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Section TG

Chapitre 17

Travesti / Trans
31-Anton me sodomisa une nouvelle fois et éjacula dans le préservatif. Il le retira et me demanda de le nettoyer. Ce que fis avec la gourmandise de rigueur. Je finis la nuit à ses coté et je dus le sucer au réveil.
Après la douche et le café, il me fit faire le tour du propriétaire. La maison était vraiment grande. Une dizaine de pièces. Il me montra une chambre vide à côté de la sienne. — Tu pourras t’installer ici, dit-il. Comme ça, tu ne seras pas loin, si j’ai une petite envie. — Parfait ! répondis-je, intérieurement heureuse de ne pas avoir à passer toutes mes nuits avec lui.
Au bout du couloir était la chambre de la grande blonde, Ludmilla Miguevitch de son nom. — C’est mon chauffeur et mon garde du corps. C’est une ancienne des forces spéciales russes. Et effectivement, elle n’aime que les femmes. Alors n’essaye même pas de la chauffer car elle t’arrachera les couilles avec ses dents.Je déglutis bruyamment. J’avais là une adversaire de choix et j’espérai que je n’aurai pas à faire à elle dans un combat au corps à corps.
— Ici, c’est mon bureau. Interdiction d’entrer sauf si je te le demande, c’est clair ? — C’est clair ! Autant dire que mon objectif premier serait de braver l’interdiction de ce cher Anton-Barbe bleue.
On termina la visite. Cuisine, garage, la salle de sport et le parc. La vue sur Paris était fantastique. Je n’osai pas imaginer le prix d’une telle demeure, ni même les impôts qui allaient avec.
— Je vais aller chercher quelques affaires et je reviens, dis-je— Très bien. Mais soit là ce soir. Je pourrai avoir des envies.— Toutes les envies que tu voudras mon chou.
Je revins en fin d’après-midi. Je laissai Vanessa devant la maison de Sergeï qui n’était qu’à deux rues de celle d’Anton. Je fis la connaissance de Marie, la cuisinière avec qui je dînai en compagnie de Ludmilla. Si les deux femmes bavardaient tranquillement, elles ne m’adressèrent pas la parole.
Anton rentra assez tard et vint me voir dans ma chambre.
— Bien installée ? — C’est parfait, dis-je. — Très bien. Je prends une douche. Tiens-toi prête.
Il me sauta sans préliminaire et sans se soucier de mon cas. Seul son plaisir importait. Dix jours passèrent pendant lesquels je prenais mes marques. Régulièrement, j’allais faire du shopping avec Vanessa et faire le point sur nos avancées. Force était de constater que Sergeï était plus secret qu’Anton –Vanessa restait confinée dans sa chambre– mais aussi plus sauvage dans sa façon de baiser. Puis je rentrai le soir pour une partie de jambes en l’air.
Mais mon premier objectif occupait encore et toujours mes pensées : comment entrer dans son bureau et y placer tous les mouchards qu’on m’avait donnés. J’avais déjà repéré son trousseau de clé et il fallait que je me débrouille pour en faire une copie. Sophie Garan nous avait parlé de la possibilité de faire un double à partir de quelques photos et d’une imprimante laser. Ce ne fut qu’à la fin de la semaine que je pus enfin agir.
J’avais fait en sorte d’épuiser mon amant et mécène en réclamant une nouvelle sodomie. A presque cinquante ans, et le manque flagrant d’exercices, Anton avait de plus en plus de mal à tenir la distance. Il s’endormit comme une masse pour ronfler comme un sonneur. Je subtilisai son trousseau et allai m’enfermer dans les toilettes. Je fis toutes les photos nécessaires et les envoyai à Sophie avant de les effacer. Il ne faudrait pas qu’Anton tombe dessus par hasard. 
Le lendemain, nous croisâmes notre chef aux Galerie Lafayette qui glissa discrètement la copie dans mon sac. Vanessa était toujours sur la touche.
Lorsque je rentrai à la maison, un mot était posé sur mon lit. «  Je pars pour le week-end. Tu peux rentrer chez toi. A lundi. Anton ». Evidemment, Ludmilla était du voyage. Le pied !
Je testai aussitôt les clés. La pièce était immense. Un grand bureau style empire, ou du moins ancien, entouré de fauteuils, trônait sur la gauche. A droite, un petit coin salon avec deux canapés et une table basse. Des toiles de maîtres aux murs, vraies ou simples copies, je n’en savais rien. Deux armoires derrière le bureau. Je posai mes mouchards dans des endroits stratégiques et quittai la pièce.
Je revins dans ma chambre et posai mon IPhone sur sa base. Une application au nom totalement débile et donc insignifiant, soigneusement dissimulée dans un dossier anonyme, me permit de vérifier le bon fonctionnement de mes mouchards. La station de travail, soi-disant là pour écouter ma musique à tue-tête, enregistrerait le moindre bruit, et donc les conversations, qui animerait le bureau. Il ne me restait plus qu’à pirater son PC et le tour était joué.
Comme Anton l’avait suggéré, je quittai la maison et rentrai chez moi, à la caserne, pour un week-end de repos.
La vie reprit son cours. Grasse matinée, shopping, sodomie. Nouvelle soirée libertine. Cette fois, on faisait partie des meubles. A la fin de la soirée, avant de partir, Vanessa vint pleurnicher auprès d’Anton pour que son ami lui laisse un peu plus de liberté dans la maison. Anton, amusé, fit la leçon à Sergeï, qui depuis, laissa un peu plus de mou à Vanessa.
Cela faisait maintenant un mois que l’on était dans la place. Anton, tout comme Sergeï, profitaient de nous comme bon leur semblait. C’était le deal. Et nous, on profitait de la vie d’oisiveté, sans faire de vague. Anton recevait régulièrement des amis avec qui il s’enfermait dans le bureau. Mes mouchards entraient en action et les conversations, toujours en serbe ou en russe, étaient relayées à mon quartier général via la station s’accueil de mon Iphone.
De son coté, Vanessa avait enfin pu entrer dans le saint des saints de son mentor.
— Malika, tu peux venir s’il te plait ? Je lisais tranquillement une revue people sur mon lit quand Anton entra dans ma chambre sans prévenir. — Qu’est-ce qu’il y a ? — J’ai besoin de toi.
Je me précipitai derrière lui et entrai dans son bureau. — Whaaah ! fis-je faussement émerveillée. Ce sont des vraies ? demandé-je en montrant les toiles — Certaines, oui. Ou pas, répondit Anton, évasif. Sur les canapés étaient assis deux hommes, plutôt massifs et musclés, même s’ils paraissaient avoir le même âge qu’Anton. — Mes amis ne me croient pas quand je leur parle de toi. Tu leur montres ce que tu sais faire ? — Mais oui mon chou, minaudé-je. Par qui je commence ? — Prends les deux à la fois.
Je m’approchai des deux hommes qui se levèrent poliment. Je m’agenouillai et défit leur pantalon qui tombèrent sur leurs chevilles. Je dégageai leur sexe pour les sucer tour à tour. J’ignorai leurs commentaires débités en serbe et entrecoupé de rires gras, me concentrant sur ma tâche, tout en restant vigilante. On ne se savait jamais de quoi ces hommes étaient capables.
L’un d’eux se dégagea et me plaqua sur le canapé. Il relava ma jupe, caressa mon sexe à travers la dentelle de mon string puis présenta son sexe à l’entrée. Bien évidemment, il n’avait pas pris soin de se protéger et avant que je ne proteste, il s’enfonçait dans mes chairs. De toute façon, je ne pouvais plus dire grand-chose car l’autre fourra sa queue dans ma bouche. Ils me besognèrent un moment avant de se vider en moi. J’étais furieuse mais je quittai la pièce avec le sourire.
— J’espère qu’’ils sont clean tes potes, dis-je en entrant dans le bureau d’Anton. Parce que je veux bien faire la pute, mais il y a des limites. Il releva la tête doucement et me regarda un moment. — Sors de mon bureau, dit-il calmement. Je fis marche arrière. — Si j’ai chopé une merde, je te tue, dis-je avant de claquer la porte.
Je passai la soirée seule dans ma chambre. Il était temps de passer à la vitesse supérieure. L’idée de pirater son PC par la manière douce n’était plus d’actualité.

32-Les jours passèrent. Je fis malgré tout un test de dépistage qui s’avéra négatif. Anton me redemanda une nouvelle fois de satisfaire un de ses clients, mais ce jour-là, ce fut Anton lui-même qui donna un préservatif à son ami. Mon esclandre avait porté ses fruits.
— Je peux entrer ? demandé-je en passant la tête par la porte de son bureau— Qu’est-ce que tu veux ? dit Anton, un brin en colère— J’ai un souci avec mon téléphone et j’aurai besoin de le brancher sur un PC pour faire des vérifications. Il souffla. — Bon d’accord. Ça me fera une pause. — Merci, dis-je.
Je connectai mon téléphone à l’ordinateur, lançai une application sur un site web estampillé Apple mais en apparence seulement et retirai mon téléphone. Cela avait duré un petit quart d’heure. Le virus était dans la place.— Tu as l’air de t’y connaitre, remarqua Anton. — Oh non. Sortie de ce site, je n’y connais rien. Tu disais que tu avais besoin d’une pause. Tu veux que je te délasse ? — Et qu’est-ce que tu proposes ? — Je peux jouer la secrétaire modèle et arroser la petite plante ou passer sous le bureau Anton sourit. — Oublie la plante verte et passe à la suite.
Je m’exécutai. Je pompai sa queue pendant qu’il téléphonait. Parfois, j’entendais quelques hésitations dans ses phrases. La conversation en serbe continua puis il raccrocha et éjacula dans ma bouche.Je sortis de ma cachette.— Putain ! C’est la première fois que je me fais sucer en téléphonant. Trop bon. J’imagine la tête de l’autre con à l’autre bout du fil. Je devrais faire ça plus souvent. — Mais quand tu veux mon chou.
Je trainais dans la maison quand je n’étais pas en virée shopping-débriefing avec Vanessa. De son côté, Sergeï lâcha un peu de lest et Vanessa avait enfin pu mettre la maison sur écoute. Parfois, on rencontrait discrètement Sophie Garan à qui on faisait un point de la situation et qui, en retour, nous donnait quelques directives.
On était début mai. Ce matin-là, je fis un tour dans le parc pour profiter des rayons de soleil, déjà haut dans le ciel. J’entendis le bruit caractéristique des coups donnés dans un sac de frappe. Je m’approchai et vit Ludmilla s’acharner sur ce pauvre boudin de cuir qui n’avait rien demandé à personne. — Approche, dit-elle en me voyant. Tu veux essayer ?
Je fus quelque peu étonnée. En temps normal, elle ne m’adressait pas la parole. Au mieux, elle me lançait des regards désapprouvant ma présence. — Euh non, c’est pas mon truc. Je suis du genre à faire l’amour plutôt que la guerre. — Peut-être, mais savoir se défendre peut être parfois utile. — Je n’en doute pas. Mais je ne suis pas taillée pour ça. — N’importe quoi ! Tout le monde est capable de se défendre et il n’y a pas besoin de gros bras pour ça. Crois-moi. — Je te crois, je te crois, répliqué-je en espérant qu’elle lâcherait l’affaire— Viens, j’ai une tenue dans mon vestiaire. Je vais te monter quelques techniques de base de self-défense. — Et pourquoi tu fais ça ? Tu ne peux pas m’encadrer !— C’est vrai. Mais aujourd’hui, je n’ai pas envie de jouer toute seule. Comprendre : «  j’ai envie de casser du travelo et je vais te démolir ».
Sauf que j’avais été formé au close-combat et que cela développé en moi et mes camarades de la section TG des réflexes de défense et de survie. Toute la difficulté allait de faire croire à la ruskof que j’étais une cruche dans le domaine. Finalement, la séance ne se déroula pas si mal. Je jouai à merveille mon rôle de pétasse soucieuse de ne pas se casser un ongle et je me retrouvai systématiquement en mauvaise posture dans lesquelles Ludmilla prenait un malin plaisir à m’humilier et jouer avec mon corps. Jeux dans lesquels, je percevais un certain sadisme. — Bon ça suffit pour aujourd’hui. Douche. Tu peux venir, je ne vais pas te manger. Et comme tu l’as bien compris le premier soir, je n’aime que les femmes.
Elle me fit une place dans la vaste douche italienne. Elle était plus grande que moi, un corps sec et musculeux, des petits seins, presque plats. Et un sexe totalement épilé. — C’est vrai que as fait partie des forces spéciales russes ? osé-je demander. Elle me lança un regard noir et continua de se savonner.
— Puisque tu es si forte en langue, montre-moi ce que tu sais faire avec la tienne. — Tu veux que ... — Ben oui, connasse ! Bouffe-moi la chatte. Et applique-toi.Je me mis à genou sur le carrelage. Elle posa son pied sur mon épaule, comme pour assoir son autorité et son emprise sur moi. Finalement, ma couverture pute de service, corvéable à merci, était particulièrement réussie.
Ce cunnilingus était bienvenu. Ça me changeait des queues et des bites que je suçais ou qui me culbutaient. Si Ludmilla n’avait pas de poitrine, elle avait une chatte particulière : des lèvres presque pendantes et surtout un clitoris proéminent, presque un petit pénis. C’était bien la première fois que j’en voyais un de telle sorte. Je le suçai avidement ce qui fit jouir Ludmilla. Pas de grands cris, tout juste des couinements mais sa façon de me plaquer la figure contre sa motte et le jus qui coulait de sa fente témoignaient de son plaisir.
La jouissance passée, elle se rinça et partit s’habiller.
— C’est vrai que Ludmilla a fait partie des commandos russes ? demandé-je à Anton après avoir subi un ramonage en règle. — Oui c’est vrai. Mais elle n’aime pas qu’on en parle. — je m’en suis rendu compte. — Tu lui as posé la question ? Et elle ne t’a pas tuée ? Elle a été une des rares femmes, sinon la seule à suivre l’entrainement des Spetsnaz. Elle a réussi aussi bien que les hommes. Mieux peut-être parce que c’était une femme. Mais lorsque qu’elle est arrivée dans son unité, tous les mecs l’ont baisée. Elle a pris ça comme un bizutage. Sauf que ça a continué ensuite. Elle a en eu assez. Elle a arraché les couilles, au sens propre, d’un des mecs et elle a démissionné. Bien sûr, il y a eu enquête. Il n’y a pas eu de poursuite. Mais elle a su plus tard que son unité avait été affecté à des missions presque suicides. Depuis, elle vend ses services aux plus offrants. Et elle a les hommes en horreur. C’est ce qui l’a fait devenir lesbienne. — Je vois. Merci. Et toi, comment tu es arrivé en France ?— Assez de questions pour ce soir. Bonne nuit, dit Anton en se retournant. Mais reste, s’il te plait.
Son histoire, et celle de Sergeï, je la connaissais. Elle était dans le dossier que l’on m’avait donné au début de la mission. Tous les deux sous-officiers dans l’armée yougoslave, ils apprennent que leur familles ont péri dans un bombardement. Ils quittent l’armée pour rejoindre les milices serbes avec lesquelles ils se livrent à plusieurs massacres mais sans qu’on en ait la preuve formelle. A la fin du conflit, n’ayant rien qui les retienne, ils quittent le pays pour s’installer en France. Ils montent une société d’export-import qui leur sert désormais de couverture à leur trafic.
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