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Secrète Connexion

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je m’appelle Evan. J’ai vingt-cinq ans et je suis vierge. Enfin, presque. Je peux l’avouer ici, je collectionne les jouets érotiques. Vaginettes, masturbateurs, simulateurs de prostate... J’en ai toute une armoire pleine. J’ai pour habitude de m’en offrir un nouveau pour me récompenser lorsque je pense le mériter, ou lorsque j’ai besoin de me remonter le moral. J’aime particulièrement les jouets anaux. J’aime passer mes soirées face à mon miroir, admirant mon corps nu et sans poils, me masturbant le pénis et l’anus durant des heures.
Depuis quelque temps déjà, je ne vais pas très bien. Mon étourderie me crée des inimitiés au bureau et je me pose des questions sur mon choix de vie solitaire. Alors, je traîne dans cette boutique érotique dont je connais chaque rayon par cœur. Je ne sais plus quoi acheter. Une vendeuse s’approche de moi. Avec ses formes généreuses dans son corset noir, sa jupe en latex et son collant résille, j’imagine qu’elle doit en émoustiller plus d’une et plus d’un. Mais moi, je ne pense qu’à retourner chez moi, me caresser.
— Bonjour. Vous trouvez votre bonheur ? Oh... Laissez-moi vous proposer quelque chose...
Elle passe devant moi. Je la suis. J’admire sa démarche toute en ondulations sensuelles. J’essaie de l’imiter. C’est agréable de marcher comme ça. On se sent léger. Pauline me connaît bien. Je suis un client régulier. Lorsqu’elle se retourne vers moi, elle tient dans ses mains l’objet sous blister qu’elle est décidée à me vendre.
— Je pense que ceci est fait pour vous.— Un plug anal...— Oui, mais connecté. Il est vendu avec une appli.— Une appli ? Pourquoi ?— Faîtes-moi confiance. Laissez-vous surprendre.
Je prends la boîte et regarde l’objet sous tous les angles. À première vue, c’est un banal plug anal comme j’en ai déjà deux douzaines dans mon armoire. Il a une belle forme et j’aime la couleur irisée de son extrémité, c’est d’accord. Mais ce n’est pas ça qui va me décider à l’acheter. En revanche, le ton mystérieux de Pauline et son « laissez-vous surprendre » m’intriguent. C’est exactement ce dont j’ai besoin pour me tirer de ma déprime. Quelque chose de surprenant. Je la suis jusqu’à la caisse et alors que je viens de payer, voilà qu’elle tend la main.
— Donnez-moi votre smartphone. Je vais vous installer l’appli.
J’hésite. Je déteste que l’on touche les objets qui m’appartiennent autant que je déteste que l’on me touche. Je sors mon téléphone de ma poche, l’allume et le pose sur le comptoir, devant elle.
— Hmm... C’est vous sur la photo en fond d’écran ? Vous êtes vraiment charmant. J’adore votre style.
Je la surveille d’un œil méfiant pendant qu’elle télécharge l’appli. Puis elle la démarre et active sa fonction dont j’ignore encore tout à cet instant. Elle me rend mon smartphone avec un sourire complice.
— Voilà. Maintenant, rentrez chez vous. Introduisez votre plug et... Sortez.
— Tout ça est bien mystérieux, Pauline.— Vous ne le regretterez pas, Evan. N’oubliez pas de bien lubrifier avant.
Et me revoilà chez moi, nu face à mon miroir. Je tiens le plug à bout irisé dans ma main. J’hésite à l’introduire. J’aurais peut-être mieux fait de m’offrir des collants résille comme ceux de Pauline. Pourquoi ne pas porter de temps à autre des dessous et des vêtements féminins ? Pourquoi ne pas assumer davantage mon côté androgyne ? Je ne ressens rien d’inhabituel lorsque je pousse le plug à l’intérieur. Il se loge sans complication dans mon rectum. Je me tourne pour l’admirer entre mes fesses. Je me tortille et le triture pour en tester les sensations. J’attends toujours la surprise promise.
J’allume mon smartphone et tente de démarrer l’appli. Elle n’affiche que le logo du fabricant. Déjà cassé ? Pauline a dit : - Sortez. Alors je me rhabille. Et je sors. J’aime me promener pluggé au milieu des passants. C’est si excitant de les regarder dans les yeux et de serrer à ce moment précis mon sphincter anal sur mon vicieux petit secret. Plus d’une fois, j’ai joui ainsi, au milieu d’eux.
J’ai envie d’une glace. J’ai envie de lécher au milieu de la foule. Il y a justement là, sur cette place, un excellent glacier. C’est le patron lui-même, Jean-Paul, qui sert ses glaces maison devant sa boutique. Tiens ? Qu’est-ce que c’était ? J’ai l’impression d’avoir ressenti une vibration dans mon rectum. Je salue Jean-Paul et lui commande une glace, hmm... Framboise pistache. Et en cornet, s’il vous plaît. Jean-Paul enfile ses gants et me sert généreusement. Je le paie en sans contact. J’aime le sans contact. Ai-je rêvé ou Jean-Paul vient-il de me faire un clin d’œil ? A-t-il remarqué quelque chose ? Est-ce que je lui plais ? C’est un bel homme d’âge mûr. La cinquantaine, bien conservé, certainement sportif. Aimerait-il me prendre en corset noir et collant fendu ?
Je poursuis mes déambulations. Je ressens une nouvelle vibration. Cette fois, j’en suis certain, c’est bien mon plug qui a vibré. Comme s’il réagissait à quelque chose. Peut-être à quelqu’un ? Une jeune femme de mon âge me dévisage et me sourit. Comme moi, elle a un style androgyne. Fine silhouette, cheveux très courts et beaux yeux clairs surmontés d’épais sourcils bien dessinés. Les petits tétons, d’une poitrine que l’on devine menue, pointent derrière son débardeur. Elle me ressemble. Elle me plaît. J’ai envie de la suivre. De son pas léger, elle m’entraîne dans une ruelle transversale déserte. Elle s’arrête dans un recoin sombre, loin des caméras de vidéosurveillance. Elle me jette un regard amusé par-dessus son épaule. Elle porte un legging noir qu’elle abaisse lentement. Entre ses fesses dénudées, derrière la ficelle de son string, scintille les reflets irisés d’un plug anal identique au mien.
— Evan, tu me plais.
Comment connaît-elle mon prénom ? Je comprends soudain et allume précipitamment mon smartphone. La fameuse appli se lance automatiquement. Le logo du fabricant fait place à une carte du quartier. Un point rouge indique ma géolocalisation. Je zoome sur le second point rouge devant moi. Une fenêtre indique : Judith. 24 ans. Bisexuelle. Célibataire.
— Judith... Tu me plais aussi. — Viens ! Je vais te présenter à notre communauté. — Une communauté ? La communauté de l’anus ?— Tu n’es pas le premier à la faire celle-là!
Nous arrivons devant un immeuble du dix-neuvième siècle. Quatre étages. Et au rez-de-chaussée, un bar banal en apparence. L’enseigne en drapeau indique simplement PUB en lettres blanches sur un fond noir. Dès mon entrée, la barmaid consulte son smartphone.
— Bienvenue... Evan. Le premier verre est gratuit pour les membres de notre communauté. Qu’est-ce que je te sers ?
Je choisis un Gin Tonic. Judith préfère un thé vert. Je devrais peut-être l’imiter. Je suis surexcité par ce qui est en train de m’arriver. Je jette un coup d’œil à mon smartphone. Il me confirme que la barmaid (Jessica, 32 ans, lesbienne, en couple) et tous les clients présents dans le bar sont pluggés. Je reste muet, ne sachant par où commencer, alors que tant de questions se bousculent dans ma tête. C’est Jessica qui brise le silence.
— Evan ? Judith ? Tout le monde est prêt, là-haut. Ils n’attendent plus que vous.
Judith se lève. Je l’imite et la suis. Je suis excité. Des frissons d’excitation parcourent mes testicules. Je me doutais bien que ce bar n’était qu’une façade. Nous passons une porte qui donne sur un petit couloir avec deux autres portes au fond. Sur celle de gauche, un petit panneau indique les toilettes. Judith ouvre celle de droite, donnant sur une cage d’escalier. Une femme portant un foulard de soie mauve sort des toilettes et nous suit. Je me dis qu’elle doit être la femme de ménage. Nous grimpons les marches quatre à quatre et nous débouchons sur un long corridor. Moquette rouge et éclairage tamisé. En passant, j’admire un tableau représentant deux jeunes filles nues jouant du piano fesse contre fesse.
Je consulte l’appli. Le plan de l’étage est constellé de points rouges. Celle que j’avais prise hâtivement pour la femme de ménage est également identifiée. Saliah, 42 ans, hétéro, libre. Je réalise que je ne suis pas exempt de préjugés et me sens un peu honteux.
Judith me fait entrer dans une salle sombre. Sous la faible lueur de quelques candélabres électriques, je distingue ce qui ressemble à une piste de danse. Elle est encadrée de deux rangées de canapés. Les silhouettes affalées de ceux qui m’attendent me dévisagent. Le rythme lascif d’une musique orientale se fait entendre et monte doucement en puissance. Saliah va danser au milieu de la piste et se déshabille dans un strip-tease élégant. Je suis fasciné par le mouvement de ses fesses, entre lesquelles brille le fameux cercle irisé.
— Tu es encore habillé ? Allez ! Fais comme nous !
Judith se déshabille devant moi, puis m’aide à retirer mes vêtements qu’elle jette sur un tas. J’ai envie de la serrer dans mes bras, de coller ses tétons contre les miens. Elle me pousse vers un canapé libre et va s’asseoir à l’opposé. Une silhouette masculine se lève et s’installe à mes côtés.
— Content que tu sois des nôtres. Saliah est vraiment douée, tu ne trouves pas ?
Je reconnais Jean-Paul, le glacier. Nu, il est tel que je l’imaginais. Musclé, avec un peu de ventre. Lorsqu’il se tourne vers moi et pose son bras sur mes épaules, le gland décalotté de son phallus noueux tombe sur ma cuisse. J’ai envie de le soupeser, de le palper. La musique s’arrête. Jean-Paul me fixe de ses yeux brillants. Il attend la fin des applaudissements pour poursuivre. Il s’est levé et me fait face. Son sexe levé est à la hauteur de ma bouche. J’ai envie de l’attraper entre mes lèvres.
— Bienvenue dans notre communauté de libres baiseurs, Evan. Nous tous ici réunis, tous ensemble, avec les membres de notre communauté qui ne sont pas dans cette pièce, nous menons une quête. La quête de la recherche effrénée du plaisir intense et perpétuel. Veux-tu nous accompagner dans cette quête, jeune écuyer ?— Oui, je crois. Que faut-il faire ?— Baiser ! Rien d’autre que baiser. Avec qui tu voudras et qui te voudra. Quels que soient ton orientation et tes goûts, tu trouveras parmi nous des amantes, des amants, des complices qui jamais ne te jugeront. Nous t’aiderons à réaliser tes fantasmes si tu participes à la réalisation des nôtres. Ensemble, nous atteindrons les sommets de l’extase. — Quel moulin à paroles, le coupe un homme dont la voisine et le voisin caressent ensemble les parties intimes. Abrège, tu veux ?— Nous avons toute la nuit devant nous mon cher Jamel, mais soit, j’abrège. Evan, on m’a dit de te demander de mettre à jour ton profil dans notre appli. Nous ignorons ton orientation sexuelle... si tu veux bien nous la confier.— Je suis bisexuel.— Comme beaucoup d’entre nous. Tu aimes goûter à tout, gourmand apollon.
Face à l’aplomb de Jean-Paul, je réalise à quel point je suis inexpérimenté. Et que la vie solitaire que je mène n’est plus ce que je désire. Pour la première fois, j’ai envie de me mêler aux autres.
— Et maintenant Evan, es-tu prêt pour notre rituel d’initiation ?
Un sentiment d’angoisse m’envahit soudain. Un rituel ? Que veut-il dire par là ? Une sorte de bizutage ? Et si tout cela était un piège ? Et si j’étais tombé dans une secte ? Voilà que je tremble un peu. Difficile de garder de sa contenance lorsque l’on est assis nu au milieu d’inconnus dont les intentions sont aussi explicites.
— Que... dois-je faire ?— Nous te demandons simplement d’embrasser notre rose à tous, afin de valider ton entrée dans notre communauté.— Votre... rose ?
La femme qui était assise à ma droite, et à laquelle je n’avais pas encore prêté attention, se lève d’un bond. Sa belle chevelure dorée masque son visage. Ses seins un peu flasques se balancent lourdement lorsqu’elle se penche. Fesses écartées, elle me présente son anus. Elle vient de retirer son plug, aussi est-il encore ouvert. Je ferme les yeux et me laisse emporter par la vague de désir qui m’envahit soudainement. Je pose mes lèvres sur sa rose plissée et y dépose un long baiser. Je suis surpris par la chaleur de ce corps et je me dis que je ne pourrais plus jamais trouver de plaisir avec mes jouets sexuels si froids. J’ai envie de rester contre ces fesses pendant des heures. Je veux y enfouir ma tête et ne plus les quitter. Un petit pet, suivi d’un rire cristallin, me ramène à la réalité.
— Oh excuse-moi ! Tu es si doux... Je suis Annabelle. Enchantée.
Les autres membres de la communauté se sont levés. Ils retirent leur plug et me tendent leurs fesses, attendant mon hommage. Un à un, je les embrasse. Quelle charmante façon de faire connaissance ! Je m’applique tout particulièrement lorsque vient le tour de Judith, de son cul si fin, si ressemblant au mien. La belle voix grave de Jean-Paul vient couvrir son faible gémissement.
— À notre tour de te souhaiter la bienvenue.
Il m’invite à reprendre ma place sur le canapé. Il retire délicatement mon plug. Il lève mes jambes et avance sa tête entre elles pour déposer son baiser. Son nez viril s’enfonce entre mes bourses. Il laisse ensuite la place à un autre homme, trentenaire à la peau mate et au sexe court.
— Je suis Marco. Enchanté.
Ils défilent les uns après les autres, me baisent l’anus et se présentent. Judith vient s’asseoir à mes côtés. Après avoir posé une main caressante sur mes testicules, elle entreprend de me sucer avec application. Je découvre la chaleur humide de sa bouche, le doux contact de ses fines lèvres et de sa langue. Je regarde chaque corps avec gourmandise. J’ai envie de les toucher tous, de les prendre et d’être pris par chacun d’entre eux. Combien de fois ai-je éjaculé cette nuit-là ? Six ou sept fois, je crois. Frénétiquement, je tentais de rattraper toutes les années passées à me donner du plaisir en solitaire. Une idée aussi absurde qu’épuisante.
Pauline nous rejoint au milieu de la nuit. Elle porte toujours son corset noir, son collant fendu et rien d’autre. Je viens tout juste de récupérer de ma troisième éjaculation et je bande à nouveau. Je suis brûlant. Mon torse est couvert des sueurs de divers participants et de mon sperme. Pauline y trempe un pied qu’elle me fait lécher. Puis elle va s’empaler sur ma queue et me chevauche avec classe. Une mamie punk à la crinière blonde sauvage, mais à la toison grise, vient coller son ventre mou contre ma bouche. Je taquine son clitoris du bout de la langue puis goûte son abricot. Pauline l’invite à la remplacer. La punk se tourne, dévoilant son dos et son cul tatoués. Elle extrait son plug qu’elle dépose dans ma bouche et me prie de l’enculer.
À l’aube, on me propose de prendre une douche avant de partir. Jean-Paul m’y rejoint et me laisse le prendre avec fougue. Pour finir, nos deux pénis explosent l’un contre l’autre entre les lèvres poisseuses d’Annabelle. Nous nous embrassons. Nous nous lavons. Et c’est la fin de cette très longue nuit.
Aux premières lueurs de l’aube, je regarde avec une pointe de tristesse nos petits points rouges s’éloigner les uns des autres sur l’écran de mon smartphone. Je retrouve mon appartement, m’écroule tout habillé sur mon lit et m’endors aussitôt.
À mon réveil, le lendemain vers midi, je sens immédiatement la délicieuse sensation. Mon plug anal connecté est toujours bien en place. Me voilà rassuré. Je sais que je n’ai pas rêvé.
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