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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 23

La Reine teste le petit soldat

Voyeur / Exhibition
Trois jours s’étaient écoulés depuis la visite de Sébastien à sa tante. Le jeune homme avait profité de ce temps pour se concentrer sur ses études et tisser des liens plus approfondis avec ses camarades. En ce mercredi soir plutôt agréable pour la saison, Sébastien et quatre de ses amis décidèrent d’aller boire un verre dans un bar de Montpellier afin de mettre temporairement de côté les tracas liés à leurs études.Alors que les conversations allaient bon train dans une ambiance chaleureuse, le jeune homme sentit son téléphone vibrer dans sa poche. En consultant l’écran de son téléphone, il constata qu’il avait reçu un message de la part de Manon. Afin de pouvoir le consulter en toute discrétion, Sébastien prétexta une envie pressante et alla s’enfermer dans une cabine.
[SMS, Ma Reine]<Bonsoir, mon cavalier. Ta Maîtresse Rosalie m’a informé de l’existence de son petit soldat et m’a convaincue de tester ses capacités. Afin de pouvoir le faire en toute tranquillité, Ta Maîtresse et moi avons décidé que cela se passerait chez toi ce soir, vers vingt heures. Débrouille-toi pour nous accueillir à ce moment-là.>Bien, Ma Reine.
Dès qu’il eut répondu au SMS de sa mère, le jeune homme regarda l’heure affichée sur son appareil. Il était dix-huit heures vingt. Le bar se situant à quelques centaines de mètres de son domicile, Sébastien se permit de savourer tranquillement sa boisson tout en prenant part aux discussions. Après avoir réglé sa part de l’addition, il raconta à ses amis qu’il se sentait un peu fatigué et qu’il souhaitait rentrer chez lui. Après les avoir salués d’une poignée de mains, le jeune homme marcha d’un pas rapide. Une fois arrivé à son appartement, il vérifia à nouveau l’heure indiquée sur son téléphone. Dix-neuf heures quinze. Il en déduisit qu’il disposait de quarante-cinq minutes avant l’arrivée de ses visiteurs.
N’ayant pas très faim, Sébastien se fit un sandwich qu’il mit vingt minutes à manger. Soudain, il fut pris d’un doute. Sachant qu’il devait accueillir sa mère et sa tante quelque temps plus tard, il se demanda s’il devait se trouver nu en leur présence ou non. À la réflexion, il se dit que le message de Manon ne mentionnait pas de tenue ou de manière de recevoir. Il se dit qu’il allait certainement n’être que spectateur de ce qui allait se passer. Il prit néanmoins la peine de prendre une douche avant d’enfiler des vêtements propres. La sonnette finit par retentir et Sébastien s’empressa d’aller ouvrir la porte pour livrer passage à Manon, Rosalie et Axel.
— Bonsoir, mon cavalier.— Bonsoir, Ma Reine. Bonsoir, Maîtresse Rosalie.
Les deux femmes entrèrent dans l’appartement, suivies d’Axel. N’ayant essuyé aucune remarque sur sa tenue, Sébastien comprit que son intuition était bonne.
— Au vu de l’heure déjà tardive, je propose que nous commencions de suite. Qu’en dis-tu, Rosalie ?— Excellente idée. Je suggère également que ça se fasse dans la chambre du cavalier pour plus de confort.— Parfait. Je vais me changer et nous pourrons nous y mettre.
Manon se dirigea vers la salle de bain tandis que, sur ordre de Rosalie, Axel se déshabillait intégralement.
— Nous ne participerons pas au test, Vous et moi, Maîtresse Rosalie ?— Non, mon cavalier. Pour ce soir, nous allons juste regarder. Par contre, va nous chercher deux chaises afin que nous puissions assister le plus agréablement possible au spectacle. — Bien, Maîtresse Rosalie.

Sébastien alla prendre deux chaises dans la cuisine et les installa dans un coin de sa chambre. Tandis qu’Axel attendait, agenouillé au sol, l’arrivée de Manon, le jeune homme et sa tante s’installèrent. Manon reparut quelques minutes plus tard, affublée de son body en vinyle, de ses bas résille et de ses escarpins. Sébastien remarqua que sa mère tenait également son gode-ceinture en main. Le souvenir évoqué par la tenue de Manon lui procura rapidement une puissante érection.
Sur injonction de sa tante, Axel se pencha sur ses chaussures et se mit à les lécher en en mettant les pointes en bouche. Manon laissa faire son neveu pendant quelques instants puis elle le fit allonger sur le dos. Après avoir découvert son entrejambe, elle finit par s’accroupir au-dessus de lui, son sexe à quelques centimètres de sa bouche. Dès qu’il en eut reçu l’ordre, Axel fit avidement jouer sa langue sur sa zone intime, lui soutirant quelques gémissements de plaisir. Cette vision ne manqua pas d’exciter Rosalie qui ôta sa jupe et baissa sa culotte au niveau de ses chevilles avant de se caresser sensuellement. De son côté, Sébastien continua de regarder sa mère se faire prodiguer un cunnilingus par son cousin, non sans une violente envie de soulager sa verge devenue lourde sous ses vêtements.
Manon et Axel finirent par changer de position. Le jeune homme était à nouveau agenouillé aux pieds de sa tante qui lui tournait le dos. Cette dernière se cambra autant que possible, son fessier lui écrasant le visage. Tout en savourant le contact de la langue de son neveu sur son petit trou, Manon fit aller et venir ses fesses sur la figure de celui-ci. Ce tableau ajouta une dose supplémentaire d’excitation chez Rosalie qui accéléra le mouvement de sa main sur sa fente tout en y introduisant deux doigts de temps à autre. En voyant, d’une part, son cousin donner tant de plaisir à sa mère et sa tante se masturber, d’autre part, Sébastien se dit qu’il lui était désormais impossible d’assister à ces scènes en tant que simple spectateur.
— Puis-je Vous faire du bien, Maîtresse Rosalie ?— Bien volontiers, mon cavalier !
Le jeune homme s’agenouilla aux pieds de sa tante et fit goulument jouer ses lèvres et sa langue sur le sexe humide dont il savoura chaque goutte de cyprine. Profitant de la dévotion du jeune homme, Rosalie retira son t-shirt et se malaxa les seins tout en portant ses tétons à sa bouche. Entre-temps, Manon mit un terme à l’anulingus d’Axel et lui ordonna de s’allonger en position dorsale sur le lit pendant qu’elle s’équipait de son gode-ceinture. Elle le pénétra ensuite d’une lente mais puissante poussée puis, tout en le masturbant, entama une série de va-et-vient, ce qui eut pour effet d’arracher des feulements de plaisir à son neveu.
— Tu aimes ça, te faire baiser par ta Maîtresse, hein, mon petit soldat ?— Oh oui, Maîtresse Manon ! Baisez-moi fort !
Accédant à cette requête, Manon accéléra le mouvement de sa main sur la verge d’Axel et la cadence de ses coups de reins. La chevauchée fut ponctuée par les gémissements et les encouragements du jeune homme envers sa tante pour finalement être conclue par un long râle d’extase et une éjaculation massive sur son ventre après quelques minutes. Rosalie finit par jouir elle aussi sous les coups de langue de Sébastien qui avala gaiement la cyprine coulant dans sa bouche.
Manon autorisa Axel à se nettoyer et à se rhabiller puis alla se changer à nouveau. Rosalie se rhabilla également et attendit avec les deux cousins le retour de sa belle-sœur.
— Alors, Manon ? Comment as-tu trouvé mon petit soldat ?— Excellent. Il est à ton service depuis moins de temps que la petite sissy mais, pourtant, il m’a procuré bien plus de plaisir en une fois qu’elle en toutes les fois où j’ai eu le plaisir de m’amuser avec.— Je suis ravie de l’entendre. Je te le dis une nouvelle fois : j’en pense de même de ton cavalier.— Ça me fait plaisir. D’autant plus que je viens de penser à quelque chose.— Et quoi donc ?— Les fêtes de Noël seront là dans un peu plus de deux mois. Comme nous les passerons certainement tous ensemble, je me suis dit qu’il serait judicieux d’informer nos filles et nos maris de la situation de notre cavalier et de notre petit soldat.
À cette annonce, Sébastien et Axel s’échangèrent un regard craintif. L’un comme l’autre avait éprouvé le désir de servir leur mère et leur tante mais, en aucun cas, ils n’avaient envisagé d’entretenir ce genre de relations avec leurs sœurs et pères respectifs.
— Mais, sauf Votre respect, Ma Reine, notre contrat précise que tout changement de ma situation doit être conclu d’entente entre nous deux. Et, comme je Vous l’ai dit, je ne souhaite pas que mes sœurs soient impliquées. Du moins, pas encore.— Ne t’en fais pas pour cela, mon cavalier. Nous nous contenterons de les informer. Ni tes sœurs ni ton père ne pourront te faire quoi que ce soit sans notre accord à tous les deux.— Bien, ça me rassure, Ma Reine.— Et en ce qui me concerne, Maîtresse Rosalie ? Je dois Vous avouer que j’éprouve les mêmes sentiments que le cavalier à l’égard de cette idée.— Il en ira de même pour toi, mon petit soldat.— Bien, Maîtresse Rosalie.
Manon et Rosalie prirent encore quelques minutes pour définir les modalités de leur projet puis elles finirent par quitter l’appartement de Sébastien en compagnie d’Axel. Désormais seul, le jeune homme ne put s’empêcher d’éprouver une certaine appréhension à l’idée que ses sœurs et son père eussent connaissance du lien qui le liait à sa mère depuis un mois.
[ À suivre ]
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