plaisir, Alice et Justine accélérèrent les mouvements de leurs mains sur leurs poitrines et leurs sexes en s’imaginant être à la place de leur mère. Sébastien, de son côté, admira le balancement des seins de Manon dicté par la puissance des coups de reins de Johann.
Le spectacle qui s’offrait à lui ne tarda pas à l’encourager à se masturber plus fort tandis que les gémissements de sa mère se muaient de temps à autre en des paroles d’encouragement vis-à-vis de son père qui ne manquait pas d’accéder à ses requêtes. Au bout de quelques minutes, Johann émit un grognement rauque et se retira du fessier de Manon. Le père de famille se caressa quelques instants puis sa semence finit par saupoudrer le dos et le postérieur de son épouse tandis qu’au même instant, Sébastien éjaculait sur le ventre de Justine en réprimant un feulement. Les trois frère et sœurs s’accordèrent quelques secondes pour se remettre de leurs orgasmes puis ils quittèrent les lieux le plus discrètement possible pour retourner à la piscine. Justine se nettoya des sécrétions de Sébastien puis ils se badigeonnèrent tous trois de crème solaire tout en profitant de discuter de la scène qu’ils venaient de surprendre entre leurs parents.
— Et dire que maman nous a dit de nous abstenir...— Je pense plutôt que c’est papa qui a voulu de ce rapport et qu’elle a accepté pour lui donner le change. Et puis, on s’est quand même bien rincé l’œil tous les trois. Donc, nous non plus, on ne s’est pas vraiment abstenus.— Présenté comme ça, oui, c’est vrai. D’ailleurs, puisqu’on parle de papa, tu ne trouves pas qu’il ferait un bon roi, Seb ? Il faut dire que sa queue est superbe et puis, maintenant, on sait de qui tu tiens de ce côté-là.— Si on considère que papa est le roi, il nous faut dans ce cas faire en sorte qu’il ne soit pas mis échec et mat. Pour ça, nous savons tous ce que nous devons faire : ne rien lui dire.— On croirait entendre maman... On sait, petit frère. Bon, on se baigne un peu pour se changer les idées ?
Sébastien et Justine acceptèrent la proposition et ils nagèrent tous les trois jusqu’en fin d’après-midi. Après avoir rangé leurs affaires de piscine et s’être changés, les trois frère et sœurs vaquèrent chacun à leurs occupations en attendant l’heure du dîner. Cependant, ils savaient tous trois que ce qu’ils attendaient réellement n’allait peut-être se dérouler que six jours plus tard.
[ À suivre ]
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