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Secret médical

Chapitre unique

Inceste
La salle d’attente est vide, j’ai un comme nœud à l’estomac. Ce n’est pas la première fois que je viens dans ce petit centre médical de Moulins mais aujourd’hui c’est un cas spécial. Il est tard, presque l’heure de la fermeture. Soudain, la secrétaire surgit dans la pièce et me fait signe de loin.
— Salut Jérémy, le docteur a fini la dernière visite. Elle range ses papiers. — OK, il n’y a plus personne alors ?— Non, tu peux y aller.
Tandis que je me lève, elle tape sur les touches de son interphone puis décroche :
— Je m’en vais...votre frère est ici.
J’ouvre la porte du cabinet, mais je ne vois personne derrière le bureau. Je m’installe nerveusement en attendant qu’elle arrive. Mathilde finit par entrer dans le cabinet après quelques minutes. Elle dénoue ses longs cheveux et soupire, les yeux fermés se massant le cou. Puis elle se jette sur moi et m’embrasse.
— Bonsoir petit frère ! Qu’est-ce que tu veux ?
Ma sœur Mathilde est l’aînée de notre grande fratrie, et moi je suis le petit dernier. Comme nous sommes cinq frères et sœurs, elle a presque douze ans de plus que moi et a quitté la maison familiale quand j’avais à peine six ans pour commencer ses études de médecine à Dijon. Elle n’est revenue à Moulins que l’année dernière lorsqu’elle a repris ce cabinet médical, mais elle est toujours restée très proche de nous. De part notre grand écart d’âge, nous avons une relation un peu étrange,à mi-chemin entre frère/sœur et mère/fils. Je me suis toujours senti comme son petit protégé et une grande tendresse nous anime.Nous partageons également un autre lien. Nous venons d’une famille pauvre et nous sommes les deux seuls à avoir fait des études dans notre famille. Elle a brillamment finit ses études de médecine générale et moi, plus modestement, j’attaque cette année ma licence de sciences économiques. Elle m’a toujours encouragé à suivre cette voie émancipatrice malgré le fatalisme familial.
— En fait, je suis venu pour te demander conseil…
Percevant ma gène, elle reste silencieuse le temps que je me mette à parler et se contente de s’assoir derrière son bureau, l’air attentive.
— Tu sais, Mathilde, il y a une fille qui me plaît à la fac…— Si tu veux des conseils amoureux, tu t’adresses à la mauvaise personne : ça six mois que je suis seule ! Répond-elle enjouée comme pour détendre l’atmosphère.— Je t’en prie, ne rends pas les choses encore plus compliquées. Tu ne vois pas que je meurs de honte ? Elle voudrait que nous fassions des choses ensemble. Mais je n’ai jamais rien fait, et quand je…me touche… Ça me fait mal.
Je suis rouge de honte. Il me semble qu’elle se retient pour ne pas éclater de rire. Avec un geste professionnel, elle me fait signe de m’étendre sur la table d’auscultation.
— Si je comprends bien, tu as des problèmes avec l’abaissement du prépuce sur le gland. Ne t’en fais pas, c’est une chose très courante pour les jeunes mecs. Baisse ton pantalon que je contrôle on ne sait jamais. Soulagé, j’abaisse mon pantalon puis mon slip. Je tourne alors mon regard vers elle et je me rends compte qu’elle affiche à présent un visage étrange : ses yeux son écarquillés et elle semble stupéfaite. — Mathilde...qu’est-ce qu’il y a ?— Rien, rien. Répond-elle en souriant.— Je vois bien que tu te moques !— Mais non, au contraire. Je suis juste surprise. Tu as vraiment un gros sexe, et j’en ai vu pourtant !— Euh, merci....— Je vois la situation, je vais t’aider. Si tu sens une douleur avertis-moi, que j’arrête vite.
Avec deux doigts, elle saisit la peau de mon prépuce et commence délicatement à la tirer vers le bas. J’attends nerveusement la suite des opérations en observant ma sœur. Elle est brune, les cheveux bouclés, mâte de peau avec un beau visage, un peu gâché par son nez trop long. Mais la chose la plus notable chez elle est son corps magnifique : un mètre soixante-quinze, de longues jambes, deux petits seins fermes, un ventre plat et un derrière majestueux. A travers sa blouse ouverte, je peux apercevoir son pantalon en tissu moulant et son top qui ne cache pas le moins du monde son piercing au nombril. Elle est vraiment bandante. Je sais que je ne devrais pas penser ça de ma sœur... surtout quand elle tient ma bite entre ses doigts, mais c’est plus fort que moi. Délicatement, elle finit d’abaisser mon prépuce et découvre entièrement mon gland. Elle ne m’a pas fit mal du tout, bien au contraire. Le fait est que mon pénis grossit à vue d’œil et qu’elle doit maintenant le saisir non plus avec deux doigts mais avec toute sa main.
— Eh ! Mais qu’est-ce qui se passe ? Demande-t-elle en faisant semblant d’être en colère. Alors petit frère, tu me prends pour ta petite copine ?— Excuse-moi Mathilde, mais....— Ce n’est rien, je plaisante! C’est une réaction normale...mais évite de penser à ta belle pendant que je t’examine.— En réalité...je ne pensais pas à elle. Dis-je en rougissant.
Il y a un instant de silence embarrassant. Ensuite, comme si de rien n’était, Mathilde commence à bouger la main sur mon sexe de haut en bas... elle me branle! Très scientifiquement, mais elle le fait !
— C’est mieux que tu t’habitues à la dilatation du prépuce... ensuite, avec la lubrification, ce sera encore plus facile. J’y vais doucement pour que tu n’aies pas mal.
Sa main assume un rythme constant mais très plaisant, qui m’électrise tout le corps. C’est la première fois qu’une fille me fait cela...et c’est ma propre sœur ! Je ne peux pas le croire ! Je ferme les yeux et abaisse les bras. Ma main droite rencontre quelque chose...oh mon dieu, c’est son cul ! Sans le vouloir, je saisis une fesse. Je n’ai jamais senti quelque chose d’aussi doux. J’ai un peu peur de sa réaction, mais elle ne fait rien pour se déplacer. Au contraire, elle continue à me branler d’une main, et de l’autre elle soupèse mes boules. Ma bite est maintenant complètement raide...entre temps, je continue mon exploration de son derrière, j’arrive charmé au tissu de la culotte et je glisse dans le vallon. Ma sœur accélère le mouvement, en maintenant toujours un rythme léger et doux.
— Petit, je me fatigue ! Que dirais-tu si on s’arrêtait ici ?— Non, je t’en prie Mathilde ! Tu ne peux pas me laisser comme ça...— Bon...c’est vrai que tu es excité...mais avec la masturbation, je n’ai pas réussi à...— Trouve une solution je t’en pris. Je ne peux pas retourner à la maison dans cet état !
Elle me regarde sérieusement dans les yeux.
— Je veux bien t’aider mais il ne faudra en parler à personne !
J’acquiesce nerveusement tandis elle se penche entre mes jambes et commence à effleurer mon gland du bout des lèvres. Après quelques caresses sensuelles, elle finit par l’avaler tout entier et descend le long de ma colonne de chair. De temps en temps, elle s’arrête pour me lancer de longs regards avec ma queue en bouche. J’aurais envie de la saisir par les cheveux et de la baiser avec la bouche, mais je n’ose pas. Maintenant Mathilde commence à lécher ma verge avec la pointe de la langue, comme si c’était une énorme sucette. Elle titille le gland avec la langue et le gobe tout en souriant. Je sens que mes boules gonflent mais je ne réussis pas à venir, je suis trop tendu. Après plusieurs minutes infructueuses, elle comprend et se relève.
— Mais qu’est-ce que je dois faire pour que tu jouisses ? Tu défies mes qualités professionnelles ! Bon, il ne reste qu’une seule solution...
Rapidement elle retire sa blouse, et fait tomber son pantalon au sol. Je vois, stupéfait, sa petite culotte noire, visiblement mouillée avant qu’elle ne la retire, me dévoilant sa jolie petite chatte bordée de poils noirs et frisés.
— Regarde comme tu m’as excité ! Maintenant, je suis toute mouillée...
D’un seul geste, elle soulève son haut, dévoilant ses petits seins. Ensuite elle me monte à califourchon et plaçant sa chatte poilue et bouillante devant mon sexe. Elle voit mon regard apeuré et me caresse la joue.
— Ne t’inquiète pas, je m’occupe tout. Murmure-t-elle tout doucement.
Elle se relève majestueusement et s’assied sur moi. Lentement, sa chatte enveloppe mon pénis de puceau. Je sens les parois chaudes et humides du sexe de ma sœur qui m’enveloppent en me faisant éprouver des sensations jamais senties jusqu’alors. Lorsque j’arrive au fond de son vagin, elle gémit de plaisir.
— Ohh... ouiii... tu as vraiment une belle bite Jérémy ! Tu me remplis bien...aaaahhh!
Elle commence à monter et descendre lentement. Elle me prend les mains et il me fait tirer ses mamelons gonflés.
— Ça te plaît trésor ? demande-t-elle avec une voix chaude et sensuelle pendant qu’elle me chevauche.
Je commence à répondre à ses mouvements. Après un moment, nos deux corps unis sont moites de sueur et bouillants d’excitation. Ma sœur de temps en temps change le rythme, elle s’abaisse en avant pour me faire lécher ses seins, elle me passe les mains sur la poitrine et sur le visage. Je saisis les fesses bien fermes.
— Oh, c’est bon! Aaaahhh! Elle te plaît ma chatte, hein ?— Oui, c’est trop bon ! Ne t’arrête pas...aaahh, oui...continue !
Elle vient dans un orgasme hallucinant, en hurlant comme une damnée, mes jambes sont baignées par une mer de cyprine. Maintenant, je sens l’orgasme arriver:
— Ahhh! Je vais jouir... — Viens en moi...je prends la pilule, ouiii !!!
C’est la goûte qui fait déborder le vase. Je viens dans son ventre en déversant un fleuve de semence, qui sort ensuite de sa chatte et coule sur mes couilles. Elle s’abat sur moi, et le monde disparaît pour cinq bonnes minutes et je m’écroule inconscient. Après un moment, je récupère et vois Mathilde qui est maintenant vêtue. Elle a un sourire sur les lèvres, et la fatigue a abandonné son visage.
— J’ai finalement résolu ton cas clinique ! Maintenant c’est mieux que tu retournes à la maison, autrement maman et papa vont s’inquiéter. Et surtout ne dis rien à personne, c’est notre secret !
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