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Section TG

Chapitre 10

Travesti / Trans
17-Je repassai le lendemain par le siège du SIS, où je rencontrai le supérieur de Tara surnommé John Steed. Je lui fis mon rapport, insistant sur l’aide cruciale de Tara dans la réussite de ma mission. Il m’accorda autant d’intérêt que lors de notre première entrevue et me souhaita un bon retour avec tout le dédain dont il était capable. Tara me raccompagna à la gare de Saint-Pancras et me remercia pour ces deux jours sur le terrain. Et aussi pour le plaisir que je lui avais donné la veille. On se promit de nous revoir très vite.
Je rentrai au quartier général et allait trouver directement Sophie Garan ma chef. Elle me félicita pour la réussite de ma mission et me dit que les éléments trouvé sur le PC de Steve Lohar étaient des plus prometteurs. Par contre, elle ne me demanda rien quant à la façon dont j’avais œuvré. Le résultat était là et c’était tout ce qui l’intéressait. Elle me donna quartier libre pour le reste de la journée.
Je fis une balade dans les rues de Paris et rentrai tôt le soir. Vanessa n’était pas là. Je dinai au self et me couchai tôt. En calculant, je constatai que je n’avais pas beaucoup dormi pendant ce séjour londonien.
Je commençai ma journée par une heure d’exercice en salle de sport. Moi qui n’avais jamais aimé l’exercice, c’était devenu non seulement une habitude mais aussi un besoin. Je croisai le major Valeur qui me demanda de nos nouvelles. Je lui racontai mon stage parachutiste et donnai le bonjour du lieutenant instructeur, puis, sans entrer dans les détails, je parlai de mes missions.— Merci, dis-je, alors que le major quittait la salle.— Merci pourquoi ? — Merci pour votre enseignement. — C’est mon boulot. — Peut-être. C’est vrai que je vous ai haï du début à la fin. Mais maintenant, je comprends et j’apprécie. J’ai gagné une confiance en moi que je n’ai jamais eu et que je n’aurai jamais eu si j’étais resté moi. Alors merci.— De rien, petite. Prends soin de toi, répondit le major, visiblement troublé. — Il faudra qu’on se fasse un combat un jour.— Quand tu veux, je suis ton homme !
Je repris mes activités d’analyse de renseignement en attendant ma prochaine mission. Mais je ne perdais pas vue non plus mon idée de retrouver Fabien. Je refis mes recherches, mais à chaque fois, je me retrouvai avec des accès interdits. Certes, on nous avait inculquée des bases en informatique, et même si c’était mon métier d’avant, je n’avais pas suffisamment de compétence pour passer outre ces barrières. Il me fallait de l’aide, de préférence extérieure, un spécialiste de la pénétration des systèmes informatiques, le genre de un pro qui n’a pas pignon sur rue, un hacker que je pourrai séduire. Un hacker gay de préférence. La perle rare donc.
Mais j’avais quand même accès aux fichiers des criminels plus ou moins délinquants et plus ou moins notoires. Et les hackers avaient leur propre base de données. Mes recherches remontèrent quelques noms. Mais un seul pouvait m’intéresser. Un certain Pierre Belmont dit Hack’Saur. Il était gay, fier de l’être et plutôt engagé dans la cause. A tel point qu’il avait été mis au ban de sa confrérie. Confrérie qui ne s’était pas embarrassée de scrupules pour donner son nom aux autorités. Tribunal, procès, prison. Il avait été relâché pour bonne conduite mais évidemment avec l’interdiction de reprendre ses activités illicites. En contrepartie, l’administration lui avait offert un joli bracelet de cheville qui limitait ses sorties à un cercle de quelques kilomètres. Le seul hic, c’était que ce cercle se situait à Nice. Il y avait pire comme assignation à résidence. Les quelques neuf cent kilomètres qui nous séparaient rendait impossible une visite surprise. J’enrageai. Si près du but !
Je repris mon travail. Mes neurones fonctionnaient à fond. C’est en entendant mes collègues avec qui je n’échangeais presque pas, que la solution me sauta à la figure. Des vacances ! Avec le traumatisme de l’enlèvement, le bourrage de crâne qu’on avait subi, les missions qu’on avait enchainées, on en avait oublié que nous aussi on avait droit à des congés. Et en tant que militaire, on était plutôt bien doté avec quarante-cinq jours. Après tout ce qu’on avait enduré malgré nous, Sophie ne pouvait pas me les refuser.
Je pris le train pour Nice dès le vendredi soir pour une semaine de congés. Même si on était mi-novembre et que la météo n’incitait pas à la baignade, j’accueillis cette permission avec une joie non feinte. Je m’installai à l’hôtel La Pérouse dans une chambre avec vue sur la baie et la Promenade des Anglais. Promenade qui avait vu quelques mois plus tôt un drame des lus atroces où quatre-vingt-cinq personnes, dont plusieurs enfants, avaient perdu la vie, tuées par un extrémiste qui avait lancé un camion sur la foule venue assister au feu d’artifice du quatorze juillet.
Je continuai de me faire plaisir en louant une Audi TT, le bolide idéal pour apprécier le pilotage sur les routes sinueuses des corniches. Je visitai la Riviera de Cannes à Monaco. Je fis une halte au Marineland d’Antibes qui avait retrouvé sa superbe après les inondations de 2015. Je poussai jusqu’à Vintimille et son marché où je fis une razzia dans les boutiques de chaussures et de vêtements dont l’origine et l’authenticité pouvaient être sujette à caution. Je passai une journée dans l’arrière-pays niçois avec un passage obligé à St Paul de Vence. Enfin, je repérai l’appartement de mon hacker. Mon séjour touchait à sa fin et il était temps de passer aux choses sérieuses.
Je me préparai soigneusement, look genre femme fatale, occasion pour étrenner une des paires d’escarpins à talons très haut et très fins made in Italy. Je remplis un grand sac en cuir, pure imitation Vuitton puis j’appelai un taxi.
Je dus cogner plusieurs fois avant que Hack’Saur daigne ouvrir. Vu sa tête, il devait me maudire de l’avoir dérangé en pleine partie de je ne sais quel jeu en ligne. Toutefois, et bien qu’homo assumé, il me détailla de la tête aux pieds. — Oui ? demanda-t-il d’une voix pâteuse. — J’ai besoin de toi, dis-je en entrant dans l’appartement sans attendre qu’il m’y invite.Le studio était dans l’état auquel je m’attendais : une pagaille sans nom avec des restes de pizza sur un coin de table, des fringues plus ou moins propres disséminées un peu partout et un fouillis d’écran et autre matériel informatique.— Et qu’est-ce que je peux faire pour vous, dit-il en me matant ouvertement le cul. — J’ai besoin que tu pirates les bases de données du Ministère de la Défense. Le hacker éclata de rire. - Non, sérieusement ... — Je suis sérieuse. Pierre Belmont devint blanc comme un linge. — Ça va pas non ? J’ai pris cinq ans à cause de mes activités et j’ai pas envie de replonger. Et puis, de toute façon, je suis interdit de piratage. Cette fois, c’est moi qui éclatai de rire. — Allons, allons, tu ne vas pas me faire croire que tu devenu honnête ? Je suis sure que dans tout ton fatras tu as tout ce qu’il faut pour me faire plaisir. Pierre réfléchit un moment— Admettons qu’en effet, il soit possible que je puisse faire ce que vous me demandez. Qu’est-ce que je gagne en échange ? — Un moment avec moi, par exemple. — Sauf que les femmes, voyez-vous, c’est pas mon truc. — Qui te dit que je suis une femme, dis-je en m’asseyant sur le bureau, les pieds sur le fauteuil. Je remontai ma jupe sur mes hanches et ouvris mes cuisses. Mon sexe était visible sous la dentelle diaphane de mon tanga. — Alors ? Intéressé ? — Putain, merde, un trans ! s’exclama grossièrement le hacker. — Alors ? — D’accord, mais ça va pas être facile. — Et si je te donne les IP des serveurs ? — Dans ce cas ... je n’aurai plus que les mots de passe à craquer. — Tu veux une avance ? demandé-je en libérant mon sexe
Pierre poussa le fauteuil. Je posai un pied sur le bureau. Il s’agenouilla et commença à me sucer. — Trop bon ! commenta-t-il, aux angesJe le laissai faire un moment. — Assez. La suite une fois le travail fini.
Je sortis ma clé USB, inoffensive celle-là, contenant les IP à hacker et Pierre se mit au travail. Des fenêtres s’ouvrirent sur les trois écrans, des barres de progressions s’illuminèrent. — Bon, ça y est, on est dans la place. Qu’est-ce qu’on cherche ? — Tout ce qui a un rapport avec Fabien Lassalle. J’hésitai à demander aussi pour Claudia mais je me ravisai. Il ne valait mieux pas savoir. Hack’Saur pianota frénétiquement et récupéra plusieurs document qu’il copia sur ma clé. — Voilà, je crois que j’ai fait le tour. — Parfait ! Merci beaucoup.
Je récupérai ma clé USB et la rangeai dans mon grand sac. Je continuai de fouiller et sortit mon arme de service sur laquelle je vissai le silencieux. Pierre paniqua et recula avec son fauteuil dans un coin de la pièce. — Vous n’êtes pas obligée ! Promis, je ne dirais rien ! Je le regardai en souriant. La situation m’amusait au plus haut point. Je pointai mon arme vers lui. Il se recroquevilla sur le fauteuil, les mains sur son visage. Puis je détournai mon arme et tirai deux balles dans l’ordinateur. Pierre sortit lentement de sa prostration. — Putain mais tu es malade ! Mon PC ! — Oh, eh, arrête ! Je suis sure que tu as une sauvegarde dans tout ce bordel. Et crois-moi, c’est pour ton bien que j’ai fait ça. Pas de PC, pas de trace, pas de trace, pas de flic, etc, etc. Je rangeai mon pistolet, ramassai les douilles et fourrai le PC lâchement assassiné dans mon grand sac. — Bon, chose promise, chose due. On en était où ?
Je m’approchai vers lui en laissant glisser ma robe le long de mon corps— Vous ... vous n’allez pas me tuer ? — Mais non ! Pourquoi je ferai une chose pareille ? Par contre, j’entends parler de toi d’une façon ou d’une autre, je reviens et tu iras rejoindre ton cher PC. C’est clair ? — Très ... très clair.
J’agitai mon sexe devant son nez. Pierre se détendit doucement. Il s’approcha et goba mon gland. Ses craintes s’évanouirent et me suça franchement.— Je reviens, dit-il soudainement en s’écartant de moi. J’entendis la douche couler. Pierre revint un petit quart d’heure plus tard et reprit là où il s’était arrêté. — Viens, dit-il en me prenant par la main. Il m’allongea sur son lit qui n’avait pas été refait depuis un moment et sur lequel trainaient des vêtements à la propreté douteuse. Il attrapa un t-shirt qu’il jeta à l’autre bout du studio. Il s’allongea au-dessus de moi, son sexe sur ma bouche. Il reprit sa fellation gourmande et je goutais le sien déjà bien dur. J’écartai ses fesses poilues et caressai sa rondelle qui réagit aussitôt. J’y glissai mon pouce. Pierre ronronnait. Il se redressa et rampa jusqu’à mon sexe qu’il prit en main. Tout en me tournant le dos, il glissa un préservatif et s’empala sur ma queue. Il commença à monter et descendre lentement, comme pour profiter pleinement des sensations.
— Je peux te prendre ? demanda-t-il en se retournant enfin— Bien sûr, je suis venue pour ça aussiIl m’incita à me mettre à quatre pattes, le visage dans l’oreiller qui sentait la transpiration. S’il suçait plutôt très bien, Pierre était aussi très doué avec sa langue. Il fit une feuille de rose d’enfer. Il se redressa enfin, se protégea et entra en moi doucement. Ses mains serraient fermement mes hanches et me limait le cul sans ménagement. Il se colla sur mon dos et saisit mon sexe. Il s’enfonça en moi au plus profond qu’il put, serra ma bite et murmura à mon oreille : — Maintenant, je te tiens par les couilles, salope ! Je fermai aussitôt mes sphincters, et attrapai sa tignasse grasse. — Je n’ai pas besoin d’un flingue pour te tuer. Alors, fais-ce que fais le mieux. Baise-moi ! Cela calma ses velléités de domination et reprit le coït. — A toi, maintenant. On échangea nos places. Pierre me demanda d’être plus violent. Qu’à cela ne tienne. Je l’attrapai par les cheveux une nouvelle fois et le poussai vers le bureau. Je plaquai et le sodomisait avec fureur. Pierre grognait de plaisir. Il fit de même avec moi, et je devais avouer que ce n’était pas désagréable. Je fus la première à arriver à la jouissance. Je retournai Pierre et fourrai ma queue dans sa bouche. Mon amant manqua de s’étrangler mais avala avec gourmandise ma semence. Il se releva, me plaqua à nouveau sur le bureau et me pénétra sans ménagement. Il accéléra la cadence et, dans un grognement, remplit la capote. Il se retira, haletant.
— C’était trop bon, dit-il pendant que je me rhabillais. On recommencera ? — Ça, j’en doute. — Dommage...Pierre était visiblement déçu. Mais c’était mieux ainsi. Et puis, le plan cul d’un soir avec lui me suffisait largement. — Merci pour ton aide, dis-je en lui faisant la bise. Mais si j’entends parler de toi ... — T’inquiète.
Je quittai l’appartement bordélique non sans laisser une enveloppe contenant quelques centaines d’euros, un dédommagement pour le PC que j’avais détruit et dont je me débarrasserai plus tard. 18-Je rentrai à regret sur Paris. Je retrouvai Vanessa à qui je racontai mon périple tout en lui cachant mon entrevue avec Pierre Belmont-Hack’Saur. Bien sûr, elle n’était pas au courant – pour l’instant – de mes projets pour retrouver Fabien.
Je repris mon travail d’analyste. Cette fois, ce fut Vanessa qui partit pour quelques jours de congés amplement mérités. Comme convenu, on ne parlait pas de nos missions, mais on en touchait quelques mots en restant dans le vague. Et d’après ce que j’avais compris, elle avait pas mal donné de sa personne, et à priori, plus que la mission ne l’exigeait.
Je quittai mon bureau à dix-sept heures, comme d’habitude. Je louai une Autolib et filai vers la banlieue ouest, vers l’adresse que Pierre avait réussi à débusquer. Une aiguille dans la meule de foin des informations des renseignements généraux.
J’arrivai sans trop me perdre sur le parking de la maison spécialisée. L’odeur caractéristique et quelques cris annonçaient la couleur. Pas vraiment gaie. J’apostrophai une aide-soignante qui désigna du doigt une personne sur un fauteuil roulant. Je reconnus Fabien. Difficilement. Etaient-ce son accident, l’arrêt brutal du traitement que l’on nous avait donné après notre enlèvement, ou celui auquel il avait droit maintenant, mais il avait pris du poids et son visage mal rasé était bouffi. Fabien était là prostré sur son fauteuil, la tête penchée sur le côté, un peu de bave séchée sur le cou de sa bouche. — Fabien ? demandé-je doucementSa tête bougea un peu. Mais si son corps n’était plus que l’ombre de ce qu’il avait été, ses yeux restaient étonnamment expressifs. Il me regarda, se demanda qui je pouvais bien être. — C’est moi, Thierry. Enfin, j’étais Thierry avant qu’on termine ma transformation. On était ensemble avec Jean-Claude et Arnaud. Tu te souviens ? Ses yeux me firent signe que oui.
J’allai chercher une chaise et m’installai à côté de lui. Je lui racontai doucement tout ce qui avait pu se passer depuis son accident. Fabien souriait, signe que son cerveau fonctionnait toujours. Mais plus son corps. J’enrageai de le voir dans cet état. — Est-ce que tu as vu du monde ? Sophie Garan ? Ses yeux s’obscurcirent. Je devais surement être sa première visite. Je pris les poignées de son fauteuil et on fit un tour dehors. La nuit et le froid de ce mois de décembre nous cueillirent dès le porche mais je sentais Fabien heureux de cette sortie. On ne resta que quelques minutes à l’extérieur avant de se faire rappeler à l’ordre par une infirmière, mais Fabien apprécia ce court moment.
Je le ramenai dans la pièce et je lui promis de venir le voir dès que je le pourrai.
Ce que je fis tous les soirs, ou presque. Je passai presque tout le week-end avec lui. La semaine suivante, j’emmenai Vanessa avec moi, sans rien lui dire de notre destination. Je n’aurai pas dû lui faire une telle surprise. Elle éclata en larmes et s’enfuit dehors. Voir Fabien dans cet état fut un choc énorme pour elle. Malgré tout, elle fit un effort et accepta de revoir son ami.
On loua une voiture spéciale pour accueillir Fabien et son fauteuil. On fit Paris by night et ses illuminations de Noël. On se fraya difficilement un chemin devant les vitrines des grand Magasins.
On rentra à l’hôpital. Et chose étonnante, Fabien fit signe de vouloir écrire. On se procura un bloc et un stylo. Péniblement il réussit à écrire « merci » qui nous fit larmoyer. Puis, au prix d’un effort presque surhumain, il écrivit autre chose. On lut d’abord « Merci ». Mais en regardant mieux, on déchiffra « mourir ». On se regarda avec Vanessa. — Non, tu ne peux pas dire ça. On va trouver une solution. Il y a moyen de faire quelque chose ! Je disais ça en essayant de me convaincre moi-même. Tout en sachant pertinemment qu’il n’y avait rien à faire.Fabien nous regarda, implorant. — D’accord, dis-je d’une voix blanche. — D’accord aussi, confirma Vanessa.
On rentra en silence. Je fis quelques recherches sur internet et exposai mon plan à Vanessa qui l’accepta sans discussion.On se rendit le samedi suivant à l’hôpital où résidait Fabien. J’avais dans mon sac la seringue contenant le produit qui libérerait notre ami de ses souffrances. Hasard ou coïncidence, il faisait un temps magnifique. D’ailleurs la météo annonçait en temps exceptionnellement doux pour les fêtes de Noël. Cela dit, l’an passé aussi, les média s’accordaient pour dire que l’exceptionnel devenait l’ordinaire.
On fit une balade dans le parc puis on s’arrêta sur un banc. — Tu veux toujours ... demandé-je avec des trémolos dans la voix. Ses yeux et un léger mouvement de tête me confirmèrent son choix. Je fis l’injection létale. Nous primes chacune sa main et on attendit, sans rien dire, les rayons du soleil sur nos visages. Puis doucement, la pression de la main de Fabien se fit de moins en moins forte.
On quitta l’hôpital, laissant le corps de Fabien, sans vie, profiter des derniers rayons du soleil.
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