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Séduction, amour et soumission

Chapitre 12

SM / Fétichisme
Séduction, amour et soumission Chapitre 12
Nos conversations et nos ébats nous avaient menées tard dans la nuit. Le traditionnel départ en bateau était au programme ; nous nous précipitâmes sous la douche, ensemble. Le doux souvenir de mes ablutions avec Marianne à l’esprit, je pris l’initiative de laver Charlotte ; mes mains savonneuses, caressaient ses seins et ses fesses, elle m’emboîta le pas et ce fut sur ces caresses apaisantes que commença notre journée.
Il faisait très chaud ce jour-là ; les baignades furent interminables, il fallait plonger à quelques mètres pour trouver un peu de fraîcheur. Au-dessus de la petite plage près de laquelle nous étions ancrés, une restanque plantée de vieux oliviers offrait un peu d’ombre ; c’est là que se passa notre pique-nique. Le matin, les garçons étaient partis de leur côté rejoindre leur groupe, nous étions seules avec mes parents.La conversation roula sur nos études à venir, nos projets ; la tentative de ma mère pour, discrètement, en savoir plus sur nos amours, eut peu de succès. Charlotte comme moi restâmes très vagues ; l’excuse de notre jeunesse lui suffit. Plus tard, le repas terminé, allongées toutes les deux à l’ombre d’un rocher, nous bavardions.Comment ne pas revenir sur nos secrets, ceux que nous avions partagés la veille ? Quand bien même nos étreintes avaient été courtes, elles étaient chargées de tant de fantasmes dévoilés que nous avions encore en tête leur intensité.-Tu penses revoir cette fille que tu as rencontrée à Saint-Tropez ? D’ailleurs quel est son nom ?-Tina, elle s’appelle Tina. Je ne sais pas, peut-être, elle vit à Londres.-Ah ah ! Mais tu y seras en septembre !-Oui je sais bien ; j’y pense, elle me plait beaucoup mais je ne suis pas sûre de n’aimer que les femmes.-Moi j’en suis un peu plus sûre que toi mais rien ne t’oblige à choisir. -Ca c’est vrai, prenons la facile comme disent les anglais ! Toi ton chemin est plus difficile.-Oui, enfin oui et non. Je suis vraiment amoureuse et je vois bien que cet amour en passe par là. Je ne me sens pas obligée tu sais, mais disons que j’ai réalisé que mon bonheur passe par cet « inconfort désiré ».-Inconfort désiré, ne fais pas trop l’intello avec moi ! Ca signifie ?-Obéir, se plier à ses désirs, ne plus avoir d’intimité, souffrir pour elle, qu’est-ce que je peux te dire ? J’aime ça, c’est tout.-Il y a des choses que je comprends dans ce que tu dis ; moi je crois que je me contenterais du côté libertin et ludique de ces « jeux ».-Je les aime aussi, beaucoup mais dans mon cas il y a une autre dimension.-Es claro que si ma Leyla. Tu veux bien qu’on continue ces « jeux » ce soir ? Je vais bluffer Tina en septembre ! Fou rire.-Bien sûr que j’en ai envie mais tu te souviens de notre pacte ?-Je m’en souviens très bien et tu sais aussi qu’on n’a pas tenu parole, ni toi ni moi. Je n’ai pas l’impression que nos écarts aient modifié notre relation ; je me trompe ?-Tu as raison, je ne voudrais pas que nos plaisirs renouvelés puissent la modifier c’est tout. -Écoute Leyla, tu me donnes beaucoup de plaisir et tu me fais découvrir beaucoup de choses, inattendues et vraiment très jouissives, j’espère que moi aussi. Pour moi ça ne va plus loin, tu restes ma Leyla.Simple et pragmatique, Charlotte avait comme souvent le ton juste. Mes interrogations s’estompaient pour faire place au désir. J’avais aussi envie de lui en montrer plus, d’aller un peu plus loin.
-Tu aimerais que je te montre mes « progrès » ?-Ca oui, beaucoup, mais je voudrais que toi aussi tu me fasses progresser.
Le soleil se couchai lorsqu’on arriva au port. Comme la veille, après le diner, nous étions sur la terrasse avec mes frères. Kandy avait préparé des « frozen Margarita » sublimes que nous buvions au son d’une playlist « electro-italienne » (c’est un concept je le concède) que Firuz avait rapportée de Milan. Comme la vie était belle ! Je n’étais pas dupe de mon statut de privilégiée, là sur cette île sublime, dans cette maison qui l’était aussi avec famille et amie. Comme la veille, mes frères nous quittèrent pour rejoindre leurs amours d’été.Toutes les deux un peu éméchées mais conscientes, l’alcool aidant, nous avions hâte de rejoindre la chambre.Pas encore débarrassées des vêtements légers qui nous habillaient, lèvres collées, langues mêlées, nous nous embrassions avec désir, un désir sexuel, violent ; après notre soirée de la veille, je voulais, ce soir, faire de Charlotte la complice de mes progrès, m’infliger devant elle ce que j’aimais subir, même l’inviter à me faire subir. Secrètement j’espérais que d’elle-même elle vienne au-devant de mon autre désir, celui de l’entraîner vers ces plaisirs sublimes et douloureux.-Allonge-toi, je reviens.A mon retour de la salle de bains, je déposai sur le lit les deux paires de pinces, ma brosse, une bouteille de démaquillant et bien sur ma « cueillette » de la colline. Charlotte, la main dans sa culotte ne posa aucune question, se contentant de tourner son visage pour détailler mon « butin ».J’attrapai sa main pour la diriger vers ma bouche et en léchai successivement chaque doigt, longuement. Je résistai à l’envie que j’avais de déjà plonger entre ses cuisses et m’enivrer de sa mouille. -Pose les pinces sur ma chatte. Je m’accroupis au-dessus de son visage et sans un mot, Charlotte les posa et d’elle-même les tendit.-Tu peux tirer plus fort.-Tu aimes ça ?-Oui, vas-y !-Enlève ma culotte.Je me penchai, les pinces fermement tenues m’étirèrent à la mesure de mon mouvement et lorsque sa culotte fut entre mes mains, elle continua d’exercer des tractions fermes que j’accompagnai de mon bassin. -Tu as envie d’étirer plus ma chatte ? Dis-moi oui !-Oui j’en ai envie. Tu me le feras après ?-Je le ferai. Mais retire-les et accroches-y le flacon. Entourée par les chaînettes autour du goulot, Charlotte posa de nouveau les pinces. Accroupie au-dessus d’elle, je me relevai ; la brûlure provoquée par cette charge se diffusa dans ma chatte et devant elle je montai et descendis plusieurs fois. -Descends du lit, reste devant moi.Je le fis avec précaution et me tint, mains sur la tête devant Charlotte. Elle se leva à son tour, sa bouche sur la mienne, elle saisit le flacon qu’elle fit se balancer. Ses doigts se déplacèrent pour caresser mes lèvres, l’une après l’autre, au seul toucher elle appréhendait mes chairs étirées ; lorsqu’ils butèrent sur le métal des pinces elle les fit bouger chacune comme pour raviver chaque morsure. -Maintenant caresse-moi, fais-moi jouir !Sous son doigt qui tournais autour de mon clito, j’eus un violent orgasme qui m’obligea à m’agenouiller ; là mes bras autour de ses jambes, ma langue prit possession de son sexe qui coulait sur mes lèvres. Je retirai les pinces pour l’entraîner vers le lit, je voulais sa vulve offerte à mes caresses et il n’était pas question qu’elle jouisse immédiatement ! Les cuisses relevées, ma langue tournoyait autour de son petit trou ; comme Marianne, je sentais bien qu’elle adorait, j’alternais la pénétration d’un doigt avec ma langue ; ses hanches roulaient et se précipitaient sur mon doigt humide. -Baise-moi le cul, Leyla, écarte-moi, écarte-moi plus.Au rythme de ses mots qu’elle répétait encore et encore, je la dilatai avec deux puis trois doigts ; ses mouvements désordonnés me donnèrent le signal de ralentir mes caresses ; je voulais pousser son désir plus loin. Sa voix se fit suppliante, mes doigts au bord de son anus, je faisais mine de la pénétrer tandis qu’accroupie au-dessus de son visage je me frottais sur sa bouche. Un de mes doigts la pénétra pour se retirer, puis deux qui ressortirent. Lorsque de nouveau elle sentit mes trois doigts collés à son petit trou, d’une poussée elle les engloutit, en épousant ses mouvements je l’empêchais de se branler pour le plaisir de l’entendre, celui de la sentir s’ouvrir sous mes doigts, celui d’avoir son plaisir à ma merci. Lorsqu’enfin je consentis à ce qu’elle s’abandonne, je posai ma bouche sur son bouton pour l’absorber, le lécher. Comme la veille je dus poser l’oreiller sur son visage pour étouffer ses cris. Charlotte resta gisante dans une pose obscène, encore offerte et immobile pendant un long moment ; étendue à côté d’elle, une main coincée entre ses fesses, j’observai son retour sur terre. Elle balbutia plus qu’elle ne prononça des mots à mon oreille.-Je n’ai pas le droit, tu ne peux pas me faire jouir comme ça ; non je n’ai pas le droit.C’est dans un soupir qu’elle répéta : « Tu ne peux pas, punis-moi. »Charlotte entrait dans mon jeu, je l’espérais depuis ce soir.-Répète-moi ce que tu mérites. -Être punie, je le mérite.-Ta chatte est prête ?C’est d’une petite voix qu’elle répondit « Oui »Accroupie au-dessus de son visage, je « refermais » sa chatte en lui pinçant les lèvres ; les effleurements de la brosse sur ses tendres chairs débutèrent. Au son de ses grognements, je m’enhardis à appuyer mon geste, les frottements commencèrent, Charlotte ouvrait et fermait les cuisses, jusqu’à ce que je lui ordonne de rester offerte et immobile. Une fois rouge et irritée, je relâchais mon pincement pour lui prodiguer une courte caresse de ma langue pour ensuite recommencer et poursuivre cette alternance. C’est elle qui guida ma main, ma main armée de la brosse vers ses muqueuses. J’avais le souvenir de ce « jeu », j’hésitais à en être l’actrice et la laissais s’infliger l’épreuve à son rythme. Son désir d’aller plus loin et son endurance me fascinaient, elle que j’imaginais, il y a encore peu, bien éloignée de ces douloureux plaisirs. Elle retira enfin sa main pour forcer ma nuque vers sa vulve ; je lui offris la mienne. Je m’appliquais à l’apaiser de ma langue, parcourait ses chairs molles et sensibles, s’attardait sur son bouton gorgé et magnifique qui dardait fièrement. L’une comme l’autre, nous contenions notre orgasme. Ce fut elle qui donna le signal, le ballet de nos langues s’accéléra pour aboutir à ce divin abandon vers le plaisir.Écroulée l’une sur l’autre, nous étions silencieuses et immobiles. Je me relevais pour partager un baiser de nos bouches humides. Charlotte, encore dans un nuage, n’avait même pas la force de me le rendre. C’est plus tard, dans un demi-sommeil qu’elle s’approcha pour me murmurer : « Je crois qu’il vaut mieux que nous soyons sages maintenant. Trop intense. Bonne nuit »Il fut difficile de tenir ce serment pendant le reste de son séjour. Nos nuits sans être chastes, gagnèrent en douceur et en tendresse. Pour elle comme pour moi, il fallait ne pas aller plus loin, toutes les deux en tous cas.J’avais proposé à Marianne de l’informer de mes aventures de l’été ; Je n’imaginais pas lui cacher mes nuits avec Charlotte. Sans me justifier, je lui écrivis un long mail, factuel et détaillé dans lequel je décrivis aussi mes progrès.
Marianne
Perchée sur une colline, proche de l’océan, la maison que j’avais louée avec Blanche et deux autres amies se trouvait proche d’une grande plage à la population mélangée ; des couples avec enfants cohabitaient avec une foule de gens jeunes comme nous. Toutes les quatre célibataires, notre envie de fête se prêtait bien au lieu. J’avais connu Claire et Victoire sur le campus et, si nos vies différaient nous n’en étions pas moins très proches. Claire, une blonde petit format, travaillait chez Amazon. Vive et pleine d’humour elle adorait la dérision qu’elle appliquait avant tout à elle-même. Bordelaise, la côte basque était depuis toujours son lieu de vacances ; elle en connaissait tous les « spots » et toutes les adresses sans oublier un écosystème social construit depuis l’enfance. Victoire, affichait au premier abord une profondeur parfois sombre et austère ; sa personnalité était plus complexe et notre longue amitié m’avait faite en découvrir d’autres aspects. Mise en confiance, elle pouvait être fantasque et débridée jusqu’à être d’une franchise indécente. Rédactrice dans un site de mode, Victoire était toujours vêtue à la pointe ; sans être une fashionista, elle avait l’œil pour dénicher la pièce chic et cool et il n’était pas rare que je fasse des emprunts dans sa garde-robe. Très brune le teint mat, nous avions les mêmes mensurations pour mon plus grand bonheur.Blanche qu’il est superflu de présenter était, elle aussi, une habituée de Biarritz. Nous avions déjà passé des vacances tous les quatre ensembles et ces moments n’étaient peuplés que de bons souvenirs ; moi la première, nous aimions toutes cette intimité féminine le temps des vacances. Si Claire n’était résolument attirée que par les hommes, sans en connaitre tous les détails, je savais que Victoire avait une sexualité plus ambiguë. Pour Blanche, si le secret et la discrétion la guidaient dans sa vie professionnelle d’avocate, aucun filtre n’existait quant à sa vie sentimentale ; ainsi, personne n’était dupe de la relation que j’entretenais avec elle.Arrivées dans l’après-midi, le premier dîner eut lieu chez nous. Préposée aux Mojitos qui étaient notre madeleine basque à toutes, j’avais soigneusement préparé notre cocktail de retrouvailles. Le premier pichet avalé, Blanche les seins libres sous son T-shirt en était déjà à faire tourner sa culotte au son de Coldplay ; cet été là « Viva la Vida » nous ferait toutes danser. -Bon les filles, cette année c’est « pas de culottes » !En chœur nous reprîmes le thème « Pas de culottes »Sans avoir eu le temps de remplir placards et réfrigérateur, des pâtes étaient au menu ; nous avions bien sûr eu le temps d’acheter un carton de rosé, les glaçons aidant nous étions très joyeuses et les histoires croustillantes allaient bon train. Toutes à notre plaisir de nous retrouver, l’idée de sortir le premier soir n’en tenta aucune sans parler de notre incapacité collective à se mettre au volant.Claire lança les hostilités.-Laquelle de vous est prête à raconter sa plus grosse honte de l’année ? Vous savez le truc pas possible qui vous arrive, imprévu, atroce.-Vas-y c’est toi qui a lancé le sujet. -OK alors je vous raconte ; je gère le forum des clients Amazon ainsi que les courriers clients. On vend de tout comme vous savez y compris tous les sextoys possibles et imaginables et là un mec envoie un mail d’injures concernant un vagin gonflable qu’il avait acheté. Désolée les filles mais je ne connais pas le produit, toujours est-il que le débile s’était enduit de je ne sais quel produit qui a fait fondre le « vagin ». Il s’est retrouvé avec une gaine de plastic autour du zizi, impossible à décoller. On a une appli qui donne réponse à tout et je lui indique le produit à appliquer. Le soir même il renvoie un mail pour m’expliquer qu’il a le zizi à vif que c’est un scandale, qu’il va nous poursuivre. Et là, vous allez voir le niveau, il m’envoie une photo de son engin, pelé, cramoisi, déjà que ça n’est pas très beau par temps clair mais alors là ça ressemblait à un knacki bien au-delà de la DLC. Je sais que ça n’est pas charitable mais j’ai éclaté d’un tel fou rire que j’en ai fait pipi dans ma culotte, vous voyez la scène en « open space » ! Nous étions toutes les trois mortes de rire, Blanche hoquetait, même Victoire qui commençait à sérieusement se décoincer, pouffait sans pouvoir s’arrêter.A toi Marianne !-Désolée mais moi je n’ai pas une seule histoire de ce genre. Pas facile de rencontrer ce genre de situation chez M.Blanche bien sûr me provoqua.-Allons, tu ne veux pas raconter ton histoire dans un bar du Marais, tu sais bien en mars ?Pourquoi avais-je raconté ça à Blanche la pipelette ? Prise au piège, je devais y aller. Elles savaient que je vivais ma vie comme je l’entendais et que j’étais un peu prédatrice. -Bon, voilà c’était un vendredi soir après une semaine un peu « hard », j’avais vraiment envie de choper et je pars prendre un verre dans un bar de filles que je connais bien rue des Blancs-Manteaux. Une femme avec un genre brésilien entame la conversation, plutôt cultivée, on parle de cinéma, d’actrices que j’aime, qu’elle aime. Elle avait des seins magnifiques et des jambes interminables, vraiment canon. Bref on se chauffe, et après quelques verres et de petites caresses gentilles, elle descend vers les toilettes et me fait un signe. Vous allez penser que je suis folle et un peu excitée de la foufoune, mais je la suis. On s’embrasse, on se colle et je commence à la caresser, et là je touche au but, devinez, c’était un travelo ! J’étais morte de honte et vexée ; je n’ai pas pu m’empêcher de lui coller une claque. -Pas mal la honte là ! Ca t’apprendra à ne pas contrôler tes pulsions. Venant de Blanche que rien n’arrêtait, le commentaire ne pouvait être qu’ironique. Complètement désinhibée, Victoire se lança à son tour. -Moi je crois que je tiens le pompon ! Au moment des nouvelles collections, le rythme est dingue dans ma boîte. Pendant une semaine il faut faire les choix éditoriaux, ceux des couturiers et des pièces à mettre en avant sur le site, bref un boulot d’enfer. J’avais passé la semaine à travailler nuit et jour et je l’ai fini épuisée. Et puis je vais vous faire un aveu, je suis inscrite sur « Tinder ».« Chaude la Victoire ! » C’était un cri du cœur collectif !-Dites les filles, je ne suis pas la seule à avoir des envies ici ! Bref, le vendredi j’avais un rendez-vous avec un homme, genre beau gosse, brun, assez mon genre. Gentleman, il m’invite à dîner chez un japonais de la rue Saint-Benoît. Très séduisant, du charme, je me décide et je lui propose de prendre un verre chez moi. Je vous passe les détails, on se retrouve dans mon lit. Et là je me rends compte qu’il a un mini zizi, quand je vous dis ça, franchement c’était gênant. Enfin, peut-être est-elle habile et vigoureuse me dis-je !Nous commencions à sérieusement pouffer.-Vous savez quoi ? Il touchait à peine les bords et ce n’est pas comme si je passais ma vie à me faire fister !Claire avait roulé par terre de rire. Comme moi.-Ah mais c’est chic ça « toucher à peine les bords », d’où sors-tu cette expression ?-Ca n’est pas fini, attendez la fin. Entre son mini engin et ma semaine de folie, je me suis endormie pendant qu’il s’agitait. Quand je me suis réveillée, il était parti. Morale, sur Tinder il faut demander la taille !Je ne me souvenais pas avoir autant ri ! Les joues rouges, les larmes de rire coulaient, nous hoquetions lorsque Blanche lança le cri de guerre de l’été : « Pas de culottes, pas de mini zizis ! »Nous avions sans doute épuisé notre capital fou rire pour la soirée et Blanche n’eut pas à raconter son histoire. Le lendemain nous devions installer la maison, remplir les placards ; il était deux heures du matin. Chacune partit se coucher.
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