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Secrets de confession ...

Chapitre 3

Erotique
Lorsque j’arrive au bout du couloir, Lucette n’est plus là ! Qu’est-elle devenue ? J’entrouvre la première porte sur ma droite qui donne sur un petit salon privé. J’y jette un œil et y découvre une femme le dos collé à une croix de Saint-André, bras et jambes écartés et attachés aux montants. Ce n’est pas Lucette mais une blonde mature plantureuse. Un homme d’un certain âge, que je pense être son mari, la fouette doucement avec un martinet aux lanières de cuir. La dame semble apprécier ce châtiment car elle se trémousse de plaisir malgré les liens qui lui entravent les poignets et les chevilles. Deux autres hommes à poil, la cinquantaine, sont debout près du couple et se branlent.Je comprends vite que ce n’est là qu’un jeu pour eux car les coups sont vraiment légers même si les cuisses et les seins de la belle sont zébrés de quelques marques rouges. Prenant les voyeurs présents à témoin, le mari dit à sa femme— Tu m’as trompé avec le concierge de notre immeuble et tu n’as là que la juste punition que tu mérites.et il poursuit— Si tu aimes la queue, tu vas en avoir ! Je vais te faire baiser ici par tous ceux qui en ont envie.Sur ces paroles, il donne un préservatif à chacun des deux autres hommes. Le plus petit des deux, rapide comme l’éclair ce qui dénote sans nul doute une longue pratique de ces jeux libertins, encapuchonne sa bite et s’avance vers la femme dont les jambes grandes ouvertes laissent voir une chatte déjà bien luisante de mouille. L’homme se colle à la blonde, plaque ses mains sur les fesses et s’introduit d’un puissant coup de queue. Je referme la porte et laisse le petit groupe à sa symphonie érotique ; le mari dans le rôle du chef d’orchestre, les deux hommes dans celui des musiciens et la femme dans celui de l’instrument de plaisir. Je pousse une seconde porte et glisse la tête à l’intérieur de cette nouvelle pièce plongée dans la pénombre. Une jeune femme brune me tourne le dos, arque boutée contre la paroi située face à elle. Elle est perchée sur de hauts escarpins qui lui font de sublimes jambes, d’autant plus sublimes qu’elles sont parées de fins bas noirs. Un string assorti met ses fesses en valeur, une superbe croupe. Que Dieu me pardonne mais elle a un cul à damner tous les saints ! Le haut de son corps est habillé d’un chemisier noir transparent, elle ne semble pas avoir de soutien-gorge.Un homme est près d’elle et la caresse avec lenteur. Sa main caresse les cheveux, descend sur la nuque puis suit la colonne vertébrale. Les doigts flattent maintenant la croupe, se glissent entre les deux globes fessiers et s’agitent dans le sillon culier. L’homme dit alors à la femme— Tu frétilles du cul petite salope ! Je suis sûr que tu as envie de te faire enculer.Puis il l’oblige à se retourner et je peux alors découvrir le côté pile de la jolie brune. Elle a un joli visage mais fardé de manière provocante avec une bonne couche de fond de teint, du mascara noir sur les cils, du fard à paupières un peu vif et un rose à lèvres très voyant. Elle ne porte effectivement pas de soutien-gorge et n’en a nul besoin puisqu’elle est plate comme une limande. Lorsque mes yeux descendent sous son nombril, je découvre alors un service trois pièces et rit en moi-même de m’être ainsi laissé avoir. Oui, ce n’est pas une jeune femme mais un jeune travesti, la queue encagée dans une prison d’acier. Je dois toutefois avouer que plus d’un se serait fait avoir comme moi !L’homme oblige maintenant sa femelle, puisqu’il faut tout de même bien l’appeler ainsi compte tenu des circonstances, à se mettre à genoux. Elle s’exécute aussitôt et, deux secondes plus tard, la voici en train de prodiguer une fellation avec application. L’homme me dit alors— Tu devrais l’essayer, elle suce bien mieux qu’une femme !Je le remercie d’un signe de la main et d’un grand sourire puis referme la porte, laissant le duo jouer sa partition ; une sonate pour flûte à bec si j’en crois les premières notes ! Lorsque je pousse la troisième porte, une bouffée de chaleur me saisit au visage et manque de me faire suffoquer. Mais je suis enfin rassuré ; Lucette est là, allongée sur l’un des bancs du sauna. Sa lingerie est bien pliée et posée à ses pieds, elle est entièrement nue. Je suis un peu surpris car elle est seule ; les hommes préfèrent peut-être les chaleurs moins étouffantes et donc plus propices aux jeux débridés. La pièce est relativement petite et ne comporte que deux bancs en bois exotique placés en escalier.Lucette est alanguie sur celui du haut, les yeux fermés. Son corps est recouvert de fines gouttelettes d’eau comme si elle était endormie nue sous la rosée du matin. Avant de m’allonger à mon tour sur le banc du bas, je regarde son corps. Elle n’a bien sûr plus vingt ans mais ses seins sont encore bien fermes, elle n’a pas un gramme de graisse et elle a de belles jambes fuselées. Je pose ma serviette sur le banc, j’ai déjà le sexe bandé comme un arc. J’imagine que c’est ainsi que l’on reconnaît les novices dans ce genre d’endroit.Je m’allonge ensuite sur le banc, dans le même sens que Lucette mais à l’étage inférieur. Quelle chaleur ! Pourvu que mon comportement de séminariste défroqué et débauché ne me conduise pas tout droit en enfer. Je sais que je ne supporterais pas !  Je ferme les yeux et m’abandonne à la chaleur et à l’humidité qui s’insinuent partout en moi. Des gouttes de sueur se forment partout sur mon corps puis dégoulinent le long de mon visage, sur mon torse, entre mes cuisses et jusque sur mes couilles. Je m’oblige à bien respirer pour être certain de tenir le coup.Soudain, je sens que l’on m’effleure les bourses et on me caresse entre les cuisses. Je me laisse aller, c’est délicieusement bon. Maintenant, la main remonte un peu et, toujours aussi délicatement, commence à me masturber. Vu comme je bande, les doigts prennent un vilain plaisir à me décalotter entièrement le gland puis, après un bref instant, à le recalotter. C’est une vraie torture car j’aimerais tant que l’on me branle avec énergie plutôt que me faire subir ce supplice de la lenteur.Mais voici qu’une bouche brûlante s’empare de ma bite et l’avale entièrement. Toujours les yeux fermés, je me laisse sucer et apprécie le talent de ma fellatrice qui me caresse les couilles tout en m’aspirant la queue. Heureusement que je me suis bien masturbé le matin au lit, en pensant à ma tante, pour bien me purger du foutre accumulé les jours précédents. Ainsi vidé à l’aube, je sais que je ne risque pas de jouir trop vite en cette fin d’après-midi. Même si j’ai quitté les ordres, je ne vais tout de même pas donner la communion à ma pénitente avant que la messe ne soit entièrement dite. Mais Lucette ne semble pas vouloir précipiter les choses car elle m’embrasse fougueusement sur la bouche, me donnant ainsi le goût de ma bite, puis me dit Viens, allons prendre une douche bien fraîche ! Nous sortons du sauna et je la suis dans les couloirs. On voit qu’elle est une habituée des lieux car nous voici déjà sous la douche. Nous sommes enlacés l’un contre l’autre et elle ouvre le robinet d’eau froide. Le contraste est saisissant et, en moins de deux, j’ai ma grosse queue qui reprend une dimension de zizi d’enfant de cœur.Tout en se collant à moi, Lucette me susurre— Tu vas voir, je vais te remettre en forme !Quelques secondes plus tard, nous sommes dans le vaste salon de l’établissement confortablement installés dans un canapé. Un téléviseur grand écran diffuse un film érotique, histoire de rappeler à ceux qui l’auraient peut-être oublié que l’on est dans un sauna libertin et non dans un salon de thé.Lucette se met à genoux entre mes jambes sur le tapis et m’embouche de nouveau. Son savoir-faire a tôt fait de ranimer mes ardeurs et me voici de nouveau le goupillon prêt à officier. J’aide Lucette à se relever et elle comprend tout de suite ce que j’attends d’elle. Elle se positionne maintenant à genoux sur un prie-Dieu situé face à l’écran. Je me dis en moi-même que ce serait très surréaliste si le téléviseur se mettait maintenant à diffuser Le Jour du Seigneur. Je me cale derrière Lucette et, tout en regardant les corps à corps à l’écran, je glisse ma queue entre ses jambes. Nul besoin de forcer bien fort pour se glisser dans sa chatte ; la dame est déjà convertie aux bienfaits du sexe.Je la prends à la taille et commence à la besogner avec lenteur. Bien planté en Lucette, je mesure que j’ai vraiment bien fait de quitter le séminaire pour emprunter d’autres voies bien plus pénétrables que celles du Seigneur. S’il existe des prêtres ouvriers qui peuvent exercer leur ministère tout en travaillant en bleu de chauffe au milieu des travailleurs de force dans les usines, pourquoi ne pourrai-il pas y avoir des prêtres libertins qui oeuvrent à poil au milieu des femmes dans les saunas et autres clubs de rencontres ?Aux gémissements de Lucette et à la manière dont elle ondule de la croupe sur le prie-Dieu, je comprends vite que ce n’est pas elle qui me contredirait car elle semble vraiment apprécier ma manière de dire la messe. Autour de nous, on commence à s’attrouper et quelques voyeurs se branlent devant le spectacle que nous offrons. Je ne doute pas que certains ont déjà profité des charmes de Lucette lors de ses visites hebdomadaires au Provence. Au bout d’une dizaine de minutes, je jouis longuement en Lucette tandis que les autres hommes lui arrosent les épaules, le dos et les fesses de copieuses taches de foutre.Au moment de quitter les lieux, Thierry me demande— Alors, comment s’est passée cette première visite ici ?Je lui réponds— Expérience enrichissante et intéressante. Il y a là, d’après ce que j’ai vu ce soir, quelques brebis égarées qui ne demandent qu’à être prises en main par un bon berger. Je pense que je reviendrai… Lorsque j’arrive à l’appartement de tante Bernadette, il est près de minuit. Tout est calme et il n’y a pas une seule lumière. Je me rends à la salle de bain pour me laver les dents avant de me mettre au lit. Je me déshabille et ouvre le panier de linge sale pour y mettre mon caleçon. Il y a là la lingerie de ma tante, une belle parure rouge Aubade et des bas noirs.Je prends le string et le porte à mon visage ; de doux effluves féminins m’envahissent les narines. Cette odeur de femelle m’excite et je bande. Je me caresse les bourses et la queue avec ce léger morceau de tissu, la douceur de la soie m’excite au plus haut point. Tout en continuant à me caresser la queue avec le string, je me branle de l’autre main.J’imagine ma tante portant cette lingerie et m’accueillant dans sa chambre. Elle écarte les jambes et je vois que le fin tissu dessine parfaitement la fente de sa chatte. Je n’ai pas le temps d’imaginer la suite que de longs jets de foutre fusent et tapissent l’intérieur du string. Je remets le tout dans le panier de linge sale et fonce vers mon lit.En passant devant la porte entrouverte de la chambre de ma tante, je m’arrête un instant et écoute le bruit de sa respiration dans le silence de la nuit. Serait-elle en train de faire un rêve érotique ?  Une fois au lit, j’ai un peu de mal à m’endormir ; les femmes m’obsèdent ! Je pense à Simone que j’ai confessée chez elle avant de la baiser dans sa chambre. Je pense à Lucette que j’ai confessée à Saint-Merri et prise tout à l’heure au Provence. Et enfin, je pense à ma tante Bernadette qui dort là dans la chambre d’à côté et que je rêve de coucher dans le mien.Il n’y a pas à dire, ma vie actuelle de surveillant de lycée n’a rien à voir avec mon ancienne vie de séminariste. En quelques semaines, j’ai découvert combien les femmes me font de l’effet, surtout celles d’un certain âge. Je me dis qu’il y a là, dehors dans Paris, de nombreuses ouailles qui vont régulièrement se confesser à l’église pour se faire pardonner les petits écarts de comportement qu’il leur arrive d’avoir.Je m’imagine déjà dans le rôle du confesseur qui va les écouter avec attention, les faire parler pour qu’elles se libèrent de tous leurs péchés et les absoudre car elles ne sont que les victimes innocentes d’un monde fait pour le plaisir. Qui sait si ensuite je ne serai pas là pour les aider à mieux céder à la tentation ….
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