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Au secoours... nous avons besoin d'aide.

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Au secours…   Depuis quelques années, j’habite un appartement au quatrième et avant dernier étage d’un immeuble de construction récente. Sur chaque palier, il y a trois logements de taille différente plus l’accès à l’ascenseur. L’immeuble est tranquille, la copropriété ou les loyers écartant les familles à problèmes. En plus, ce qui n’est pas négligeable : je suis à 10 minutes à pied de mon boulot ! Nous nous entendons tous bien, n’hésitant pas à nous rendre de menus services et le printemps venu, nous avons pour habitude pour fêter le retour des beaux jours, de nous retrouver autour d’un immense barbecue où chacun apporte selon une entente établie peu de temps auparavant les entrées, les boissons, les viandes, etc. Les tables sont disposées en arc de cercle dans le parc de la résidence et les hommes se relaient à la cuisson des viandes pendant que les femmes papotent tout en disposant le buffet ! Les plus jeunes jouent un peu plus loin…       Cette année, nous faisons connaissance avec un jeune couple de trentenaires qui occupent le plus petit logement du dernier étage. A première vue et suivant ce qu’ils nous disent, ils se connaissent depuis deux ans mais lorsqu’ils sont arrivés dans l’immeuble il y a quelques semaines, ils venaient de se mettre ensemble.       Jennifer est une grande bringue aux formes menues, brune aux cheveux longs qui lorsqu’ils sont dénoués doivent lui arriver au creux des reins... Elle a le visage mince, de grands yeux noirs et un nez busqué qui domine une bouche larges aux lèvres étroites. Mais elle sait se mettre en valeur… En moi-même lorsque je l’ai croisée la première fois, j’ai aussitôt pensé qu’elle ne devait pas avoir un caractère facile. Mais il n’en était rien car elle a mis beaucoup d’ambiance lors de notre barbecue de printemps. John, son compagnon est français mais originaire de Louisiane… Il parle avec cet accent trainant du Sud et des expressions cocasses qu’il s’empresse de nous traduire. C’est un beau mec et les quelques grandes adolescentes de notre groupe n’ont d’yeux que pour lui… On pourrait croire qu’elles vont le dévorer tout cru ! Il est taillé en hercule, il doit mesurer au moins 1.85 m et ses muscles, sans être ceux d’un culturiste acharné, sont visiblement bien dessinés. Il est brun de peau et ses cheveux noirs un peu longs lui donnent un charme certain. Il a de grands yeux bleus et une bouche que je qualifierais de gourmande.       Depuis leur installation j’ai croisé Jennifer à plusieurs reprises dans l’ascenseur… Nous partons au boulot sensiblement à la même heure et nous avons commencé à bavarder de tout et de rien puis un matin, elle m’a demandé si je ne connaissais pas des adresses de clubs érotiques dans la région. C’est vrai qu’en province, ils ne sont guère nombreux et il faut parfois faire pas mal de kilomètres pour en trouver un ou même retourner sur Paris.
 J’étais un peu surpris par cette demande mais sur le moment je n’ai pas fait de commentaire, disant simplement à Jennifer que je lui passerais la carte d’un club que je connaissais pour y être allé à deux reprises. Après tout, si mes nouveaux voisins avaient envie de s’encanailler, cela les regardait… N’étais-je pas de mon côté un libertin qui aimait bien aller draguer de temps à autres dans ces établissements où on peut baiser sans complication ni perte de temps !       Quelques semaines plus tard, l’été était déjà bien installé et beaucoup de fenêtres étaient ouvertes pour faire entrer le soleil dans les appartements… Nous étions un samedi en fin de matinée quand un grand bruit a retenti dans l’appartement du dessus et quelques minutes plus tard, des appels « AU SECOURS » se sont fait entendre. Que s’était-il passé dans l’appartement de nos voisins ? Avaient-ils réellement besoin d’aide ? Pourquoi ne pas aller voir ? Lorsque je suis arrivé devant la porte et après avoir sonné, je me suis trouvé devant Jennifer à moitié nue et hilare qui s’est exclamée : -         Je te l’avais bien dit qu’il mordrait à l’hameçon ! Il est évident que cela s’adressait à son compagnon. -         Entre… plus on est de fous, plus on s’amuse… on a besoin d’un troisième ! -         Ok… mais explique moi un peu ! Qu’est-ce que je viens faire dans l’histoire ? -         Bah… C’est simple… j’ai bien vu comment tu me reluquais dans l’ascenseur et chaque fois qu’on se croise ! -         T’es une jolie nana alors j’en profite… D’ailleurs, t’es pas farouche ! Avec tes jupes « ras la touffe » et tes hauts décolletés… on croirait une gagneuse qui part au tapin ! -         Comme tu y vas ! C’est vrai que j’aime baiser et allumer les mecs ! D’ailleurs j’ai besoin d’un second homme pour me satisfaire ce matin ! -         Et je serais celui-là ? -         T’as tout compris ! Tout en tenant ces propos, Jennifer me guide vers la chambre où John attend dans le lit, un grand sourire aux lèvres : -         Entre… et montre à Jennifer ce que tu caches dans ton boxer ! Çà m’a l’air prometteur ! Elle ne cesse de fantasmer sur ce que tu caches ! Cette coquine se retourne vers moi et en s’agenouillant, elle descend mon boxer dans lequel un début d’érection se manifeste depuis quelques minutes. -         Waouh… Je te l’avais bien dit qu’il devait avoir un beau paquet ! Je l’avais remarqué lors du barbecue ! -         Je ne te suffis plus ? -         Si… bien sur… mais tu sais quel est mon fantasme… J’ai toujours hésité à le réaliser quand nous allons en club ! Je suis sur qu’Hervé ne me refusera pas cette fantaisie ! J’avais compris… Jennifer voulait s’offrir une double pénétration sans risque ! -         T’es Ok ? -         Comment ne pas être d’accord puisque c’est çà que vous voulez ! Pendant que Jennifer commençait à me sucer, je voyais d’un œil distrait comment John se mettait en forme… Son sexe était en rapport avec sa taille… Comment Jennifer pouvait-elle avoir envie de goûter à mon « service 3 pièces » qui n’avait rien de remarquable ! Elle était très habile de sa bouche si bien que mon sexe a été rapidement au diapason, prêt pour entrer dans la danse… Ma fellatrice s’est rapidement débarrassée de son string et de son soutif et a rejoint son homme sur le lit. Ce dernier avait la bite dressée sur son pubis et Jennifer l’a enjambé pour se placer en cavalière face à lui, s’empalant progressivement sur ce sexe surdimensionné que sa chatte a avalé jusqu’à ce que leurs pubis soient en contact ! Se retournant vers moi, Jennifer m’a dit : -         Prends une capote sur la table de nuit et viens me sodomiser… J’ai le cul plein de gel… tu passeras plus facilement que John qui décidément est trop gros pour mon sphincter ! -         Ok… puisque tu m’offres ton cul, je vais en profiter… Tes petites fesses rondes m’ont toujours fait envie ! Elle a fait quelques mouvements de va et vient, montant et descendant sur la queue enfoncée dans son vagin puis elle s’est allongée sur le buste de son copain, me présentant ses fesses et une raie bien ouverte où son sphincter palpitait doucement. Il était effectivement luisant de gel… Je ne suis pas un adepte forcené de la sodomie mais le petit cul de Jennifer était très tentant ! Après avoir recherché la position la plus confortable pour les trois partenaires, je me suis introduit lentement dans ce conduit « interdit »… Oh qu’il était serré et malgré le gel, j’avis du mal à progresser… Bientôt, malgré les gémissements de douleur de Jennifer, mon pubis a été en contact avec ses fesses qui se sont logées dans le creux de mes hanches… -         Merci… Tu es allé doucement… Tu es le premier à entrer dans mon cul ! -         Tu me surprends ! Je te croyais plus gourmande des plaisirs du sexe ! -         NON, je n’ai glissé que des jouets plus ou moins gros, mais jamais un homme ne m’a pénétré… John a essayé… mais il est vraiment trop gros ! Peu à peu, je sentais la gaine étroite se détendre et bientôt j’ai entrepris les mouvements de va et vient alternant avec ceux de John. Jennifer manifestait son contentement en nous encourageant, tantôt en disant de bien la baiser tantôt de bien l’enculer… Il est évident que cela nous concernait John et moi ! Elle ruait comme une cavale indomptée si bien qu’il nous était difficile de maintenir la position si bien que John a bloqué sa nana en nouant ses bras autour des reins… Comme cela Jennifer ne pouvait plus trop bouger sauf son bassin qui menait la sarabande sur nos bites fichées en elle ! Elle courait après sa jouissance… si bien que nous avons joui presque tous les trois en même temps ! Waouh… c’était chaud ! Et quand je suis sorti du cul de Jennifer, je me suis rendu compte que j’avais lâché quelques belle giclées de foutre : la bout de la capote en était plein ! -         Waouh les mecs… vous m’avez envoyée en l’air comme une grande ! -         C’était bon ? -         Oh oui… Il faudra que j’ouvre le passage… j’ai vraiment envie de sentir ta grosse bite me défoncer le cul ! -         Quant à moi, je suis à ton service pour t’entrainer ! -         Oh oui… si John est d’accord, tu reviens me sodomiser quand tu veux ! -         Je veux bien… mais achète un gode gonflable… c’est le meilleur moyen pour habituer ton cul aux gros diamètres ! -         Tu sais où aller ? -         Bien sur… Je connais un bon sex-shop où on devrait trouver cela !       C’est ainsi qu’après une douche et un repas frugal rapides, nous avons pris ma voiture pour nous rendre tous les trois dans ce sex-shop proche de la gare de Lyon où j’ai mes habitudes coquines… A peine deux heures de route et nous étions arrivés !   J’ai retrouvé Marjorie, une des caissières avec laquelle j’avais batifolé plus d’une fois et je lui ai expliqué ce que nous venions chercher. Elle s’est fait remplacer pour guider mes nouveaux amis dans les différents rayons et arriver finalement à celui de gadgets érotiques. Il y en avait des toutes les sortes et de toutes les formes… je ne vous fais pas de dessin ! Le choix de Jennifer a été relativement vite fait : un Plug en silicone de couleur chair qu’elle porterait son pantalon pour aller bosser et ce fameux gode gonflable qu’ils recherchaient ! -         Oh John… tu vas me le mettre dès qu’on sera de retour à la maison… Le Plug, je ne le mettrai jamais avec une jupe, j’aurais trop peur de le perdre ! Tu sais que je porte rarement une culotte ! -         Je m’en serais douté ! Tu n’auras qu’à le porter quand tu rentreras à la maison comme cela ton cul sera déjà ouvert pour que John utilise le gode gonflable à sa guise ! -         Oh oui. C’est une bonne idée ! Marjorie s’est mêlée à la conversation… -         Vous trois, je parie que vous avez baisé ensemble ! -         Tu ne crois pas si bien dire… Ce matin même ! On s’est arrangé pour faire venir notre voisin car j’ai une bite trop grosse pour sodomiser Jennifer… Elle était certaine qu’il serait partant pour une partie à trois ! -         Vous m’en direz tant ! C’est vrai que vous avez à faire à un fameux coquin ! -         Tu sembles bien le connaître ! -         Oh oui… Il vient assez souvent… Comme il change fréquemment de maîtresse, il vient chercher un cadeau de rupture…et éventuellement draguer une minette qui cherche l’aventure ici ! Jennifer a poursuivi la conversation : -         Et il t’a sautée ? -         Oh… plus d’une fois… Vous êtes tombés sur un fameux coup ! Dis-moi… Ton homme il est si « hors norme » que çà ? -         Il a une vraie bite de cheval ! J‘ai bien du mal à la sucer et pourtant, j’ai une bouche bien large ! Marjorie s’est tournée vers John : -         Tu peux me montrer ? Il y a des endroits discrets ! -         S’il n’y a que çà pour te faire plaisir… on y va ! On te suit ! Nous avons changé d’étage pour aller dans le secteur des « love-room » et « glory holes » où curieusement il n’y avait personne ! Marjorie est allé chercher la marchandise dans le pantalon de John… En moins de deux minutes ce dernier bandait ferme sous les caresses de Marjorie qui faisait aller et venir se main sur cette hampe volumineuse… -         Waouh… C’est vrai qu’elle est généreuse ! On t’a jamais proposé de tourner dans des films pour adultes ? Tu y ferais un fameux étalon ! -         Non… D’ailleurs je ne connais personne dans ce milieu ! Pendant ce temps-là, elle continuait sa caresse et donnait des coups de langue sur le gland si bien que John s’est répandu sur son visage et le buste à moitié dénudé. -         Merci Marjorie… si je peux t’appeler ainsi ! -         Pas de soucis… Je te passe une carte quand on ira à la caisse… Si t’es intéressé, appelle de ma part…       Nous avons repris la voiture et nous sommes rentrés dans notre petite ville.
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