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Section TG

Chapitre 15

Travesti / Trans
27-La porte de l’appartement s’ouvrit. J’entendis la voix du député, mais aussi des rires féminins. J’eus juste le temps de me coller contre le mur, sur le balcon. François Marquant entra dans la chambre accompagné de deux femmes court vêtues. S’ensuivit un trio où François montra toute l’étendue de ses compétences. Les filles se gouinaient aussi dès qu’elles le pouvaient. La partie de jambes en l’air dura près d’une heure, pendant laquelle les filles furent satisfaites à tour de rôle, exprimant, ou simulant, leur jouissance avec toute la panoplie de gémissements et de cris.
L’affaire faite, le député raccompagna les filles jusqu’à la porte et fila aux toilettes. J’en profitai pour sortir à mon tour. Une fois en bas, je jetai un coup d’œil vers le balcon et je vis François fumant une cigarette. J’avais eu chaud, très chaud. Un peu de plus, j’allais devoir jouer les monte-en-l’air.
Le retour se fit tranquillement. François veillait jalousement sur sa valise et son sac de sport. Il passait les rares contrôles sans difficultés. Sa carte d’édile européen lui ouvrait toutes les portes. Je récupérai ma voiture au parking et allai planquer devant chez lui. Cette fois, il sortit le soir même. Je suivis la Fiat 500 vers la zone industrielle, au même endroit que la dernière fois. il se gara le long du trottoir, derrière une grosse BMW et je fis de même un peu plus loin, juste après un Ford Transit miteux et tagué du sol au plafond. A l’intérieur, deux hommes, casques audio vissé sur les oreilles, les yeux rivés sur des moniteurs télé se demandèrent qui pouvait être ce troisième larron.
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Une fois la surprise passé de ce premier baiser, les deux femmes s’installèrent dans la chambre et vidèrent leurs valises dans les placards. Puis elles sortirent pour une première balade sur les Champs Elysées. Elles dinèrent dans un restaurant. Nathalie passa cette fois aux questions d’ordre privé. Sa famille, ses amours, son célibat. Nathalie ne manquait pas non plus un geste tendre, une caresse. Elles se tenaient par le bras. Une fois, elle voulut la prendre par la taille mais Isabelle se dégagea. Elle accepta toutefois qu’elle lui tienne la main. Une boule d’angoisse grossit dans le ventre d’Isabelle au fur et à mesure que leurs pas les rapprochaient de l’hôtel. Angoisse irrationnelle et irraisonnée.
— Je vais prendre une douche, dit Isabelle. — Très bien. J’irai après. Isabelle s’enferma dans son pyjama sous la couette, attendant Nathalie. Pour la première fois de sa vie, elle allait passer la nuit avec une femme. Nathalie arriva dans une nuisette diaphane. — Rhooo, elle fait sa timide, railla Nathalie. Tout va bien se passer. Pas la peine de t’inquiéter. — C’est plus fort que moi.
Nathalie s’allongea sur le ventre, en travers du grand lit. Elle s’approcha d’Isabelle et commença une série de bisous, d’abord sur l’épaule, puis dans le cou, sur sa joue. Elle atteignit la commissure des lèvres. Isabelle ne bougeait pas comme tétanisée. Nathalie continua, posa ses lèvres sur celles d’Isabelle. Sa langue tenta de forcer le passage. — Détends-toi ma puce.
Nathalie passa sa main sous la couette, puis sous haut du pyjama. Elle caressa le ventre, remonta vers les seins, toucha le mamelon. — Il est tout dur. Tu vois que tu aimes ça. Nathalie revint sur les lèvres de son amie. Sa langue insista. Timidement, Isabelle desserra les dents. Nathalie ne lâcha pas l’affaire et enfin, les deux langues se rejoignirent. — Tes lèvres sont bonnes ma chérie. Nathalie roula sur le lit et s’allongea sur son amante. Elle reprit son baiser. Un baiser long, très long, passionné, parfois fougueux.
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Je sortis de ma voiture, cagoule sur la tête. J’avais aussi passé treillis noir et des chaussures à semelles souples et antidérapantes. Armée d’un appareil photo muni d’un gros téléobjectif, je me faufilai discrètement le long des murs à la recherche du député. Je le trouvai enfin, dans un coin de l’entrepôt, avec deux hommes, plutôt jeunes. L’un deux ouvrit le sac, vérifia le contenu et le referma. — J’espère que tu nous as pas doublés, dit l’un d’eux. — Pourquoi je ferai une chose pareille ? Le deal me va très bien. Encore un mandat et je prends ma retraite au soleil.
Je mitraillai tout ce que je pouvais. Les caractéristiques techniques des boitiers modernes permettaient presque d’avoir des photos claires et nettes par des nuits sans lune. Je revins sur mes pas et montai dans ma voiture. Mais juste au moment où je démarrai, les deux dealer m’aperçurent et foncèrent vers leur berline. — Oh le con, dit l’un des hommes dans le fourgon. Qu’est-ce qu’on fait ? — Rien, laisse tomber, répondit l’autre. Tant pis pour sa gueule. Ils n’ont qu’à s’entretuer entre dealers, ça nous fera moins de paperasserie. — Tu as déjà vu un dealer se balader avec un appareil photo ? — Non, c’est vrai. Mais peu importe. C’est pas notre mission.
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Nathalie se redressa, repoussa la couette au fond lit et remonta le pyjama, dévoilant les seins d’Isabelle. Elle les suça, caressa, téta, puis continua son chemin vers le nombril. Elle attrapa l’élastique du bas du pyjama et le fit glisser jusqu’à ses pieds.— Va falloir refaire ta collection de dessous, dit Nathalie en regardant de travers la culotte de coton noire. Elle retira doucement le sous-vêtement, dévoilant petit à petit l’intimité d’Isabelle. — Tu te rase le minou ? demanda Nathalie surprise. — J’ai voulu essayer, pour voir, mentit Isabelle. Nathalie glissa son index entre les cuisses serrées et caressa la fente. — C’est tout humide. Ça te plait on dirait Isabelle desserra l’étau et Nathalie s’y engouffra. Sa bouche rejoignit les doigts. Isabelle haletait sous la caresse. Son corps ondulait. — Je vais te faire jouir ma puce, tu vas voir.
Nathalie redoubla d’effort. Sa langue jouait avec son bouton, ses doigts fouillaient son vagin. Isabelle gémissait, l’intimait de continuer, et surtout ne pas s’arrêter. L’orgasme la libéra de son supplice. Nathalie rampa sur le corps d’isabelle pour aller chercher sa bouche. Des larmes coulaient sur son visage. — Tu pleures ma chérie, demanda Nathalie, inquiète. — De plaisir, juste de plaisir. Tu m’as fait jouir comme jamais depuis longtemps — Très heureuse de te l’entendre dire. Elles échangèrent un autre baiser long et langoureux. — A ton tour maintenant, annonça Nathalie. — Je ne suis pas sure d’avoir ton talent. — Et moi, je suis sure que tu vas très bien t’en sortir
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La BWM fit demi-tour sur elle-même et fonça derrière moi, pleins phares. J’écrasai l’accélérateur. Les deux cents et quelques chevaux bondirent et je me retrouvai sur la large avenue déserte à cette heure. Je traversai les croisements sans me soucier de la couleur des feux et arrivai enfin en dehors de la ville, la BMW toujours à mes trousses. Mon compteur frôlait les cent cinquante kilomètres heures. De la folie. J’avais bien pris quelques cours de conduite sportive, mais c’en était resté au B-A-BA. Pas de quoi faire de moi un Sébastien Loeb. Je dépassai l’aéroport et commençai à grimper les pentes alsaciennes. La neige fit son apparition sur les bas-côtés. Il ne manquait plus que ça ! Une plaque de verglas et ma carrière d’agent secret s’arrêtait net contre un sapin.
Mais j’avais de la chance malgré tout, ma voiture, plus légère et plus agile distança mes poursuivant. A la sortie d’un virage, je repérai un chemin qui montait entre deux rangées d’arbres. Je m’y engageai et roulait sur quelques dizaines de mètres jusqu’à ce je patine sur la neige damée. J’éteignis mes feux et attendis. La BMW passa rapidement. Je me laissai glisser dans la pente, retrouvai la route et redémarrai tous feux éteints. Le temps qu’ils remarquent que je leur avais faussé compagnie, je serai déjà loin.
Je me garai enfin dans mon parking. Encore une fois, j’avais eu chaud aux fesses. Je transférai aussitôt les photos à ma chef et allai me coucher. Mais la filature n’était pas terminée. 28-Pour la première fois de sa vie, Isabelle avait fait l’amour et passé la nuit avec une femme. Et malgré elle, elle devait bien reconnaitre que c’était plutôt agréable. Mais peut-être était-ce qu’elle était en manque d’affection et de tendresse depuis trop longtemps. Malika avait commencé à combler ce manque mais il restait encore beaucoup à faire. Les deux femmes passèrent la journée du vendredi à faire du shopping. Isabelle rentra épuisée, les mais chargées de sacs. Nathalie avait insisté pour qu’elle s’achète des dessous sexys et des chaussures à talons. Isabelle avait cédé, se disant que de toute façon elle ne les mettrait que pour les grandes occasions.
Isabelle acceptait aussi plus facilement les gestes de tendresses de Nathalie. Si elles ne se tenaient pas par la taille, elles s’étaient prises la main tout le temps. Nathalie décida que ce soir elles dineraient au restaurant de l’hôtel. Ce à quoi, Isabelle adhéra pleinement. Elle avait assez marché pour la journée. — Petit cadeau pour toi, dit Nathalie. J’aimerai assez que tu le mettes ce soir. — C’est gentil. Mais il ne fallait pas. — Bien sûr qu’il fallait.
Isabelle déballa le paquet et découvrit un ensemble de lingerie tout en dentelle noire. — Tu veux que je mette ça ? demanda Isabelle en montrant un porte-jarretelles. — Oui, s’il te plait mon cœur. — Il va falloir m’aider alors. — Oh, s’il n’y a que ça !
— Ça fait tout drôle, dit Isabelle une fois habillée et perchée sur dix centimètres de talons. — Ne me dit pas que tu n’en as jamais mis. — Jamais. — Même pas pour ton ex ? — Non plus. — En attendant tu es ravissante. A croquer. — Tu es très jolie aussi.
Elles descendirent au restaurant de l’hôtel. Le maitre d’hôtel les installa et leur donna la carte. Elles dinèrent tranquillement, parlant de tout et de rien, mais surtout d’elles, de leur éventuel futur que Nathalie espérait de tout cœur qu’il se conjuguerait à deux.
Le dessert leur fut servi puis le café. — Vous terminez à quelle heure demanda Nathalie au garçon. — Vingt-trois trente, madame. — Nous sommes chambre cent-neuf. Le garçon repartit avec un grand sourire. — Mais pourquoi tu as dit ça ? demanda Isabelle à voix basse. — Un plan à trois, ça ne te dit pas ? — Tu es folle ! — C’est toi qui me rends folle, dit Nathalie en serrant la main de son amie.
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On était samedi. Le député avait récupéré la drogue qu’il avait ensuite remise aux dealers. Normalement, il avait en sa possession un petit sachet de diamants et en théorie, il devrait se rendre en Suisse pour les échanger contre des billets qu’il cacherait ensuite dans un coffre d’une banque. La grande question était de savoir s’il y irait aujourd’hui ou plus tard.
Je décidai de faire le pari du jour et je pris de l’avance en me rendant vers Genève. Et mon pari fut payant. Le mouchard GPS de l’Audi venait de passer la frontière. Je roulai donc vers Genève et me garai sur une aire de repos où je refis le plein. Le traceur me signala que l’Audi venait de passer et je repris ma filature.
François se gara près du diamantaire et en ressortit quelques minutes plus tard. Mon appareil photo enregistra l’entrée et la sortie. Puis il se rendit vers la banque. Cette fois, j’entrai à mon tour et filmait ses déplacements grâce à une petite caméra cachée. Satisfaite, je décidai de passer la nuit à Genève et visiter la ville.
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Isabelle avait fini la soirée de façon qu’elle n’aurait jamais imaginée. Après le diner, elles étaient allées faire un petit tour le long de la rue de Rivoli pour se rafraichir et dissiper les vapeurs d’alcool. Sans demander sa permission, Nathalie la plaque contre un des piliers et l’embrassa fougueusement, passant sa main sous sa jupe et offrant la vision du haut de ses bas à quiconque serait assez curieux. Isabelle résista puis s’abandonna au baiser.
Elles rentrèrent et firent l’amour, ne gardant que leurs bas retenus par les jarretelles. Il était minuit moins le quart lorsqu’on frappa à leur porte. Nathalie ouvrit et laissa entre le serveur. Il se retrouva rapidement entre les deux femmes, nu, le sexe pendant. Nathalie la première le prit dans la bouche et le donna ensuite à Isabelle. Emportée dans le mouvement, elle suça cette queue qui grossissait à vue d’œil. — Par qui je commence ? demanda le garçon— Par elle, dit Nathalie en désignant son amie. Nathalie s’allongea sur le lit, jambes écartées. — Viens me manger ma chérie dit-elle.
Isabelle s’approcha et commença à brouter le minou de son amie. Le garçon enfila un préservatif et guida son sexe vers l’entrée de la grotte. Il s’agrippa aux hanches d’Isabelle et la pénétra. Chacune d’entre elles passèrent plusieurs fois sous les assauts du serveur. Finalement, il ne put retenir son éjaculation et Nathalie demanda à ce qu’il se vide sur leur visage. Elle attira Isabelle près d’elle et le sperme abondant se répandit sur leur bouche, leur joues, les yeux et jusqu’au front. Nathalie lécha le visage de son amante avant de lui rouler une pelle au gout de sperme. Le serveur se rhabilla et quitta la chambre non sans avoir empocher un généreux pourboire. Les deux femmes se caressèrent une dernière fois sous la douche avant de s’endormir.
Le samedi fut beaucoup plus calme. Elles profitèrent largement du spa de l’hôtel, de sa piscine et des massages relaxants.
C’était leur dernière soirée ensemble. Isabelle avait fini par accepter cette relation saphique. Nathalie lui témoignait sans cesse son amour pour elle, par des petits gestes, des mots doux. Et si Nathalie était de plus en plus amoureuse, Isabelle refusait encore d’admettre qu’elle pouvait l’être aussi.
— Tu sais, annonça Nathalie encore en peignoir dans l’encadrement de la salle de bain. Les hommes ne peuvent pas se passer de nous. Mais nous, on peut très bien se passer d’eux. — Je ne comprends pas, dit Isabelle nue sur le lit. Nathalie s’approcha, ouvrit son peignoir et exhiba un gode-ceinture attachée à sa taille. — Qu’est-ce que c’est que ça ? — Une machine à plaisir ma chérie. Elle laissa tomber le peignoir au sol et chauffa la chatte d’Isabelle. Pus jugeant qu’elle était bien lubrifiée, elle enfonça son sexe de latex en elle. Isabelle connu un nouvel orgasme avant de tester l’accessoire sur Nathalie.
Elles rentrèrent sur Strasbourg le lendemain. Le taxi déposa Isabelle en premier. Nathalie descendit pour lui dire au revoir — J’ai passé un excellent séjour avec toi, dit-elle. Tu m’as donné beaucoup de plaisir. Et pas seulement au lit. Tu vas me manquer. — Moi aussi, j’ai passé un très bon moment. J’ai beaucoup apprécié ta langue. On pourra recommencer à l’occasion. — On pourra, répondit Nathalie avec une pointe de déception, espérant d’Isabelle un peu plus qu’un plan cul.Elles s’embrassèrent tendrement sous le regard excité du chauffeur de taxi— A bientôt mon amour, dit Nathalie en revenant vers la portière— Nathy, cria Isabelle. — Oui ? — Tu veux rester encore ce soir ? Le sourire radieux qui illumina son visage parlait pour elle. Elle récupéra ses bagages et suivit Isabelle jusque dans son appartement.
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