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Secrets de couventines

Chapitre 7

Novices en plein vice (partie I)

Lesbienne
Sœur Sophie et sœur Alicia, deux femmes dans la jeune vingtaine, se sont connues au couvent de la Congrégation Notre-Dame du Mont-Caramel, la première ayant amorcé son noviciat accompagnée de celle qui se prépare à prononcer ses derniers vœux.
Alors que la grande aux cheveux noir de jais a décidé depuis longtemps déjà d’assumer pleinement son homosexualité, la rouquine qui fait l’objet de ses sentiments les plus tendres lutte toujours afin d’accepter le penchant lesbien récemment découvert chez elle. Car son cœur ne bat plus que pour cette sœur en religion qui lui a déjà avoué à mots couverts l’attirance et l’amour qu’elle éprouve à son égard.
Sophie, en effet, n’est plus la même en présence d’Alicia. Elle peut toujours compter sur sa nouvelle sœur en religion pour la conseiller, la cajoler et aussi la consoler quand elle en a le plus besoin. Elle se sent en sécurité dans ses bras, au cœur de ce monde ecclésiastique où il se passe des choses bizarres pour ne pas dire franchement inquiétantes.
Après avoir servi sa première fellation à l’aumônier Réal Fontaine, un cunnilingus à la bibliothécaire du couvent ainsi qu’un débridé léchage anal à mère Gertrude en présence de la mystérieuse dirigeante de l’institution mère Ève, la jeune novice redoute de plus en plus de nouvelles situations de débordement.
Certes elle s’attendait à devoir faire preuve d’humilité et d’obéissance en s’intégrant à sa nouvelle vie religieuse, mais nullement à de l’humiliation comme ce fut le cas une fois encore alors que, nue et exposée à la vue et aux remarques de toute la communauté, elle avait dû récurer le plancher qu’elle avait souillé de boue au retour de sa corvée de jardinage.
Mais revenons plutôt à nos amours. Oui, Sophie aime Alicia pour toutes les raisons énumérées plus haut et se voit de plus en plus difficilement vivre sans celle qui est devenue sa protectrice. Elle en conclut donc qu’elle devra pleinement s’assumer comme lesbienne afin de pouvoir enrichir et rehausser sa relation avec cette fille si bienveillante.
Sophie est aussi, nous le savons tous, une petite gaffeuse à ses heures, sa bourde du dernier chapitre en ayant justement fait la démonstration. C’est donc ainsi que nous la retrouvons ici dans cet épisode…
— Tu n’étais pas à l’office de cet après-midi? lui demande Alicia qui la retrouve alitée à son retour dans leur chambre commune.
Sophie repose sur son lit, un mince drap de coton la recouvrant. Les yeux tristes, elle demeure silencieuse.
— T’es malade? Qu’est-ce que t’as?— Oh, Alicia, gémit enfin la pauvre, je suis si désolée, pardonne-moi!— Mais de quoi? demande l’autre en s’installant tout près sur une chaise.
Ne pouvant retenir davantage ses larmes, Sophie retire le drap la couvrant. Une camisole de coton blanche est son seul vêtement, la fille exposant ainsi toute son intimité à sa voisine de chambre. Tentant d’étouffer ses pleurs, elle replie les genoux vers le haut, laissant deviner la cause de son désarroi.
— C’est quoi ça? s’étonne l’ancienne. Mais qu’est-ce que je vois entre tes fesses?

Les genoux toujours relevés, la rouquine écarte celles-ci des deux mains, permettant ainsi à sa compagne de reconnaître la nature du corps étranger occupant son fondement.
— Mais… c’est mon beau chapelet que tu t’es fourré dans le cul ?! Comment, comment as-tu osé? fulmine Alicia qui est toutefois encore sous le coup de la surprise.
La présence de l’objet de culte dont les grains volumineux sont sculptés dans le bois de pin est effectivement constatée dans le cul de la fille, seule la partie contenant les derniers éléments dont la croix stylisée émergeant toujours de l’anus serré.
— Je suis prise! avoue la jeune d’un ton désespéré. J’ai tenté de le retirer mais mon trou de cul s’est recontracté et les Je vous salue Marie sont maintenant trop gros et ça fait mal quand je tire!
L’autre la dévisage sévèrement, gardant le silence.
— Je m’excuse, ajoute-t-elle finalement d’une voix chevrotante. Je voulais juste essayer quelque chose de nouveau!
D’un air grave, Alicia considère longuement sa petite consœur. Mais sa colère fait rapidement place à la pitié. Tendrement, elle tend la main entre les cuisses relevées de l’ingénue et agrippe doucement la partie accessible du chapelet maintenant devenu anal.
— Laisse-moi t’aider, chère, tu veux? Je vais le retirer très lentement.
C’est en reniflant ses pleurs que Sophie répond d’un timide hochement de tête, sachant qu’aucune alternative ne s’offre à sa situation. Alicia la voit grimacer comme elle a commencé à exercer une traction sur les premiers grains enfouis au plus profond de son fion. Puis des sons gutturaux sont exprimés alors que la rouquine, bouche bée et yeux exorbités, laisse voir à l’extraction des volumineux premiers éléments un visage figé par l’immense douleur.
— Détends-toi, lui conseille celle qui procède à l’opération, sinon ce sera toujours douloureux en plus d’être très long.— Mais j’essaie, j’essaie! se défend l’autre entre deux sanglots. Je voudrais bien me détendre mais j’en suis incapable!
Dans un geste empreint de tendresse, Alicia se penche alors en direction du visage tordu de sa compagne :
— Allez viens!
Ayant momentanément suspendu sa manœuvre libératrice, elle applique doucement ses lèvres sur celles de l’autre. Le baiser surprend d’abord la petite enculée qui rapidement s’y accroche, fondant avec sa sœur en religion dans un premier torride échange charnel.La stratégie porte ses fruits, ayant l’heur de favoriser la baisse de tension requise pour la poursuite de l’opération. C’est ainsi que les grains se succèdent lentement hors de l’anus de la pauvre, provoquant chez celle-ci un sourire de soulagement accompagné d’une abondante et éloquente coulée de cyprine, ce que ne manque pas de remarquer celle qui achève avec succès son travail.
— T’as l’air d’aimer ça, maintenant, est-ce que je me trompe? Tu te répands comme une rivière!— Du tout, c’est très… agréable. Merci ma Sœur!
Sophie se rassoit dans son lit et serre très fort Alicia dans ses bras.
— Je vais sans tarder te le nettoyer et te le rendre, lui annonce-t-elle en lui apposant un chaud bisou sur la joue.
Trop heureuse de sa délivrance – et ravie sans doute de la partie finale de l’opération – elle se lève et se dirige sans trop réfléchir vers le petit lavabo de la pièce, le chapelet souillé entre les mains.Alicia la voit s’éloigner d’elle, portant uniquement sa camisole, les fesses encore à l’air. Elle sent littéralement son ventre se liquéfier à la vue du mignon petit cul dont elle vient de se faire l’héroïne.La rouquine s’affaire soigneusement à sa tâche, fredonnant tout bas quelque chose de gai alors qu’à l’autre bout de son tube digestif une candide émission sonore témoigne joyeusement de la délivrance de ses entrailles.
Ah Sophie, Sophie, se dit intérieurement la voyeuse en l’observant, tu es si mignonne, si désirable mais ce que tu m’excites, ce que tu me provoques! Le fais-tu à dessein? Jusques à quand, Seigneur, jusques à quand me fera-t-elle encore languir?
C’est en retournant vers Alicia que Sophie réalise qu’elle ne s’est pas encore reculottée.
— Oups! Je… Désolée, s’excuse-t-elle en souriant. T’aurais pas vu où j’ai laissé ma p’tite culotte?— Sophie… soupire Alicia légèrement exaspérée, cesse de niaiser, veux-tu? Maintenant que je t’ai vue nue, je n’ai plus qu’une chose à te demander.
L’autre s’immobilise, l’expression maintenant neutre, se questionnant sur la nature de la requête à venir.
— S’il te plaît, laisse-moi goûter à ta mouille.
Le fille est sidérée. Jamais elle n’aurait deviné. Mais la demande est bold, déclenchant chez elle un frisson annonçant un nouveau torrent de désir lesbien.
— Je… Tu veux que…— Juste du bout des doigts, c’est tout. Tu permets?
Sophie hésite à franchir le pas. Ce serait, si toutefois on faisait abstraction du baiser de tantôt, un premier acte franchement saphique entre les deux femmes. Mais la rouquine se sent maintenant tellement redevable envers sa grande sœur en religion. Et puis, celle-ci vient tout juste de lui jouer dans le cul! Rendues là, comme on dit…
— Ben, ok... Juste les doigts alors.
Alicia s’est levée à son tour. Face à face avec l’ingénue, elle descend lentement la main en direction du sexe bouillant et humide tout en plaçant sa tête contre celle de l’autre. Le toucher est délicat, les doigts de la jeune femme effleurant à peine les lèvres intimes de l’autre avant de découvrir un clitoris fortement congestionné.Sophie se voit prise d’une agréable secousse. Ses jambes flageolent. Pour la première fois, celle qu’elle aime la touche à son endroit le plus sensible. Les yeux clos, elle ne peut réprimer un discret couinement de plaisir. Se mordant la lèvre, la tête levée au ciel, elle laisse échapper un sanglot.Ayant porté à sa bouche deux doigts dégoulinant de cyprine, Alicia goûte au nectar interdit avant d’inviter sa compagne à se joindre au festin gomorrhéen.Les deux se sont séparées. En silence. Comme dans un moment de rêverie. Alicia devine cependant que Sophie ne peut aller plus loin… pour le moment.
— Dis, tu ne m’en veux pas trop de m’être fourré ton beau chapelet dans l’cul, dis?
Alicia jette un tendre regard en direction de l’élue de son cœur. Elle lui donnerait tout, absolument tout, sa vie même, s’il le fallait.
— Je te promets que je serai toujours là pour te protéger, s’engage-t-elle solennellement en laissant échapper une larme. Je t’aime, Sophie, et je te comprends. Je te comprends et je t’attendrai. Je t’attendrai le temps qu’il faudra.
***
La fin de la journée se sera passée sans que les deux novices puissent chasser de leurs esprits les derniers événements vécus ensemble.C’est immédiatement après l’heure des vêpres que les membres de la communauté sont invités à pleinement profiter des résultats des récentes rénovations : de nouvelles cabines de douche tout fraîchement installées pour le bénéfice de toutes. Finies les interminables files d’attente pour se laver dans la baignoire, chacune des religieuses pourra dorénavant accéder sans tarder à des installations modernes!
L’ordre d’utilisation des douches est établi selon l’assignation des chambres. Les sœurs Alicia et Sophie sont donc les prochaines à pouvoir procéder à leurs ablutions.Les cabines sont doubles, ayant chacune son accès, un rideau coulissant central protégeant l’intimité de chaque utilisatrice. Nos deux novices ont à présent pris place dans leurs portions de cabine respectives, seule la mince toile de plastique suspendue les séparant l’une de l’autre. Les jets d’eau tiède sont revigorants, chaque fille appréciant l’effet de massage qu’ils leur procurent.
C’est sur le fond sonore d’une eau giclant et coulant avec vivacité qu’une courte conversation s’engage :
— Alicia? Alicia?— Hum… oui, ma Sœur?— Alicia…— Tu veux que je te passe quelque chose?— Alicia, je voudrais…— T’as pas de savon? Tu veux le mien?
Soudain le rideau séparateur est tiré à fond par Sophie, exposant l’une à l’autre la nudité intégrale de chacune des deux filles. Sophie s’avance lentement vers Alicia. Ses cheveux de feu dégoulinants occultent une partie de son visage. L’eau ruisselle en abondance sur ses épaules et ses tétons érigés. Sa rousse minette est comme perlée de diamants étincelants, présentant à sa base comme une chaude fontaine pissant de façon intarissable une eau cristalline.
— Prends-moi, Alicia, lui demande-t-elle à mi-voix. Prends-moi maintenant. Fais-moi l’amour ici-même.
Sidérée par la requête, Alicia s’immobilise, ses yeux mi-clos fixés sur sa compagne. Chez elle également, un torrent ininterrompu s’écoule de son nez et de son menton, gagnant ses seins avant de s’en échapper par la pointe de ses mamelons tendus.
— Je veux être à toi, toute à toi. Peu m’importe maintenant si je vais en prison ou en enfer, c’est avec toi que je veux être.
Tout comme sa compagne, Alicia s’est écartée des jets d’eau. Elle remarque ainsi mieux chez l’autre son expression dépourvue de tout sourire. Une expression traduisant plutôt la tristesse et la supplication.Un sentiment de bonheur et de joie monte doucement chez l’ancienne novice. Mais elle se rend encore difficilement compte, la surprise la subjuguant toujours. Elle se donne l’impression d’une petite fille le matin de Noël, recevant le cadeau qu’elle convoitait sans jamais vraiment y croire.Toujours hésitante à réagir, les mots se bousculent dans sa tête, se chamaillant afin de déterminer lesquels sortiront en premier de sa bouche. Presque en sourdine, un seul d’entre eux parviendra à le faire :
— Sophie, Sophie…— Pardonne-moi, reprend celle-ci, de t’avoir fait si longtemps attendre. J’hésitais toujours, déchirée entre ma conscience et mon amour pour toi. Mais j’ai réalisé que la conscience n’est pas forcément source de bonheur. Le bonheur, c’est en ta compagnie que je veux le connaître parce que c’est avec toi que je veux être, toujours. Où tu iras, j’irai et ta maison sera ma maison.
C’est en se rapprochant pour l’embrasser que Sophie résumera sa déclaration :
— Je t’aime, Alicia. Si seulement tu savais combien…
Un long et passionné baiser scellera ce moment béni. Seins contre seins, cuisses contre cuisses, les deux filles étouffent leurs sanglots dans un couinement accompagnant ce torride ballet de langues où gicle la salive des deux nouvelles tourterelles.Sentant la passion monter, Alicia se laisse doucement empoigner les mamelles par une petite Sophie maintenant furieusement déchaînée. La jeune les lèche, les savoure, les mordille avec avidité comme sa partenaire, la tête levée au ciel, reçoit et accepte ces marques d’affection qui provoquent chez elle une chaude coulée de désir lesbien.Désirant la baiser comme si c’était également pour la dernière fois, Sophie jette ensuite son dévolu sur les fesses de sa compagne, les couvrant de baisers avant d’en entamer l’exploration avec la langue.Mais une annonce en provenance de l’extérieur rappelle brutalement les deux lesbiennes à l’ordre :
— Plus que deux minutes, les sœurs, après quoi nous coupons l’eau chaude!
Qu’à cela ne tienne, c’est dans la chaude intimité de leur chambrette que nos deux novices amoureuses d’un amour interdit poursuivront leurs ébats maudits.
[À venir : Novices en plein vice (partie II)]
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