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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 21

Cavalier contre sissy

Inceste
Durant toute la semaine qui suivit, Sébastien n’eut aucune nouvelle de la part de Manon. Le jeune homme profita de ce silence pour se concentrer sur ses cours et son emploi. Cette stratégie lui avait valu de sympathiser avec bon nombre d’étudiants et de clients et il lui était arrivé de passer quelques soirées avec eux. Le samedi matin, épuisé par ses révisions et ses heures de travail, Sébastien décida de profiter du week-end pour se reposer. Il se leva vers onze heures et entreprit de se préparer un petit-déjeuner composé d’une tartine et d’une tasse de café. Après avoir fini sa collation, le jeune homme alluma son téléphone afin de consulter ses messages et ses notifications sur les réseaux sociaux. Dès qu’il eut déverrouillé la carte SIM de son appareil, Sébastien constata qu’il avait reçu un nouveau message de la part de sa mère.

[SMS, Ma Reine]<Bonjour, mon cavalier. J’espère que tu as passé une bonne semaine. Je t’informe que, comme nous l’avons décidé dimanche dernier, j’ai mis une nouvelle personne au courant de notre relation. Cette personne et moi te rendrons visite aujourd’hui vers quinze heures avec le soumis que tu devras affronter. Fais en sorte de nous accueillir de la meilleure des manières.>Bien, Ma Reine.

Dès qu’il eut répondu au SMS de Manon, Sébastien consulta l’horloge de son téléphone. Onze heures quarante. Cela lui laissait plus de trois heures pour se préparer à recevoir sa mère et la mystérieuse personne à laquelle il n’avait plus pensé durant toute la semaine écoulée. Le jeune homme décida de passer le temps en disputant quelques parties d’échecs en ligne puis, vers treize heures, il se prépara un plat de pâtes qu’il mangea sans faim. Il se fit ensuite un café et, une fois sa boisson consommée, il rangea couverts, tasse et assiette dans le lave-vaisselle et nettoya la table. Il consulta à nouveau l’heure affichée sur son téléphone. Quatorze heures quinze.

En repensant à la façon dont il avait accueilli le jour de sa première visite en tant que Reine, Sébastien décida de se dévêtir intégralement et de passer le temps qu’il lui restait à attendre en lisant un roman. Le jeune homme eut le temps d’en lire une trentaine de pages avant que la sonnette ne retentît. Le cœur battant et un mélange d’impatience et de crainte s’emparant de lui, le jeune homme alla ouvrir la porte à ses visiteurs. Il ne fut qu’à moitié surpris en constatant que les accompagnants de Manon n’étaient nuls autres que Rosalie et Quentin. Le jeune homme les fit entrer.

— Je vois que tu as bien compris comment m’accueillir, mon cavalier.
— Vous m’en voyez ravi, Ma Reine.
— Et il ne bande même pas en notre présence. Tu as sacrément bien apprivoisé ton cavalier, Manon.
— Je dois admettre que la tâche n’a pas été bien difficile. Comme tu l’as dit il y a quelque temps, la motivation et la dévotion d’un esclave jouent un rôle déterminant dans son asservissement.
— C’est vrai. Cependant, j’ai hâte de voir de mes propres yeux le niveau de ton cavalier.
— S’il est aussi en forme que lors de ma dernière visite, tu ne seras pas déçue, Rosalie. Mais assez bavardé. Si nous allions nous mettre en tenue ?

— Oui, bien sûr. Sissy, déshabille-toi.

Tandis que les deux femmes se dirigeaient vers la salle de bain, Quentin obéit à l’injonction de sa mère et se retrouva nu à son tour aux côtés de Sébastien. Rosalie et Manon réapparurent quelques minutes plus tard. Sébastien constata que la seconde avait opté pour la même tenue que lors de leur première entrevue. Sa tante, quant à elle, s’était vêtue d’une guêpière rouge ainsi que de collants et d’escarpins assortis. Le jeune homme remarqua également que les deux femmes tenaient chacune un gode-ceinture dans la main.

— Maintenant que nous sommes prêtes à nous amuser, il nous faut voir qui prend qui, Rosalie.
— Oui, tu as raison. Si tu le permets, j’aimerais bien voir par moi-même de quoi ton cavalier est capable.
— Bien sûr. Il est à toi. Quant à moi, je vais prendre ta sissy.

Rosalie et Manon s’approchèrent des deux cousins puis les firent s’agenouiller. D’une même voix, elles leur ordonnèrent ensuite de lécher leurs chaussures. Sébastien et Quentin s’exécutèrent en faisant jouer leurs langues sur chaque centimètre des escarpins de leurs tantes. Après quelques minutes, les deux femmes retirèrent leurs escarpins et exigèrent des deux garçons qu’ils recommençassent leur œuvre sur leurs pieds. À nouveau, les deux cousins s’appliquèrent à ne négliger aucune zone jusqu’à ce que Rosalie et Manon missent fin à leur tâche.

— Je crois qu’il est temps maintenant de les faire monter un peu plus haut, Rosalie.
— Excellente idée.

Manon ordonna à Quentin de s’allonger sur le dos puis s’assit sur son visage afin d’obtenir un anulingus. Pour sa part, Rosalie tourna le dos à Sébastien auquel elle demanda de rester à genoux puis indiqua d’un doigt son postérieur. Le jeune homme prit rapidement du plaisir à l’ouvrage au contact de la chair légèrement rebondie de sa tante. Il s’amusa à titiller son petit trou de la pointe de sa langue pendant plusieurs minutes tout en recevant de temps à autre des mots d’encouragement de Rosalie. Cette dernière finit par se retourner vers lui pour plaquer son visage sur son sexe. Sébastien fit avidement jouer ses lèvres et sa langue sur le calice de sa tante qui approuva son initiative en émettant des gémissements de plaisir. Le jeune homme agaça le clitoris de Rosalie pendant quelques secondes jusqu’à lui procurer un orgasme. Temporairement libéré du contrôle de sa tante, Sébastien risqua un regard vers Manon et Quentin. Sa mère se tenait debout, la tête de son cousin solidement maintenue contre son pubis. À entendre les insultes proférées, le jeune homme en déduisit que Manon ne semblait pas satisfaite du cunnilingus que lui prodiguait Quentin. Lassée, elle finit par repousser violemment son visage de son entrejambe, le faisant retomber au sol.

— Ces deux-là se sont bien occupés de nos culs. Que dirais-tu de nous occuper des leurs, maintenant, Rosalie ?
— C’est plutôt tentant mais, vu l’état dans lequel ils sont, j’ai une meilleure idée. Je propose de les faire s’amuser entre eux pendant une minute ou deux et qu’on punisse le perdant à la fin.
— Qu’entends-tu par là ?

Rosalie chuchota quelque chose à l’oreille de Manon qui sourit.

— Parfait. Debout, vous deux ! Et maintenant, mettez-vous côte à côte.
— Oui, Ma Reine.
— Oui, Maîtresse Manon.
— Voilà. J’exige que vous vous branliez l’un l’autre. Le premier de vous deux qui jouira recevra une punition dont il se souviendra !
— Bien, Ma Reine.
— Oui, Maîtresse Manon.

Sébastien se saisit de la verge de Quentin et se mit à le masturber aussi fort qu’il le pouvait. En observant le rythme auquel leurs mains allaient et venaient sur leurs sexes, Sébastien comprit qu’il avait pris l’avantage sur son cousin. Il continua son mouvement en y mettant toute la force dont il était capable. Au bout de deux minutes, cette stratégie commença à payer. Un rictus s’afficha sur le visage de Quentin et ce dernier respirait désormais de manière saccadée. Il ne lui fallut qu’une poignée de secondes pour achever son adversaire qui répandit sa semence sur le sol dans un râle de plaisir.

— On dirait que mon cavalier a gagné. Quel sera le sort de ta sissy ?
— Je compte bien lui faire payer la honte qu’elle m’a mise pour avoir tenu aussi peu de temps. À quatre pattes, sissy !
— Tu veux que je t’aide, Rosalie ?
— Bien volontiers, Manon. Et j’aimerais aussi que ton cavalier en fasse de même.
— Très bien.

Les deux femmes s’équipèrent de leurs godes-ceintures. Sébastien fut à la fois surpris et excité par les dimensions de l’engin de Rosalie. De couleur bleu nuit, le sexe factice lui semblait mesurer une trentaine de centimètres de long et cinq de large. Le jeune homme se prit à penser qu’une part de lui regrettait sa victoire contre Quentin. Dès qu’elles furent prêtes, Rosalie et Manon se placèrent en file indienne derrière Quentin. Rosalie fut la première à sodomiser son fils. D’une poussée rapide et violente, elle fit pénétrer son engin jusqu’à la garde dans son fondement et entama une série de puissants va-et-vient ponctués par des fessées appuyées et des brimades. Épuisée après un quart d’heure de chevauchée, elle céda sa place à Manon qui l’imita et tint le rythme pendant quelques minutes.

— À ton tour, mon cavalier.
— Bien, Ma Reine.

Sébastien se plaça derrière son cousin et fit lentement entrer sa verge en lui. N’appréciant pas le fait de sodomiser un autre homme, il décida de donner de grands coups de reins afin de jouir le plus rapidement possible. Cette idée porta ses fruits au bout de trois minutes. La jouissance le gagna progressivement. Le jeune homme eut juste le temps de prévenir les deux femmes qui lui ordonnèrent d’éjaculer sur le fessier de Quentin. Obéissant à l’injonction, Sébastien se retira et plusieurs jets de sperme finirent par maculer le postérieur et le dos de son cousin.

— Voilà qui est fait. Je pense que nous pouvons nous arrêter là pour aujourd’hui.
— Bonne idée. Ça fatigue de corriger une petite sissy.
— Ma Reine ?
— Oui, mon cavalier ?
— Puis-je Vous demander une faveur ?
— Je ne sais pas si je devrais accepter mais quelle est-elle ?
— J’aimerais être pris à mon tour par le gode de Maîtresse Rosalie dont les dimensions m’ont fait énormément envie.
— Eh bien, si elle ne dit pas non, je ne vois pas pourquoi je te refuserais cela. Tentée par mon cavalier, Rosalie ?
— Bien sûr !

Rosalie s’allongea sur le lit et invita Sébastien à l’y rejoindre. Le jeune homme obtempéra et introduisit de lui-même le sexe factice dans son rectum. Il y alla d’abord prudemment en raison des dimensions importantes de l’engin puis, constatant que la pénétration se faisait plus facile que prévu, il finit par s’y empaler complètement. Tandis que sa tante l’aidait dans son mouvement d’ascenseur en lui soutenant le bassin, Sébastien, pris par l’excitation, se masturba avec frénésie en poussant des gémissements d’extase. Au bout de quelques minutes, le jeune homme fut à nouveau gagné par la jouissance. Il prévint Rosalie qui se retira et s’allongea à ses côtés en lui désignant sa poitrine.

— Jouis sur mes seins, mon cavalier.
— Oui, Maîtresse Rosalie.

Sébastien se caressa pendant quelques instants puis finit par éjaculer sur la poitrine de sa tante. Rosalie et Manon retournèrent ensuite se changer en autorisant les deux cousins à faire de même. Dès qu’elles furent revenues, Rosalie formula à Manon le souhait de s’entretenir avec elle.

— Attends-moi dehors, sissy. J’ai à parler avec Maîtresse Manon.
— Bien, Maîtresse Rosalie.

Quentin sortit de l’appartement et les deux femmes commencèrent leur discussion.

— Je tenais à juste à te dire à quel point j’ai été satisfaite de la prestation de ton cavalier avec moi. C’est pourquoi ça me ferait très plaisir d’avoir un deuxième soumis à ma disposition, si tu es d’accord, bien sûr.
— Eh bien, pour moi, il n’y a aucun problème mais, selon le contrat que nous avons passé, toute nouvelle allégeance doit être faite d’entente entre mon cavalier et moi. Alors, mon cavalier, tu es prêt à servir ta tante Rosalie ?
— Oui, Ma Reine.
— Très bien. Dans ce cas, nous allons mettre ce nouvel état de fait dans l’annexe.

Sébastien s’installa devant son ordinateur et, sur les instructions de sa mère, se mit à rédiger le document.

ANNEXE DU CONTRAT D’ALLÉGEANCE ENTRE SÉBASTIEN ET MANON


Modification numéro une : en date du trois octobre deux mille dix-neuf, Rosalie, tante du cavalier, a été mise au courant de la relation qui subsiste entre lui et La Reine. Dans le cadre d’un duel l’opposant à la sissy de sa tante, il a été convenu entre le cavalier et La Reine que son allégeance irait également à Rosalie. Ce nouvel état de fait implique les points suivants :
Un : le cavalier et Rosalie s’appelleront désormais par « mon cavalier » et « Maîtresse Rosalie ».
Deux : les dispositions du contrat d’allégeance s’appliqueront à cette nouvelle relation.
Trois : Toute modification du contrat se conclura désormais d’entente entre La Reine, Maîtresse Rosalie et le cavalier.

Sébastien imprima deux exemplaires du document qu’il venait de rédiger et les remit aux deux femmes. Il remit également une copie du contrat originel à sa tante. Après l’avoir salué, Rosalie et Manon quittèrent l’appartement, le laissant songeur quant à ses prochaines aventures.

[ À suivre ]
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