Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 87 J'aime
  • 3 Commentaires

Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 10

Justice en famille

Trash
En se servant de leur imagination, Sébastien et ses sœurs finirent par trouver de quoi s’occuper pour passer les six jours qu’ils devaient attendre. Durant cette période, ils en avaient profité pour passer du temps ensemble en jouant à des jeux de société ou en passant des soirées avec leurs amis respectifs. Tous ces stratagèmes leur avaient permis de faire passer le temps sans éveiller les soupçons de Johann par rapport à leur hâte de voir le procès se terminer.Au matin du sixième jour, à l’initiative d’Alice, les trois frère et sœurs se levèrent de bonne heure pour prendre leur petit-déjeuner en compagnie de leur mère et lui souhaiter bonne chance, leur père ayant dû s’absenter la veille au soir.
— Vous n’étiez pas obligés de vous lever d’aussi bonne heure, les enfants.— On voulait simplement te souhaiter bonne chance pour le procès.— C’est gentil à vous, mais, au vu du dossier en béton que j’ai, je pense qu’il est fort probable que nous nous retrouvions à mon cabinet pour fêter ma victoire.— Dans ce cas, on attendra de tes nouvelles.— D’accord, mais ne restez pas collés à vos téléphones toute la journée. Au vu de la nature de l’affaire, le procès risque de durer un bon bout de temps, sans compter les délibérations des jurés.— Tu as une idée de quand il pourrait finir ?— Sachant qu’il commence à dix heures, je dirais qu’avec un peu de chance, à quatorze heures, ce sera bouclé.
Manon finit en hâte sa collation et partit à son travail en embrassant ses enfants. Les trois frère et sœurs prirent le temps de savourer leur repas matinal puis ils vaquèrent chacun à leurs occupations. Après avoir disputé quelques parties d’échecs en ligne, Sébastien consulta le réveil posé sur sa table de nuit. Les aiguilles indiquaient midi. Il entreprit donc de poursuivre la lecture d’un roman. Lorsqu’il en eut lu une vingtaine de pages, il fut interrompu par Justine.
— Il est midi et demi. On se prépare un truc à manger ?— Oui, volontiers. Je dois dire que j’ai un peu faim.
Justine et Sébastien gagnèrent la cuisine. En compagnie d’Alice, ils se firent des sandwiches avec les différents ingrédients qui leur tombaient sous la main puis se servirent d’eau. Ils mangèrent en échangeant sur leur impatience de recevoir une communication de Manon.
— Vous avez eu des nouvelles de maman ?— Non, pas encore, mais elle nous a dit que ça finirait vers quatorze heures, avec un peu chance.— Vous pensez qu’elle gagnera ?— Elle avait l’air plutôt confiante, ce matin. Et puis, victoire ou pas, on peut enfin sortir de notre abstinence forcée. Soit pour fêter une bonne nouvelle, soit pour nous consoler. Il y aura du bon dans les deux cas.— Tu as raison, Alice, mais j’espère quand même qu’on sortira de notre abstinence pour fêter quelque chose.— Il ne nous reste plus qu’à espérer.
Les trois frère et sœurs finirent leur repas puis ils nettoyèrent la vaisselle qu’ils avaient utilisée. Alors qu’ils allaient à nouveau retourner à leurs occupations, Sébastien sentit son téléphone vibrer dans sa poche. En voyant le nom de l’expéditeur, le jeune homme sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine.
— C’est un message de maman !— Qu’est-ce qu’elle dit ?— Elle dit que le procès est terminé et que... — Et que quoi ?— Elle a gagné. On doit la retrouver à son cabinet aussi vite que possible. Elle dit aussi que vous devez prendre vos affaires et que vous savez de quoi elle parle.— Bien sûr qu’on sait. Donne-nous deux minutes, Seb. On prépare nos affaires et on y va.
Quelques minutes plus tard, Alice et Justine reparurent avec leurs sacs à main. Sébastien devina ce que ses sœurs y avaient mis puis ils prirent le chemin du cabinet de Manon. Comme ils l’avaient fait une semaine plus tôt, ils frappèrent à la porte du bureau de leur mère et attendirent qu’elle leur répondît d’entrer. Dès qu’ils eurent franchi le seuil de la porte, ils eurent la surprise de trouver Manon et Linda déjà dévêtues et équipées de godes-ceintures. Sébastien trouva la jeune secrétaire très attirante avec son joli minois, ses courbes fines et sa poitrine qu’il jugea agréable à voir bien qu’elle fût moins développée que celle de Manon ou celles de ses sœurs. Cependant, une autre personne attira également son attention. Située à la droite de sa mère, une femme d’environ une trentaine d’années à la chevelure rousse flamboyante semblait également attendre leur venue. Le jeune homme en déduisit qu’il devait s’agir de la cliente de Manon.
En la détaillant, il la trouva plutôt agréable à regarder malgré la lueur de rage qui brillait dans ses yeux couleur émeraude. Également nue, elle affichait quelques rondeurs au niveau des hanches qu’il estima séduisantes et une poitrine qui n’avait rien à envier à celle de son avocate. Malheureusement pour lui, le gode-ceinture qu’elle portait l’empêchait de distinguer nettement les caractéristiques de sa zone intime.
— Avant de faire entrer nos deux autres invités, permettez-moi de faire quelques présentations. Les enfants, je vous présente ma cliente, Laetitia. Laetitia, voici mes enfants : Alice, Justine et Sébastien. Ils nous assisteront pour ce que vous savez.— Ravie de faire votre connaissance.— Nous de même.— Parfait. Maintenant que les présentations sont faites, préparez-vous. Dès que vous serez prêts, je ferai entrer nos deux invités.
Alice, Justine et Sébastien se dévêtirent. Le fait de voir les cinq femmes dans leur tenue d’Eve ne manqua pas de procurer une puissante érection au jeune homme. Dès que ses filles eurent fini de s’équiper, Manon pianota quelques mots sur son téléphone. Quelques secondes plus tard, quelqu’un frappa à la porte et l’ouvrit. Deux hommes nus pénétrèrent dans le bureau. Le premier, présentant un léger embonpoint, devait avoir une cinquantaine d’années. Sébastien supposa qu’il devait s’agir de l’avocat adversaire de sa mère. En observant plus attentivement le second homme qui lui parut être du même âge que Laetitia, il observa que celui-ci était menotté, les mains derrière le dos, et semblait être guidé par l’autre. En notant l’expression à la fois apeurée et honteuse et le sexe ramolli par l’angoisse, le jeune homme se prit à penser qu’il aurait eu de la peine pour lui s’il ne connaissait pas les faits qui lui étaient reprochés.
— Maintenant que nous sommes tous réunis, je propose d’exécuter notre arrangement sur-le-champ. Au vu du tort et du traumatisme que lui a causé cette sombre affaire, si vous n’y voyez aucune objection, Maître, je suggère que ma cliente soit la première à disposer de cet énergumène.— Bien entendu, Maître.— Dans ce cas, votre agresseur est à vous, Laetitia.
Laetitia se dirigea vers le jeune homme et lui asséna une première gifle sur sa joue gauche puis une seconde sur la joue droite. La jeune femme alterna les coups jusqu’à ce que le visage de celui qui lui avait causé du tort rougît. Satisfaite du résultat, elle lui ordonna de s’agenouiller à ses pieds. La jeune femme desserra les attaches de son gode-ceinture puis plaqua le visage du condamné contre son sexe.
— Lèche.
L’ordre, sonnant comme un coup de fouet, ne se fit pas répéter. Le jeune homme s’appliqua à lécher la fente de Laetitia aussi bien qu’il le pouvait pour la faire jouir, espérant ainsi que les représailles fussent moins fortes. Malheureusement pour lui, ces coups de langue ne suffirent pas à calmer la colère de sa victime. La jeune femme laissa passer quelques instants puis le repoussa violemment.
— Couche-toi.
À nouveau, le jeune homme s’exécuta. Dès que son dos eut touché le sol, Laetitia s’assit sur son visage et lui ordonna à nouveau de la lécher. Le condamné accomplit à nouveau son office avec autant de diligence que possible jusqu’à ce que la jeune femme se relevât et resserra les attaches de son engin.
— Mets-toi à quatre pattes.
Le jeune homme obtempéra puis Laetitia enfonça son gode-ceinture, d’une forte poussée, jusqu’à la garde dans son rectum. Aussitôt, la jeune femme entama une série de puissants va-et-vient en ponctuant ses coups de reins de fessées et ne s’arrêta que lorsque le postérieur de son agresseur fut devenu aussi rouge que ses joues. Après s’être retirée, Laetitia lui ordonna de se remettre à genoux puis lui cracha au visage.
— J’espère que tu vas finir par comprendre ce que ça fait de se faire traiter comme toi et tes copains m’avez traitée, connard ! Maître, je vous le laisse.
Manon se dirigea à son tour vers le condamné et fit signe à ses filles et à sa secrétaire de la suivre. L’avocate ordonna ensuite au jeune homme de s’allonger sur le dos. Dès qu’il fut couché, Manon lui souleva les jambes et s’enfonça d’une impérieuse poussée jusqu’à la garde. Souhaitant faire taire les hurlements causés par les puissants coups de reins de sa mère, Alice fit entrer son engin dans la bouche du condamné pendant que Justine et Linda s’amusaient à lui serrer les bourses tout en crachant de temps à autre sur son sexe. Rapidement, le visage du condamné vira au rouge sous l’effet de la douleur, ce qui n’échappa pas à l’avocate.
— La douleur que vous ressentez actuellement n’est ni plus ni moins que celle que vous avez infligée à ma cliente. J’espère que cette journée vous servira de leçon.
Sur cette déclaration, Manon poursuivit quelques instants ses va-et-vient avant de céder sa place à Alice. Tandis que Justine continuait à jouer avec le sexe du condamné en compagnie de sa mère, Linda fit taire ce dernier en lui faisant sucer son gode-ceinture. Dès les premiers coups de reins d’Alice, Justine et Manon s’amusèrent à donner des coups de poing dans les testicules du jeune homme, lui arrachant des gémissements étouffés par les va-et-vient de Linda dans sa bouche. Les quatre femmes alternèrent ainsi leurs positions jusqu’à ce que toutes fussent passées à toutes les positions puis elles firent place à Sébastien et à l’avocat.
— Il est à vous, maintenant.— Jeune homme, je propose que vous preniez l’arrière et moi l’avant.— Comme vous voulez, Maître.
Les deux hommes demandèrent au condamné de se positionner à quatre pattes. Dès qu’il eut obtempéré, Sébastien enfonça sa verge en lui tandis que l’avocat présentait sa verge à ses lèvres. Les deux hommes exécutèrent de puissants mouvements dans la bouche et le fondement du condamné. Ses gémissements étouffés et ses traits déformés par la douleur et l’humiliation firent beaucoup rire les cinq femmes. Sébastien et l’avocat finirent par échanger leurs places au bout de quelques minutes avant de reprendre le même rituel.Après un certain nombre de coups de reins, Sébastien finit par sentir la jouissance arriver inexorablement. Il en avertit l’avocat puis se retira de la bouche du condamné avant d’éjaculer sur son visage. Le jeune homme fut imité quelques instants plus tard par l’avocat qui se répandit sur le dos et le postérieur de son client.
— Cette fois, le compte est bon. Maître, je vous laisse le soin de montrer le chemin de la sortie à cet infâme individu après l’avoir libéré de ses entraves. Il ne nous reste plus qu’à espérer qu’il ne fera plus jamais de mal à qui que ce soit.— Comptez sur moi, Maître.
L’avocat et son client sortirent du bureau de Manon. L’avocate et les cinq autres se rhabillèrent puis se séparèrent sur le parking du cabinet. Sur le chemin du retour, Manon et ses enfants discutèrent avec animation de ce qu’il venait de se passer. En revanche, ce qu’ils ignoraient était que, ayant appris la victoire de son épouse par la radio, Johann était venu exprès au cabinet pour la féliciter en personne et qu’il avait vu par la fenêtre du bureau la scène qui s’était jouée quelques instants plus tôt.
[ À suivre ]
Diffuse en direct !
Regarder son live