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Education sexuelle : une affaire de famille - Tome 2 - Sébastien, fils à maman

Chapitre 30

Épilogue

SM / Fétichisme
Sébastien et Linda arrivèrent devant l’entrée du centre Laetitia Vaney, accompagnés de leurs enfants Jessica et Fabien. En cette soirée de juin, l’institution fêtait ses vingt-cinq ans d’existence et organisait, à l’occasion, une journée portes ouvertes. Si la publicité autour de l’évènement et du centre avait trouvé un écho positif chez Jessica, son frère, lui, avait un avis plus mitigé sur la question et ne manqua pas de le faire savoir à sa mère.
— On est vraiment obligés d’aller à cette soirée, maman ? Très franchement, ce que j’ai entendu dire à propos de cet endroit ne me donne pas vraiment envie d’y mettre les pieds.— On entend beaucoup de choses, mon chéri. Il est parfois difficile de démêler le vrai du faux. Je crois savoir qu’il y aura une visite guidée. Ça te donnera un meilleur aperçu du centre et de ce qui s’y fait. Et puis, dis-toi que tu fais plaisir à ta sœur en faisant l’effort de faire cette visite.— Si tu le dis, maman…
Sur ces derniers mots, ils franchirent tous les quatre la porte automatique du centre. Les conversations animées par les nombreuses femmes présentes parvinrent à leurs oreilles. Sans y prêter attention, Sébastien balaya le hall du regard et remarqua Justine assise à une table. Devant elle, une douzaine de jeunes femmes semblaient remplir des formulaires en affichant un air ravi. Il se dirigea vers sa sœur pour la saluer.
— Bonsoir, Justine ! Je vois que tu as l’air plutôt occupée. — Bonsoir, Seb ! Oui, en effet. Je suis en charge des inscriptions des apprenties. Au vu du succès rencontré par le centre, je n’en finis plus de demander des pièces d’identité pour m’assurer de la majorité des aspirantes et de leur donner des formulaires à remplir. — Je te crois sur parole. Et comment vont Alice, Aleksandra et Kamil ? Ils en ont fait du chemin, ces deux-là, depuis le jour où vous êtes allées les chercher à l’orphelinat de Saint-Pétersbourg.— Ils vont bien. J’ai rempli moi-même le formulaire d’inscription d’Aleksandra. Quant à Kamil, j’ai demandé à Quentin de traiter son inscription en priorité.— Quentin s’occupe donc des inscriptions, côté hommes, si je comprends bien.— Exactement. Et il a bien plus de travail qu’on n’aurait pu le penser. D’ailleurs, rien ne t’empêche de t’inscrire, tu sais ?— Je crois en la cause de ce centre mais, depuis que j’ai repris le cabinet de maman, je me dois de faire preuve de probité.— Bien joué, Maître. Vous échappez au service obligatoire.
Sébastien prit congé de Justine en riant puis, remarquant Alice assise à une autre table en fond de salle, il marcha dans sa direction pour prendre de ses nouvelles. 
— Bonsoir, Alice ! Tu m’as l’air de t’ennuyer un petit peu.— Bonsoir, Seb ! Oui, un peu. Je m’occupe du recrutement des instructrices. Au vu du fait que nous demandons une vidéo de qualité dans laquelle on les voit dominer un homme, les candidatures se font plutôt rares ce soir mais je pense que lorsque les personnes intéressées auront tourné leurs vidéos, je vais être un peu plus sollicitée.— Je viens d’aller voir Justine. Elle, par contre, elle n’a pas le temps de s’ennuyer. Elle m’a dit qu’Aleksandra et Kamil étaient inscrits.— Oui. Je dois dire que je suis un peu émue car cela fait depuis leurs quinze ans qu’on leur parle de ce centre. Aujourd’hui, c’est chose faite.— Je suis sûr que tout ira bien pour eux deux. Bon, je te laisse. Je vais voir ce que devient Quentin.
En laissant Alice à son occupation, Sébastien traversa le hall pour s’adresser à son cousin.
— Bonsoir, Quentin !— Bonsoir, Seb !— Justine m’a dit que tu t’occupais des inscriptions pour les hommes.— Oui, exactement. Tu es intéressé ?— Non, au vu de ma profession, ça ne collerait pas. Mais, apparemment, tu sembles avoir eu pas mal de travail.— Oui, le message de ma chère et pas toujours tendre épouse est bien passé auprès des hommes également.— J’imagine que Laetitia doit être très fière de voir ce qu’est devenu son centre. Je me souviens encore du temps où nos mères l’aidaient à le développer. — Oui, moi aussi. Elles auront bien mérité leur retraite.— Et comment vont Kim Chi et Kim Son ? J’ai remarqué que, tout comme Aleksandra et Kamil, ils ont dû faire de gros efforts pour s’intégrer et assimiler les us et coutumes de notre pays depuis leur arrivée du Vietnam.— Ils vont bien, tous les deux. Kim Chi s’est empressée de s’inscrire dès que la journée portes ouvertes a débuté. Quant à Kim Son, j’ai dû le convaincre du bien-fondé de son inscription et du soutien qu’il apportait ainsi à sa sœur.— Je m’attendais aussi à voir Axel et Angélique ce soir.— Ils sont passés dans l’après-midi. Angélique a facilement convaincu Alphonse et Maxence de venir s’inscrire auprès de leur oncle préféré. Jonathan n’a rien trouvé à redire.— J’avoue qu’Angélique a bien choisi son mari. Un homme appréciable et ouvert d’esprit.— J’en conviens. Quant à Axel et Nathalie, et je pense que cela ne te surprendra pas, n’ont pas eu à user de leurs talents de persuasion pour convaincre Joanna et Salomé de devenir aspirantes. Au fait, comment vont Jessica et Fabien ?— Ils vont bien. Jessica est hyper motivée. Fabien est plus indécis mais je pense que la visite guidée et le sens de la diplomatie de sa sœur le feront changer d’avis. D’ailleurs, il faudrait que j’aille les retrouver. Entre les conversations avec mes sœurs et celle que je viens d’avoir avec toi, je les ai perdus de vue.— Pas de souci. À une prochaine, Seb ! Et salue bien Linda de ma part !— Je le ferai.
Sébastien se promena à nouveau à travers le hall en essayant de repérer Linda ou l’un de ses enfants parmi la foule. Il finit par les trouver à proximité d’un buffet. Tout en se servant une coupe de champagne, le père de famille interrogea les trois autres sur ce qu’ils avaient fait en son absence.
— Alors, les enfants ? Vous avez déjà fait connaissance avec le centre ?— Non, pas encore. Fabien ne se sent toujours pas de le faire. Maman et moi essayons de le convaincre depuis près d’un quart d’heure mais il est toujours réticent.— Je comprends que les commentaires que tu as pu entendre te laissent une mauvaise image de ce lieu. Cependant, il convient de voir ce qu’il en est vraiment avant de se faire une opinion. La visite guidée ne t’engage à rien. De toute manière, ta sœur ne voudra pas qu’on parte d’ici avant que vous ayez fait cette visite. Donc, si tu veux abréger la durée de ta présence ici, tu devrais sauter le pas.— Oui, papa. Je vais le faire, puisque vous semblez tant y tenir, tous les trois.— Allez, Fabien ! On y va !
Jessica entraîna son frère par la main, laissant leurs parents savourer leur coupe de champagne. Ils parvinrent devant un escalier et entreprirent de le monter afin de commencer leur visite. Ils furent interrompus par une voix féminine dans leur dos.
— Bonsoir ! Vous venez pour la visite ?— Oui, Madame.— Appelez-moi seulement Séverine. Vous êtes frère et sœur ?— Oui. Je m’appelle Jessica et voici Fabien.— Enchantée. Pour ma part, je suis instructrice dans ce centre depuis cinq ans, maintenant. Bon, si nous commencions la visite ?
Jessica approuva d’un signe de tête. L’instructrice les guida à travers l’escalier puis ils marchèrent jusqu’à une porte en bois. Dans la pièce, Fabien constata une disposition classique de chaises et de pupitres en face d’un tableau noir. 
— Ici, nous avons la classe de langue. Grâce à notre communication, nous attirons bon nombre de jeunes femmes et jeunes hommes de l’étranger. Nous avons donc pensé qu’il serait utile de leur enseigner notre langue. Il va de soi que ce sont des enseignantes qui dispensent ces cours. Poursuivons.
Jessica et Fabien suivirent Séverine à travers un nouvel escalier qui les emmena à l’étage supérieur. Le jeune homme fut surpris de constater qu’en lieu et place de portes, se trouvaient de simples rideaux. L’instructrice les fit entrer dans l’une des pièces. Pauvrement meublée, celle-ci ne comptait qu’un lit situé le long d’un mur et un bureau placé à côté de la fenêtre. Au-dessus du bureau, accrochées au mur, Fabien reconnut les photos de sa grand-tante Rosalie et de sa grand-mère Manon. Grâce à ce constat, il devina que la troisième photo accrochée représentait la fondatrice du centre, Laetitia.
— Nous sommes à présent dans une chambre de soumis. Comme vous le constatez, il ne s’y trouve que le strict nécessaire. En revanche, dans chaque chambre de ce type, on peut voir les photos des trois fondatrices de notre centre : Mesdames Rosalie et Manon, parties à la retraite depuis quelques années, et Madame Laetitia, notre directrice actuelle. Il est demandé à chaque homme de rédiger une louange à leur attention chaque soir. L’exécution de cette tâche est vérifiée tous les matins par Madame Laetitia en personne. L’omission d’une louange constitue une infraction passible de punition. Et je peux vous dire que, depuis que je suis là, un certain nombre de soumis ont déjà passé un mauvais quart d’heure à cause de cela. Si vous n’avez pas de questions, je propose de poursuivre.— Au fait, j’aurais une question : j’imagine qu’entre les coûts d’entretien et les salaires des instructrices et enseignantes, cela doit revenir plutôt cher. Qui paie tout ça ?— Très bonne question, Fabien. Pour te répondre, les frais occasionnés par notre centre sont répartis solidairement entre chaque homme. De ce fait, plus vous serez nombreux, moins vos économies personnelles en souffriront.— Merci.
L’instructrice fit à nouveau monter un escalier à Jessica et Fabien. Cette fois, ils découvrirent une série de portes-fenêtres de haute qualité. Séverine ouvrit l’une d’entre elles et les fit entrer dans la pièce. Plus richement décorée que la pièce précédente, la chambre disposait d’un lit double aux draps couleur du centre. Trônant sur un meuble, un téléviseur dernier cri faisait face au lit. Un bureau en bois de chêne se trouvait également au fond de la pièce. Fabien repéra à nouveau une représentation des trois fondatrices du centre, à la différence près que, cette fois, elles étaient affichées sur des posters en tenue de dominatrices. 
— Vous vous en doutez sûrement mais nous sommes maintenant dans une chambre d’aspirante. Nous attachons une grande importance à leur confort, d’où l’ameublement et les commodités. À la demande de plusieurs d’entre elles, nous avons accroché ces posters afin qu’elles puissent chaque soir leur adresser une prière dans le but de les aider à devenir plus fortes chaque jour et finir par leur ressembler.— C’est magnifique ! Cet endroit me plaît de plus en plus.— Ravie de l’entendre, Jessica. La meilleure partie de la visite reste encore à venir. Sur ce, continuons.
Séverine fit sortir Jessica et Fabien de la chambre puis les emmena vers un ascenseur. Ils descendirent tous trois jusqu’au premier sous-sol. En sortant de l’ascenseur, Fabien remarqua un couloir menant à ce qu’il pensait être des vestiaires. Le jeune homme constata également, à travers une porte vitrée sur sa gauche, la présence d’un tatami. 
— Étant donné que le but de notre centre est de permettre aux femmes de se défendre contre les mauvais individus, notre directrice a jugé bon d’introduire des cours de karaté et de judo pour nos aspirantes. Évidemment, ces cours sont donnés par des femmes.— Vous ne faites pas les choses à moitié, ici. — Bien observé, Fabien.
Sur ces mots, ils reprirent tous trois l’ascenseur et descendirent au second sous-sol. Faiblement éclairé, l’endroit était austère et n’inspirait pas confiance à Fabien. Le jeune homme vit une lourde porte en bois. Séverine la poussa et fit entrer Jessica et Fabien. À l’intérieur, le jeune homme ne put empêcher un frisson de lui parcourir le dos. Au centre de la pièce, un lit d’hôpital agrémenté de sangles à chaque extrémité. Disposés sur une table en fond de salle, un fouet, un taser et des cordes. Au-dessus de sa tête, Fabien remarqua la présence de cages en acier trempé tenues en suspension par des câbles. Près du lit, il remarqua une machine au centre de laquelle se trouvaient des sangles. En comprenant le fonctionnement de la machine, Fabien se dit que pour rien au monde, il ne voulait s’y trouver.
— Ici, nous sommes dans la salle de torture et d’isolement. C’est la punition la plus extrême qui puisse être infligée dans ce centre. Seule notre directrice a le pouvoir de décider d’une telle sanction. À ma connaissance, aucun homme n’est encore passé par là. — C’est sûr que l’existence de cette salle est un bon moyen pour maintenir la peur.— Oui, en effet, Fabien. C’est un rôle que cet endroit remplit à merveille. Bon, notre visite touche à sa fin. Comme je te l’ai dit, Jessica, la partie qui devrait te plaire le plus va arriver.
Ils sortirent tous trois de la salle puis reprirent l’ascenseur jusqu’au troisième étage. En sortant de l’ascenseur, Jessica et Fabien constatèrent la présence de ce qui leur semblait être un atelier. Ils entrèrent dans la pièce, accompagnés de Séverine.
— Voici notre atelier. Il représente un but pour les aspirantes car, une fois qu’elles ont terminé leur formation, elles peuvent faire fabriquer une tenue, un gode-ceinture et un fouet entièrement personnalisés selon leurs goûts. Il s’agit là d’une sorte de diplôme de notre centre. — C’est merveilleux. Je suis déjà en train d’imaginer ma future tenue.— Je comprends ton empressement, Jessica, mais pas si vite. En attendant, passons plus loin, à la partie la plus ludique de notre visite.
Jessica et Fabien suivirent l’instructrice à travers l’atelier. Celle-ci poussa une porte, les menant dans une vaste pièce dans laquelle se trouvaient trois hommes, dans des postures plutôt inconfortables. 
— Ici, Jessica, tu pourras t’essayer aux activités de notre centre. Fais-toi plaisir.— Incroyable ! Je ne m’attendais pas à ça !
Jessica se dirigea vers le premier homme. Ce dernier se trouvait les mains et la tête entravées par une planche dont la partie supérieure était amovible. En le toisant, la jeune femme remarqua son postérieur rougi par les coups. Elle estima son âge à une trentaine d’années mais son visage couvert de salive l’empêchait d’en avoir la certitude. Ramassant le fouet situé à proximité de l’homme, Jessica lui donna un premier coup, lui arrachant un cri de douleur. La jeune femme se surprit à constater qu’au lieu de l’émouvoir, la souffrance de cet homme ne faisait qu’accentuer son excitation. Elle lui donna encore quelques coups en faisant claquer le fouet de toutes ses forces puis reposa l’instrument au sol.
— N’hésite pas à lui dire « à bientôt » à notre manière.
En émettant ce conseil, Séverine désigna du doigt le visage de l’homme. Jessica se plaça face à lui et lui adressa un crachat qui l’atteignit au niveau du nez.
— Excellent, Jessica. Allons voir le suivant.
Jessica se dirigea vers le deuxième homme. Attaché debout à un poteau, son sexe et ses bourses rougis ne manquèrent pas de sauter aux yeux de la jeune femme. Constatant l’absence d’accessoires autour de l’homme, Jessica comprit de quelle manière elle devait frapper. Elle commença par lui donner un coup de poing dans les parties. Un rictus de douleur se forma sur son visage. Jessica enchaîna par un coup de pied, lui arrachant cette fois un hurlement. La jeune femme alterna les coups de pied et de poing pendant quelques minutes puis prit congé de l’homme en lui donnant une gifle.
— La gifle n’était pas obligatoire mais c’est une bonne initiative. Au suivant.
Jessica se dirigea vers le troisième homme. Beaucoup plus âgé que les deux autres, la jeune femme lui donna la cinquantaine. Les mains attachées à un pied de table, l’homme se trouvait à quatre pattes, tournant le dos à Jessica. Celle-ci remarqua tout de suite la présence du gode-ceinture à ses pieds. Avec l’aide de Séverine, la jeune femme s’en équipa puis, sur les conseils de l’instructrice, s’enfonça dans le petit trou de l’homme d’une violente poussée. Ajoutant des fessées appuyées à ses mouvements de va-et-vient, Jessica se fit plaisir pendant près d’une dizaine de minutes avant de retirer le sexe factice et de quitter la salle en compagnie de Séverine et Fabien.
— J’en ai fait des visites, aujourd’hui, mais, toi, tu m’as vraiment surprise, Jessica. Je vois en toi un talent certain pour la domination. Je suis sûre que tu te plairas dans notre centre.— J’en suis sûre, moi aussi. Je vais de ce pas finaliser mon inscription.— Ravie de l’entendre. Bon, je vous laisse. J’aurai certainement d’autres visites à faire.
Séverine prit congé des deux jeunes gens, les laissant seuls avec leurs impressions.
— Alors, Fabien ? Qu’est-ce que tu penses de cet endroit ?— Très franchement, je suis encore plus mitigé qu’avant. J’ai bien compris ce que nous a expliqué Séverine par rapport au but de ce centre mais je ne suis pas sûr de vouloir subir ce que je viens de te voir faire à ces types.— Je ne les connais pas, ces types. C’est pour ça que j’y suis allée à fond avec eux. Je te promets que, si tu t’inscris, je ferai en sorte que les instructrices et les autres aspirantes ne te fassent pas trop de mal. C’est mon rôle de grande sœur de veiller sur toi.— Je ne suis toujours pas rassuré, là.— Bon, on le fait à pile ou face.
Jessica sortit une pièce de monnaie de sa poche. 
— Pile ou face ?— Face.— Ok. Face, tu ne t’inscris pas. Pile, tu t’inscris.
La jeune femme lança la pièce en l’air et la laissa retomber au sol. Jessica et Fabien laissèrent la pièce tourner sur elle-même jusqu’à ce qu’elle se trouvât à nouveau sur une face.
— Pile !
FIN DE LA SAGA
[ À suivre : À l’école des femmes]
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