Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 152 J'aime
  • 6 Commentaires

Secret entre mère et fils

Chapitre 3

Inceste
— Mhm, je sais chéri, je sais, me répond-elle. Alors, qu’est-ce que tu attends ?
Je sens mon pénis dur comme du béton qui me hurle de le libérer de mon caleçon. Je sors ainsi mon pénis et pénètre la magnifique et chaude chatte de ma divine mère, cette dernière ne pouvant se retenir de gémir lors de mon entrée en elle. Je sens son intimité qui est tout humide, et mon gland laisse déjà dégager quelques gouttes de sperme en elle. Je me penche et me couche sur elle, agrippant ses hanches de mes mains qui commencent à être moites. Elle entoure mes épaules et mon cou, s’agrippant elle aussi à moi en vue de l’acte complètement tabou et interdit, mais ô combien délicieux et torride, que nous nous apprêtons à faire.
— Vas-y mon chéri, me susurre-t-elle. Baise ta mère, fais-moi jouir.— À tes ordres maman, lui répondis-je.
Tout en l’embrassant langoureusement de nouveau, je commence mon mouvement de va-et-vient dans sa chatte délicieuse. J’y vais d’abord par légers à-coups, y allant doucement et avec soin. Nos langues se lient et se délient dans notre passionné et volcanique baiser. J’enfonce alors tout à coup ma verge au plus profond du vagin de ma mère, la prenant par surprise et la faisant brièvement crier de plaisir. Puis, j’y retourne lentement et soigneusement, avant de progressivement accélérer le rythme et amplifier mes coups.
Tandis que j’embrasse ma déesse de mère, je la baise comme je n’avais encore jamais baisé aucune autre femme. Je la pénètre alors à un rythme effréné que je ne pensais pas tenir moi-même, ma bite pénétrant toujours plus loin et plus fort sa chatte en chaleur. Je la sens qui devient toute trempée, son précieux jus tachant sa robe de chambre sur laquelle nous sommes couchés. Ma respiration devient hérétique, comme celle de ma mère qui n’arrive plus à m’embrasser, trop occupée à gémir et à haleter de plaisir sous mes coups.
Nous nous regardons droit dans les yeux et crions ensemble lorsque, en même temps, chacun de nous est emporté par l’orgasme. J’expulse plusieurs jets puissants de sperme au fond du vagin de ma mère, tremblant de tout mon être, tandis que ma mère se cambre et s’agrippe à moi sous ses râles de plaisir incestueux, griffant mon dos et mes épaules jusqu’au sang.
— Oh putain, oui mon fils ! crie-t-elle sous l’intense plaisir que je lui offre. Oh bordel de merde, que ça fait du bien !— Maman, tu es si belle et désirable, lui répondis-je en train de reprendre son souffle. Tu es divine à baiser.— Putain mon chéri, ne t’arrête pas ! Je veux qu’on continue, je veux qu’on baise encore et encore toute la putain de journée !
Après avoir repris ma respiration, je vois dans le regard de ma mère qu’elle en veut encore, et beaucoup qui plus est. Elle est insatiable. Je dégage mon pénis recouvert de cyprine et encore dur comme une brique de la chatte de ma mère, chatte qui dégouline à raz-bord de cyprine. Elle vient d’ailleurs se caresser du bout des doigts et ramène ses doigts dégoulinant de son précieux jus à ses lèvres avant de les sucer délicatement. La voir faire m’excite au plus haut point. Moi aussi, je suis insatiable et je veux la baiser davantage.
— Dis maman, ça te dit un 69 ? lui proposai-je.— Mmmhhhmmmn, je n’attends que ça mon fils, me répond-elle.
Ma mère se rallonge alors de tout son long sur le lit. J’enlève en vitesse mon caleçon et me retrouve enfin entièrement nu et libre de tout tissu. Je me positionne face à sa chatte encore toute mouillée, et elle face à ma bite encore toute chaude. Puis, nous commençons. Je me mets à lécher frénétiquement sa douce chatte trempée de cyprine tandis qu’elle avale entièrement ma bite dans sa bouche. La sensation est exquise, aussi bien pour moi que pour elle. J’enfonce ma langue dans sa chatte, dégustant son délicieux jus de plaisir incestueux, tandis que je me fais pomper par ma propre mère qui lèche le bout de mon gland pour ne pas rater une goutte de ma semence. Nous exécutons ainsi un somptueux 69 qui dure plusieurs longues et délicieuses minutes, jusqu’à l’envie d’autres choses nous prennent.
— Mhm, je veux que tu m’encules mon chéri, dit alors ma mère entre deux gobages de ma bite.
— D’accord maman, je vais te baiser ton cul de bombe sexuelle, lui répondis-je.
Nous mettons un terme à notre 69 et ma mère se met immédiatement en position. Elle se retrouve à quatre pattes devant moi, se cambrant de plaisir et m’offrant ainsi son cul aux fesses bien rebondies qui, je dois l’avouer, me donnent terriblement envie de sodomiser. Ma bite toujours en pleine érection, je m’approche et viens saisir ses hanches. J’enfonce alors subitement, en un seul mouvement, ma verge au plus profond du cul de ma délicieuse mère qui hurle d’un intense plaisir. Je pénètre le cul serré de ma mère et fais des va-et-vient particulièrement puissants et rapides, prenant presque ma mère par surprise devant tant de fougue de ma part. Elle crie, hurle même sous mes coups de sodomie. Heureusement que nous habitons au dernier étage et que nos murs sont bien isolés.
Je la fourre ainsi pendant plusieurs minutes, son trou du cul complètement à ma merci. Je la baise sauvagement jusqu’à un nouvel orgasme. J’éjacule à nouveau, cette fois-ci au fond du cul de ma délicieuse mère, tandis que sa chatte mouille comme tout à l’heure et expulse toute sa cyprine sur sa robe de chambre déjà trempée et sur mon lit. Devant un tel torrent de jus, je me rends compte que mère est une femme fontaine, ce qui a pour effet de m’exciter encore davantage.
— Putain maman, c’est tellement bon, dis-je exténué.— Tu me baises comme un vrai homme mon chéri, me répond-elle toute aussi fatiguée. Comme un dieu même !— C’est toi la déesse maman. Tu es une véritable déesse du sexe.— Mhm, beau parleur va !
À peine ai-je le temps de reprendre mon souffle que ma mère se jette littéralement sur moi telle une lionne affamée sur sa proie, nous renversant tous les deux et atterrissant par terre, entre mon lit et la baie vitrée de ma chambre qui donne sur la mer. Je suis alors complètement à sa merci. Elle est à quatre pattes au-dessus de moi et m’embrasse sauvagement, fourrant à nouveau sa langue dans ma bouche. Je lui rends son baiser avec un plaisir certain. Nous nous embrassons sans aucune retenue, alors que je malaxe ses fesses de mes mains en sueur et qu’elle me tient le visage de ses doigts qui sentent la mouille et le sexe. Nos corps se touchent, se caressent, se frottent et se collent tandis que notre baiser n’en finit pas, car nous ne voulons pas qu’il s’arrête.
Après presque trente minutes de baiser ininterrompu au cours desquels nos langues se sont épuisées, ma mère finit par se relever et s’assoit sur le bord de mon lit, face à la vitre, son corps trempé de sueur, comme le mien d’ailleurs. Je me relève à mon tour et m’assois à côté, me collant à elle et lui sentant le cou.
— C’était merveilleux mon fiston, me dit-elle en souriant comme jamais auparavant. Je ne pouvais rêver mieux.— En rêver ? demandai-je. Où veux-tu en venir ?— Hé bien, mon chéri d’amour, quand tu m’as matée dans la salle de bain tout à l’heure, je me masturbais et je le faisais en pensant à toi mon trésor. Je voulais le faire aussi avec toi mon fils, je voulais te baiser et te sentir au plus profond de moi.— Oh, maman, ce que nous venons de faire a dépassé toutes mes attentes.— Moi aussi mon fils. C’était incroyable, indescriptible même.
Nous nous regardons dans les yeux et nous nous embrassons, cette fois-ci lentement, tendrement et langoureusement, comme deux amants sur un banc devant une plage au coucher du soleil.
— Plus rien ne sera comme avant désormais mon chéri, me chuchote-t-elle.— Je sais maman, je sais, lui répondis-je.— Nous venons de franchir l’interdit, et ça doit absolument rester entre nous.— Je te le promets maman, je te le promets.— Merci mon fils adoré. Je ne suis plus seulement ta mère maintenant, et tu n’es plus seulement mon fils. Nous sommes amants.— Rien ne pouvait me faire plus plaisir maman.
Ma mère se lève alors et part en direction de la porte. J’admire à nouveau son corps de déesse sexuelle et auquel j’ai pu enfin goûter et donner du plaisir. Juste avant de sortir, elle se retourne et me dit : un autre jour, nous remettrons ça. D’accord mon chéri ? Je sais que tu en meurs déjà d’envie, mais sois patient. Je dois me remettre de mes nouvelles émotions, mais un jour. Je te le promets.
FIN
Diffuse en direct !
Regarder son live