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Secrets de confession ...

Chapitre 4

Erotique
Après cette première sortie dans un lieu libertin où j’ai bien honoré Lucette, ma nuit a été des plus agitées. Au réveil, j’ai une belle trique ! Je me mets alors à penser à ma tante Bernadette qui me fait de l’effet depuis que je suis installé chez elle. Ma main se glisse sous la couette et je me branle frénétiquement. J’arrose copieusement les draps !Après avoir baisé Simone chez elle puis Lucette au sauna, obsédé ma tante, je me demande si je ne suis finalement pas attiré par les femmes bien plus âgées que moi. En fait, je dois bien l’avouer, je ne suis jamais sorti avec une fille de mon âge et j’étais puceau jusqu’à ma rencontre avec Simone. On peut dire en quelque sorte que c’est elle qui m’a mis le diable au corps ! Depuis, les deux expériences que j’ai eues avec des femmes matures ne m’incitent pas à rechercher la présence des plus jeunes. J’ai trop peur d’être déçu après ces deux rencontres riches en plaisirs et en enseignements.Quant à ma tante, c’est certain que j’ai très envie d’elle mais je ne sais absolument pas comment faire. Si je l’attaque de front et qu’elle n’est pas partante, je risque de me retrouver virer de chez elle. Ce serait la tuile ! D’un autre côté, si je ne tente rien alors que c’est ce qu’elle attend de moi, c’est le flop total. Je reste dans l’expectative ! Dans l’immédiat, tant que je n’ai pas trouvé de solution à ce dilemme, je vais poursuivre mes confessions clandestines en espérant trouver quelques sympathiques paroissiennes à la recherche du berger qui les ramènera dans le droit chemin. En ce moment, mes journées sont un peu chargées au lycée Jules Ferry car de nombreux devoirs surveillés sont organisés pour chaque classe avant les vacances de la Toussaint. Alors que je suis en salle pour surveiller un devoir de maths de deux heures, j’en profite pour repérer sur internet les églises pas très loin de la place de Clichy. Je pense que l’église Saint Jean de Montmartre, rue des Abbesses, devrait faire l’affaire.L’architecte choisi pour construire cette église, sur la pente de la butte entre Saint-pierre de Montmartre et La Trinité, est Anatole de Baudot. La construction débute en 1897 et s’achève en 1904 ; on y trouve de superbes vitraux représentant Saint-Jean ou des éléments de l’Apocalypse. J’espère que ce n’est pas un mauvais présage pour mes futures confessions !Tout en arpentant la salle pour vérifier que personne ne triche, je réfléchis à cette prochaine sortie que je souhaite réaliser très prochainement. C’est décidé, j’y irai demain mercredi après-midi puisque je ne travaille pas. J’ai hâte ! A peine suis-je de retour chez ma tante vers 18h00 que je reçois d’elle un sms « Charles, je fais quelques courses avant de rentrer. Je serai là vers 19h00. Bisous. Bernadette ». Comme j’aimerais que ses bisous soient moins virtuels et plus brûlants ! J’ai donc une heure devant moi avant son retour ; j’ai envie de fouiller un peu dans sa chambre. Je sais que je ne devrais pas mais c’est plus fort que moi.Je me précipite donc dans cette pièce et je déclenche le minuteur de mon téléphone pour 45 minutes ; il ne faudrait pas qu’elle me surprenne à fouiner dans ses petites culottes ! Je commence par son armoire que j’ouvre avec un peu d’appréhension au ventre. C’est bien une armoire de femme ! Une large penderie occupe toute la partie gauche ; robes, tailleurs, manteaux, jupes et autres chemisiers y sont parfaitement suspendus sur des cintres bien alignés. Sur la gauche, il y a une série d’étagères sur lesquels sont soigneusement pliés des pulls de toutes les couleurs. Plus ordonnée que ma tante, tu meurs !Je fonce ensuite vers la commode à trois grands tiroirs. Dans celui du haut sont rangés les collants, bas, chaussettes et mi-chaussettes. Je m’attarde sur de fins bas noirs que je me passe sur le visage ; quelle douceur ! Dans le tiroir du milieu, ce ne sont que strings, tangas, slips brésiliens, shortys et autres culottes. Mes doigts effleurent la soie, le satin et la dentelle, ma queue me fait mal tellement je bande. Mon érection franchit un cap supplémentaire lorsque j’ouvre le dernier tiroir. Sont bien rangés là porte-jarretelles, guêpières, bustiers, serre-tailles et larges jarretières. En partie dissimulée par de la lingerie au fond du tiroir, une boite grande comme un carton à chaussures attire mon attention. Je m’en empare, l’ouvre et découvre une petite collection de gadgets érotiques dont un vibromasseur, un plug, des boules de geisha et même une petite chaînette avec des pinces à ses deux extrémités – pour les seins je suppose.Je regarde mon téléphone, j’ai encore quinze bonnes minutes devant moi. Je prends une paire de bas dans le tiroir du haut, m’allonge sur le lit de ma tante, me branle et me caresse les bourses avec mes mains gainées des bas de soie. Je jouis comme un fou ! Lorsque ma tante Bernadette rentre, je suis sagement dans de salon en train de regarder une émision politique à la télévision. Ma tante me dit— Ces courses m’ont vannée ! Tu veux bien me servir un petit apéro pour me remettre de mes émotions.Tandis qu’elle s’assoie dans l’un des fauteuils, je me lève, coupe le son de la télé et sort un plateau sur lequel je dépose deux verres, la bouteille de Baileys – son pêcher mignon – et la bouteille de Martini pour moi. Une fois les deux verres servis, je lui tends le sien et je m’installe dans le fauteuil en face d’elle. Elle se penche vers moi pour trinquer ; j’en profite pour jeter un œil dans son décolleté. Elle a de superbes seins !Elle me raconte sa journée de travail aux Galeries Lafayette, je la détaille des pieds à la tête. Je m’attarde sur ses jambes mises en valeur par une jupe droite assez courte et de jolis escarpins. Comme j’aimerais la voir en lingerie ! Je bande de nouveau, la branlette tout à l’heure dans sa chambre n’a pas suffit à calmer mes envies.Soudain elle me dit— C’est vraiment un bonheur de t’avoir à la maison, tu es toujours aux petits soins avec moi. J’adore !Je me décide alors à lui lancer— Ma tante, cela fait si longtemps que vous êtes divorcés, pourquoi n’avez-vous pas refait votre vie ? Vous êtes une jolie femme et vous devez rencontrer du succès auprès des hommes.Elle sourit et me rétorque— Charles, je te réponds seulement si tu me jures de me tutoyer et de m’appeler Bernadette.Je souris à mon tour— C’est juré Bernadette, à partir de ce jour je te tutoie !
Elle me répond— C’est parfait !Puis poursuit— Puisque tu veux le savoir, je vais tout te dire. Mon ex-mari, ton oncle, était aussi « catho tradi » que ton père – mon frère – et considérait que la place d’une épouse est à la maison à l’attendre. Seule à la maison, mes journées étaient longues et tristes. Après huit annnées de cette vie, j’ai décidé de trouver un travail pour ne pas finir maboule. Il n’a pas supporté et m’a pourri la vie pendant encore cinq autres années Ayant une bonne situation aux Galerie Lafayette et ayant découvert qu’il entretenait une jeune maîtresse, j’ai réussi à obtenir le divorce. Je ne l’ai jamais regretté !Je la relance sur le sujet— Mais cela n’explique pas que tu ne te sois pas remariée !Elle boit une nouvelle gorgée de Baileys, repose son verre et me répond— Treize années de vie commune avec un con m’ont appris à me passer d’un homme !Après avoir dit cela, elle reprend son verre, le vide et se lève. Elle me dit— Bon je vais prendre une douche. Tu mets le couvert et nous dînerons ensuite.Je la regarde s’éloigner vers la salle de bain ; elle a vraiment un super cul ! C’est sûr que je vais me branler de nouveau dès que je serai au lit. Le lendemain, la matinée passe rapidement et il est à peine 14h00 lorsque je quitte le réfectoire du lycée. J’ai du temps libre devant moi et je vais pouvoir poursuivre mes investigations coquines. Il fait beau sur Paris en cette mi-octobre et je décide de partir à pied. Histoire de profiter des boutiques de Pigalle, où ma tante vient peut-être acheter sa lingerie, je remonte le boulevard de Clichy puis emprunte à gauche la rue Germain Pilon. Au bout, je tourne à droite dans la rue des Abbesses et me voici arrivé à l’église Saint-Jean de Montmartre.Je fais le tour de l’édifice pour en admirer l’architecture puis j’entre. Comme dans toutes les autres églises, le bénitier est vide et il convient de se purifier au gel hydro alcoolique avant de se signer. Je décide ensuite de m’installer sur un banc à proximité des confessionnaux pour profiter un peu de la sérénité de l’endroit. Levant les yeux au ciel, j’admire les trois grandes verrières hautes de la nef de style art nouveau ainsi que les tubes rutilants et le bois finement travaillé de l’orgue. Je suis ensuite en admiration devant les sculptures de bronze et terre vernissée qui décorent le maître autel.Puis, après avoir mis discrètement mon col romain, je me dirige vers le confessionnal et m’installe à la place réservée au prêtre. Vais-je avoir autant de réussite qu’à l’église Saint Merri où j’ai confessé Lucette ? Au bout de quelques minutes, je devine enfin qu’une personne s’installe sur ma gauche. J’ouvre le petit volet et aussitôt une voix féminine me dit— Bénissez-moi mon père car j’ai péché.Pendant les dix minutes qui suivent, la femme – pas très âgée si j’en crois sa voix – me confesse ses péchés de gourmandise, de vanité et de jalousie. Mais, malheureusement pour moi, elle n’a aucun péché de chair à se reprocher ! Elle fait contrition, je l’absous et lui donne quelques prières à réciter. A peine a-t-elle quitté sa place qu’une nouvelle personne lui succède avant que j’aie eu le temps de refermer le petit volet. Cette fois-ci, cette une voix virile qui me dit— Bénissez-moi mon père car je suis un pécheur.Impossible de quitter le confessionnal, ce serait une véritable trahison à mon ancienne vocation de séminariste. Je lui réponds — Mon fils, je suis là pour vous écouter et vous aider. L’homme m’avoue alors qu’il ne s’est plus confessé depuis sa grande communion il y a plus de quarante ans. Je le rassure en lui précisant que cela n’est pas si grave que cela s’il se repent de toutes les fautes commises depuis. Dans une société où tout le monde parle mais où personne n’écoute, je crois que cet homme a surtout besoin de se confier, de dire ce qu’il a sur le cœur et de savoir que je l’écoute vraiment sans le juger. Que je sois ou non un vrai prêtre a peu d’importance car cet homme n’a nul besoin d’être absout, il a simplement besoin de partager ses tourments avant de repartir en ayant la certitude qu’il a été écouté et compris.Il commence donc par me dire qu’il s’appelle Roger, qu’il a cinquante ans, qu’il est marié à Gisèle, que leur fils Edouard s’est expatrié aux Etats-Unis et qu’ils ne le voient que tous les deux ans. Il me précise ensuite qu’il tient avec son épouse un petit bar, Le Bistrot du coin, dans la rue des martyrs à deux pas d’ici et que les affaires reprennent tout doucement après la Covid. Il marque ensuite un long silence et je comprends alors qu’il hésite et cherche ses mots pour m’expliquer ce qui lui pose problème.Je l’encourage d’un ton amical— Roger, laissez parler votre cœur et dîtes moi ce qui vous tourmente, que vous ayez péché en pensée, en parole, par action ou par omission.Il se racle la gorge, hésite de nouveau puis enfin se lance— Mon père, j’ai souvent des mauvaises pensées, dont je parle parfois et je redoute de passer bientôt à l’action.Il marque un nouveau temps d’arrêt puis se décide enfin à poursuivre— Voilà, j’ai de plus en plus souvent envie de voir ma femme faire l’amour avec un autre homme, j’en ai déjà parlé à Gisèle et je redoute que nous passions à l’acte. Je suis rassuré car j’avais peur qu’il s’agisse de quelque chose de plus grave. Mais fort heureusement, il s’agit là d’un sujet intéressant pour moi dans le cadre de mes recherches libertines. Loin de culpabiliser Roger, je l’incite à m’en dire plus— Mon fils, êtes-vous malheureux avec votre épouse pour en arriver à des telles pensées ?Mon pénitent se sent en confiance et il se livre maintenant sans retenue— Non mon père, nous sommes parfaitement heureux et aussi amoureux qu’au premier jour. Puis il m’explique en détail que leur couple sombre cependant dans la routine, que lui et sa femme triment toute la journée dans leur café et que leur vie sexuelle est quasi inexistante. Lui n’a jamais été très porté sur la chose, il faut dire qu’il pèse près de 100 kilos. Son cœur fatigue vite ; les ébats trop fougueux l’épuisent en un rien de temps. Ces derniers mois, il s’est aperçu que sa femme est en manque car il l’entend régulièrement se masturber la nuit alors qu’elle le croit endormi à ses côtés.Ce qui l’exciterait, c’est de voir en cachette sa femme faire l’amour avec un jeune mâle bien fougueux. Il lui en a parlé et cela a bien excité Gisèle, ils ont même fait l’amour ensuite. Depuis deux semaines, cela l’obsède et il a l’impression de devenir fou. Mais il ne veut pas prendre les devants car il est plutôt réservé, alors il rumine constamment ses pensées de mari voyeur et en rêve toutes les nuits. Il se dit qu’en se confessant, cela devrait calmer ses pulsions.Devinant qu’il est arrivé au terme de son propos, je lui dis— Mon fils, ne soyez pas inquiet. De nombreux couples, comme le vôtre, ressentent à un moment donné le besoin de redynamiser les sacrements du mariage. Avec prudence et modération, on peut avoir recours à quelques jeux libertins et ainsi vivifier l’amour conjugal.L’homme m’interrompt et me demande— Mais mon père, que dois-je faire ? Offrir ma femme au premier venu ?Je le rassure aussitôt— Mais non mon fils ! Les voies du Seigneur sont impénétrables et il ne sert à rien de provoquer le destin. A travers moi, c’est Lui qui vous a écouté et entendu. Continuez normalement votre vie et ce qui doit arriver finira bien par arriver. Je vous absous de vos péchés, soyez en paix. Avant de quitter l’église, récitez trois Je vous salue Marie puis rentrez chez vous confiant.  Après cette seconde confession très intéressante, je traîne un peu dans Paris pour profiter du beau temps. Lorsque je rentre à l’appartement, il est près de 19h30 et Bernadette a déjà mis la table. Nous nous installons face à face pour le dîner et, à sa demande, je lui raconte ma balade dans le quartier en omettant la séance de confession de Roger.Alors que nous en sommes au dessert, elle me dit— Sais-tu que c’est mon anniversaire samedi et il y a quelque chose qui me ferait très envie.Je la regarde et je lui réponds— Tu m’héberges depuis déjà plusieurs semaines et tu es très gentille avec moi, je crois que je ne peux rien te refuser.Elle me fait un grand sourire et me lance— Tu l’as dit ! Maintenant tu ne peux plus refuser !Elle m’explique alors qu’elle adorait aller au bal quand elle était plus jeune et qu’elle aimerait bien que je l’accompagne danser pour ses cinquante et un ans samedi.Elle se lève de table, me saute au cou et m’embrasse sur la joue lorsque je lui réponds— Pas de souci ! J’ai suivi des cours de danses de salon quand j’étais adolescent. C’était pour draguer !Elle me rétorque— Et alors, cela a été concluant ?Je prends un air de chien triste pour lui répondre— Non ! J’ai appris de nombreuses danses mais suis resté puceau. Il n’y avait quasiment pas de filles de mon âge et à l’époque les femmes matures ne m’attiraient pas.Elle me regarde d’un drôle d’air mais nous en restons là.Une fois couché, je me branle longuement en pensant à ma première danse avec ma tante et ma prochaine visite au Bistrot du coin…
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