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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 13

Le deuxième cavalier

Inceste
Après avoir passé une matinée plutôt tranquille, Johann, Manon et leurs enfants se réunirent autour de la table pour l’heure du déjeuner. La conversation fut rapidement animée par les spéculations de chacun et chacune autour de l’identité du deuxième cavalier. Le père de famille ne manqua pas d’être interrogé sur le sujet.  -         Papa, tu as une idée de qui Rosalie et Angélique pourraient trouver pour être le deuxième cavalier ? -         Non, pas la moindre. Je n’en sais pas plus que vous. -         Moi, je pense qu’il sera du même âge que Seb. -         Je pense aussi, Alice. -         Nous aurons la surprise à quinze heures, les enfants. Ne soyez pas trop impatients. -         Oui, maman.
 Les cinq convives terminèrent leur repas sans échanger le moindre mot puis les trois enfants aidèrent leurs parents à faire la vaisselle. Manon consulta l’horloge accrochée à un mur de la cuisine. Les aiguilles indiquaient quatorze heures pile. La mère de famille proposa que chacun vaquât à ses occupations en attendant l’arrivée de leurs invités. Tous acquiescèrent. Sébastien monta dans sa chambre et prit le parti de se reposer quelques instants. Tout en s’interrogeant sur le mystérieux jeune homme qui allait servir de second cavalier, le jeune homme se souvint de la remarque qu’avait émise Rosalie lorsqu’elle l’avait vu nu. Elle l’avait qualifié de bien monté, contrairement à quelqu’un d’autre. Sébastien se demanda si la personne que sa tante avait mentionnée pouvait être celui qu’ils attendaient. Ne parvenant pas à se faire une idée sur le sujet, le jeune homme ferma les yeux et s’assoupit. Il fut plus tard réveillé par Justine.  -         Debout, Seb. Ce n’est pas le moment de dormir. Il est quatorze heures cinquante-cinq ! -         Déjà ?! Je n’ai pas vu le temps passer.
 Justine et Sébastien descendirent dans le salon où les attendaient leurs parents et Alice. Johann proposa d’aller accueillir lui-même leurs invités pendant qu’ils attendaient. Les quatre autres eurent tout juste le temps d’approuver l’idée. La sonnette retentit et le père de famille alla ouvrir la porte en appréciant la ponctualité de leurs visiteurs. Depuis le salon, Sébastien entendit son père et sa tante échanger quelques banalités puis la porte se refermer. Johann rejoignit sa famille dans la pièce, Rosalie et Angélique sur ses talons. Lorsque les deux femmes furent entrées dans la pièce, la stupeur se lut sur les visages de Manon et de ses enfants en découvrant celui qu’ils devaient rencontrer.  -         Quentin ?! C’est donc toi ?
 N’obtenant aucune réponse à leur question, Sébastien et ses sœurs observèrent leur cousin d’un air médusé. Se déplaçant à quatre pattes avec un collier autour du cou, le jeune homme était tenu en laisse par sa sœur. Rosalie et Angélique prirent place sur un canapé, en face de leurs hôtes, Quentin couché à leurs pieds.  -         Comme vous l’avez certainement compris, Quentin a fait le choix d’être notre soumis, à Angélique et moi. -         Mais comment est-ce arrivé ? -         Il y a deux mois, Angélique et moi avons constaté que bon nombre de nos culottes finissaient par disparaître de la corbeille à linge sale. Après une courte enquête, nous avons vite fait de trouver le coupable. Quentin nous a alors expliqué sa situation et son désir d’être asservi par des femmes. Nous avons bien sûr, dans un premier temps, tenté de le raisonner en lui expliquant que tous les fantasmes ne durent pas et que celui-ci était certainement passager. Il a réfuté cette thèse en nous expliquant qu’il avait du mal à garder ses petites amies en raison d’une faiblesse qu’il a fini par nous dévoiler, à notre demande. Nous nous sommes donc rendues à l’évidence et avons décidé d’exaucer son souhait. -         Et Florent et Axel ? Ils sont au courant ? -         Pas à notre connaissance. Tout du moins, s’ils se doutent de quelque chose, ils font comme si de rien n’était.
 -         Cela fait donc deux mois que Quentin vous obéit au doigt et à l’œil, à toutes les deux, sans que Florent et Axel ne sachent quoi que ce soit ? -         C’est exact. Il faut dire que sa motivation et sa dévotion envers nous se sont avérées indéfectibles. D’ailleurs, nous avons récemment décidé de l’en récompenser. Quentin, montre-leur. -         Oui, Maîtresse Rosalie.
 Le jeune homme se releva, Angélique le tenant toujours en laisse, et retira son short. Toute l’assistance fut estomaquée en découvrant qu’il portait une culotte pour femmes.  -         Étant donné qu’il a adoré nos culottes, nous avons décidé de remplacer ses boxers par des petites culottes, comme les nôtres.  -         Eh bien, je dois dire que nous sommes tous surpris de voir à quelle extrémité Quentin a pu arriver. Tu as parlé d’une faiblesse, quelle est-elle ? -         Quentin, veux-tu me faire le plaisir de répondre à la question de ta tante ? -         Oui, Maîtresse Rosalie.
 Quentin retira la culotte qu’il portait. En constatant les piètres mensurations de son sexe, Alice et Justine gloussèrent tandis que Manon dissimulait à grand-peine un sourire en coin. Johann et Sébastien, de leur côté, ressentirent de la honte pour leur neveu et cousin.  -         En effet, je peux comprendre que Quentin ait vu en la soumission sa seule chance d’avoir des relations avec les femmes. -       Comme je vous l’ai expliqué, il était impossible pour nous de faire autrement. Mais passons. Maintenant que vous avez vu de quoi est fait notre soumis, que diriez-vous de l’essayer, les filles ?
 Manon et ses filles n’échangèrent que quelques regards entre elles avant d’accepter l’offre de Rosalie. Angélique tendit la laisse à Alice et Quentin sortit à nouveau à quatre pattes du salon, accompagné des trois femmes.  -         Maintenant que nous sommes seuls, j’aimerais savoir : qu’avez-vous pensé de mon fils, les filles ? -         Seb est un amant incroyable. Je dois dire que je m’estime chanceuse d’avoir un cousin aussi bien membré. -         Je confirme. Ton fils a beaucoup hérité de toi, Johann, contrairement à Quentin qui est loin d’avoir la queue de mon mari. -         Ravi de l’entendre. Au fait, puisqu’on parle de Quentin, que diriez-vous de voir comment il s’en sort avec sa tante et ses cousines ?
 Sébastien et les deux femmes approuvèrent cette proposition et se dirigèrent discrètement vers la cuisine en compagnie de Johann. La porte étant ouverte, ils purent tous les quatre distinguer sans aucune difficulté la scène qui se jouait sous leurs yeux. Assises chacune sur une chaise, Manon et ses filles, nues et leur tournant le dos, faisaient face à Quentin qui, agenouillé devant elles, s’appliquait à sucer et lécher les orteils de sa tante. Le jeune homme finit ensuite son œuvre en léchant les pieds de Manon du talon aux orteils puis il passa à ceux d’Alice. Quentin commença par sucer un à un les orteils du pied droit de sa cousine avant de répéter l’opération avec son pied gauche. Comme il l’avait avec Manon, il lécha ensuite l’intégralité des pieds de la jeune femme avant de réserver le même traitement à Justine. Cette scène procura à Sébastien un mélange d’excitation et d’un étrange sentiment qu’il ne parvint pas à s’expliquer. La première finissant par l’emporter sur le second, le jeune homme déboutonna discrètement son short et fit tomber son boxer au sol pour caresser sa verge dure. Il fut aussitôt imité par Johann puis Rosalie et Angélique décidèrent de s’occuper chacune d’un des deux hommes. Rosalie s’occupa de prendre en bouche le sexe de son neveu tandis que sa fille faisait de même avec celui de son oncle. Se laissant aller aux caresses buccales des deux femmes, Johann et Sébastien portèrent à nouveau leur attention sur les quatre autres.
Désormais allongée sur le sol de la cuisine, Manon se voyait prodiguer un cunnilingus par son neveu, tenu en laisse par Justine. Les gémissements de la mère de famille ajoutèrent une dose d’excitation supplémentaire chez Johann et son fils qui commencèrent eux-mêmes à être gagnés par l’extase. Au bout de quelques instants, Manon céda sa place à Alice qui eut droit à la même application servile de la part de son cousin sur son sexe. La scène dura quelques minutes puis Justine confia la laisse à sa mère afin de bénéficier à son tour des coups de langue de Quentin. Après avoir joui comme les deux autres, la jeune femme fit allonger son cousin sur le dos puis, aidée d’Alice, le cloua au sol en posant un pied sur son ventre.
Manon donna la laisse à Alice puis s’assit sur le visage de son neveu, l’obligeant à lécher son petit trou. Quentin obtempéra et accomplit son office avec zèle jusqu’à ce que la jouissance de sa tante le libérât pour un nouveau fessier à satisfaire. Ce fessier fut celui d’Alice qui tendit la laisse à sa sœur. À nouveau, le jeune homme s’appliqua à donner des coups de langue particulièrement puissants pour donner du plaisir à sa cousine. Lorsque ce fut au tour de Justine de se faire titiller la rondelle, Alice et Manon en profitèrent pour s’équiper de leurs godes-ceintures, posés au préalable sur le plan de travail.
Le fait de voir de sa mère et sa sœur ainsi équipées excita davantage Sébastien qui eut toutes les peines du monde à ne pas râler de plaisir sous le coulissement des lèvres de Rosalie sur sa verge. De son côté, Johann, toujours soigneusement sucé par Angélique, se délectait de la scène et attendait avec impatience le moment de la pénétration. 
Lorsque Justine se fut relevée pour se parer à son tour de son gode-ceinture, Manon fit mettre Quentin à quatre pattes et lui attacha les mains à un pied de la table, à l’aide de menottes. Dès que le jeune homme fut convenablement préparé, la mère de famille s’agenouilla derrière lui et enfonça son engin d’une puissante poussée avant d’entamer une série de va-et-vient du même acabit. La chevauchée dura quelques minutes puis, épuisée par ses efforts, Manon céda sa place à Alice qui suivit son exemple en profitant de l’occasion pour donner quelques claques sur le postérieur de son cousin en lui demandant si la situation lui plaisait.  -         Oui, Maîtresse Alice.
 Ces trois mots emplirent de fierté les yeux de Rosalie et d’Angélique qui s’échangèrent un regard complice. Tandis que Manon et ses filles se succédaient pour sodomiser Quentin, Johann et Sébastien ne purent tenir plus longtemps sous les bouches expertes des deux femmes. Ils se retirèrent et éjaculèrent chacun sur le visage de leur partenaire en réprimant un feulement libérateur. Tandis que les deux hommes se rhabillaient pour retourner dans le salon, Rosalie et Angélique en profitèrent pour gagner la salle de bain afin de se nettoyer avant de les y rejoindre. Les quatre voyeurs furent rejoints peu après par Quentin et les trois femmes, le jeune homme faisant à nouveau son entrée à quatre pattes et tenu en laisse par Justine.  -           Alors, les filles ? Comment avez-vous trouvé notre soumis ? -         Excellent ! Angélique et toi en avez vraiment fait un esclave de premier ordre et en aussi peu de temps. Bravo à vous ! Il faudra que nous étoffions notre équipement pour les prochaines fois. -        C’est gentil mais, comme je vous l’ai expliqué, sa motivation et sa dévotion y sont également pour beaucoup. Bien évidemment, si vous désirez remettre ça, n’hésitez pas à nous contacter. Ce soumis est aussi le vôtre, désormais. -        Nous n’y manquerons pas. D’ailleurs, maintenant que j’y pense, nous nous reverrons chez mes parents, comme chaque année lors du dernier week-end avant le début des cours à la fac. C’est-à-dire la semaine prochaine. -         Oui, c’est juste. -         Je pense qu’il serait judicieux d’informer Florent et Axel ainsi que mes parents de la situation afin qu’ils puissent s’y préparer. -         Oui, tu as raison, Manon. Je m’occuperai moi-même d’informer tout le monde en ce qui concerne Quentin.  -         Parfait. Dans ce cas, nous nous reverrons dans une semaine. -         Oui, à la semaine prochaine !
 Angélique tint à nouveau son frère en laisse puis ils prirent tous trois congé de leurs hôtes. Dès que Johann eut refermé la porte derrière eux, de nouvelles spéculations alimentèrent leur conversation.  -         Qu’est-ce que ça m’a fait du bien de baiser Quentin comme ça ! -         Je vois que ça vous a fait plaisir, les filles. J’en suis ravi. -         Oh que oui, on a eu du plaisir. D’ailleurs, quand j’ai dit que nous allions étoffer notre équipement, je ne plaisantais pas. Nous allons faire des recherches sur les équipements SM et nous préparer en conséquence pour la semaine prochaine.
 Alice et Justine approuvèrent les propos de leur mère d’un hochement de tête.  -         Je me demande comment vont réagir Florent, Axel et nos grands-parents. -         Pour Florent et Axel, je ne sais pas, mais je pense que Rosalie et Angélique trouveront les mots avec eux. Pour ce qui est de papi et mamie, je pense qu’ils accueilleront la nouvelle avec le même plaisir que nous. Enfin, surtout mamie.
  [ À suivre ]
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