Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 54 J'aime
  • 7 Commentaires

Seconde année d'IUT

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Je continue de tourner dans ma chambre ne sachant pas quoi faire à propos du collier, et de la porte que je ne pouvais plus fermer. Ne trouvant pas de solutions, je me suis résignée à me coucher. Demain, je n’irai pas en cours, puis je me débrouillerait pour trouver une paire de ciseau et m’enlever ce collier.
J’ai passé une nuit assez agitée, j’ai rêvé de lui me possédant, j’étais sa chose, il s’amusait avec moi, sexuellement bien entendu. Je me suis réveillée vraiment troublée, pourquoi ce rêve ? Ce n’est pas ce que je désire, j’en suis sure.
Je m’habille machinalement puis je me prépare à aller en cours lorsque je me rappelle cette histoire collier ... Paniquée, je m’assied sur mon lit pour réfléchir avant de m’apercevoir qu’il n’est plus à mon cou.Je le retrouve sur mon bureau, avec une lettre :"J’espère que tu as bien dormi ma chienne, tu avais l’air un peu agitée dans ton sommeil ...Tu porteras ce collier à chaque fois que tu seras chez toi."
Alors il était là cette nuit ... Je jetais un regard rapide à ma chambre. La paranoïa a commencé à prendre le dessus, il a pu poser des micros, des caméras ...Ne voulant pas me mettre ne retard, je me suis dépêchée d’aller en cours.
Je n’ai pas cessé de réfléchir à tout ça pendant toute la journée, et sitôt rentré, je me suis mis à fouiller toute ma chambre ... Sans rien trouver ... Je me faisais peut être des idées ... Ou alors il avait tout bien caché ...Je restais perdue dans mes pensées jusqu’à ce que quelqu’un toque à ma porte.
Alors que j’allais ouvrir, la personne derrière la porte me dit :
— Ma chienne, tu as 30 secondes pour te foutre à poil, à 4 pattes le cul devant la porte.
Je suis restée tétanisée pendant quelques secondes, puis me rappelant toutes les photos qu’il avait de moi, je me suis mis à l’oeuvre.Une fois nue, à quatre pattes, j’ai aperçu le collier sur mon bureau en me rappelant qu’il m’avait ordonné de le mettre tous les soirs.Je me suis relevée pour l’attraper, mais trop tard. La porte s’ouvre, et il entre.Le temps qu’il referme la porte, je suis à genoux, le collier entre mes mains tremblantes, en train d’essayer de me le mettre.
Il s’approche de moi et me l’arrache des mains.
— Dé...Désolée ... J’ai oublié ... — A quatre pattes. M’ordonne t’il sèchement.— Oui ...
Je m’exécute en vitesse en espérant ne pas subir de punition. Mais, je savais que j’allais en recevoir une, je la méritais, et au fond de moi, j’en avais très envie.Je l’entend fouiller dans mes affaires.
— Putain, tu sais même pas obéir à un ordre si simple ... — Je suis désolée ... Pardonnes moi ... Dis-je avec les larmes aux yeux— T’inquiètes, je vais te dresser
Puis une douleur violente me zébra une fesse m’arrachant un cri de surprise mêlé à de la douleur.
— T’as intérêt à la fermer si tu veux pas que tout l’étage soit au courant que t’es une salope
Il me décocha un second coup puis un troisième, j’essayais tant bien que mal d’étouffer mes cris. Malgré la douleur, je commençais à ressentir du plaisir. Pas à cause de la douleur, mais à cause de l’humiliation. Je voulais être sienne, je voulais être sa chienne.Il continua encore un peu à me cravacher les fesses sans se préoccuper de moi. Il avait du m’administrer une dizaine de coups, et j’avais véritablement le cul en feu.Il passa sa main sur mon sexe et s’exclama :
— Regardes comment tu mouilles !
Il approche sa mains de ma bouche, puis l’enfonce à l’intérieur, l’esprit vide je ne résiste pas, et je lèche ses doigts machinalement
— Alors t’aimes ta mouille ?— Oui Maître ... — Lèves toi, ta punition est pas finie.
Je me lève lentement, mes fesses me faisant toujours très mal. Il m’attache le collier, suivi de la laisse et me tire dans le couloir.
— Tu vois cette chambre là ?
Il me montre une autre chambre et la peur commence à monter en moi ... Une autre chambre ? Pourquoi ?
— Tu vas y aller, toquer, quand la personne ouvrira tu lui expliqueras que tu es une chienne, que t’as été vilaine, que t’as eu une fessée, puis tu te tourneras tu lui montrera ton cul en guise de preuve— N... Non je peux pas faire ça ...
Il me pousse alors contre le mur, me saisi par le cou. Sa main se resserre petit à petit, m’étouffant légèrement, mais suffisamment pour me faire comprendre qui est le maître et où est ma place. Il lisait facilement la peur dans mes yeux.
— Oui ... Maître ... Je vais le faire ... Pardonnez moi ... S’il vous plaît
Il reste comme ça un peu plus longtemps semblant apprécier la situation puis relâcha son emprise
— Dépêches toi.
Je me met en direction de la porte, il en profite pour me mettre une tape au fesse qui réveille ma douleur. Je marche lentement, plus j’approche de la porte, plus la peur et l’excitation monte en moi.Arrivée devant la porte, je m’arrête ... Qu’est-ce que je vais faire ? Je suis nue en collier et laisse, et je vais montrer mon corps et expliquer à un inconnu que je suis une soumise ... ?Mais mon corps en a envie, après tout, je suis une chienne, je dois obéir à mon maître.Je frappe à la porte, et, après un court instant, elle s’ouvre, laissant place à une fille. Je l’ai déjà croisée dans les couloirs ou en dehors. Elle fait ma taille, elle est blonde, les cheveux jusqu’au épaules. Elle porte une jupe mi-longue noire avec un débardeur de la même couleur.Je suis soulagée que ça soit une fille.Elle me regarde de haut en bas, surprise de me voir nue.
— B... Bonjour ... Je ... Euh ... Balbutiais-je— Euh ça va ?
Je prends une grande respiration.
— Je ... Je suis une chienne et j’ai été vilaine ... Dis-je en baissant naturellement la tête. Mon Maître à du me mettre une fessée.Sans lui laisser le temps de répondre, je me tourne, baisse mon buste et monte mes fesses au maximum pour qu’elle puisse les voir.Je reste comme ça ce qui me semble une éternité attendant une réaction de sa part. La honte m’envahit ... Ça y est, elle sait que je suis une chienne ...
— Euh ... Ok ... Répondit-elle. Ben la prochaine fois, sois sage ...— Oui ... Ça m’a servi de leçon.
Je me retourne, lui fait un signe de la tête puis je retourne rapidement jusqu’à ma chambre, ou mon maître m’attendait patiemment.
— C’est bien, je suis fier de toi. Maintenant, à quatre pattes.
Sur ces mots, je me sens soulagée, je suis fière de lui avoir bien obéi.Je me met à quatre pattes et il me fait rentrer dans la chambre.
— Allez, vas manger, tu l’as mérité. Dit-il en me montrant deux gamelles l’une remplie d’eau, et l’autre de pâtes.
Sans rien dire, je m’y approche, en pensant qu’il a été gentil et qu’à la place il aurait pu me mettre des croquettes ...Je me met à manger à quatre pattes, la tache est plus compliquée qu’elle n’en a l’air. Mais le plus compliqué, c’est pour boire l’eau ...Mon Maître lui en profite pour prendre quelques photos humiliantes de moi et, rien que de savoir ça, je suis excitée.Une fois qu’il a assez de photos, il s’assied naturellement sur mon bureau et pianote sur mon ordinateur.
— Mets toi sur le lit, à quatre pattes. Dit-il en voyant que j’ai fini mon repas.
Je m’exécute, je monte sur mon lit et je me met à quatre pattes. Il se met à côté de moi et semble m’inspecter. Il caresse mes cheveux, palpe mes petit seins, me caresse le ventre, le sexe, il m’ouvre les fesses et regarde mon trou du cul.Mais moi, je commence à me sentir bizarre ... Je suis fatiguée, très fatiguée, j’ai envie de m’allonger sur le lit ...Une fois qu’il a fini son inspection :
— Bon, restes comme ça, je reviens.
Il sort de ma chambre, mais, ça m’est de plus en plus dur de résister à la fatigue. Si bien, que sans trop m’en rendre compte je m’allonge sur le lit, et je m’endors un instant plus tard.
Diffuse en direct !
Regarder son live