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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 19

Les défis de La Reine : deuxième partie

Hétéro
Le week-end étant enfin arrivé, Sébastien avait décidé de profiter de ce premier jour de congé pour se reposer et faire la grasse matinée. Le jeune homme se leva vers dix heures trente. Il ralluma son téléphone dans l’idée de vérifier ses notifications sur les réseaux sociaux et ses messages. Lorsqu’il eut composé le code de déverrouillage, il constata qu’il avait reçu un nouveau SMS de la part de Manon.
[SMS, Ma Reine]< Bonjour, mon cavalier. La vidéo que tu m’as envoyée m’a beaucoup excitée, d’autant plus lorsque j’ai constaté que c’est avec mon gode que tu as joui le plus vite. Passons. Étant donné que tu as réussi ce premier défi, je vais t’en lancer un deuxième : FAIS EN SORTE QUE LINDA TE PRENNE AVEC SON GODE-CEINTURE. Tu as jusqu’à lundi, vingt heures, pour m’envoyer une preuve tangible que tu as bien fait ce que je te demande. Si tu ne respectes pas ce délai ou si tu m’envoies quelque chose qui ne correspond à ce que je souhaite, tu seras sévèrement puni. P.S : range les godes dans le sac et pose le tout devant la porte de ton immeuble. Je passerai récupérer tout ça dans la journée.>Bien, Ma Reine.
Tout en réfléchissant à la manière dont il allait s’y prendre pour réaliser cette nouvelle épreuve, Sébastien consulta ses profils sur les réseaux sociaux puis, après s’être changé, se prépara un petit-déjeuner léger et sortit prendre l’air pour s’accorder un moment de réflexion. En chemin, il déposa le sac conformément aux instructions de sa mère puis il poursuivit sa route en direction du centre-ville. Le jeune homme entra ensuite dans un bar et y commanda un café qu’il savoura tout en songeant au moyen le plus adéquat pour faire venir sa petite amie chez lui. Après avoir longuement fixé sa tasse vide, Sébastien finit par trouver une idée. Il paya sa consommation puis retourna à son domicile. De là, il appela Linda sur son portable. La jeune femme décrocha après les deux premières sonneries.
— Allô, mon chéri ?— Salut, mon amour. Je me demandais si tu avais quelque chose de prévu aujourd’hui car j’ai pensé te faire une surprise aujourd’hui. — Non, je n’ai rien de prévu et, même si c’était le cas, je trouve toujours le temps pour les surprises, surtout quand elles viennent de celui que j’aime.— Merci. Tu pourrais passer chez moi vers treize heures ?— Treize heures… Oui, pas de problème.— Parfait. À plus tard, ma chérie. Je t’aime.— Je t’aime aussi. À plus !
Sébastien regarda l’heure affichée sur son téléphone. Onze heure trente. Il disposait d’une heure et demie pour préparer sa surprise. Le jeune homme sortit à nouveau de chez lui et passa dans une brocante dans laquelle il acheta un vase. Il s’arrêta ensuite chez un fleuriste auquel il acheta une rose puis poursuivit son shopping en achetant une nappe. Après avoir ramené ces acquisitions à son domicile, Sébastien mit la nappe sur la table puis remplit le vase d’eau avant d’y mettre la rose. Il consulta à nouveau son téléphone. Douze heures quinze. Il se dirigea ensuite vers une pizzeria et y commanda deux pizzas. Après avoir réglé l’addition, le jeune homme ramena les pizzas chez lui. Il constata alors qu’il était déjà douze heures cinquante. Il sortit les pizzas de leurs cartons pour les mettre dans des assiettes. Sébastien disposa ensuite les couverts sur la table et, en pensant au message de Manon, il dissimula la caméra qu’il avait acheté la veille dans une armoire à proximité de son lit et démarra l’enregistrement.
Linda finit par sonner à sa porte. Le jeune homme l’accueillit en lui donnant un baiser chaleureux puis il la guida jusqu’à la cuisine.
— Surprise !— Eh ben dis donc, je ne m’attendais pas à ça. C’est une très belle attention, mon cœur.— C’est parce que tu le vaux bien, ma belle.
Sébastien fit assoir sa copine en face de lui puis ils mangèrent leurs pizzas en échangeant gaiement sur leurs emplois du temps respectifs de la semaine écoulée. Lorsqu’ils eurent fini leur repas, le jeune homme proposa un café à Linda. Cette dernière accepta et lui demanda s’il avait prévu un dessert. En constatant qu’il avait oublié ce détail, il se frappa la tête, ce qui fit sourire Linda.

— Ce n’est pas grave, mon chéri. Le dîner était bon et puis, pour le dessert, j’ai ma petite idée.
La jeune femme but une dernière gorgée de café puis se leva pour prendre Sébastien par la main et l’entraîner vers la chambre à coucher. Cette initiative le surprit et il se félicita d’avoir eu la présence d’esprit d’enclencher la caméra. Linda commença par déboutonner sa chemise puis le jeune homme lui ôta son débardeur, exposant sa poitrine nue à l’air. Sébastien en profita pour les malaxer quelques instants avant de dépouiller Linda de sa jupe et de sa culotte, la mettant ainsi en tenue d’Eve.
Dans un élan de passion, il souleva sa petite amie et la déposa sur son lit avant de placer sa tête entre ses cuisses et de faire jouer sa langue sur sa zone intime. Linda le laissa faire pendant plusieurs minutes en lui adressant, de temps à autre, des encouragements tout en lui caressant le crâne. La jeune femme finit de déshabiller Sébastien puis s’empressa de prendre son sexe dur en bouche. Sébastien se laissa aller au plaisir que lui procurait le coulissement des lèvres de Linda le long de sa tige. Pendant une minute ou deux, la jeune femme joua avec la verge de son amoureux, tantôt en en léchant les bourses, tantôt en lui faisant profiter de la chaleur de sa bouche.
Décidant qu’il était temps de mettre un terme aux préliminaires, Linda mit fin à la fellation et se positionna à quatre pattes, son fessier orienté vers Sébastien. Le jeune homme comprit tout de suite la signification de cette invitation muette. Il s’enfonça lentement dans ses chairs intimes afin de lui permettre de savourer la sensation le plus longtemps possible. Lorsqu’il l’eut pénétrée jusqu’à la garde, il lui donna de puissants coups de reins, ses mains crispées sur ses hanches. Entre deux gémissements de plaisir, Linda parvint à formuler un souhait au jeune homme.
— N’y va pas trop fort, mon chéri. Tu pourrais finir trop vite. D’autant que tu en as oublié un, la dernière fois.
Sous l’effet de la surprise provoquée par cette demande implicite, Sébastien faillit s’arrêter net dans son mouvement mais il se retint au dernier moment de le faire et se contenta d’en atténuer la force. Il la prit ainsi pendant quelques minutes puis il se retira pour s’occuper de son petit orifice. Dans un premier temps, le jeune homme voulut le lubrifier avec un peu de salive mais il fut interrompu par Linda.
— Pas besoin de ça. Je veux sentir ta queue entrer dans mon cul, centimètre par centimètre.
À nouveau étonné, Sébastien accéda cependant à cette requête et commença à introduire sa verge dans le sombre conduit. Il s’y prit aussi lentement qu’il le pouvait et s’arrêta à quelques reprises pour s’assurer que Linda ne ressentît aucune douleur. Lorsqu’il eut ainsi fait pénétrer l’entier de son sexe en elle sans constater aucune réaction, le jeune homme entama une série de lents va-et-vient. Dans un premier temps, Linda savoura les coups de butoir de son amant puis elle l’encouragea à la prendre plus fort. Sébastien accéléra son mouvement jusqu’à finir par sodomiser la jeune femme de toutes ses forces, ses bourses tapant puissamment contre son fessier. Il fut surpris de constater le plaisir avec lequel elle encaissait ses coups. Le jeune homme put tenir ce rythme pendant quelques minutes puis il se retira à nouveau avant de se caresser quelques instants et de répandre sa semence sur le postérieur et le dos de Linda dans un râle d’extase.
Lorsqu’ils se furent tous deux remis de leurs orgasmes, Linda alla se nettoyer et se lova dans les bras de Sébastien. Le jeune homme voulut demeurer tout l’après-midi ainsi, celle qu’il aimait dans ses bras, mais il se rappela les instructions de Manon. Il comprit qu’il devait agir tout de suite.
— Linda ?— Oui, mon cœur ?— Il faut que je t’avoue quelque chose.— Ce n’est pas grave, j’espère ?— Non, enfin, je ne pense pas.— Je t’écoute.— Il y a quelque chose que j’aimerais essayer avec toi.— Je suis toujours prête à essayer tout ce que tu veux avec toi. Qu’est-ce que c’est ?— Eh bien… Euh…
Ne parvenant pas mettre des mots sur ce qu’il voulait exprimer, Sébastien adopta la posture dans laquelle se trouvait la jeune femme quelques instants plus tôt. Linda comprit rapidement le message.
— Tu veux que je te prenne ?— Euh… Oui.— Pas de problème, alors. Si tu tiens à ce qu’on essaie, on va essayer.— Tu es sûre ? J’avais peur que tu finisses par me mépriser si je te demandais ça.— Ne sois pas idiot, mon amour. Le dialogue est une des choses les plus importantes dans un couple et puis, j’ai suffisamment d’ouverture d’esprit pour comprendre que ce n’est pas nécessairement une envie de lopette. — Je suis content de te l’entendre dire. Je veux aussi que tu saches que si je veux essayer ça avec toi, c’est parce que je viens de prendre ton cul et que, dans un esprit d’égalité, il me paraît juste que tu t’amuses aussi avec le mien.— J’aime bien cette façon de voir les choses. Je vais me préparer.
Linda ouvrit le tiroir d’une commode et en sortit son gode-ceinture. Après s’en être équipée, elle rejoignit Sébastien sur le lit. Ne connaissant rien des habitudes du jeune homme en matière de pegging, elle voulut lubrifier la pointe de son engin avec sa salive mais il insista pour qu’elle le sodomisât à sec.
— Tu es sûr, mon chéri ?— Oui, mon amour. Je t’ai prise à sec, tout à l’heure. À ton tour, maintenant.
Linda hocha la tête et fit doucement entrer le sexe factice dans le fondement de Sébastien. Elle fut surprise de la facilité avec laquelle elle était parvenue à le pénétrer. Elle décida cependant de ne rien laisser paraître, se disant que son petit ami devait disposer d’un petit trou particulièrement souple. La jeune femme posa ses mains sur les hanches du jeune homme puis réalisa une série de doux mais rapides va-et-vient. Les grognements de Sébastien traduisant un plaisir évident, Linda en conclut qu’elle pouvait donner plus de force dans ses mouvements. Crispant les mains sur les hanches de son copain, la jeune femme encula celui-ci aussi fort qu’elle le pouvait, jusqu’à en être épuisée après plusieurs minutes. Elle reprit peu à peu son souffle.
— Ça t’a plu, mon chéri ?— Oui, mon cœur. On devrait remettre ça un jour ou l’autre.— Oui, tu as raison. Ça m’a plu, à moi aussi, mais j’ai été surprise d’une chose : ton petit trou a été incroyablement souple.— J’imagine que certaines personnes sont plus souples que d’autres de cet endroit-là.
Sébastien fut soulagé de constater que Linda semblait se contenter de cette explication. Ils passèrent le reste de l’après-midi ensemble puis la jeune femme quitta l’appartement en début de soirée afin de se rendre à une fête chez des amies. Sébastien en profita pour mettre fin à l’enregistrement de la caméra. En regardant les images, il fut satisfait de leur qualité. Comme il l’avait fait lors du premier défi lancé par sa mère, le jeune homme fit un montage de la vidéo en ne conservant que la conversation qu’il avait eue avec Linda avant que celle-ci ne le sodomisât et l’acte en lui-même.
Lorsqu’il fut convaincu du résultat, Sébastien envoya la vidéo finale à Manon avec le même mélange de crainte et d’impatience que la première fois.

[ À suivre ]
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