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La secrétaire, la doctoresse et moi

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Pour commencer, je suis un homme de 20 ans brun, yeux bleus, 1m80 et assez athlétique musclé, bien bronzé aussi. On ne va pas se mentir j’ai le corps qui rend jaloux tous les hommes à la plage ou à la piscine l’été, le corps que tout le monde pour draguer !Je me réveille un matin avec toujours des douleurs en bas du ventre, cela fait quelques jours que des douleurs persistent au niveau du bas-ventre et descendent même au niveau des testicules. Il fallait que je voie mon médecin mais c’était une femme, j’avais cette gêne d’en parler à cette femme.La concernant c’est une jeune doctoresse, 30 ans, brune aux yeux verts, 1m60 à peu près et des formes généreuses.Mais la douleur fait que je me sens obligé d’appeler !J’appelle donc le cabinet et tombe sur la secrétaire pour le coup elle à environ 40 ans, blonde avec de longs cheveux attachés en queue-de-cheval et des yeux verts, plutôt pas mal pour une femme de 40 ans elle fait 1m65 environ et a aussi de belles formes !
Après un court entretien téléphonique le rendez-vous est pris pour le lendemain.Donc le lendemain arrivé au cabinet, je rentre et pars voir la secrétaire, étant donné que ça fait longtemps que je la connais car c’était une amie de ma mère on se fait la bise !
— Salut, Maxime tu vas bien ?— Salut Véro, pas trop si je suis là mais au sinon bien et toi ?— Bien, va en salle d’attente, Sylvia s’occupe d’un dernier patient et elle te reçoit.— Merci.
Plusieurs fois je pus m’empêcher de regarder vers Véro pour l’admirer, elle est vraiment magnifique, elle porte des lunettes qui lui donnent vraiment cette allure de secrétaire avec un décolleté pour mettre en valeur sa magnifique poitrine, un visage à peine maquillé et un rouge à lèvres qui mirent en valeur sa magnifique bouche pulpeuse, elle porte une robe courte et des longs collants qui mettent en valeurs ses magnifiques jambes, elle me sourit plusieurs fois d’ailleurs.Quelques minutes plus tard, elle me reçoit !
— Salut Maxime, Véro m’a expliqué que t’avais quelques douleurs. Viens m’expliquer. Me lança-t-elle avec son sourire radieux. Elle aussi magnifique avec sa blouse de docteur, et ses jambes mises en valeur par des collants !— Oui c’est ça, c’est un peu gênant à en parler mais depuis quelques jours j’ai des douleurs en bas de mon ventre et ressens même de vives douleurs au niveau de mes... Testi...— Testicule ?— Oui voilà— OK et tu as du mal à uriner ?— Non.— As-tu eu des rapports ces derniers jours ?— Non.
— Un si beau garçon comme toi va me faire croire ça ?
Je rougis.
— Désolé pour la gêne, je n’aurais pas dû te dire ça, viens t’allonger sur la table mais au préalable, tu peux enlever ta chemise et ton pantalon ?— Euh... Oui.
Une fois mis en caleçon, j’étais toujours gêné car on pouvait clairement mon paquet, même si je ne bandais pas.Je m’allongeai sur la table et l’entendis arriver.
— OK très bien je vais essayer de voir si au niveau de ton bas de ventre si tu as une anomalie.
Ses mains toutes douces, se posèrent sur mon ventre à quelques centimètres de mon caleçon et parcoururent en long large et travers mon ventre en appuyant sur certaines zones et on me demanda si cela me faisait mal.
— Ici oui quand tu appuies je ressens une douleur.
Cette zone était proche de mon caleçon, à seulement quelques centimètres, elle massa cette zone plusieurs fois, appuya.
— Au toucher je ne vois pas d’anomalie particulière, à part un beau corps.
Je rougis encore un peu.
— Ah excuse-moi j’avais oublié que tu rougissais, bon à part ça, tu vas bien à la selle ?— Oui.— OK je vais te donner des médicaments et tu vas sûrement devoir faire des examens.— D’accord et...  ?— Concernant tes douleurs aux testicules, cela devrait être vu par un homme, mais tu te doutes bien que ma remplaçante ne peut rien y faire non plus, je pourrais t’envoyer voir un médecin à l’hôpital mais pas sûr que tu puisses en voir un de suite, et vu que je comprends ta souffrance au niveau de douleurs, ça ne me gêne pas de voir.
À l’annonce de ces paroles, je rougis encore un peu plus et une bosse se dessina à travers mon caleçon.Elle le remarqua et eut un petit sourire.
— Tu sais ça fait partie de mon métier, c’est comme tu le souhaites mais laisse-moi faire. Pourquoi tu es gêné ? Je te plais.
Me dit-elle en reposants sa main sur mon bas-ventre et en faisant des petites caresses comme pour me réconforter.
— Euh... Oui... Enfin... Tu es une belle femme et la situation est cocasse.— Merci du compliment, tu es un beau garçon aussi mais l’on parle d’une douleur que tu as.— D’accord... Tu peux... Regarder alors.— Baisse un peu ton caleçon.
Je baissai mon caleçon et elle me l’ôta même, je commençais un peu plus a bandé et cela me gêner je savais plus où regarder.Je vis juste son étonnement à la vue de mon membre.
— Tu n’as pas à t’inquiéter c’est tout à fait naturel, reste calme, ça ne doit pas être la première fois qu’on te voie nue non ?— Certes... Mais tu es mon médecin et une si belle femme que toi... Euh... Non rien...
Elle lâcha un petit rire puis commença à poser une main sur un testicule, la sensation de ses doigts doux et si proches de mon pénis, me donna un frisson dans le corps.Elle commença par les observer puis les malaxer.
— Je ne vois rien de particulier non plus... Pour le coup je ne sais pas quoi te donner pour ce genre de douleur. Laisse-moi juste revenir un instant, je dois aller voir quelque chose.
Elle sortit de la pièce et revint quelques minutes plus tard, mon érection avait pu diminuer.
— Bon, j’ai demandé à Véro et après toi je n’ai plus de patient...— Ah bah tant mieux pour toi, ta journée va se finir !— Oui enfin... Pour tes douleurs je te propose un massage, peut-être que ça va te calmer.— Un... Un massage ? C’est... à dire ?— Ne sois pas bête, tu vois là où je veux en venir, si ça ne te dérange pas Véro va venir dans la pièce, elle doit me parler.— Euh ?... D’accord mais je suis... Nue.
Tout aller si vite et j’allais à présent me retrouver avec deux des plus belles femmes que je connaissais actuellement. Mais pas le temps de penser à quoi que ce soit que Véro était déjà là et elle ferma la porte à clé.
— Re bonjour Maxime.
Son regard se dirigea vers moi.
— Euh waow Maxime je ne m’attendais pas à te voir comme ça.— Tu ne lui avais pas prévenu que j’étais nue ?— Si elle doit juste être étonnée comme moi de ce beau corps que tu as.
Et mon érection reprenait de plus belle.
— Eh ben pour le coup on peut dire ça oui elle ne m’a pas menti tu es bien foutu.
Les deux femmes s’approchèrent de moi et Sylvia posa ses mains sur mon corps et commença un massage au niveau du ventre et de mes testicules.Ses mains étaient tellement douces que j’étais aux anges, je ne pensais plus à rien et mes yeux se fermèrent de bonheur. A ne plus entendre leurs paroles et seulement savourer ce moment particulier.Puis d’un coup je sentis une deuxième main me masser, j’ouvris les yeux et je vis Véro me masser aussi.
— Euh... Je suis chanceux là...— Oui tu es un patient particulier aujourd’hui, ça te soulage au moins ?— J’ai toujours mal, je pense que je devrais aller à l’hôpital passer des examens.— Pas de suite alors on va essayer autre chose.
Sylvia baissa la tête et commença à me sucer les testicules, les lécher tout en continuant de les masser.
— Euh... Wow c’est bon.
Véro monta sa main sur mon pénis et commença à le masturber délicatement, puis s’approcha aussi et commença à m’embrasser le pénis et donner des coups de langue magistrale.J’avais actuellement deux femmes magnifiques qui me léchaient et me sucaient.
— Vraiment chanceux aujourd’hui alors...
Véro accéléra ses mouvements et sans que je le visse arriver j’éjaculai dans sa bouche...
— Ahhhh désolé je ne voulais pas c’est venu trop vite.
Les deux femmes s’arrêtèrent et s’embrassèrent langoureusement.Véro : Bon, je reviens dans quelques minutes, je vais fermer le cabinet et ranger mon bureau.
— Sylvia : OK reviens vite.— Merci de ce moment, je crois il va être l’heure de partir.— Comment ça ? Ça fait que commencer...
Sylvia monta à califourchon sur moi et un baiser langoureux commença, en même temps je lui déboutonnais sa blouse et mes mains se retrouvèrent vite sur son corps nu !Ses seins étaient magnifiques au moins un 90C
— Wow tu es sublime Sylvia.
Je fis courir mes mains le long de son corps tout en continuant le baiser, je me levais donc et l’allongea sur la table et commença à lui lécher tout le corps avant de m’attaque à son clitoris, au même moment la porte s’ouvrit et je sentis sous la table une bouche reprendre mon sexe en bouche, nos ébats durèrent quelques minutes.Sylvia : Maintenant prend moi j’ai envie de toi.Véro se releva et je vis son magnifique corps nu et son 100D au moins, je l’embrassai et me retournai vers Sylvia et commençai à la pénétrer ! Ses mains entourèrent mon torse et mes mains sous ses cuisses, me permirent de la soulever et de la baiser debout contre un mur, notre ébat était animal, ses ongles s’enfoncèrent dans ma peau.Véro quant à elle, s’était collée à mon corps nu, je sentais sa peau contre la mienne, et ses mains passèrent de l’autre côté, l’une de ses mains se faisait sucer par Sylvia et l’autre parcourut mon corps et ma bouche aussi.Sylvia : Oui... Ouiiii je vais jouir.
— Moi aussi j’arrive ahhhhh.
Et tous les deux nous jouîmes et une quantité impressionnante de mouille sortit d’elle, elle était donc fontaine. Véro qui avait dégagé les dossiers du bureau me fit signe de venir, je posai Sylvia dessus, et grimpai en elle, elle me prit en bouche pendant que Véro s’affairait à la lécher.Véro : Ah mon tour Sylvia je veux notre étalon en moi,Véro se posa sur le bureau et je m’avançais devant elle et commençai à la pénétrer, je m’allongeais sur le bureau et Véro était sur moi et mener les mouvements, Sylvia étaient venue au-dessus de moi et pendant que la léchèrent elle échangea avec Véro un long baiser.Après plusieurs minutes d’ébats, Véro eut aussi en orgasme en même temps que moi. A présent, les deux femmes étaient allongées sur le bureau cuisse en l’air et je venais dans l’une et dans l’autre.Sylvia : J’ai une idée Véro vient en 69 et max vient dans l’une ou dans l’autre.
On s’exécuta et les voilà en 69 pendant que moi je pénétrais l’une puis l’autre accompagner des coups de langue qui prodiguer un cunni et en même temps me toucher. Au bout d’un long moment à inverser les rôles, et de plusieurs autres éjaculations, je tombai sur la chaise à nu plus en pouvoir. Les deux femmes étaient quant à elles aussi fatiguées par ces ébats ! Elles se relevèrent et vinrent toutes les deux me prodiguer une dernière fellation.
— C’était ouf j’ai plus mal maintenant je crois.— Sylvia : Ahah, c’était vraiment chaud je vous aime tous les deux.— Véro : Merci de ce moment, mais maintenant il est quelle heure ?
On se leva tous les trois la tête vers l’horloge et distingua 21H cela faisait donc 3H que nous étions là.
— Véro : Quoi déjà ? Mais mon mari doit s’inquiéter.
Elle prit son téléphone et vit trois appels manqués, paniquée elle appela et lui dit qu’elle avait trop de dossiers, elle lui dit aussi qu’avec tout ça elle n’a pas eu le temps de dîner et qu’elle va dîner avec Sylvia.
— Véro : Bon, tous les trois si on allait manger un bout ?— En effet j’ai faim.— Sylvia : Moi aussi.
Après s’être rhabillée chacun on échangea un baiser un trois avant de partir manger au restaurant.A suivre...
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